Pour le MPDC, la démocratie n’a jamais été une transmission du pouvoir d’un Président illégitime à un autre Président illégitime nommé par lui
TRIBUNE. La démocratie n’a jamais été la transmission du pouvoir d’un Président illégitime à un autre Président illégitime nommé par lui. Le MPDC ne croit pas aux élections chaotiques de nomination de décembre 2018 en République Démocratique du Congo Le Mouvement pour la Paix et le Développement du Congo (MPDC) avait prévenu le peuple congolais que, dans le cadre du tennis politique injuste, inadapté et ridicule toujours en vigueur dans notre pays depuis le 24 avril 1990, tout processus démocratique est totalement faussé d’avance. Dans ce contexte, tout processus électoral se traduit par une nomination des candidats par le pouvoir en place. Les élections de 30 décembre 2018 en République Démocratique du Congo constituent un processus de nomination du Président, des Députés nationaux et provinciaux par le pouvoir illégitime en place. Il faut cesser de mentir et n’en déplaisent aux uns et aux autres, notre pays a pris un mauvais départ depuis les élections criminelles de 2006. Les conditions n’étaient pas réunies du tout pour l’organisation des élections acceptables en 2018. La tragicomédie des élections de décembre 2018 dans notre pays constitue un des processus électoraux les plus injustes, iniques et cyniques de l’histoire des peuples et des nations au 21ème siècle. C’est une honte pour l’Afrique de voir des groupes qui négocient des résultats au vu et au su de tout le monde avant leur publication. Tous les résultats sont déjà publiés pendant que des procès verbaux dorment par terre sporadiquement sans avoir été totalement analysés. Une partie de la population ne vote pas à Béni, Butembo et Yumbi de manière brusque et folklorique. Le Mouvement pour la Paix et le Développement du Congo (MPDC) félicite le peuple congolais pour sa mobilisation en vue d’un vrai changement. La mobilisation spontanée et déterminante de la population congolaise pour les élections a mis en lumière son souci majeur de mettre fin à la kabilie et de changer fondamentalement le tout. Le MPDC adresse ses vives et sincères félicitations au peuple congolais pour sa mobilisation. Mais globalement l’espoir du peuple a été totalement déçu, car la kabilie s’est renforcée. On ne peut jamais organiser des élections crédibles, transparentes et libres ensemble avec des ennemis et bourreaux du peuple, et qui pis est dans le contexte du tennis politique injuste, déséquilibré, insalubre et humiliant en vigueur dans notre pays depuis le 24 avril 1990. Ce tennis politique médiocre fait que la République Démocratique du Congo se trouve dans une situation de confusion et de médiocratie avec un Président de la République nommé et un Président de la République élu. Ce schéma est totalement contre le peuple congolais et son pays. La démocratie n’est jamais une continuité et une alternance du mal. La rupture attendue par le peuple congolais n’a pas eu lieu. Le peuple congolais est totalement piégé par ses ennemis qui veulent effacer le bilan macabre du génocide congolais qui est la plus grande tragédie après la seconde guerre mondiale. Qui veut nous faire oublier ce qui suit : plus de 8.000.000 de morts, plus de 1.000.000 de femmes, filles et enfants violées, plus de 5.500.000 de Congolaises et Congolais déplacés et exclus des élections, et qui vivent comme des réfugiés abandonnés sur le sol de nos ancêtres ; le peuple congolais est parmi les peuples les plus pauvres de l’humanité ; les bourreaux du peuple vivent comme dans un pays définitivement conquis. La jeunesse congolaise est martyrisée. Comme le souligne le visionnaire Armand MAVINGA TSAFUNENGA, symphonie de la nouvelle grande société civile congolaise, c’est la justice qui élève une nation et affermit le pouvoir. La justice invisible et visible aura bel et bien lieu en République Démocratique du Congo. Le chaos délibéré des élections du 30 décembre 2018 ne peut pas nous faire oublier tous nos martyrs. Ils sont nombreux et nous ne pouvons les citer tous ici. Sans oublier de très nombreux martyrs disparus et anonymes enfouis dans des fosses communes partout, et notamment à l’est, à Maluku, au Kasaï, à Yumbi et au Bas-Congo. Que dire des tragicomédies répétées de Béni ? Nous ne pourrons jamais oublier nos martyrs comme : Mgr Christophe Munzihirwa, Mzee Laurent-Désiré Kabila, Père Vincent Machozi, Père Jean-Paul Kakule, Sœur Jeanne Yengane, Sœur Clara Agano Kahambu, Sœur Liliane Mapalayi, Pascal Kabungulu Kibembi, Salvator Muhindo, Floribert Chebeya, Fidèle Bazana, Pasteur Albert Lukusa Luvungu, Alain Moloto, Colonel Mamadou Ndala, Serge Maheshe, Louis Bapuwa Muamba, Kambale Musonia, Didace Namujimbo, Patient Chebeya Bankome, Rossy Mukendi Tshimanga, Luc Nkulula, Thérèse Kapangala, Eric Boloko, Hussein Ngandu, Serge Kikunda, Cedrick Nyanza, Gustave Kambale, Hyacinte Kimbanfu, Rodrigue Eliwo Monga, Fortuna Ngimbi, Jean Louis Kandiki, Nsimba Diakese, Thethe Tshibola et les autres. Une fois de plus, le MPDC présente ses vives et sincères condoléances au peuple congolais et à toutes les familles éprouvées. Nous ne devons jamais oublier aussi nos martyrs et héros : Mfumu Simon Kimbangu, Maman Kimpa Mvita, Isidore Bakandja, Paul Panda Farnana, Patrice Emery Lumumba, Okito, Mpolo, Joseph Kasa-Vubu, Sœur Anuarite Clémentine Nengapeta, Emmanuel Bamba, Evariste Kimba, Alexandre Mahamba, Jérôme Anany. 2-L’Etat de droit cher au Combattant Etienne TSHISEKEDI n’est pas une scène de transmission du pouvoir d’un Président illégitime à un autre Président illégitime nommé par lui. L’Etat de droit était le leitmotiv du combat de notre Père Etienne TSHISEKEDI wa MULUMBA. Les élections chaotiques organisées par la CENI en tant que bureau privé du pouvoir n’a rien à avoir avec l’Etat de droit cher au Combattant du peuple Etienne TSHISEKEDI. Depuis les élections bâclées de novembre 2011, Mr Joseph Kabila était un Président illégitime et l’UDPS était totalement de cet avis. C’est ainsi que l’UDPS a revendiqué la victoire et réclamer la vérité des urnes et l’impérium. L’Accord de la Saint-Sylvestre en décembre 2016 n’avait aucune vocation de donner la légitimité à un pouvoir illégitime, mais d’éviter une crise majeure qui pouvait bien mettre de nouveau le pays à feu et à sang. La démocratie n’a jamais été la transmission du pouvoir d’un Président illégitime à un autre Président illégitime nommé par lui. Le MPDC ne croit
