Comme Bachar al-Assad en Syrie, ils n’ont de compte à rendre à personne !
TRIBUNE. S’acquitter du devoir de rendre compte de la gestion de la richesse nationale n’est pas un devoir facultatif pour celui qui gouverne. C’est un impératif incontournable. Du moins, en va t’il ainsi en démocratie. Ne pas s’astreindre à s’y employer ne saurait être un oubli mais plutôt l’entendement que le gouvernant a de sa responsabilité, une idée de traviole. Un psychologue établirait qu’il y a un fâcheux malentendu entre le peuple qui tient à la démocratie et le dirigeant acquis au pouvoir personnel. Comme Bachar al-Assad en Syrie, le genre ne se signale pas que par la volupté de faire ripaille et bombance, mais plus grave encore, par la capacité de mettre par terre l’économie nationale et de continuer à parader complètement en apesanteur sur la réalité. En vérité, il s’agit là de la survivance des pouvoirs baroques qui n’entendent les choses que par puissance, ce qui s’inscrit aux antipodes de réaliser le pays dont la charge leur incombe. Aussi, quand on entend un forban au gouvernement depuis plus de quinze ans, le genre de personne qui s’entend mieux parler avec elle-même qu’avec autrui, affirmer lors d’une réunion publique du PCT, qu’ils ne quitteront le pouvoir que lorsque le Congo sera émergent, on est en droit de se demander, quel orchestre joue dans leur tête. Il est des montres qui retardent mais alors obsessionnellement la marche en avant d’un pays. Malheureusement, la production en série dans les officines du PCT de ces petites créatures humanoïdes, ne fera que renvoyer aux calendes grecques, la mise à flot d’un pays dont le sang innocent crie vengeance. Oui, depuis 40 ans, la famille Assad régnait à la tête d’un régime opaque et paranoïaque qui emprisonnait, torturait et assassinait des opposants, avec en filigrane l’idée de préserver la paix chèrement acquise après des années de guerre, qui a fait des milliers de morts et provoquée le déplacement de la moitié de la population. Aujourd’hui, Bachar al-Assad qui savait soigner son apparence avec de beaux costumes bien coupés n’est plus là, a fui son pays sans laisser d’adresse, et laisse derrière lui un pays exsangue, fracturé et fragmenté. Que cela serve de leçon à toutes les divinités fictives en errance au Congo-Brazzaville ! Tel est le sort réservé à tous les hommes de pouvoir qui se croient invulnérables et qui pensent que cela n’arrivera pas et n’aura pas lieu dans leur pays, parce que la Syrie ce n’est pas le Congo. « Le futur appartient à celui qui a la plus longue mémoire » disait Friedrich Nietzsche. Qui vivra, témoignera ! Que Dieu bénisse le Congo-Brazzaville. Laurent DZABA Président de la Dynamique VJ2R
CAN Feminine Handball RD Congo 2024 : la RD Congo triomphe face au Congo
Score final : RD Congo 30 – 28 Congo Dans un match hautement disputé et rempli de suspense, les Léopards dames de la RD Congo ont triomphé face aux Lionnes du Congo. Une belle performance collective qui leur permet de terminer à la 5ᵉ place de la 26ᵉ CAN Féminine Senior de Handball RD Congo 2024. Ngonga Kiala Vera a été élue JOUEUSE DU MATCH grâce à sa prestation remarquable, apportant une contribution décisive à la victoire de son équipe. Les Léopards dames concluent la compétition sur une note positive, témoignant de leur détermination et de leur talent face à des adversaires redoutables tout au long du tournoi. Cette 5ᵉ place est un résultat encourageant pour l’avenir du handball féminin en RDC. Avec CP
CAN Feminine Handball RD Congo 2024 : Les Aigles de Carthage en démi-finales après leur vicoire face au Congo
Score final : Tunisie 28 – 24 Congo Les Aigles de Carthage se qualifient pour les demi-finales après un combat intense face à un Congo déterminé. Avec une maîtrise collective et des choix tactiques décisifs, les Tunisiennes ont su prendre l’avantage pour s’imposer dans ce premier quart de finale. La demi-centre Hachana Sondes, élue JOUEUSE DU MATCH, a été l’architecte du succès tunisien. Par ses percées tranchantes, sa vision du jeu et sa capacité à organiser les attaques, elle a mené son équipe avec brio. Avec cette victoire, la Tunisie se rapproche un peu plus de son rêve de titre. Leur prochaine étape, la demi-finale, sera une nouvelle occasion de démontrer leur détermination et leur talent. Avec CP
Exploitation minière et PNOT : la déstabilisation bancaire et de la flore congolaise à l’indifférence du Steward Sassou qui négocie son visa pour la France ?
