La 3C-RDC appelle à un consensus national urgent pour un nouvel ordre politique, économique et social en RDC
La Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC) appelle à un consensus urgent pour un nouvel ordre politique, économique et social en vue de la mise en place de la Quatrième République Face à l’extrême gravité de la crise congolaise actuelle, dans le contexte de la nouvelle reconfiguration mondiale rapide et brutale, la Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC) appelle à un consensus national pour un nouvel ordre politique, économique et social en vue de la mise en place de la Quatrième République. La Troisième République a plongé notre pays dans une crise globale indescriptible. La 3C-RDC, plateforme animée principalement par le Mouvement pour la Paix et le Développement du Congo (MPDC) et le Parti Socialiste Congolais (PSC), est l’une des premières forces d’anticipation dans et pour notre pays. Elle prépare une transition exceptionnelle pour notre pays depuis 2012. La 3C-RDC avait déjà publié ses 20 engagements pour une transition exceptionnelle en 2017. L’année 2023 est l’année de tous les dangers pour la survie du Peuple Congolais et de la République Démocratique du Congo. Jamais notre existence n’a été aussi menacée face aux pièges démoniaques de tentative de balkanisation savante et violente de notre pays. Comme force d’anticipation, la 3C-RDC vient de publier ce jeudi 16 mars 2023 son livre programme écrit respectivement par son Président Armand MAVINGA TSAFUNENGA et son Secrétaire Exécutif Jerry IZOUELE DJAMBA. Le livre est intitulé « La conquête du pouvoir pour un nouvel ordre politique, économique et social en République Démocratique du Congo ». Ce livre sera bientôt dans des librairies et sur internet (MAVINGA TSAFUNENGA Armand et IZOUELE DJAMBA Jerry, La conquête du pouvoir pour un nouvel ordre politique, économique et social en République Démocratique du Congo, Paris, Ed. Ceprocom-Afrique, 2023, 406p.). La 3C-RDC est la Plateforme des acteurs congolais décidés de gérer honnêtement le pays, comme l’avait fait le Premier Président de la République, Mr Joseph KASA-VUBU. Elle entend être la première te la plus importante plateforme qui mobilise le Peuple Congolais autour d’un programme précis et non autour d’un processus injuste et improvisé de clientélisme, de conquête et de partage du pouvoir pour le pouvoir. Il n’est un secret pour personne de reconnaître que notre pays a pris un mauvais départ depuis les élections de 2006. Et la situation s’est empirée avec les élections de 2018. Les conditions pour des élections crédibles, justes et transparentes en décembre 2023 ne sont pas réunies sans des réformes profondes et globales. Les élections sont inconcevables quand une partie du territoire national est occupée à l’Est du pays, et face au processus continu des massacres de notre population notamment dans cette partie du pays. Il faut d’abord sauver le Congo et son peuple pour créer après des conditions d’une organisation impeccable des élections. La République Démocratique du Congo est en guerre parce qu’elle est attaquée par des armées étrangères. Le Peuple Congolais doit donc se lever comme un seul homme pour bouter les agresseurs dehors. Le processus électoral actuel souffre d’une crise de confiance sérieuse à ne pas négliger, et la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) connaît des soucis techniques et continuera d’accumuler du retard par rapport à son calendrier. La CENI prépare donc des élections aux résultats déjà contestés à l’avance. Il faut donc anticiper. Comme ne cesse de le répéter le Président Armand MAVINGA TSAFUNENGA de 3C-RDC, diriger c’est savoir lire les signes des temps et anticiper. C’est ainsi que, dans son livre programme, la Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC) propose un cadre d’une transition exceptionnelle dans l’éventualité de la non organisation des élections en décembre 2023. Mais il ne s’agit pas d’une transition de partage du pouvoir, comme celles que la RDC a connues jusqu’ici. Ce sera une transition d’une nouvelle classe politique pour l’instauration d’un nouvel ordre politique, économique et social en République Démocratique du Congo, dans le cadre de la mise en place de la Quatrième République. Ce sera notamment une transition de la jeunesse congolaise et de la femme. La Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC) indique des exigences pour de bonnes élections. Pour ne citer que quelques unes : Les conditions n’étant pas réunies pour des élections crédibles, nous nous acheminons vers une transition exceptionnelle. Elle sera exceptionnelle par rapport à toutes les transitions connues jusqu’ici. Il s’agira d’une transition pour que la RDC prenne un bon et nouveau départ qui lui permettra de jeter les bases du Grand Congo du 21ème siècle. Si les élections ne sont pas organisées en décembre 2023, toutes les institutions deviendront de nouveau illégitimes. Des dispositions utiles devront être prises dont : Fait à Paris, le 17 mars 2023.