Message spécial de vœux de justice du serviteur Armand MAVINGA TSAFUNENGA au Peuple Congolais pour la nouvelle année 2019
Comme en 2018, nous sommes entrés en 2019 en pleurs d’un drame permanent et sans fin. Que de morts ! Que de jeunes martyrs ! Que d’opprimés ! Que de déplacés de force ! Que de femmes violées ! Que des droits refusés brutalement à un peuple ! Nous compatissons à ce grand deuil qui nous est imposé et adressons nos vives et sincères condoléances à tout le peuple congolais et en particulier à toutes les familles éprouvées. Nous vivons dans un silence bientôt criant la plus grande tragédie humaine après la seconde guerre mondiale. C’est ainsi que la Justice sera un autre nom du Grand Congo du 21ème siècle. Un peuple qui oublie son passé est un peuple appelé à répéter les mêmes erreurs de l’histoire au péril de sa disparition comme peuple et nation. Face aux élections chaotiques qui viennent d’être organisées le 30 décembre 2018, je salue personnellement la détermination du peuple congolais, qui a bravé une organisation chaotique des élections, pour exprimer sa soif et sa volonté d’un vrai changement en République Démocratique du Congo. Mais hélas ce changement n’aura pas lieu. Il faut bien comprendre que la République Démocratique du Congo a pris dangereusement un mauvais départ depuis les élections criminelles et injustes de 2006 jusqu’à ce jour. Comme je le souligne sans cesse, l’électionisme n’est pas et ne sera jamais de la démocratie notamment dans notre pays. Une vraie démocratie doit être une émanation sacrée du génie du Peuple Congolais. La nouvelle tragédie des élections de 2018 s’inscrit dans la continuité du tennis politique injuste, inadapté, ridicule st sadique en vigueur dans notre pays depuis le 24 avril 1990. Dans le contexte de ce tennis politique, les élections de 2018 ne peuvent se transformer finalement qu’en une série de nominations du pouvoir en place. Nous ne pourrons jamais bâtir le Grand Congo du 21ème siècle sur le processus électoral cynique, inique et sadique qui vient de se passer. Une maison construite sur une mauvaise fondation, quelle que soit sa taille ou sa robustesse, va s’écrouler scandaleusement et subitement. La justice sera la valeur sacrée qui va nous mettre tous ensemble dans un élan extraordinaire de construction du Grand Congo du 21ème siècle. C’est ainsi que j’adresse au Peuple Congolais au pays et dans la diaspora mes meilleurs vœux de justice et de paix pour la nouvelle année 2019. Une grande nation est appelée à être une nation de la justice pour être forte, stable et prospère. Notre pays sera un pays modèle de la justice en Afrique et dans le monde. Nous allons écrire une nouvelle histoire de notre pays au 21ème siècle, une histoire exceptionnelle de la justice Nous bâtirons le Grand Congo du 21ème siècle sur la valeur sacrée de la justice, car c’est la justice qui élève une nation et affermit le pouvoir. Le Grand Congo du 21ème siècle ne sera pas construit sur le mensonge, la fraude, les crimes, la corruption, la banale impunité, l’ignorance, le tribalisme, le régionalisme, la maffia, le clientélisme, l’idolâtrie, le sadisme et la vulgaire barbarie. Nous allons écrire une nouvelle histoire de notre pays au 21ème siècle. Ce sera l’histoire de la justice. La justice est une émanation divine. La justice est le vrai nom de nos ancêtres. La justice et l’équité sont la base du trône de Dieu. Le Peuple Congolais est un peuple croyant depuis des millénaires, donc un peuple de la justice. Je demande solennellement à tout notre peuple et notamment aux autorités, aux hommes politiques et aux leaders de toutes obédiences sociales, religieuses et culturelles de ne pas menacer et surtout de ne prendre le risque de choquer, de brutaliser et d’énerver la justice, car la Justice visible et invisible sera vraiment juste pour son peuple et son pays. 2019 est une année d’une surprenante justice visible et invisible pour le peuple congolais et le Grand Congo. 2. L’engagement du Mouvement pour la paix et le Développement du Congo (MPDC) est un engagement de justice Le Mouvement pour la Paix et le Développement du Congo (MPDC) reste fidèle à sa vision de bâtir une nouvelle et vraie République Démocratique du Congo qui sera le Grand Congo du 21ème siècle, un Etat de droit modèle en Afrique et dans le monde. La justice sera la valeur clé de la démocratie congolaise. C’est la démocratie du génie et de l’identité profonde de notre peuple.Notre démocratie sera une démocratie d’une grande humanité et d’un humanisme exemplaire, une démocratie qui fait sans cesse appel au génie propre d’un peuple. Le Grand Congo apprendra au monde les grandes valeurs de la justice en tant que valeur clé de notre identité particulière de peuple croyant depuis des millénaires. Le MPDC va engager le peuple congolais dans un élan extraordinaire de justice et de réconciliation nationale. A ce titre, le MPDC tient à réconcilier le peuple congolais avec Dieu, avec lui-même, avec son sol, son sous-sol et tout son espace, avec ses ancêtres, avec les peuples voisins et les peuples du monde. La société congolaise, engloutie dans une crise profonde, doit se réconcilier avec elle-même. Il est important de souligner ici notre vision de la réconciliation : la réconciliation ne précède jamais la justice, car elle est un acte et une recherche de la justice ; la réconciliation n’est pas une messe publique des faux pardons et des pardons hypocrites. La croyance en Dieu, Maître absolu de la justice, est le fondement de la justice du « Muntu ». Dieu est un Dieu de justice et son trône est le trône par excellence de la justice. La justice permet d’avoir des institutions fortes et enracinées. Elle devra être une autre façon d’appeler le Grand Congo du 21ème siècle qui sera au cœur du nouvel humanisme du IIIème millénaire. 3. Une transition exceptionnelle de la justice s’impose pour mettre fin à l’ancien Congo qui doit se terminer avec Mr Joseph Kabila, mais qui n’a pas commencé avec lui. Un peuple grand et digne
Pour le MPDC, il n’y aura pas d’élections en décembre 2018, mais une transition exceptionnelle dirigée par le visionnaire Armand Mavinga Tsafunenga