LIBRES PROPOS. Après de multiples alertes sur les effets désastreux de l’exploitation minière et le danger encourue par le PNOT, on croyait que le steward Sassou qui se bat pour rencontrer Trump et faire partie du festin des 72 initiés le 7 décembre à Paris, ainsi que ses acolytes : Pierre Oba, Jean Baptiste Ondaye et Cie changeraient, grosse erreur ! La méchanceté, la tricherie et l’incompétence rongent toujours leurs cerveaux. Depuis son arrivée au ministère des mines et de la géologie en 2015, le général Pierre Oba s’en donne à cœur joie en violation flagrante de la loi, à voler et distribuer les permis à ses amis et ses rejetons tels que, Oba Sambot Cornelia (SOG), Oba Jerry Yann (Petal&Co), Oba Pierre Junior (Jumine Congo, Socarmil, Atlas mingng), Oba Christie (EMC), Oba Mignon (Master Minning), etc. Le 28/11/2024, le gourou de la secte « Ossa a palé » s’adressant au parlement réuni en congrès ne s’était pas offusqué du pillage et de l’exploitation sauvage des mines sinon les têtes seraient déjà tombées. Le 3 décembre 2024, la ministre Arlette Soudan Nono par la note n°2119 suspendant les activités minières de la société City Sarl à Mvouti (Kouilou) convient avec nous des violations à répétition et des détournements de fonds par Pierre Oba et compagnie. Le commun des mortels voudrait qu’Arlette Soudan Nono élargisse les sanctions aux nombreuses sociétés de la famille Oba. Parlant du PNOT, il sied de dire, que, ses conséquences vont aller au-delà du Congo. Elles auront un effet déflagrateur sur l’ensemble des banques de la sous-région CEMAC dont la plus exposée est le groupe BGFIBank. La filiale Congolaise vient de racheter la Société Générale du Congo (SGC). De cette fusion absorption, il transpire déjà que le portefeuille des titres et créances détenues était plus pourri que les résultats sortis des due diligence. Avec XAF 360 milliards de total de bilan en 2023, la SGC représentait 8,06% de parts de marché sur les créances à l’économie, et sa collecte de dépôts représentait 9,72% du total (1ère place). La SGC disposait d’un portefeuille d’environ 20.000 clients tous segments de marché confondus. A la SGC, les dirigeants des années 2010, ont plombé le portefeuille de prêts de plusieurs milliards distribués çà et là. Cette situation s’est aggravée avec la contraction de l’économie congolaise à partir de 2017 puis s’est accélérée en réduisant de moitié la rentabilité opérationnelle. La perte de EUR 1,5 milliards du groupe SG en 2022 notamment à cause de la cession de sa filiale russe Rosbank a fini de détruire les marges de manœuvres conduisant ainsi à un collapsus du groupe tout entier et des cessions tous azimuts en Afrique particulièrement. De son côté, BGFI Congo pesait près de XAF 560 milliards de total bilan et détenait 24,27% des parts de marchés sur le financement de l’économie congolaise. A la sortie de la fusion-absorption, les parts de marchés cumulées représentaient 32,33% du marché bancaire congolais ce qui est une position de price-maker car elle dispose d’un pouvoir