La 3C-RDC appelle à la mise en place d’une transition exceptionnelle d’urgence politique, sécuritaire, sanitaire et sociale en République Démocratique du Congo
La Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC) appelle à la mise en place d’une transition exceptionnelle d’urgence politique, sécuritaire, sanitaire et sociale après les crises de COVID-19 et de la CENI, l’occupation de notre territoire par sept armées étrangères et l’extrême paupérisation de notre population Diriger, c’est savoir lire les signes des temps et anticiper. Les faits donnent aujourd’hui raison à la Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo, 3C-RDC en sigle, qui prépare une transition exceptionnelle depuis 2012. La République Démocratique du Congo est à la porte du chaos. Sept armées étrangères de pays voisins sont sur le territoire national sans qu’il n’y ait une protestation énergique du pouvoir en place. Nos ennemis comptent déjà leurs jours pour la balkanisation de notre pays avec la complicité de certains fils égarés du pays. La longue crise multiforme grave est amplifiée par la gestion chaotique et scandaleuse de la terrible crise de coronavirus (COVID 19) dont les graves conséquences présentes et futures ne sont pas encore mesurées. Le pays est au bord de l’explosion sociale tant la pauvreté et la misère sociale ont atteint le point de non retour. La grogne sociale ne cesse de monter. Le Congolais est parmi les cinq peuples les plus pauvres de l’humanité. L’autorité de l’Etat est défiée sur toute l’étendue de notre territoire national. Ainsi à tout moment, une crise majeure peut survenir et faire écrouler subitement le pouvoir. Le pouvoir en place vit désormais la peur ou l’angoisse de sa fin subite, renforcée par la crise du coronavirus. Les massacres et les déplacements forcés de nos populations continuent bonnement au nord et notamment à l’est de notre pays qui vit le plus grand holocauste après la seconde Guerre Mondiale avec plus de 9.000.000 de morts et plus de 6.000.000 de Congolais déplacés de force et abandonnés sur le sol de nos ancêtres, et plus de 2.000.000 femmes, filles et enfants violées et à jamais détruites. La Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC) avait prévenu que les conditions n’étaient pas du tout réunies pour organiser des élections en République Démocratique du Congo en décembre 2018. Il fallait la mise en place d’une transition exceptionnelle de trois ans qui devait nous permettre de sortir de la longue crise et d’organiser enfin des élections irréprochables et exemplaires. Elle ne s’était pas trompée. Nous avons assisté en 2018 et au début de 2019 à des élections cyniques, iniques, humiliantes et scandaleuses, parmi les pires élections de l’histoire des peuples et des nations au 21ème siècle. La Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) a été au cœur du tripatouillage des résultats et de nomination des candidats. Comment un Président élu le même jour des élections législatives peut échouer lamentablement et de manière historique à ces élections législatives ? Comment le parti politique d’un Président élu au suffrage universel peut échouer partout de manière spectaculaire à la même période dans toutes les élections (législatives, provinciales, sénatoriales) ? Des fantômes qui auraient participé à l’élection présidentielle auraient-ils refusé de participer aux autres élections ? Si oui, pourquoi ? Il est important de rappeler que la crise congolaise n’est pas une crise électorale. Les crises électorales ne sont que des conséquences de la longue et grave crise congolaise qui est d’essence économique, géostratégique et culturelle. Sinon, les élections de 2006, 2011 et 2018 auraient résolu cette crise. Toutes les transitions à simple vocation électorale ont échoué dans notre pays depuis la Conférence Nationale Souveraine (1991-1992). Un peuple qui oublie son histoire est un peuple exclu de l’histoire des nations libres, démocratiques et prospères, et appelé à disparaître sans aucune forme de procès. La Coalition FCC-CACH, qui dirige par défi la République Démocratique du Congo, est vite essoufflée ; elle est victime de ses propres fondements iniques. Quelles que soient les circonstances, il apparaît de plus en plus clair que cette coalition ressemble à un bateau Titanic qui est en train de couler lentement et sûrement. Une maison divisée et bâtie sur une mauvaise fondation ne peut que s’écrouler. Il faut donc anticiper maintenant avant que le pire n’arrive. Une grave crise politique non maîtrisée, dans le contexte de la crise mondiale de coronavirus, risque de sonner le glas pour notre pays. La Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC) a déjà préparé une feuille de route pertinente de sortie de la longue crise de la République Démocratique du Congo, notre beau pays. La longue et grave crise congolaise est amplifiée de manière inouïe par la crise du coronavirus (COVID-19). Tous les signaux étant au rouge, la 3C-RDC appelle à la mise en place incontournable d’une transition exceptionnelle d’urgence politique, sécuritaire, sanitaire, sociale, culturelle et environnementale. 60 ans après l’indépendance, nous avons globalement échoué dans le défi de construire une grande nation au destin très prometteur. Tous les Congolais, nous devons donc nous arrêter et nous regarder tous en face en toute humilité pour jeter les bases d’un nouveau et bon départ, car depuis le 24 avril 1990 nous avons pris une direction inadaptée et suicidaire. Beaucoup d’entre nous, nous avons trahi l’esprit de nos ancêtres et de nos pères fondateurs qui ont lutté pour l’indépendance de notre pays. Il est clair que ce sera une transition de la justice et de la nouvelle intelligence congolaise où la jeunesse, la femme et les nouvelles forces vives congolaises du pays et de la diaspora devront jouer un rôle important. Ce sera une transition de la nouvelle vision de la sécurité nationale globale, face aux nouveaux enjeux des crises sanitaires majeures comme celle de coronavirus et d’autres qui viendront. Cette transition nous permettra d’asseoir enfin la tradition des élections irréprochables, modèles et historiques puisant dans notre patrimoine culturel millénaire. Ce ne sera plus du tout une transition de l’impunité, de la corruption et du partage clientéliste des postes sur le sang de Congolais. La Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC), force congolaise d’anticipation, a défini dès fin
