TRIBUNE. Condamné à 20 ans de travaux forcés comme Jean Marie Michel Mokoko, André Okombi Salissa est une victime de plus des bracages judiciaires dignes d’un état de non droit triomphant au Congo.
On est dans le tragicomique. Cette injustice publique n’honnore que la cour des criminels dont la mission principale, renouvelée chaque fois que de besoin, est d’assassiner la vérité.
Notre pays est malade de ses « élites judiciaires ». Personne n’est dupe pour autant.
Le changement illégal de la Constitution du 20 janvier 2002, le hold-up présidentiel du 04 avril 2016, les procès politiques staliniens et la crise economico-financière actuelle constituent la véritable atteinte à la sûreté de l’état, avec l’utilisation massive et abusise d’armes de guerre par une force publique instrumentalisée à dessein.
C’est celà que ne cesse de denoncer à haute et intelligible voix la Fédération de l’opposition Congolaise (FROCAD-IDC-CJ3M).
La lutte continue.
Professeur Charles Zacharie Bowao
Porte parole du FROCAD-Idc-CJ3M.