de marché en termes de concentration industrielle. La facture prévue pour le rachat de la SGC initialement estimée à XAF 27,5 milliards semble avoir explosée en termes réels en raison d’un portefeuille de titres de créances pourries (bad debt securities) que certains auxiliaires du ministre Calixte Nganongo ont laissé volontairement dans le portefeuille, gageant sur sa disparition dans le fonds d’indemnisation et de mutualisation prévu par les textes de la Commission bancaire d’Afrique centrale (COBAC) et la Caisse Congolaise d’Amortissement(CCA). Ce schéma, déjà utilisé par Mathias Ndzon lors de la mise en faillite de la BIDC, pour constituer son trésor de guerre, avait « marché » car ce dernier en créant de crédits pourris incommensurables jouissait d’un délit d’initié : il savait qu’il passerait en position de Ministre de l’Économie et des Finances, et serait ainsi lui-même aux commandes pour assurer l’enterrement soigneux de ses propres fabrications dans le magma dense et opaque de la CCA. Il faut dire que l’auditeur Ernst & Young (EY) dirigé par Nick Fylla de Saint Eudes a largement aidé à effacer cette ardoise par des audits de complaisance. Les cabinets suivants n’ont d’ailleurs jamais fait mieux, pris dans la nasse des montants vertigineux et la volonté de manger eux aussi au festin à la table du Diable ! Mais cette fois ci avec le PNOT, on est passé à la puissance 1000 ! Face à l’explosion du marché des titres publics CEMAC, on assiste à une surexposition au risque souverain des banques. Lancé en 2011, l’encours des dettes de ce marché est passé de XAF 1019 milliards en 2018 à XAF 6624 milliards en mars 2024 ! 80% de cet encours est détenu par les banques. On assiste donc à un effritement rapide de la solidité de ces banques, ce qui a conduit la COBAC à prendre la décision de juillet 2024, de concert avec le FMI, en obligeant un provisionnement de 100% des titres pour les banques congolaises ayant souscrit à des adjudications d’état de la CEMAC. En clair, chaque banque ayant acheté des titres de l’Etat congolais doit provisionner à 100% ses créances en raison de leur caractère à risque systémique souverain. Si on considère la BGFI Congo qui est la plus grande Banque, et que sur les 2314 de stock initial de dette au moins 30% sont supportés par elle, ce sont près de XAF 694,2 milliards qui devront être pondérés à 100% ce qui représente quasiment le total de bilan de BGFI Bank Congo ! Pire, cette pondération en provisions pour pertes et charges probables viendra diminuer le résultat opérationnel accélérant la contraction du crédit à l’économie. Le mois de décembre qui est celui auquel les banques passent des provisions représentera une contraction majeure du financement de l’économie déjà atone. Il faut se préparer à un arrêt systémique du pays-Congo si rien n’est envisagé de manière ultra urgente ! Ni la BCI, ni la BCH, ni la LCB, ni l’UBA, moins encore Ecobank n’auront la facilité à renverser
Notre-dame ou l’activation des 36 portes de Paris qui font courir Trump et Sassou ?