La vision d’une Transition exceptionnelle du MPDC et de la 3C-RDC avec Armand Mavinga Tsafunenga est incontournable pour un vrai changement en RDC et la paix véritable dans la région des Grands Lacs et en Afrique
TRIBUNE. La République Démocratique du Congo (RDC) n’est pas encore sortie de sa grave crise multiforme qui n’est pas une crise d’origine électorale. La crise électorale n’en est qu’une des émanations. La crise qui se profile à l’horizon en République Démocratique du Congo n’épargnera personne et aucun pays de la région. Le Front Congolais pour le Congo (FCC), le Cap pour le Changement (CACH), le LAMUKA, le peuple congolais et notre pays en seront frappés de plein fouet, y compris nos pays voisins. Personne, alors personne n’en sera protégée. Où va la République Démocratique du Congo ? Personne ne peut dire exactement où nous allons. Quand la lumière est éteinte, nous sommes condamnés de marcher dans les ténèbres. Que tous les Congolais sachent aujourd’hui que personne n’a gagné et personne n’a perdu, mais bientôt nous risquons tous de perdre notre peuple et notre pays. Ce n’est pas du pessimisme, mais du réalisme. Toutes les forces vives congolaises doivent se retrouver d’urgence autour d’une table, dans un contexte et un cadre exceptionnels et justes, pour un Nouveau Pacte National politique, social, sécuritaire, économique et environnemental. Tous les germes d’une grave crise mondiale, crise à la fois terroriste de manière spéciale, sont déjà implantés en République Démocratique du Congo. Cette crise pourrait être à la base de plus de 20.000.000 de morts dans la région et avec plus de 10.000.000 de personnes qui pourraient être poussées à l’immigration sauvage, brusque et non maîtrisée. Et aucun pays voisin de la République Démocratique du Congo ne s’en sortira indemne. Le prolongement de cette crise nous amènerait lentement et sûrement vers une Troisième Guerre mondiale qui risque d’être nucléaire, et qui sera la fin du rêve de l’Afrique comme un continent d’avenir. Les intérêts de grandes puissances, notamment occidentales et émergentes, connaîtront un sacré coup terroriste. C’est la paix et l’avenir de l’humanité qui sont en danger, et les armées étrangères pléthoriques sur le sol congolais ne résoudront pas ce grave problème. Ce n’est ni plus ni moins une question de vie ou de mort pour le Peuple Congolais et la République Démocratique du Congo. C’est bien la disparition de notre beau pays, la République Démocratique du Congo, qui est en jeu avec à la clé le plus grand holocauste de l’histoire humaine après la seconde Guerre mondiale. Il est important de souligner que les chiffres avancés plus haut ne concernent pas le bilan désastreux actuel, à savoir : il y a déjà plus de 8.000.000 de morts, plus de 5.500.000 de Congolaises et Congolais déplacés de force et vivant comme des réfugiés abandonnés sur le sol de nos ancêtres, plus de 2.000.000 de femmes et enfants violées et traumatisées, des millions de Congolais poussés à l’immigration sauvage. La vision d’une transition exceptionnelle du MPDC et de la 3C-RDC avec Armand MAVINGA TSAFUNENGA est incontournable en République Démocratique du Congo pour éviter un suicide collectif de notre peuple et de notre pays. C’est un piège suicidaire de réduire la crise congolaise à la dimension d’une simple crise électorale. Toutes les transitions réduites au simple schéma électoral ont échoué dans notre pays depuis la Conférence Nationale Souveraine (CNS) (07 août 1991-06 décembre 1992). Un peuple qui oublie son histoire est un peuple condamné à la disparition et exclu de l’histoire des peuples et nations libres, stables et prospères. En dépit de l’organisation des élections injustes, inadaptées, humiliantes, voire iniques en 2006, 2011 et 2018-2019, la République Démocratique du Congo reste toujours un pays en transition depuis le 24 avril 1990 et en grave crise. En effet, le tennis politique injuste, inadapté, criminel et suicidaire, lancé depuis le 24 avril 1990, est toujours en vigueur dans notre pays. Les crises électorales n’en sont que des émanations. L’accord ou deal boiteux signé par le FCC et le CACH en décembre 2018, dans le cadre des élections catastrophiques que nous déplorons aujourd’hui, est le point culminant de ce tennis politique avilissant et inadapté. Tout processus fondé sur la corruption, le mensonge, la fraude, la duplicité et les crimes organisés est un processus qui conduit inévitablement à un vrai chaos. Diriger, c’est savoir discerner les signes des temps et anticiper. Demain n’est pas à attendre, mais à inventer. Le MPDC prépare une transition exceptionnelle depuis mai 2006 N’en déplaisent aux uns et aux autres, notre pays a pris un mauvais départ avec les élections injustes, non crédibles, clientélistes et criminelles de 2006. Les faits continuent de donner raison au MPDC. La crise s’est accentuée, le processus électoral s’est encore empiré avec les records de la fraude et de la corruption aux élections de décembre 2018 et de début de 2019. Le pays est au bord de l’implosion. Nous allons de cacophonie en cacophonie. Le suffrage du peuple souverain n’est jamais respecté. Le peuple est toujours roulé dans la farine dans un semblant de démocratie. Le peuple congolais est parmi les peuples les plus pauvres de l’humanité, pour ne pas dire les plus misérables. Le grand écrivain Birago Diop disait : « les morts ne sont pas morts ». Le grand combattant Etienne TSHISEKEDI wa MULUMBA sera inhumé bientôt. Il risque de tourner mille fois dans sa tombe, en voyant la dimension prise par la crise congolaise. Le mal est devenu le bien et le bien est devenu le mal. Diriger, c’est savoir discerner les signes des temps et anticiper. Dès le mois de mai 2006, le Mouvement pour la Paix et le Développement du Congo (MPDC) a commencé à préparer une transition exceptionnelle, comme notre pays avait pris un mauvais départ. En mai 2006, le MPDC a publié ainsi un Programme triennal d’urgence politique, social, sécuritaire et économique. Quand le MPDC a commencé à écrire sur une transition exceptionnelle après les élections de 2006, cela paraissait comme une folie, comme une utopie. Des critiques étaient parfois violentes. Mais le Président Armand MAVINGA TSAFUNENGA n’a cessé de rappeler que notre utopie n’est pas de l’idéalisme, mais une nouvelle façon de dénoncer et d’annoncer : une façon de dénoncer les pratiques,
La 3C-RDC dénonce le schéma des élections du chaos en décembre 2018 en RD Congo pour la mise en place par la suite de la pire des transitions
La Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC) dénonce le schéma des élections du chaos de la République Démocratique du Congo en décembre 2018 pour la mise en place par la suite d’une pire des transitions. « Qui veut faire de la date du 23 décembre 2018 la date définitive de la victoire de criminels humains, économiques, financiers, environnementaux, pilleurs et génocidaires du peuple congolais ? » Le processus électoral en préparation en République Démocratique du Congo pour la date du 23 décembre 2018, conçu, monté et dirigé par des serviteurs du pouvoir illégitime en place, est sans doute le processus électoral le plus cynique, criminel et inquiétant de l’histoire des peuples et des nations au XXIème siècle. Comme nous l’avons toujours souligné, l’électionisme n’est pas et ne sera jamais de la démocratie en République Démocratique du Congo, mais bien de la médiocratie. La préparation des élections du 23 décembre 2018 prend très bien des allures de la préparation de la victoire définitive de criminels humains, économiques, financiers, environnementaux, pilleurs et génocidaires du peuple congolais. Nous vivons la tragicomédie de l’Accord de la Saint-Sylvestre renversé et le piège d’une communauté internationale amenée à soutenir un processus électoral parmi les plus cyniques et dangereux de l’histoire des peuples et des nations. Un chaos se prépare au vu et au su de tout le monde dans un silence inquiétant. Attention le feu du Congo peut cette fois-ci nous atteindre tous d’une manière directe ou indirecte ! Nous ne cesserons de le rappeler que la crise congolaise n’est pas une crise électorale, mais bien un génocide économique, financier et stratégique. La Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC) dénonce le schéma des élections du chaos de la République Démocratique du Congo en décembre 2018 pour la mise en place par la suite d’une pire des transitions. Il convient de souligner une fois de plus que le processus électoral en cours en République Démocratique du Congo avec la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), en tant que bureau privé du pouvoir illégitime et dictatorial en place, relève de la médiocratie et non de la démocratie. Il s’agit d’une préparation d’un saut périlleux vers l’inconnu d’un chaos terrible qui se prépare. Après le moyen enfer des élections de novembre 2011, il se prépare maintenant le grand enfer des élections de décembre 2018. Le schéma se lit déjà clairement : il s’agit de la préparation des élections du chaos pour piéger et prendre la communauté internationale aux mots dans une stratégie bien pensée visant à mettre les défenseurs de l’Accord de la Saint-Sylvestre au pied du mur. Après les dégâts et les contestations attendus, le pouvoir illégitime en place entend récupérer toutes ses prérogatives et avantages à travers l’organisation d’une pire des transitions en République Démocratique du Congo. Le ridicule ne tue pas en politique en République Démocratique du Congo. Tout est permis, même les stratégies les plus rocambolesques et scandaleusement criminelles sont facilement à l’ordre du jour. Les conditions ne sont pas réunies du tout et ne seront jamais réunies pour des élections acceptables en décembre 2018 en République Démocratique du Congo. Au contraire, un cadeau est donné au pouvoir illégitime et dictatorial pour nommer le Président de la République et leurs représentants à tous les niveaux. Des machines à voter idiotes et naïves sont préparées pour ce processus de nomination notamment du Président de la République, des Députés et des Sénateurs. D’ores et déjà, la diaspora congolaise, exclue des élections, ne reconnaitra pas les élections théâtrales, cyniques, injustes et criminelles en préparation pour décembre 2018. Le pouvoir illégitime, par son bureau particulier de la CENI, a prévu de manière malhonnête la participation de la diaspora congolaise aux élections. Il s’agissait en fait d’un piège pour tenter d’endormir les dures contestations du pouvoir illégitime par la diaspora. C’était aussi un ballon d’essai pour voir s’il était possible d’utiliser frauduleusement les populations de pays voisins qui soutiennent le pouvoir illégitime lors des élections. N’oublions jamais déjà qu’à un moment donné des cartes d’électeurs ont été attribuées à des rebelles burundais. Le nombre n’a jamais été identifié jusqu’à ce jour. Face à la vigilance de leaders congolais de la diaspora, le pouvoir a compris que c’était un pari risqué. En prévoyant l’élection de la diaspora, la CENI savait qu’elle voulait utiliser cette option comme un argument pour ajourner les élections après 2018 en évoquant des problèmes techniques, financiers et matériels. Le fait d’exclure des élections la diaspora congolaise, premier bailleur de fonds du peuple congolais, aura des conséquences pour le pouvoir illégitime. Il s’agit là d’une vraie irresponsabilité. Il est indécent et irresponsable de prendre des engagements publics que vous savez consciemment que vous n’allez pas les respecter. La communauté internationale est tombée dans le piège de soutenir un processus électoral cynique, inique, criminel et totalement injuste en République Démocratique du Congo La communauté internationale, dans son ensemble, en ne réagissant pas aux graves crimes qui sont commis en République Démocratique du Congo, est tombée dans le piège tendu par le pouvoir illégitime et dictatorial de soutenir la médiocratie ou un processus électoral cynique, inique, criminel et totalement injuste. La communauté internationale est consciente que les élections projetées le 23 décembre 2018 en République Démocratique du Congo seront la pire des élections de l’histoire du monde dans ses premières décennies du XXIème siècle. L’appui du processus électoral actuel en République Démocratique du Congo montre que le monde traverse une nouvelle grande crise aux conséquences incalculables. Il faut que tous les bons esprits se réveillent et se mobilisent très vite à l’échelle planétaire pour qu’ensemble nous mettions fin au génocide congolais qui est la plus grande tragédie après la seconde guerre mondiale. Nous devons tous éviter que l’Afrique ne devienne le principal enjeu d’une IIIème guerre mondiale qui mettra toute l’humanité par terre et pourrait ouvrir des pistes lointaines du terrorisme nucléaire. C’est toujours un petit feu, même lointain, qui brûle une grande forêt. Si les enjeux du monde se jouent sur
