Pour le GT-RDC, la transition exceptionnelle proposée par le MPDC et la 3C-RDC devient incontournable et urgente en RDC

Pour le GT-RDC, la transition exceptionnelle préconisée par le Mouvement pour la Paix et le Développement du Congo (MPDC) et la Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC) devient urgente et incontournable pour sauver le Congo

   Les membres de Groupe ad hoc pour la Transition en République Démocratique du Congo (GT-RDC) suivent régulièrement toutes les péripéties de la vie nationale de manière intelligente et discrète en tant qu’un Groupe ad Hoc. Depuis 2012, le Mouvement pour la Paix et le Développement du Congo (MPDC) et la Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC) préconisent une transition exceptionnelle pour sortir la République Démocratique du Congo de sa longue et grave crise multiforme. Ils insistent sur le fait que le pays a pris un mauvais départ depuis la mise en route du processus démocratique en 2006. Et cette crise s’est accentuée de manière inquiétante depuis le deal électoral de décembre 2018. Comme ils ne cessent de le souligner, diriger c’est savoir lire les signes des temps et anticiper. C’est une question de vie ou de mort, ou la RDC et son peuple disparaissent, ou le Peuple Congolais se met debout maintenant pour sauver son pays dans le cadre d’une grande vision de refondation nationale. Tous les fondements de l’Etat congolais sont ébranlés par la médiocrité et l’incompétence de la classe politique congolaise. Le tribalisme,  la corruption et le vol des ressources de l’Etat sont devenus la clé de la pire gestion du pays. Le plan de balkanisation de la RDC s’est accéléré face à l’impuissance du gouvernement congolais.

   Au moment où la République Démocratique du Congo (RDC) commémore le 64ème anniversaire de son accession à l’indépendance le 30 juin 1960, le Groupe ad hoc pour la Transition en République Démocratique du Congo (GT-RDC) constate avec une grande inquiétude que la République Démocratique du Congo (RDC) est en train de sombrer lentement et sûrement. Bientôt l’existence de la RDC risque d’appartenir au passé. 2024 risque d’être une année du destin tragique de la disparition du pays. Le pouvoir de l’UDPS et de l’Union Sacrée de la Nation, sous la présidence de Mr Félix Tshilombo Tshisekedi, est incapable de protéger le Peuple Congolais et l’intégrité territoriale. Scandaleusement, la rébellion de l’Alliance Fleuve Congo (AFC) de Corneille Nangaa et le groupe M23 appuyé par le Rwanda progressent et occupent de plus en plus du terrain à l’Est du pays. Il y a une crise de confiance au sein de notre armée et des services de sécurité. C’est ainsi que le Président de la République confie sa sécurité à des mercenaires blancs. Le pacte national est donc totalement rompu. C’est un fait grave qui devrait avoir des conséquences terribles pour notre pays dans un proche avenir.

Un consensus national s’impose d’urgence à toutes les forces vives congolaises face à l’impuissance du Gouvernement congolais d’arrêter le plan accéléré de balkanisation de notre pays en 2024

   C’est désormais une question urgente de vie ou de mort. Ce ne sont pas les mercenaires blancs qui viendront sauver le Congo, mais bien des Congolais consciencieux du grave danger de disparition de notre peuple et de notre pays. Un mercenaire ne vient que pour ses intérêts matériels et financiers avant d’offrir un service périlleux pour sa vie. Toutes les forces vives congolaises doivent se mettre ensemble pour un nouveau Pacte national permettant de sauver d’urgence et maintenant la République Démocratique du Congo qui est en train de sombrer avec son peuple. Les institutions nationales issues du chaos électoral de décembre 2023 sont déjà à bout de souffle, piégées, infiltrées et gangrenées par la médiocrité et la trahison. Comme le disait le Général Mayele, on ne peut pas gagner une guerre avec des traîtres en son sein. Nous assistons impuissants à l’effondrement total de la Troisième République avec le régime de l’UDPS et de l’Union Sacrée de la Nation. La nation congolaise est-elle encore sacrée avec une classe politique médiocre, corrompue et incompétente ?

  Il faut d’urgence un consensus national qui permettra de mettre en place une transition exceptionnelle visant à jeter les bases de la Quatrième République en République Démocratique du Congo. Une transition exceptionnelle qui permettra des réformes titanesques et globales urgentes pour sauver le pays qui risque d’entrer dans une agonie fatale. Il faut d’urgence anticiper, sinon nous serons tous balayés bientôt par le complot ourdi de nos ennemis. Que nous soyons du pouvoir ou pas, de l’UDPS et de l’Union Sacrée, de l’opposition, de la résistance et de la société civile, nous sommes tous concernés par le vent violent qui arrive. Le temps n’est plus au triomphalisme insensé  et totalement improductif du pouvoir de l’UDPS et de l’Union Sacrée, eu égard aux mauvaises élections de décembre 2023 et à la crise sociale sans cesse explosive. Seul un nouveau consensus national nous permettra de faire face à ce vent, sinon nous allons tous être frappés de plein fouet dans un processus de suicide collectif. Les Eglises engagées, porteuses de la lumière, sont prévenues pour être du bon côté de l’histoire, car nous devons écrire ensemble la nouvelle histoire du Grand Congo. Il faut un changement radical urgent de tous les paramètres politiques, sécuritaires, économiques, culturels, sociaux et environnementaux en République Démocratique du Congo.