LIBRES PROPOS. That the question, quand on sait que, Donald Trump s’est imposé à venir et Sassou Nguesso a jugé impérieux de saigner à blanc le trésor public pour effectuer le déplacement de Paris. Paris a plusieurs portes. Mais nous planchons uniquement sur les 36 conçues à l’origine pour former le cercle en 36 stations. Dans la mystique juive, le nombre 36 a une signification spéciale en raison de la croyance dans les 36 justes (les Lamed Vav Tzadikim) qui, selon la tradition, sont des âmes cachées dont la pureté et la droiture maintiennent le monde en équilibre. 36 est aussi vu comme un nombre parfait, car il est le carré de 6 (6 × 6). Ce qui lui confère une signification de complétude et de perfection l’équivalent de 7×7 chez les chrétiens. 12 x 2 = 36 et 36 x 2 = 72 Les 72 Disciples : selon l’Évangile de Luc, Jésus a envoyé 72 disciples pour prêcher et préparer les villes à sa venue. Ce nombre symbolise la mission universelle de l’Église. Ce sont donc les 72 génies de la Kabbale pour symboliser la réalisation d’un cycle complet de transformation spirituelle et matérielle. Dans le mythe d’Osiris, Seth conspire pour assassiner son frère Osiris afin de prendre le pouvoir. Une partie clé de cette conspiration est l’aide de 72 conspirateurs. Seth organise un banquet et propose un jeu où chacun des invités doit essayer un magnifique coffre (ou sarcophage) qui, en réalité, a été fait sur mesure pour Osiris. Lorsque Osiris entre dans le coffre, Seth et les 72 conspirateurs le scellent de plomb et le jettent dans le Nil, entraînant la mort d’Osiris. Le Nil est la seine qui passe en dessous de Notre-dame (Isis/Ashera). Trump le Roux vient donc activer l’arche d’alliance et seuls les 72 réels initiés seront autorisés à participer au festin du banquet. Le TRGM (Très Respectable Grand Maître) Sassou Nguesso tente d’en faire partie au prix de sa vie et de son pouvoir. Si le mystique Trump se bat pour la grandeur de l’Amérique; le syncrétiste Sassou, Gourou de la secte « Ossa a Pâlé » milite lui pour la destruction du Congo en l’enfonçant dans la gadoue. Nous reviendrons longuement sur le dossier Notre Dame. Ghys Fortune BEMBA DOMBE
Le FIGA : acteur clé de la stratégie du Congo pour l’entrepreneuriat et l’emploi
Le Fonds d’Impulsion, de Garantie et d’Accompagnement (FIGA) a été au cœur de l’adresse présidentielle du 28 novembre, à l’occasion de la célébration de la fête de la République. Dans son discours, le Président de la République a salué le rôle central du FIGA dans le soutien à l’entrepreneuriat et la création d’emplois pour les jeunes, en rappelant son importance stratégique pour le développement économique du pays. Depuis sa création, le FIGA s’impose comme un levier fondamental pour stimuler l’entrepreneuriat, réduire les barrières à l’accès au financement et accompagner les entrepreneurs à chaque étape de leur parcours. À ce jour, 7 097 jeunes ont été formés à l’élaboration de plans d’affaires et à la formalisation de leurs entreprises, tandis que 2 973 projets ont bénéficié d’un soutien financier grâce aux garanties de crédit offertes par le FIGA. Ces résultats démontrent son efficacité à transformer des idées en entreprises viables et à renforcer le tissu économique national. Un outil stratégique pour le Congo qui cherche à renforcer son tissu économique Le Président a rappelé que l’action du FIGA s’inscrit dans une vision ambitieuse pour l’avenir économique du Congo. Il a souligné son rôle clé dans la réinsertion de 20 000 jeunes dans le département du Pool, illustrant ainsi l’importance de ce fonds comme catalyseur de l’innovation et de l’autonomisation économique. Dans son intervention, celui-ci a déclaré : « Le FIGA est bien plus qu’un outil de financement. C’est un partenaire de transformation économique, conçu pour accompagner nos jeunes et nos entrepreneurs à réaliser leur potentiel et à contribuer activement au développement inclusif de notre pays. » Renforcer l’impact grâce à des partenariats stratégiques Pour maximiser son impact, le FIGA a noué des partenariats solides avec des institutions financières, des organisations de microfinance et des acteurs publics. Ces collaborations ont permis de sécuriser les financements, de partager les risques et d’assurer un accompagnement de qualité. À travers des initiatives comme la formation au sein des entreprises et les programmes d’accompagnement technique, le FIGA contribue à renforcer la résilience et la compétitivité des entrepreneurs congolais. “Nous croyons fermement que l’entrepreneuriat est une solution durable pour créer des emplois et réduire les inégalités économiques,” a ajouté M. Branham Kintombo, Directeur Général du FIGA. “Le rôle du FIGA est d’être un catalyseur pour nos entrepreneurs en les aidant à surmonter les défis financiers et techniques. Nous sommes convaincus que chaque projet soutenu contribue directement à la construction d’une économie congolaise plus inclusive, plus résiliente et tournée vers l’avenir.” Une action inscrite dans une stratégie de développement durable Avec un capital de 30 milliards de francs CFA, le FIGA offre des garanties financières adaptées et met en œuvre des programmes de renforcement des capacités. En 2024, il a intensifié ses efforts pour soutenir les jeunes entrepreneurs et les initiatives locales dans des secteurs stratégiques tels que l’agriculture, l’artisanat et les services. Grâce à des initiatives structurantes et des outils d’accompagnement sur mesure, le FIGA accompagne les entrepreneurs dans la formalisation et la réussite de leurs projets. Ces efforts s’inscrivent dans une dynamique globale visant à diversifier l’économie nationale et à offrir de réelles opportunités aux jeunes congolais.