Les forces vives congolaises montent dans le bateau de la Justice et de la Réconciliation nationale du MPDC et de la 3C-RDC en adoptant largement la vision d’une transition sans Mr Joseph Kabila en RD Congo
TRIBUNE. Les forces vives congolaises montent dans le bateau de la justice et de la réconciliation nationale du MPDC et de la 3C-RDC en adoptant largement la vision d’une transition exceptionnelle sans Mr Joseph Kabila en République Démocratique du Congo « Le Peuple Congolais est face à deux alternatives majeures : Monter dans le bateau Titanic piloté par Joseph Kabila ou monter dans le bateau de Noé, bateau de la justice et de la réconciliation nationale piloté par Armand MAVINGA TSAFUNENGA » Ce n’est plus un secret aujourd’hui que toutes les forces vives congolaises dans la diaspora et au pays parlent sans tabou d’une transition exceptionnelle sans Mr Joseph Kabila. Même certains membres de la majorité illégitime au pouvoir ne croient pas aux élections de décembre 2018 et ont peur que la situation actuelle ne se transforme en une hécatombe pour eux avant la fin de l’année. Ce ne sont pas des élections qui sont préparées pour décembre 2018, mais bien un chaos. Et la communauté internationale en est consciente. Le Mouvement pour la Paix et le Développement du Congo (MPDC) et la plateforme de la Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC) se réjouissent de constater que toutes les forces vives congolaises, dans sa majorité au pays comme dans la diaspora, adhèrent à leur vision d’une transition exceptionnelle sans Mr Joseph Kabila. En effet, la vision d’une transition exceptionnelle a été déjà clairement proposée le 05 mai 2006 par le MPDC en constatant deux vides politiques criants, à savoir l’absence de la justice et d’une vraie réconciliation nationale. C’est dans ce sens que le MPDC publiera en 2006 le premier programme triennal d’urgence pour le pays. 1. Diriger, c’est savoir lire les signes des temps et anticiper. En 2006, le Mouvement pour la Paix et le Développement du Congo (MPDC) avait souligné que la transition qui était en cours en République Démocratique du Congo, et qui devait se terminer par des élections, était un processus injuste, déséquilibré et inadapté. Ce processus était miné par deux vides politiques criants que sont l’absence de la justice et d’une vraie réconciliation nationale. Le processus électoral en préparation en 2006 faisait partie de ce processus injuste, déséquilibré et inadapté. Face à cette situation grave, le MPDC, qui ne croyait pas du tout aux élections tripatouillées de 2006, a proposé la vision d’une transition exceptionnelle pour que le pays puisse prendre définitivement un bon démarrage démocratique. La suite de la tragédie nationale des élections de 2006 est connue de tous. C’est ainsi que le MPDC a publié officiellement en 2006 son premier programme triennal d’urgence qui reste encore d’actualité jusqu’à ce jour. En 2011, un nouveau cycle des élections encore bâclées et criminelles se mettait en place. Dans le contexte de la célébration du 51ème anniversaire de l’indépendance de notre pays, le Groupe Epiphanie a organisé à Bruxelles en Belgique une importante rencontre sur le processus électoral en République Démocratique du Congo. Le Président National du MPDC, Mr Armand MAVINGA TSAFUNENGA, a participé à cette rencontre. Tous les scénarios possibles des élections de novembre 2011 ont été évoqués. La plupart des participants avaient apporté leur appui à la candidature du Grand opposant Etienne TSHISEKEDI wa MULUMBA à l’élection présidentielle. Quand presque tout le monde parlait des chances de l’élection de ce dernier, le MPDC, par la voix de son Président National Armand MAVINGA TSAFUNENGA, a souligné qu’il n’accordait pas de crédibilité au processus électoral en préparation et qu’il préparait le Bateau de Noé. Ce dernier a demandé au Peuple Congolais de se préparer à monter dans le Bateau de Noé ou Bateau de la Justice et de la Réconciliation Nationale du MPDC. C’était donc le bateau d’une transition exceptionnelle, car c’est la justice qui élève une nation et affermit le pouvoir, comme ne cesse de le souligner le Président National du MPDC et Président de la Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC). Dès 2012, après la tragédie inoubliable des élections de novembre 2011, le MPDC, le Cercle des Intellectuels Congolais (CIC), le Parti Socialiste Congolais (PSC), le Centre d’Intelligence Economique et Stratégique (CIES), l’Association pour le Rassemblement de la Diaspora Congolaise (ARDC) et la Coalition des Forces Armées Congolaises (COFAC) prennent l’initiative de créer la Plateforme de la Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC). Ils seront rejoints par une vingtaine de partis, associations et composantes. Quand l’UDPS réclamait la vérité des urnes et l’impérium en 2012, la 3C-RDC a commencé de réclamer la mise en place d‘une transition exceptionnelle sans Mr Joseph Kabila dans le cadre du suivi de la vision du MPDC. En 2012, la 3C-RDC publie le premier Gouvernement de Transition sans Joseph Kabila et les axes majeurs de son programme triennal d’urgence. En janvier 2013, la 3C-RDC formule ses 20 engagements pour une transition exceptionnelle réussie sans Mr Joseph Kabila en adéquation avec la vision du MPDC. Toujours en 2013, la 3C-RDC arrête son programme triennal d’urgence politique, sociale, sécuritaire, économique et environnementale pour cette transition. Diriger, c’est savoir lire les signes des temps et anticiper. Le Mouvement pour la Paix et le Développement du Congo (MPDC) et la Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC) se réjouissent de constater que leur vision d’une transition exceptionnelle sans Mr Joseph Kabila est aujourd’hui largement adoptée dans la diaspora et au pays. On en parle partout au pays, en Europe (France, Belgique, Suède, Allemagne, Royaume-Uni, Italie, Norvège), en Amérique (USA, Canada) et en Afrique (Afrique du Sud, Nigéria, etc.), et ce n’est plus un tabou au niveau de la communauté africaine et internationale. Aujourd’hui, il faut être naïf pour croire aux élections de décembre 2018. C’est le chaos qui est planifié pour un nouveau glissement du pouvoir illégitime en place. Désormais, le Peuple Congolais se prépare à monter dans le Bateau de Noé ou Bateau de la Justice et de la Réconciliation Nationale du MPDC et de la 3C-RDC. La durée d’une transition de 36 mois, proposée depuis
