« Le renforcement de l’Etat de droit, la dynamisation de la coopération interparlementaire, le maintien de la paix intègrent la liste des chantiers que nous allons ouvrir au cours de la 14ème législature », a déclaré le nouveau président de l’Assemblée nationale, Isidore Mvouba.
L’ancien Premier ministre s’est exprimé ainsi après son élection à la tête de la Chambre basse du Congo lors de la session parlementaire inaugurale tenue samedi 19, sous la présidence du doyen d’âge et député de Sibiti1, Clément Mouamba.
Dans son mot de circonstance, le député de Kindamba et du Parti congolais du travail (PCT) a rappelé que « nous devons être à l’écoute permanente du peuple, entendre les pulsions et les battements de son cœur, anticiper sur ses attentes parce que nous aurions compris ses problèmes ». Car, a-t-il estimé, « si l’autorité n’a pas d’oreilles, pour écouter, elle n’a pas de tête pour gouverner ».
Il a, par ailleurs, prévenu que « nous ne pouvons faire l’économie des réformes pour sortir de la crise », estimant que « la mise en œuvre des réformes structurelles se pose en termes d’urgence et de nécessité absolu ».
Pour le président de la Chambre basse, il ne fait aucun doute que « cette responsabilité partagée nous engage tout autant que nous sommes, membres de la majorité comme de l’opposition. Car, il est une chose que personne mais alors personne ne peut vous enlever, l’amour du Congo dont vous êtes en tant qu’élus les porte-étendards », a-t-il expliqué.
.Ce n’est pas en étant le béni oui oui de l’exécutif ou sa chambre d’enregistrement que son parlement fera œuvre utile
Les députés ont été » choisis » pour être dociles ,comme son chien chien à son maître.Alors qu’ils soient présents ou absents durant les séances et/ou débats parlementaires ,cela ne changera pas grand chose sauf à saigner encore un peu plus , les finances du Congo déjà lourdement grevées