CAN Feminine Handball RD Congo 2024 : Les Lionnes du Congo nchaînent une 3ᵉ victoire consécutive en dominant le Cap-Vert
Score final : Congo 25 – 21 Cap-Vert Les Lionnes du Congo poursuivent leur série impressionnante dans cette CAN Féminine Handball RD Congo 2024. Après un faux départ lors de la 1ʳᵉ journée, elles enchaînent une 3ᵉ victoire consécutive en dominant le Cap-Vert au terme d’un match intense et disputé. Diana Yimga, véritable meneuse sur le terrain, a été logiquement élue Joueuse du Match pour sa performance exceptionnelle, aussi bien en attaque qu’en défense. Avec cette victoire, les Lionnes renforcent leur position dans la compétition et confirment leur progression constante. Elles affichent clairement leurs ambitions pour les phases finales, montrant qu’elles sont prêtes à aller au bout. Avec CP
Les Business Angels, un levier important du financement des entreprises au Congo
Le cabinet BT Integral Consulting (BTIC) appelle à la création d’un réseau de Business Angels au Congo afin de faire face aux difficultés de financement rencontrées par les entrepreneurs congolais Extrait de l’article «Les Business Angels, un levier important de financement», publié chez notre confrère « Présence économique », sous la plume de Aurélien Damase Bouithy-Tchignoumba, Directeur de BTIC, cabinet conseil en stratégie et financement des projets. L’épineuse question du financement de l’entrepreneuriat au Congo, notamment celui des jeunes se pose encore et toujours avec beaucoup d’acuité. Qu’il s’agisse d’entreprises en création ou en phase de développement, il faut considérer les Business Angels(BA) ou Investisseurs providentiels comme un pilier non négligeable du dispositif de financement de l’initiative privée au Congo. Le cabinet BTIC préconise la création d’un solide réseau de BA pour soutenir ces entreprises. Tout congolais où qu’il soit, détenteur d’un pouvoir d’achat important ou d’une capacité financière suffisante acquise au cours d’une carrière professionnelle ou d’un parcours d’entrepreneur à succès, a sa partition à jouer dans le financement des jeunes entreprises aux besoins de capitaux de plus en plus élevés mais non satisfaits. L’aide que les BA apporteraient aux startups congolaises représente une rampe de lancement efficace; elle renforcera leur crédibilité aux yeux des banques réticentes à leur prêter de l’argent dans le contexte actuel des taux d’intérêt élevés et de restriction du crédit par la banque centrale. Aussi, à l’exemple de ce qui est advenu de cette profession aux Etats Unis, en France avec laLoi Tepa et L’avantage Madelin, des mesures d’accompagnement d’ordre fiscal doivent-elles être prises par les pouvoirs publics congolais afin de soutenir la création d’un tel réseau de BA. Tout comme des gardes fous au niveau législatif demandent à être érigés impérativement pour éviter toute dérive dans la mise en œuvre de cette initiative. PagesAfrik www.Pagesafrik.com