La 3C-RDC réaffirme de nouveau sa vision d’une transition exceptionnelle sans Mr Joseph Kabila pour la mise en place d’une vraie démocratie du Muntu en RDCongo
La Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC) réaffirme de nouveau sa vision d’une transition exceptionnelle sans Mr Joseph Kabila pour la mise en place d’une vraie démocratie du « Muntu » en République Démocratique du Congo. « Le processus électoral en cours avec la CENI en République Démocratique du Congo relève de la médiocratie et non de la démocratie. La démocratie n’est pas et ne sera jamais de l’électionisme (1). La CENCO est prise au piège de l’Accord de la Saint-Sylvestre bafoué et contourné par le pouvoir illégitime et dictatorial». N’en déplaisent aux uns et aux autres, la République Démocratique du Congo a pris un mauvais départ depuis 2006 avec des élections truquées, clientélistes, criminelles et faussées à dessein. Un mauvais départ qui s’inscrit dans la continuité du tennis politique injuste, inadapté, comique et humiliant en vigueur au pays depuis le 24 avril 1990. Les mêmes causes continuent de produire les mêmes effets. La démocratie n’est pas et ne sera jamais de l’électionisme. La Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC) réaffirme de nouveau sa vision d’une transition exceptionnelle sans Mr Joseph Kabila pour la mise en place d’une vraie démocratie du « Muntu ». La démocratie est un processus qui fait partie de l’excellence de l’identité d’un peuple dans sa gestion de lui-même et de son destin. La démocratie du Muntu est la démocratie de l’excellence et du génie du Peuple Congolais. Pour ce faire, la 3C-RDC appuie la vision du Mouvement pour la Paix et le Développement du Congo (MPDC) et le Mémorandum du Conseil Mondial de la Diaspora Congolaise (CMDC) pour une transition juste. Pour éviter toute confusion, il est important de comprendre le « Muntu » comme un génie pensant. La démocratie du Muntu est la démocratie de la tête en tant que siège de l’intelligence, du génie et de la sagesse. Dans « Muntu », il y a « ntu » qui signifie tête en langue Kikongo ; il renvoie à « mutu » qui signifie selon la prononciation « tête » ou « être humain » en langue Lingala. La démocratie du Muntu est donc la démocratie d’une grande humanité et d’un humanisme exemplaire, une démocratie qui fait appel au génie propre d’un peuple. Le Muntu, qui se définit comme un génie de l’humanité et de l’humanisme, est condamné d’intégrer son génie dans sa vision de la démocratie pour apporter sa modeste contribution à l’enrichissement du patrimoine politique, culturel et social de l’humanité au IIIème millénaire. C’est la démocratie du Muntu qui permettra de faire de notre pays un Etat de droit modèle en Afrique et dans le monde. Un pays modèle de la Justice, car c’est la Justice qui élève une nation et affermit le pouvoir. Une démocratie qui permettra d’asseoir définitivement la tradition du Muntu des élections modèles et irréprochables à tous les niveaux. Ce qui permettra à notre pays de donner les mêmes chances à tous ses enfants pour que la politique et les élections cessent d’être le champ d’action de délinquants et prostitués politiques, de criminels et rebelles, de voleurs pilleurs de l’Etat et de médiocres. L’élection présidentielle doit cesser d’être la chasse gardée et la tragicomédie des criminels, rebelles, pilleurs et délinquants politiques, financiers et économiques. Les mêmes chances seront données à tous les Congolaises et Congolais visionnaires et patriotes d’accéder à la magistrature suprême de notre pays. Le processus électoral en cours avec la CENI en République Démocratique du Congo relève de la médiocratie et non de la démocratie Il ne fait l’ombre d’aucun doute que la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) fonctionne totalement comme une Commission Electorale Nationale Dépendante (CEND) en République Démocratique du Congo. La CENI est un bureau privé du pouvoir illégitime et un organe annexe du parti illégitime au pouvoir. Les pires élections en préparation, si elles sont organisées en décembre 2018, la CENI deviendra de facto une milice du pouvoir illégitime et dictatorial. La démocratie n’a jamais été un processus médiocre, faussé volontairement et militairement, criminel et maffieux de tricherie éhontée des élections. Quand les élections sont toujours faussées d’avance pour devenir un processus macabre de nomination, ce n’est pas de la démocratie, mais de la médiocratie. Nous sommes dans un cas typique de l’électionisme en tant que système maffieux des élections faussées, criminelles et injustes, volontairement établi pour perpétuer l’instabilité politique et sociale d’un pays aux fins de le piller de fond en comble. Les conditions permettant l’organisation des élections en décembre 2018 en République Démocratique du Congo sont très loin d’être atteintes, peut être en 2020. . Depuis sa création, la Commission Electorale est incapable de manière notoire d’organiser des élections locales. Il est scandaleux d’évoquer ici des problèmes financiers et logistiques. Quand un pays maîtrise l’organisation de ses élections locales, le reste devient facile. Quand un pays est incapable d’organiser des élections locales, il ne peut qu’organiser toujours de mauvaises élections présidentielles et législatives. Quel genre d’élections veut-on organiser en décembre 2018 ? Prépare-t-on une guerre civile ? Nous vivons déjà le scandale de la publication d’une loi électorale injuste, cynique et inique. Il s’agit d’une loi électorale de ségrégation politique, sociale et économique. Une loi conçue comme une arme très nuisible contre l’excellence, le changement, le renouvellement politique et la jeunesse. Une loi électorale promulguée pour permettre aux rebelles, aux médiocres, aux délinquants et prostitués politiques, et aux criminels financiers, économiques et humains de rester au pouvoir. Cette loi électorale, produit de l’électionisme, est un instrument de défense violente de la médiocratie en République Démocratique du Congo. C’est aussi une réponse de médiocrates à Son Eminence le Cardinal Laurent MONSENGWO PASINYA qui a dit à juste titre que les médiocres doivent dégager. Quel genre d’élections veut-on organiser en décembre 2018 avec un fichier électoral sans cesse obscur, non crédible et toujours non viable avec des millions de doublons et une bonne partie de la population exclue ? Le fichier électoral est totalement corrompu et le fameux nettoyage tant crié apportera toujours