TRIBUNE. « Diriger, c’est savoir lire les signes des temps et anticiper. C’est le sens d’un visionnaire. Le MPDC prépare une transition exceptionnelle depuis 2006 pour mettre fin à l’ancien Congo qui doit se terminer avec Mr Joseph Kabila et jeter les bases du nouveau Congo, le Grand Congo du 21ème siècle. Notre pays deviendra un pays exceptionnel de la Justice, car, comme le souligne le visionnaire Armand MAVINGA TSAFUNENGA, c’est la justice qui élève une nation et affermit le pouvoir. » Depuis 2012, le Mouvement pour la Paix et le Développement du Congo (MPDC), notamment dans le cadre de la Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC), a souligné qu’il n’y aura pas d’élections en 2016 et en janvier 2016 a indiqué qu’il n’y aura pas d’élections en 2017 voire en 2018, mais bine une transition exceptionnelle. Ce sera une transition exceptionnelle de la Justice et de la vraie Réconciliation Nationale. Ce ne sera pas une simple transition pour organiser des élections, mais une transition pour instaurer notre tradition millénaire des élections incontestées et incontestables du génie du Peuple Congolais et éviter le grand chaos qui se prépare pour détruire définitivement notre pays. » Avant toute chose, le Mouvement pour la Paix et le Développement du Congo (MPDC) adresse ses condoléances les plus émues au peuple congolais qui ne cesse de pleurer chaque jour ses enfants qui tombent sous les balles et actes barbares des ennemis. Ceux qui tuent sans cesse les jeunes congolais qui font des revendications légitimes sont des ennemis de l’avenir du Congo. Mais ils ne pourront jamais détruire la jeunesse congolaise, avenir du Grand Congo. Le MPDC condamne fermement l’assassinat de deux étudiants de l’Université de Kinshasa (UNIKIN). Nos pensées pieuses pour la mémoire des étudiants Hyancinthe KIMBANFU et Rodrigue ELIWO MONGA qui viennent de tomber. Vous rejoignez ces brillants jeunes qui nous ont quittés comme Rossy TSHIMANGA et Luc NKULULA. Le MPDC adresse aussi ses condoléances aux familles éprouvées et à tous les étudiants et universitaires de notre pays. La transition exceptionnelle que nous avons préparée sera une transition exceptionnelle de la justice et de la jeunesse congolaise. N’en déplaisent aux uns et aux autres, notre pays a pris un mauvais départ avec les élections de 2006 Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose. N’en déplaisent aux uns et aux autres, notre pays a pris un mauvais départ avec des élections injustes, faussées et criminelles de 2006. C’est ainsi que le Mouvement pour la Paix et le Développement du Congo (MPDC) a publié en 2006 son premier Programme triennal d’urgence pour appeler l’attention du peuple congolais sur l’impérieuse nécessité de jeter les vraies bases du Grand Congo, pays bloqué ridiculement et tristement dans le tennis politique injuste, inadapté et humiliant depuis le 24 avril 1990. Le processus électoral en préparation pour décembre 2018 est l’un des processus électoraux les plus cyniques, iniques, injustes et criminels de l’histoire des peuples et nations au 21ème siècle. Voici quelques faits probants que nous avons pris un mauvais départ : Le Congo est dirigé aujourd’hui dans une anarchie hors du commun avec comme principes de base : le pillage maffieux et organisé des richesses du pays, le massacre de la population au rythme alterné de génocides, la corruption la plus élevée, le retour en force du tribalisme et du régionalisme, l’infiltration avancée des institutions du pays même au niveau de toilettes, le pays ressemble à un Non-Etat dans certaines provinces ; le peuple congolais est parmi les peuples les plus misérables de l’humanité, pour ne pas dire de la terre ; la Constitution est devenue un règlement d’ordre intérieur du pouvoir illégitime, amendable et contournable à souhait, une Constitution dénuée de la sacralité et du génie congolais ; plus de 8.000.000 de morts dont les dirigeants illégitimes ne s’en soucient pas et n’en réclament pas la moindre justice ; plus de 1.000.000 de femmes, filles et enfants violées, en tant processus d’extermination de la procréation ou d’extermination en différé d’un peuple ; plus de 5.500.000 de Congolaises et Congolais déplacés de force, vivant comme des réfugiés abandonnés sur le sol de leurs ancêtres et exclus d’office des pires élections prévues en décembre 2018 ; les conditions ne sont pas réunies du tout pour des élections crédibles, transparentes, inclusives et sécurisées en 2018, dans un véritable contexte d’insécurité organisée et de barbaries ; les candidates aux pires élections présidentielles préparées pour décembre 2018 par la CENI, bureau privé de la majorité illégitime au pouvoir, montent dans le bateau Titanic de Mr Joseph Kabila ; le peuple congolais est pris au piège par une classe politique sans vision et qui trahit son pays et son peuple, classe politique dite classe politique de « médiocres » par Son Eminence le Cardinal Laurent MONSENGWO PASINYA ; le tennis politique injuste, inadapté et ridicule, lancé depuis le 24 avril 1990 est toujours d’actualité en République Démocratique du Congo. Comme le souligne si bien le Président Armand MAVINGA TSAFUNENGA, dans le cadre de ce tennis politique, toute union est faussée d’avance : il ne peut y avoir de candidat unique de l’opposition, ni de candidat unique de la diaspora, voire même ni de vrai candidat unique de la majorité au pouvoir. A quelles élections peut-on s’attendre dans une situation montée d’apocalypse ? 2. Le visionnaire Armand MAVINGA TSAFUNENGA, Président attendu pour diriger une transition exceptionnelle et citoyenne en République Démocratique du Congo Dans notre message du 25 septembre 2016, nous disions que nous étions à deux pas d’une transition exceptionnelle dirigée par le leader Armand MAVINGA TSAFUNENGA en République Démocratique du Congo. Dans notre message du 26 septembre 2017, nous avons signalé que nous étions à un pas d’une transition exceptionnelle dirigée par le combattant de la justice Armand MAVINGA TSAFUNENGA. Maintenant, nous sommes près d’une transition exceptionnelle dirigée par le visionnaire Armand MAVINGA TSAFUNENGA. La vision de ce dernier de la transition n’est plus à présenter, car elle est connue de tous. Vous pourriez lire avec intérêt l’ouvrage