   Le pouvoir de l’UDPS et de l’Union Sacrée de la Nation est au pied du mur, pour ne pas dire aux abois. Ce pouvoir est incapable d’assumer ses missions régaliennes de protection du Peuple Congolais et de l’intégrité territoriale. Il recourt maladroitement aux mercenaires blancs. La souveraineté nationale est donc sacrifiée. La cohésion et l’unité nationales sont totalement brisées face à la montée en puissance du tribalisme, de la violence et de l’intolérance politique. Ce qui est plus grave est que le pouvoir en place ne sait pas se positionner de manière intelligente, sage et stratégique face à la nouvelle reconfiguration mondiale multipolaire, brutale, voire cynique,  et rapide. Dans un élan inédit d’unité nationale, les forces vives congolaises doivent donc se lever maintenant pour sauver le pays qui est en train de mourir sous nos yeux. Il faut une mobilisation nationale inédite aujourd’hui et pas demain quand le feu aura déjà consumé la maison Congo.

Le GT-RDC appuie les propositions pertinentes du Mouvement pour la Paix et le Développement du Congo (MPDC) et de la Coalition pour le changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC), relatives à la mise en place d’une transition exceptionnelle en RDC

   Comme ne cessent de le souligner les membres du MPDC et de 3C-RDC, diriger c’est savoir lire les signes des temps et anticiper. C’est ainsi que le MPDC et la 3C-RDC réfléchissent régulièrement sur l’importance d’une transition exceptionnelle en République Démocratique du Congo (RDC), compte tenu de l’extrême gravité de la crise congolaise. Leurs propositions, publiées notamment dans les deux ouvrages ci-dessous, font autorité. Nous pouvons lire avec intérêt ces ouvrages :

    Le GT-RDC a pris connaissance des propositions pertinentes pour un consensus national urgent et du Programme triennal d’urgence politique, sécuritaire, économique, sociale, culturelle et environnementale publiés par la Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC)  dans l’ouvrage intitulé « La conquête du pouvoir pour un nouvel ordre politique, économique et social en République Démocratique du Congo ». Pour rappel, la 3C-RDC est une plateforme animée principalement par  le Mouvement pour la Paix et le Développement du Congo (MPDC) et le Parti Socialiste Congolais (PSC). Les membres de 3C-RDC s’engagent à gérer honnêtement le pays, comme l’avait fait le premier Président Joseph KASA-VUBU.

    Une transition exceptionnelle s’impose notamment pour :

L’écrivain et leader Armand MAVINGA TSAFUNENGA reste toujours la meilleure personnalité de la diaspora capable de diriger le Gouvernement de Transition exceptionnelle

   Le Groupe ad hoc pour la Transition en République Démocratique du Congo, GT-RDC en sigle, a mené des consultations au mois de décembre 2023 pour connaître qui était la personnalité de la diaspora congolaise la mieux qualifiée pour diriger une transition exceptionnelle tant réclamée par le Mouvement pour la Paix et le Développement du Congo (MPDC) et la Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC). Dans sa publication du 12 décembre 2023, le GT-RDC avait retenu trois personnalités sur un répertoire de plus de 30 candidats, à savoir : Mr Armand MAVINGA TSAFUNENGA (France), Mme Justine KASA-VUBU MPOYO (Belgique) et Mr Jean BELE MONGU (Etats-Unis d’Amérique). Armand MAVINGA TSAFUNENGA est sorti du lot de par sa personnalité et  notamment ses propositions depuis 2006 pour une transition exceptionnelle en République Démocratique du Congo. Il est important de souligner que les candidats n’ont pas été consultés par le GT-RDC pour l’objectivité et la rigueur de ses consultations. L’écrivain et leader Armand MAVINGA TSAFUNENGA reste toujours la meilleure personnalité de la diaspora capable de diriger un Gouvernement de Transition exceptionnelle en République Démocratique du Congo.

   Le GT-RDC a utilisé des critères objectifs pour le choix de la personnalité de la diaspora congolaise, à savoir :

  1. Être un grand visionnaire, un pilote qui sait où il amène le Peuple Congolais et son pays à bonne destination ;
  2. avoir un cœur hors de périmètre cellulaire de la haine, de la rancune, de l’intolérance, du tribalisme et de la vengeance ou des règlements des comptes ;
  3. être un acteur patriote de l’unité nationale et de la cohésion sociale nationale ;
  4. avoir un programme pertinent pour cette transition  de plus ou moins trois ans ;
  5. être capable de prendre des décisions importantes et difficiles, de concevoir et de mener  des réformes cruciales pour la sécurité et le décollage de la RDC ;
  6. ne pas être impliqué dans des crimes humains, financiers et économiques ;
  7. être capable de concilier les intérêts du Peuple Congolais à ceux parfois diamétralement opposés des pays voisins, des puissances traditionnelles et émergentes ainsi que des multinationales ;
  8. avoir un esprit de justice, de constance et de probité morale permettant de gérer honnêtement des ressources du pays, comme l’avait fait le premier Président de la République, Mr Joseph KASA-VUBU ;
  9. ne pas avoir été candidat ou candidate à l’élection présidentielle du 20 décembre 2023, et n’être pas impliqué dans la gestion critique et chaotique des institutions du pays.

   Le GT-RDC s’est donc fondé sur les critères ci-dessus pour choisir Armand MAVINGA TSAFUNENGA. Les éléments ci-après ont pesé pour lui :

   Le GT-RDC plaide donc pour un consensus national urgent pour éviter notre suicide collectif. Faute de quoi, nous risquons de vivre impuissants à la disparition du Peuple Congolais et de la République Démocratique du Congo.

Fait à Aix-la-Chapelle, Allemagne, le 07 juillet 2024

Pour le GT-RDC

Josué KALENGELA

Rapporteur adjoint

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