La 3C-RDC exige d’urgence une enquête internationale indépendante sur les violences du 31 décembre 2017 et du 21 janvier 2018 en RDCongo
La Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC) exige d’urgence une enquête internationale indépendante sur les graves violences du 31 décembre 2017 et du 21 janvier 2018 en République Démocratique du Congo. Une nouvelle page de l’histoire est en train de s’écrire en République Démocratique du Congo avec les événements du 31 décembre 2017 et du 21 janvier 2018. Un vent fort est en train de souffler et les gens se demandent dans quel sens va ce vent. Mais le Dieu que prie le peuple congolais sait seul dans quel sens va ce vent qui va bientôt bouleverser l’histoire et l’humanité. La vraie nouvelle histoire de l’Organisation des Nations Unies (ONU) vient de commencer d’être écrite en République Démocratique du Congo. Les jeunes générations et les générations futures apprendront à analyser les Nations Unies sur la base de sa gestion de la grave crise congolaise qui est le plus grand holocauste après la seconde guerre mondiale. Une mauvaise gestion de la crise congolaise aura des répercussions au niveau international et pourrait même compromettre à long terme la paix et la sécurité internationales. C’est toujours un petit feu non éteint qui embrase par la suite toute une forêt, quelle qu’en soit la dimension. Il est diabolique de répéter les mêmes grandes erreurs de l’histoire volontairement. Les massacres qui se commettent en République Démocratique du Congo auront tôt ou tard la réponse parfaite du Créateur, le Maître absolu et intraitable de la Justice. Empêcher les créatures de Dieu de prier ou d’aller à l’Eglise, violer volontairement les lieux de culte et tirer sur les innocents qui marchent pacifiquement en chantant et en priant, cela dépasse l’entendement de la barbarie. Et en face des forces des Nations Unies quelque peu impuissantes. Le silence de la conscience internationale pleine à craquer deviendra un jour une bombe qui va éclater subitement. Demain n’est pas à attendre, mais à inventer. Evitons que cette bombe éclate un jour, car elle aura un impact négatif sur l’avenir de l’humanité que nous comptons léguer aux générations futures. La Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC) condamne fermement les violences du 31 décembre 2017 et du 21 janvier 2018 La Coalition pour le changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC) condamne fermement les actes barbares commis contre le peuple congolais lors des marches pacifiques organisées le 31 décembre 2017 et le 21 janvier 2018 par le Comité Laïc de l’Eglise Catholique. La 3C-RDC continue d’apporter son soutien à ce comité pour l’organisation de ces marches pacifiques. La liberté religieuse est sacrée pour notre peuple qui est un peuple croyant depuis des millénaires. Que le pouvoir illégitime en place fasse attention, car les conséquences seront graves dans un proche avenir. Dans une société de croyance millénaire, l’Eglise ne peut pas être neutre. La neutralité n’est pas une qualité pour l’Eglise, mais un grave défaut, car la lumière, l’amour, la vérité et la justice sont ses valeurs fondamentales. L’Eglise doit être du côté des opprimés, de ceux qui souffrent ou sont abandonnés. La neutralité n’est pas un renom pour l’Eglise, mais c’est de la complicité et de l’impuissance. Dans ce contexte, la 3C-RDC appuie l’engagement élevé de Son Eminence le Cardinal MONSENGWO PASINYA pour la sortie de crise de notre pays. Personne ne peut l’empêcher d’être sur la voie tracée par son Seigneur qui lui a confié ses brebis. La Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC) exige d’urgence une enquête internationale indépendante sur les violences du 31 décembre 2017 et du 21 janvier 2018 Jamais la conscience internationale n’a été aussi interpellée, comme elle l’est aujourd’hui en République Démocratique du Congo. Les violences du 31 décembre 2017 et du 21 janvier 2018 deviennent de plus en plus une insomnie pour la communauté internationale projetée d’un même mouvement vers l’infiniment grand et l’infiniment petit. De longs silences sur de graves violences et des actes de barbarie indescriptibles conduiront un jour à la destruction de l’humanité. La 3C-RDC exige d’urgence une enquête internationale indépendante sur les crimes et atteintes graves de l’intégrité physique commis le 31 décembre 2017 et le 21 janvier 2018 pour une réponse exemplaire de la justice. Les auteurs et les commanditaires devront être clairement identifiés. Nous le répéterons toujours : c’est la justice qui élève une nation et affermit le pouvoir. La conscience internationale est réellement face aux nouveaux pièges de la vérité de l’histoire en République Démocratique du Congo. On ne peut mentir tous les temps un peuple conscient, mobilisé et déterminé. L’histoire a toujours deux côtés, un bon et un mauvais. La 3C-RDC exhorte le Peuple Congolais et la communauté internationale à être du bon côté de l’histoire. Depuis le 31 décembre 2017, le Peuple Congolais crie très fort et attend des réponses : Qui est un vrai peuple frère et ami ? Où sont les instances internationales de la justice ? Où sont les Nations Unies ? Où est l’Union Africaine ? Seule une transition exceptionnelle juste s’impose, car il n’y aura pas d’élection en 2018 en République Démocratique du Congo Diriger, c’est savoir anticiper, c’est savoir lire les signes des temps. Dès 2012, la Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC) a commencé à préparer une transition exceptionnelle et à décrire les différents scénarios que nous vivons aujourd’hui. Les violences du 31 décembre 2017 et du 21 janvier 2018 établissent que l’Accord de la Saint-Sylvestre n’a jamais existé pour la majorité illégitime. Il est donc incompréhensible de demander à une personne de respecter un accord qu’elle ne reconnaît pas du tout. Il faut maintenant en prendre définitivement acte. La Conférence Episcopale Nationale du Congo (CENCO) devra tirer toutes les conséquences du refus de respecter l’Accord de la Saint-Sylvestre par la majorité illégitime et une certaine opposition clientéliste et corrompue. Seule une transition exceptionnelle juste s’impose dans notre pays, eu égard aux 20 engagements républicains formulés par la Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC). Ainsi fait à Paris, le
Pour le MPDC, la transition exceptionnelle sans Mr Joseph Kabila démarre le 1er janvier 2018 en RD Congo