Pour le MPDC, les candidats à la pire élection présidentielle congolaise projetée en décembre 2018 montent dans le bateau Titanic de Mr Joseph Kabila en RD Congo
TRIBUNE. Les candidats à la pire élection présidentielle congolaise prévue en décembre 2018 montent dans le bateau Titanic de Mr Joseph Kabila. Seule une transition exceptionnelle sans ce dernier est la vraie voie de sortie de crise. « La communauté internationale prise au piège de soutenir un processus électoral cynique, inique, injuste et criminel en République Démocratique du Congo. Un des pires processus électoraux de l’histoire des peuples et des nations au 21ème siècle » Le Mouvement pour la Paix et le Développement du Congo (MPDC) considère le processus électoral en cours en République Démocratique du Congo comme le processus électoral le plus cynique, inique, injuste et criminel de l’histoire des peuples et des nations au 21ème siècle. Ce processus relève de la médiocratie et non de la démocratie. Le MPDC réaffirme sa vision d’une transition exceptionnelle sans Mr Joseph Kabila comme la seule vraie voie de sortie crédible aujourd’hui de notre longue crise multiforme. Vision de la transition lancée immédiatement après les élections injustes et criminelles de 2006 dont le deuil national n’a jamais été organisé. Tous les candidats à la pire élection présidentielle congolaise, prévue en décembre 2018, montent dans le bateau Titanic de Mr Joseph Kabila, car ils sont bien conscients que les élections prévues le 23 décembre 2018 sont organisées par la CENI en tant que bureau privé du pouvoir illégitime en place. C’est Mr Joseph Kabila et sa majorité illégitimes qui fixent le cap de tous les résultats des élections. Nous avons à faire à un processus de nomination et non d’élection. Les candidats à l’élection présidentielle, projetée pour le 23 décembre 2018, apportent, peut-être certains sans le savoir ni le vouloir, leur grande caution à la médiocratie congolaise. N’en déplaisent aux uns et aux autres, notre pays a pris un mauvais départ avec les élections de 2006 Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose. N’en déplaisent aux uns et aux autres, notre pays a pris un mauvais départ avec des élections injustes, faussées et criminelles de 2006. C’est ainsi que le Mouvement pour la Paix et le Développement du Congo (MPDC) a publié en 2006 son premier Programme triennal d’urgence pour appeler l’attention du peuple congolais sur l’impérieuse nécessité de jeter les vraies bases du Grand Congo, pays bloqué ridiculement et tristement dans le tennis politique injuste, inadapté et humiliant depuis le 24 avril 1990. Voici quelques faits probants que nous avons pris un mauvais départ : Le Congo est dirigé aujourd’hui dans une anarchie hors du commun avec comme principes de base : le pillage maffieux et organisé des richesses du pays, le massacre de la population au rythme alterné de génocides, la corruption la plus élevée, le retour en force du tribalisme et du régionalisme, l’infiltration avancée des institutions du pays même au niveau de toilettes, le pays ressemble à un Non-Etat dans certaines provinces ; le peuple congolais est parmi les peuples les plus misérables de l’humanité, pour ne pas dire de la terre ; la Constitution est devenue un règlement d’ordre intérieur du pouvoir illégitime, amendable et contournable à souhait, une Constitution dénuée de la sacralité et du génie congolais ; plus de 8.000.000 de morts dont les dirigeants illégitimes ne s’en soucient pas et n’en réclament pas la moindre justice ; plus de 1.000.000 de femmes, filles et enfants violées, en tant processus d’extermination de la procréation ou d’extermination en différé d’un peuple ; plus de 5.500.000 de Congolaises et Congolais déplacés de force, vivant comme des réfugiés abandonnés sur le sol de leurs ancêtres et exclus d’office des pires élections prévues en décembre 2018 ; le peuple congolais est pris au piège par une classe politique sans vision et qui trahit son pays et son peuple, classe politique dite classe politique de « médiocres » par Son Eminence le Cardinal Laurent MONSENGWO PASINYA ; le tennis politique injuste, inadapté et ridicule, lancé depuis le 24 avril 1990 est toujours d’actualité en République Démocratique du Congo. Comme le souligne si bien le Président Armand MAVINGA TSAFUNENGA, dans le cadre de ce tennis politique, toute union est faussée d’avance : il ne peut y avoir de candidat unique de l’opposition, ni de candidat unique de la diaspora, voire même ni de vrai candidat unique de la majorité au pouvoir. Quel genre d’élections peut-on organiser dans une situation d’apocalypse comme celle-ci ? 2. La communauté internationale prise au piège de soutenir un processus électoral cynique, inique, injuste et criminel en République Démocratique du Congo Le MPDC demande aux Nations Unies, à l’Union Africaine, à l’Union Européenne, à l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) ainsi qu’aux organisations sous-régionales africaines, à savoir la SADC, la CIRGL et la CEEAC, d’éviter le piège qui leur est tendu de soutenir un processus électoral le plus cynique, inique, injuste et criminel de l’histoire des peuples et des nations au 21ème siècle, car il y aura des conséquences pour nous tous. N’ouvrons pas la boîte de pandore d’une vraie troisième guerre mondiale sur le sol africain. Toute l’humanité s’en trouvera fragilisée et affaiblie. Il ne fait l’ombre d’aucun doute que la République Démocratique du Congo ne peut pas organiser des élections acceptables en décembre 2018. Pousser ce peuple à organiser une telle élection équivaut à pousser ce peuple à aller vers une grave crise qui va mettre à feu et à sang toute la région. Qui pourra maîtriser et accueillir une population de plus de 10.000.000 de Congolaises et Congolais fuyant subitement le pays ? Toutes les conditions ne sont pas réunies et ne seront pas réunies, en dépit de l’appui de la communauté internationale aujourd’hui, pour des élections crédibles, apaisées, transparentes et justes en décembre 2018. La communauté internationale devra éviter le piège de soutenir et de promouvoir ouvertement la médiocratie en République Démocratique du Congo ; elle devra surtout éviter le piège de jouer le jeu des échecs et des erreurs en République Démocratique du Congo. 3. Diriger, c’est savoir lire les signes des temps et anticiper. Le MPDC réaffirme sa vision d’une
Le MPDC salue la décision de la CPI de libérer Mr Jean-Pierre BEMBA et réaffirme avec force sa vision d’une transition exceptionnelle sans Mr Joseph Kabila
Le Mouvement pour la Paix et le Développement du Congo (MPDC) est très attaché aux valeurs de la justice et a la meilleure vision de la justice et de la réconciliation nationale en République Démocratique du Congo. Comme ne cesse de souligner son Président National, Mr Armand MAVINGA TSAFUNENGA, c’est la justice qui élève une nation et affermit le pouvoir. Le MPDC salue la décision de la justice de la Cour Pénale Internationale (CPI) de libérer Mr Jean-Pierre BEMBA. Le MPDC lui souhaite un bon rétablissement moral avec toute sa famille et lui souhaite bon retour dans la sphère politique de notre pays. La sortie de Jean-Pierre BEMBA ne doit pas être une occasion de distraction pour les Congolais, car nous n’avons aujourd’hui qu’une seule voie de sortie de crise crédible, à savoir une transition exceptionnelle sans Mr Joseph Kabila. Transition préparée par le MPDC depuis 2006, après les élections criminelles, injustes et médiocratiques qui ont opposé Joseph Kabila à Jean-Pierre Bemba. Le bilan social et économique en est grave et lourd jusqu’aujourd’hui. Nous avons pris un mauvais départ. Il n’y aura plus de tennis politique entre Joseph Kabila et Jean-Pierre Bemba en République Démocratique du Congo. Le 23 décembre 2018 n’est pas une date de la démocratie au Congo, mais une date arrêtée pour asseoir définitivement le chaos et la médiocratie dans notre pays. Le Peuple Congolais reste face à deux alternatives majeures : Monter dans le bateau Titanic piloté par Joseph Kabila ou monter dans le bateau de Noé de la transition exceptionnelle, bateau de la justice et de la réconciliation nationale piloté par Armand MAVINGA TSAFUNENGA. 1. Le Peuple Congolais n’a pas besoin de l’alternance politique du mal profond Le Mouvement pour la Paix et le Développement du Congo (MPDC) souligne avec force que le Peuple Congolais et la République Démocratique du Congo n’ont pas besoin de l’alternance politique du mal. L’alternance politique du mal n’est pas de la démocratie, mais de la médiocratie. Beaucoup de groupes d’intérêts poussent notre peuple vers la médiocratie la plus vulgaire pour en tirer largement profit. Nous devons briser le tennis politique injuste, inadapté et médiocratique en vigueur dans notre pays depuis le 24 avril 1990. Ce tennis insalubre a instauré le système de l’alternance politique du mal. Mobilisons-nous pour briser le schéma diabolique de l’alternance politique du mal pour l’alternance politique du mal profond. Nous ne devons pas accepter le piège de donner la victoire finale aux criminels humains, économiques, financiers, pilleurs et génocidaires le 23 décembre 2018. Ne tombons pas dans le piège de croire à la préparation d’un nouveau tennis politique entre Joseph Kabila et Jean-Pierre Bemba. Ce schéma est conçu par ceux qui veulent démobiliser les forces vives congolaises de la résistance, du renouveau et du changement profond. Brisons le schéma suicidaire des vengeances, des revanches, des règlements des comptes que veulent proposer les ennemis du Peuple Congolais et de la République Démocratique du Congo. Le chemin valable est celui de la Justice et de la Réconciliation Nationale. La sagesse est supérieure à la force. Le Grand Congo n’a pas besoin de personnalités déclarées « femmes ou hommes forts », mais de personnalités déclarées « femmes et hommes sages ». La sagesse rend le sage plus fort que les hommes dits forts. 2. Le Peuple Congolais a besoin d’une transition exceptionnelle pour mettre fin à l’ancien Congo et jeter les bases du nouveau Congo, le Grand Congo du XXIème siècle cher au MPDC Diriger, c’est savoir lire les signes des temps et anticiper. Pour rappel, le MPDC prépare une transition exceptionnelle sans Mr Joseph Kabila depuis 2006, car il s’agit de mettre fin à l’ancien Congo avec Joseph Kabila, mais qui n’a pas commencé avec lui, et de jeter les bases d’un nouveau Congo qui sera le Grand Congo du XXIème siècle cher au MPDC. Dans ce contexte, le Président National du MPDC, Mr Armand MAVINGA TSAFUNENGA, leader au cœur de l’amour marial et symphonie de la nouvelle grande société civile congolaise, entend être une solide charnière entre l’ancien Congo qui se termine avec Joseph Kabila et le nouveau Congo qui commence avec nous.. Désormais, le Peuple Congolais se prépare à monter dans le Bateau de Noé de la transition exceptionnelle ou Bateau de la Justice et de la Réconciliation Nationale du MPDC. N’oublions jamais que c’est la justice qui élève une nation et affermit le pouvoir. Notre transition exceptionnelle nous permettra d’asseoir la vraie démocratie du Muntu, entendue comme la démocratie du génie du Peuple Congolais. C’est la démocratie du Muntu qui nous permettra d’asseoir la tradition des élections justes, libres, transparentes, incontestées et incontestables. Cette transition nous permettra d’organiser de bonnes élections par la suite. Si Jean-Pierre Bemba veut être candidat à l’élection présidentielle, il devra attendre l’organisation des bonnes élections dans le contexte de la démocratie du Muntu. Il en est de même pour les autres Candidats. Pourquoi dépenser nos énergies et moyens pour des élections qui seront immédiatement enterrées par un chaos ? Nous devons le rappeler qu’il s’agit d’une transition exceptionnelle pour répondre à la dimension de la plus grave crise après la seconde guerre mondiale. Le MPDC rappelle de nouveau que tout processus politique, qui ne tient pas compte de la dimension globale de la crise congolaise et ne constitue pas une solution à cette crise congolaise, est un processus injuste, inhumain, déséquilibré et inadapté volontairement. La crise congolaise n’est pas une simple crise électorale, mais la plus grave crise après la seconde guerre mondiale. Plus de 8.000.000 de morts, plus de 5.000.000 de Congolaises et Congolais vivent comme des réfugiés abandonnés sur le sol de leurs ancêtres et donc exclus d’office des élections, plus de 1.000.000 de femmes, filles et enfants violées ; le peuple congolais est parmi les peuples les plus pauvres et les plus misérables de l’humanité ; l’insécurité voulue et généralisée, un génocide savamment organisé pour piller et détruire un peuple et un pays. Peut-on répondre à une pareille crise par de fausses élections criminelles et