La transition exceptionnelle sans Mr Joseph Kabila démarre le 1er janvier 2018 en République Démocratique du Congo pour le Mouvement pour la Paix et le Développement du Congo (MPDC). Pour le Mouvement pour la Paix et le Développement du Congo (MPDC), la transition exceptionnelle sans Mr Joseph Kabila démarre le 1er janvier 2018 en République Démocratique du Congo. Il s’agit là d’un processus juste et adapté à la dimension globale et grave de la crise congolaise qui n’est pas une crise électorale. Il s’agit bien d’un génocide congolais pour des raisons économiques et financières. L’Accord de la Saint-Sylvestre prend fin le 31 décembre 2017. La Conférence Episcopale Nationale du Congo (CENCO) doit tirer toutes les conclusions de l’échec de l’application de cet accord bloqué ridiculement par le tennis politique injuste, déséquilibré et inadapté en vigueur dans notre pays depuis le 24 avril 1990. Le peuple congolais est formel : il n’y aura plus d’accord de la Saint-Sylvestre bis pour des criminels, délinquants et prostitués politiques congolais. Dans ce contexte, le MPDC salue et appuie la mobilisation de l’Eglise pour le départ du pouvoir de Mr Joseph Kabila. Dans une belle et bonne démocratie, la rupture ferme avec un Etat du mal est une formidable continuité de l’Etat. Dans ce contexte, le MPDC se réjouit de la publication de 20 engagements républicains de cette transition dans le cadre de la Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC). La République Démocratique du Congo a besoin d’une transition juste, car c’est la justice qui élève une nation et affermit le pouvoir La trompette de l’histoire a sonné et la République Démocratique du Congo a besoin d’urgence d’une transition exceptionnelle juste, adaptée et équilibrée, car la justice élève une nation et affermit le pouvoir. C’est la justice qui sera la valeur clé qui va nous mettre tous ensemble dans le cadre de la transition exceptionnelle sans Mr Joseph Kabila qui devrait commencer le 1er janvier 2018. Quand l’Eglise sonne la cloche pour la fin du régime du mal, elle sonne la cloche pour la justice, car Dieu est un Dieu de justice. Son trône, c’est le trône de la justice. Il s’agit d’une transition bien pensée et préparée, et non d’une transition improvisée et opportuniste. Il s’agit d’une transition exceptionnelle pour la mise en œuvre de 20 engagements républicains. Une transition exceptionnelle d’urgence humanitaire. Il ne s’agit pas d’une transition neutre, comme certains le prétendent. La neutralité n’est pas la valeur clé qui va nous mettre tous ensemble pour sortir de la plus grave après la seconde guerre mondiale, mais c’est la justice. Avons-nous oublié qu’il y a plus de 8.000.000 de morts, plus de 4.000.000 de Congolaises et Congolais déplacés et abandonnés, plus de 1.000.000 de femmes, filles et enfants violées et détruites. Avons-nous oublié que nous sommes aujourd’hui parmi les peuples les plus pauvres et les plus misérables de l’humanité. La République Démocratique du Congo, notre beau pays, est devenue aujourd’hui l’histoire de mauvais records de l’humanité. Il faut donc d’urgence une transition juste pour mettre fin à cette gravissime crise. Il est clair que ce n’est pas une simple transition électorale dite « neutre » qui nous permettra de sortir définitivement de cet holocauste. Le peuple congolais n’a pas besoin d’une transition simplement électorale qui finira par devenir une autre transition provisoire, comme les autres transitions connues après la Conférence Nationale Souveraine pour perpétuer la destruction de notre pays. Une transition exceptionnelle s’impose donc pour sortir définitivement de la crise multiforme actuelle. Des préalables s’imposent pour l’organisation désormais des bonnes élections dans notre pays. L’audit urgent et sans complaisance du fonctionnement de toutes institutions de notrepays : Présidence, Gouvernement, Sénat, Assemblée Nationale, CENI, entreprises publiques, partis politiques, pour un nouveau départ juste. Reconnaître le principe que toutes les institutions sont largement hors mandat et ne peuvent plus engager notre pays. Pour ce faire, les responsables des institutions actuelles doivent démissionner, car ils ne peuvent pas être juges et parties. Le principe de renouvellement politique va s’imposer de lui-même. La justice est une valeur essentielle et incontournable qui va nous mettre tous ensemble. Toutes les lois injustes, clientélistes, de ségrégation sociale, humaine et politique seront abolies sans aucune forme de procès. Toutes les dispositions injustes, inadaptées et conflictuelles de la Constitution qui ont permis le glissement éhonté du pouvoir illégitime en place seront suspendues dans le cadre d’un Pacte National de la Transition (PNT) ouvrant au processus de réforme constitutionnelle qui permettra l’introduction obligatoire du génie congolais et de la sacralité congolaise dans la Constitution. Un processus original de justice et de réconciliation nationale sera mis en place. Un processus élaboré de longue date par le Mouvement pour la Paix et le Développement du Congo (MPDC) qui tient à réconcilier le peuple congolais avec Dieu, avec lui-même, avec son sol, son sous-sol et tout son espace, avec ses ancêtres, avec les peuples voisins et tous les peuples du monde. La mise en place d’un Gouvernement de Transition Démocratique, d’Union Nationale et de Renouvellement Politique. Ce gouvernement sera chargé de la mise en œuvre du Programme triennal d’urgence politique, sécuritaire, sociale, économique et environnementale. Il importe de souligner qu’ « union nationale » ne signifie pas qu’il faut ramasser tout le monde comme dans la tragicomédie de partage des postes à laquelle nous sommes habitués dans toutes les transitions antérieures. A partir du 1er janvier 2018, il sera malsain de parler d’une majorité illégitime et insensée et d’une opposition inadaptée et noyée. Ce sont des fils dignes et méritants de notre pays, non impliqués dans la mauvaise gestion du pays, représentant les grandes couches de la nation, qui seront membres de ce gouvernement. Il est heureux de constater que le nouveau profil de ce gouvernement est déjà préparé par le Groupe ad hoc pour une Transition en République Démocratique du Congo (GT-RDC). Une place importante sera accordée aux jeunes et aux femmes. Un Parlement de Transition sera mis en place par la suite dans le cadre de la nouvelle