Les forces vives congolaises montent dans le bateau de la Justice et de la Réconciliation nationale du MPDC et de la 3C-RDC en adoptant largement la vision d’une transition sans Mr Joseph Kabila en RD Congo
TRIBUNE. Les forces vives congolaises montent dans le bateau de la justice et de la réconciliation nationale du MPDC et de la 3C-RDC en adoptant largement la vision d’une transition exceptionnelle sans Mr Joseph Kabila en République Démocratique du Congo « Le Peuple Congolais est face à deux alternatives majeures : Monter dans le bateau Titanic piloté par Joseph Kabila ou monter dans le bateau de Noé, bateau de la justice et de la réconciliation nationale piloté par Armand MAVINGA TSAFUNENGA » Ce n’est plus un secret aujourd’hui que toutes les forces vives congolaises dans la diaspora et au pays parlent sans tabou d’une transition exceptionnelle sans Mr Joseph Kabila. Même certains membres de la majorité illégitime au pouvoir ne croient pas aux élections de décembre 2018 et ont peur que la situation actuelle ne se transforme en une hécatombe pour eux avant la fin de l’année. Ce ne sont pas des élections qui sont préparées pour décembre 2018, mais bien un chaos. Et la communauté internationale en est consciente. Le Mouvement pour la Paix et le Développement du Congo (MPDC) et la plateforme de la Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC) se réjouissent de constater que toutes les forces vives congolaises, dans sa majorité au pays comme dans la diaspora, adhèrent à leur vision d’une transition exceptionnelle sans Mr Joseph Kabila. En effet, la vision d’une transition exceptionnelle a été déjà clairement proposée le 05 mai 2006 par le MPDC en constatant deux vides politiques criants, à savoir l’absence de la justice et d’une vraie réconciliation nationale. C’est dans ce sens que le MPDC publiera en 2006 le premier programme triennal d’urgence pour le pays. 1. Diriger, c’est savoir lire les signes des temps et anticiper. En 2006, le Mouvement pour la Paix et le Développement du Congo (MPDC) avait souligné que la transition qui était en cours en République Démocratique du Congo, et qui devait se terminer par des élections, était un processus injuste, déséquilibré et inadapté. Ce processus était miné par deux vides politiques criants que sont l’absence de la justice et d’une vraie réconciliation nationale. Le processus électoral en préparation en 2006 faisait partie de ce processus injuste, déséquilibré et inadapté. Face à cette situation grave, le MPDC, qui ne croyait pas du tout aux élections tripatouillées de 2006, a proposé la vision d’une transition exceptionnelle pour que le pays puisse prendre définitivement un bon démarrage démocratique. La suite de la tragédie nationale des élections de 2006 est connue de tous. C’est ainsi que le MPDC a publié officiellement en 2006 son premier programme triennal d’urgence qui reste encore d’actualité jusqu’à ce jour. En 2011, un nouveau cycle des élections encore bâclées et criminelles se mettait en place. Dans le contexte de la célébration du 51ème anniversaire de l’indépendance de notre pays, le Groupe Epiphanie a organisé à Bruxelles en Belgique une importante rencontre sur le processus électoral en République Démocratique du Congo. Le Président National du MPDC, Mr Armand MAVINGA TSAFUNENGA, a participé à cette rencontre. Tous les scénarios possibles des élections de novembre 2011 ont été évoqués. La plupart des participants avaient apporté leur appui à la candidature du Grand opposant Etienne TSHISEKEDI wa MULUMBA à l’élection présidentielle. Quand presque tout le monde parlait des chances de l’élection de ce dernier, le MPDC, par la voix de son Président National Armand MAVINGA TSAFUNENGA, a souligné qu’il n’accordait pas de crédibilité au processus électoral en préparation et qu’il préparait le Bateau de Noé. Ce dernier a demandé au Peuple Congolais de se préparer à monter dans le Bateau de Noé ou Bateau de la Justice et de la Réconciliation Nationale du MPDC. C’était donc le bateau d’une transition exceptionnelle, car c’est la justice qui élève une nation et affermit le pouvoir, comme ne cesse de le souligner le Président National du MPDC et Président de la Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC). Dès 2012, après la tragédie inoubliable des élections de novembre 2011, le MPDC, le Cercle des Intellectuels Congolais (CIC), le Parti Socialiste Congolais (PSC), le Centre d’Intelligence Economique et Stratégique (CIES), l’Association pour le Rassemblement de la Diaspora Congolaise (ARDC) et la Coalition des Forces Armées Congolaises (COFAC) prennent l’initiative de créer la Plateforme de la Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC). Ils seront rejoints par une vingtaine de partis, associations et composantes. Quand l’UDPS réclamait la vérité des urnes et l’impérium en 2012, la 3C-RDC a commencé de réclamer la mise en place d‘une transition exceptionnelle sans Mr Joseph Kabila dans le cadre du suivi de la vision du MPDC. En 2012, la 3C-RDC publie le premier Gouvernement de Transition sans Joseph Kabila et les axes majeurs de son programme triennal d’urgence. En janvier 2013, la 3C-RDC formule ses 20 engagements pour une transition exceptionnelle réussie sans Mr Joseph Kabila en adéquation avec la vision du MPDC. Toujours en 2013, la 3C-RDC arrête son programme triennal d’urgence politique, sociale, sécuritaire, économique et environnementale pour cette transition. Diriger, c’est savoir lire les signes des temps et anticiper. Le Mouvement pour la Paix et le Développement du Congo (MPDC) et la Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC) se réjouissent de constater que leur vision d’une transition exceptionnelle sans Mr Joseph Kabila est aujourd’hui largement adoptée dans la diaspora et au pays. On en parle partout au pays, en Europe (France, Belgique, Suède, Allemagne, Royaume-Uni, Italie, Norvège), en Amérique (USA, Canada) et en Afrique (Afrique du Sud, Nigéria, etc.), et ce n’est plus un tabou au niveau de la communauté africaine et internationale. Aujourd’hui, il faut être naïf pour croire aux élections de décembre 2018. C’est le chaos qui est planifié pour un nouveau glissement du pouvoir illégitime en place. Désormais, le Peuple Congolais se prépare à monter dans le Bateau de Noé ou Bateau de la Justice et de la Réconciliation Nationale du MPDC et de la 3C-RDC. La durée d’une transition de 36 mois, proposée depuis
Le MPDC condamne les violences du 25 février 2018 et en appelle à la mise en place urgente d’une transition sans Mr Joseph Kabila en RDCongo
TRIBUNE. Le Mouvement pour la Paix et le Développement du Congo (MPDC) condamne les violences du 25 février 2018 et en appelle à la mise en place urgente d’une transition exceptionnelle sans Mr Joseph Kabila en République Démocratique du Congo Le Mouvement pour la Paix et le Développement du Congo (MPDC) condamne avec une grande fermeté les nouvelles violences qui ont été perpétrées contre la population congolaise, notamment chrétienne, qui manifestait pacifiquement le dimanche 25 février 2018 en République Démocratique du Congo. Le MPDC présente une fois de plus ses sincères condoléances aux familles éprouvées et notamment à toute la communauté chrétienne. L’Accord de la Saint-Sylvestre est un texte sans objet pour le pouvoir illégitime et dictatorial de Mr Joseph Kabila qui ne le respectera jamais. Un homme averti en vaut deux. Quel genre d’élections veut-on organiser en décembre 2018 en République Démocratique du Congo ? Quand la communauté internationale prépare des élections pour nous, le pouvoir illégitime et criminel de Mr Joseph Kabila prépare une guerre civile. Ses nouveaux bérets rouges constituent un iceberg qui cache la forêt. En 2018, les élections auront donc lieu ailleurs, mais pas en République Démocratique du Congo. La Commission Electorale Nationale dite « Indépendante » (CENI) est un bureau privé du pouvoir suicidaire en place. La communauté internationale le sait pertinemment bien. Le pouvoir illégitime et dictatorial de Mr Joseph Kabila a préparé lui-même son suicide On ne se moque pas de Dieu. L’homme récolte ce qu’il a semé. Que le pouvoir illégitime et dictatorial de Mr Joseph Kabila continue de tuer les chrétiens, de souiller l’Eglise de Dieu et de mener des attaques ciblées contre les acteurs politiques et de la société civile. Il a bien signé son suicide ou son arrêt de mort. Les jours de ce pouvoir sont comptés. Attention à ceux qui soutiennent un tel pouvoir, car la justice visible et invisible est en route. Aucun martyr congolais ne sera oublié et aucun crime ne restera impuni. Le Grand Congo du 21ème siècle que va bâtir le MPDC avec le Peuple Congolais sera avant tout un pays modèle de la justice. Comme le souligne le Président National du MPDC, Mr Armand MAVINGA TSAFUNENGA, un peuple qui oublie ses morts est un peuple d’office mort et exclu de l’histoire des nations libres, prospères et démocratiques. Le Mouvement pour la Paix et le Développement du Congo (MPDC) condamne les actes barbares commis par le pouvoir illégitime contre la population congolaise qui manifeste pacifiquement. Il s’inquiète de l’ampleur que prennent les enlèvements, l’humiliation et la persécution des prêtres et des sœurs religieuses, les menaces contre les membres du Comité Laïc de Coordination (CLC) de l’Eglise Catholique et les assassinats ciblés de leaders d’opinion ou de la société civile, comme l’activiste des droits de l’homme Rossy MUKENDI TSHIMANGA tué hier dimanche 25 février 2018 à la Paroisse Saint Benoit de Lemba à Kinshasa. Le pouvoir a fait taire le brave Rossy MUKENDI TSHIMANGA, mais pas son esprit qui continuera d’agir à l’instar de celui de Pascal KABUNGULU, Floribert CHEBEYA, Fidèle BAZANA et Salvator MUHINDO. Le MPDC réaffirme l’urgence de la mise en place urgente d’une transition exceptionnelle sans Mr Joseph Kabila pour prévenir une guerre civile On ne cessera de le répéter que diriger, c’est savoir anticiper. Le Mouvement pour la Paix et le Développement du Congo (MPDC) prépare une transition exceptionnelle depuis 2005 et de manière soutenue à partir de 2012 dans le cadre de la Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC). Une transition exceptionnelle sans Mr Joseph Kabila est aujourd’hui la seule voie de salut, car il n’y aura jamais de respect de l’Accord de la Saint-Sylvestre par le pouvoir illégitime et surtout pas d’élections. Une guerre civile se prépare pour donner un coup fatal à notre pays. Les nouveaux bérets rouges, des milices et mercenaires tombant du ciel comme des éleveurs avec un nombre impressionnant de vaches, des indices des armées étrangères de pays voisins soutenant le pouvoir illégitime et dictatorial de Joseph Kabila, des intrigues de tout genre, des menaces, des enlèvements, des exécutions extrajudiciaires sont autant de signes palpables qui montrent qu’il n’y aura pas d’élections en 2018, mais bien une guerre civile. Il n’y a que des aveugles qui ne peuvent pas voir ; il n’y a que des sourds qui ne peuvent pas entendre. Les Nations Unies (ONU), l’Union Africaine (UA), l’Union Européenne (UE), l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), la Conférence Internationale sur la Région des Grands Lacs (CIRGL), la Communauté de Développement de l’Afrique Australe (SADC) et les partenaires traditionnels de notre pays n’ont plus d’autre choix que d’appuyer la mise en place d’une transition exceptionnelle sans Mr Joseph Kabila. Quel genre d’élections peut-on organiser pendant un génocide et une guerre civile ? Dans le contexte actuel, organiser des élections en République Démocratique du Congo équivaut à organiser volontairement l’une des mauvaises élections de l’histoire de l’Afrique et de l’humanité. Ce serait une façon de faciliter scandaleusement à Mr Joseph Kabila de nommer lui-même son successeur pour parfaire l’œuvre de destruction totale du Congo. Aujourd’hui, que Mr Joseph Kabila dise qu’il ne sera pas candidat aux hypothétiques élections de décembre 2018, c’est un non événement, car il ne respectera pas sa parole. Telle parole sera un piège de mauvais goût contre le peuple congolais et son pays. Qu’est-ce qu’il faut attendre de quelqu’un qui n’a pas respecté les résolutions de ses propres concertations nationales qu’il a organisées et qui appartiennent tragiquement au passé ? Le Peuple Congolais ne peut pas commettre la faute fatale de donner du temps à Mr Joseph Kabila et à ses soutiens de déclencher une guerre civile avant décembre 2018 pour ajourner sine die les élections et mettre définitivement le Congo par terre. Le MPDC demande à toutes les forces vives congolaises de se mobiliser pour une transition exceptionnelle sans Mr Joseph Kabila pour prévenir la plus grande guerre civile en préparation contre nous et notre pays. Fait à Paris, le 26 février 2018 Dr
Pour le MPDC, la RDC entre dans une transition exceptionnelle de la justice qui va mettre fin à la barbarie et à la crise
TRIBUNE. La République Démocratique du Congo entre dans une transition exceptionnelle de la justice qui va mettre fin à la barbarie et à la longue crise multiforme Les actes de violence graves et prémédités comme les scènes de barbarie terribles pour terroriser la population sont des signes indéniables de la fin de tout régime dictatorial. Les violences folles et insensées du 31 décembre 2017 et du 21 janvier 2018 montrent que nous sommes entrés dans une transition exceptionnelle et incontournable préparée depuis 2012. On ne se moque pas de Dieu, ce que l’homme a semé, c’est ce qu’il va récolter. Le pouvoir illégitime a décidé lui-même de mettre fin rapidement à son aventure. Il ne peut en être autrement. Bientôt, le plus long deuil national de notre histoire prendra fin, car la République Démocratique du Congo entre dans une transition exceptionnelle de la justice qui va mettre fin à la barbarie et à la longue crise multiforme. Le Mouvement pour la Paix et le Développement du Congo (MPDC) réaffirme son appui au Comité Laïc de l’Eglise catholique qui organise des marches pacifiques, dénuées de la moindre violence, appelant aux valeurs d’amour, de fraternité, de justice et de solidarité de notre Dieu. Il réaffirme aussi son soutien à Son Eminence le Cardinal Laurent MONSENGWO PASINYA engagé dans l’action d’un bon Pasteur qui veille au bien de brebis que le Seigneur lui a confiées. Il est clair que toute l’Eglise ne peut être que du côté des opprimés, de tous ceux qui souffrent. L’Eglise ne peut pas être neutre, car elle porte la lumière qui indique le bon chemin et révèle les œuvres des ténèbres. La neutralité, dans le cas de la grave crise congolaise, rime avec complicité. On ne peut pas être neutre devant les crimes, massacres, injustices et souffrances atroces de son peuple. Une expression dit : « Qui ne dit mot consent ». Il ne s’agit pas aussi de l’application insensée du principe de la laïcité. La laïcité n’est pas du laïcisme. Le MPDC dira toujours non à la laïcité des ténèbres, du mensonge, du renoncement et de la destruction de notre identité profonde et de nos grandes valeurs spirituelles de l’amour, de la justice, de la fraternité, de l’égalité, de la cohésion sociale et de la solidarité. Une transition exceptionnelle de la justice arrive en République Démocratique du Congo Comme ne cesse de le souligner le Président National du MPDC, Mr Armand MAVINGA TSAFUNENGA, c’est la justice qui élève une nation et affermit le pouvoir. Il y a un temps pour toute chose. Les voies de la justice sont souvent incompréhensibles pour les criminels et les dictateurs. Le chemin de la justice est incontournable pour bâtir le Grand Congo du XXIème siècle cher au MPDC. Une transition exceptionnelle de la justice va se mettre en place dans notre pays. La République Démocratique du Congo apprendra au monde les grandes valeurs de la justice en tant que valeur clé de notre démocratie, appelée à être la démocratie du « Muntu » entendu comme un génie pensant. La démocratie de la tête en tant que siège de l’intelligence, du génie et de la sagesse. Dans « Muntu », il y a « ntu » qui signifie tête en Kikongo ; il renvoie à « mutu » qui signifie selon la prononciation « tête » ou « être humain » en Lingala. La démocratie du Muntu est donc la démocratie d’une grande humanité et d’un humanisme exemplaire, une démocratie qui fait appel au génie propre d’un peuple. Les aveugles ne peuvent pas comprendre, car ils comprendront après ce que signifient les marches qu’organisent les enfants de Dieu depuis le 31 décembre 2017 en République Démocratique du Congo. Vous pouvez empêcher les corps de marcher en tirant sur eux et en lançant du gaz lacrymogène, mais vous ne pouvez pas empêcher l’esprit de marcher. C’est l’Esprit qui va libérer bientôt le peuple congolais. Cet Esprit est fondamentalement l’Esprit inaliénable de la Justice. L’Esprit est en train de marcher chaque jour, mais qui le voit ? 2. Le MPDC appelle à l’unité spirituelle du Peuple Congolais La trompette de l’histoire a sonné et le Peuple Congolais n’a pas droit à l’erreur en ce moment prophétique qui lui est donné de se mobiliser et d’entreprendre sa marche victorieuse de la libération. Avant toute chose, il nous faut une unité spirituelle pour être en harmonie avec les grandes énergies que nous dépensons pour la libération de notre pays. Nous devons développer l’Esprit Congolais par excellence et de l’excellence. C’est ainsi que le MPDC réaffirme qu’il est fidèle à sa vision de réconcilier le peuple congolais avec Dieu, avec lui-même, avec son sol, son sous-sol et tout son espace, avec ses ancêtres, avec les peuples voisins et les peuples du monde. Le MPDC entend créer, développer et forger l’Esprit Congolais, un esprit patriotique, créateur, novateur, rénovateur, pacificateur, conciliateur, fraternel, protecteur et solidaire. L’Esprit Congolais est indispensable pour la construction d’une Grande Nation Congolaise au cœur de l’Afrique. Cet esprit doit être le socle de l’unité de tous les Congolaises et Congolais. 3. L’heure est grave et le MPDC appelle à la vigilance et à la mobilisation tous azimuts Quand on tire sans état d’âme sur les enfants de Dieu qui marchent pacifiquement, quand on viole les lieux de culte, ce que la situation est grave. N’oublions jamais la gravité de cette situation qui nous impose de compter d’abord sur nous-mêmes, plutôt que sur qui que ce soit. Faisons attention pour ne pas être distraits par des discours démagogiques et mensongers. Les violences du 31 décembre 2017 et du 21 janvier 2018 montrent bien que nous sommes déjà dans une situation de chaos bien préparé et il n’y aura pas du tout des élections en décembre 2018. La communauté internationale le sait, mais ne prend pas le risque de l’affirmer. Il n’y aura pas d’Accord de la Saint-Sylvestre bis, mais il y aura bien une transition exceptionnelle de la justice voulue par le peuple en République