A en croire ce département relevant du ministère de l’Economie et des Finances, la valeur ajoutée agricole s’est nettement redressée en 2017, contribuant ainsi significativement à la croissance économique nationale après une chute l’année précédente.
Cette évolution aurait bénéficié d’une très bonne production céréalière ainsi que de l’évolution favorable des autres filières, particulièrement l’activité de l’élevage qui aurait tiré profit de l’amélioration des fourrages et de la baisse des prix des aliments de bétail, a-t-elle indiqué dans sa note.
En effet, d’après les dernières données publiées par le Département de l’agriculture, la DEPF a noté que la production définitive des trois principales céréales a atteint 96 millions de quintaux au titre de la campagne agricole 2016/2017, après 33,5 millions de quintaux pour la campagne précédente.
La répartition par type de céréales situe la production du blé tendre à 49 millions de quintaux, soit 51% de la production totale, suivie de celle de l’orge avec 25 millions de quintaux (26%) et du blé dur avec 22 millions de quintaux (23%).
La DEPF a toutefois relevé que « cette campagne s’est caractérisée par un rendement moyen des trois céréales de 17,8 quintaux/hectare, soit plus que la moyenne des rendements des campagnes de pluviométrie comparable (13 quintaux/hectare) et la moyenne des rendements des deux décennies avant le lancement du Plan Maroc Vert (11 quintaux/hectare) ».
Dans un document rendu public tout dernièrement, la Direction a rappelé que cette campagne a bénéficié d’une bonne répartition temporelle des précipitations dans la majorité des régions céréalières.
A ce propos, elle a noté que le cumul pluviométrique national a atteint 327 mm à la date du 28 juillet 2017, ce qui traduit une hausse de 51% par rapport à la campagne précédente, et « un régime pluviométrique favorable durant les phases d’installation, de démarrage et de développement des cultures céréalières ».
Mais tout n’a pas toujours été rose. En effet, cette campagne a été, également, caractérisée par un mois d’avril plus chaud et plus sec que prévu, a rappelé la DEPF.
Commentant l’évolution des échanges extérieurs du secteur de l’agriculture et de l’agroalimentaire, la DEPF a relevé que la valeur de ses exportations s’est affermie de 9%, en glissement annuel, au terme des huit premiers mois de l’année 2017. Elle aurait été tirée par « la croissance toujours consolidée des ventes à l’étranger des secteurs d’agriculture, de sylviculture et de chasse (+17,3%) et de celles de l’industrie alimentaire (+8,4%) », a-t-elle expliqué.
S’agissant de l’activité du secteur de la pêche, il a été constaté un comportement globalement favorable. Et pour cause : «Au terme des sept premiers mois de 2017, le secteur de la pêche a enregistré une bonne tenue de la valeur de ses débarquements malgré la légère baisse du volume desdits débarquements », indique-t-on dans ce document.
La même source a poursuivi en ajoutant que « le volume des débarquements de la pêche côtière et artisanale a accusé une baisse de 1,1%, en glissement annuel, à fin juillet 2017, après une augmentation de 19% un an plus tôt ». Ce résultat est principalement attribué à la hausse de 11,5% des captures de céphalopodes et de 612,9% de celles de coquillages, contrebalancée par le recul de celles du poisson pélagique de 1% (représentant à elles seules 88,5% de l’ensemble des captures) et du poisson blanc de 9,1%, apprend-on de même source.
La DEPF a, cependant, constaté que la valeur marchande de ces débarquements s’est affermie de 9,9% à fin juillet 2017, après une hausse de 6,1% il y a une année.
Seraient en cause : «La bonne tenue de la valeur des débarquements de céphalopodes (+33,1%, pour une part de 39% du total des débarquements), de coquillages (+372,3%) et du poisson pélagique (+0,2%, à 37% du total des débarquements), contre une baisse de 1,6% des débarquements de poisson blanc pour occuper la part de 19,7% du total des débarquements », a expliqué la DEPF.
Cette évolution aurait bénéficié d’une très bonne production céréalière ainsi que de l’évolution favorable des autres filières, particulièrement l’activité de l’élevage qui aurait tiré profit de l’amélioration des fourrages et de la baisse des prix des aliments de bétail, a-t-elle indiqué dans sa note.
En effet, d’après les dernières données publiées par le Département de l’agriculture, la DEPF a noté que la production définitive des trois principales céréales a atteint 96 millions de quintaux au titre de la campagne agricole 2016/2017, après 33,5 millions de quintaux pour la campagne précédente.
La répartition par type de céréales situe la production du blé tendre à 49 millions de quintaux, soit 51% de la production totale, suivie de celle de l’orge avec 25 millions de quintaux (26%) et du blé dur avec 22 millions de quintaux (23%).
La DEPF a toutefois relevé que « cette campagne s’est caractérisée par un rendement moyen des trois céréales de 17,8 quintaux/hectare, soit plus que la moyenne des rendements des campagnes de pluviométrie comparable (13 quintaux/hectare) et la moyenne des rendements des deux décennies avant le lancement du Plan Maroc Vert (11 quintaux/hectare) ».
Dans un document rendu public tout dernièrement, la Direction a rappelé que cette campagne a bénéficié d’une bonne répartition temporelle des précipitations dans la majorité des régions céréalières.
A ce propos, elle a noté que le cumul pluviométrique national a atteint 327 mm à la date du 28 juillet 2017, ce qui traduit une hausse de 51% par rapport à la campagne précédente, et « un régime pluviométrique favorable durant les phases d’installation, de démarrage et de développement des cultures céréalières ».
Mais tout n’a pas toujours été rose. En effet, cette campagne a été, également, caractérisée par un mois d’avril plus chaud et plus sec que prévu, a rappelé la DEPF.
Commentant l’évolution des échanges extérieurs du secteur de l’agriculture et de l’agroalimentaire, la DEPF a relevé que la valeur de ses exportations s’est affermie de 9%, en glissement annuel, au terme des huit premiers mois de l’année 2017. Elle aurait été tirée par « la croissance toujours consolidée des ventes à l’étranger des secteurs d’agriculture, de sylviculture et de chasse (+17,3%) et de celles de l’industrie alimentaire (+8,4%) », a-t-elle expliqué.
S’agissant de l’activité du secteur de la pêche, il a été constaté un comportement globalement favorable. Et pour cause : «Au terme des sept premiers mois de 2017, le secteur de la pêche a enregistré une bonne tenue de la valeur de ses débarquements malgré la légère baisse du volume desdits débarquements », indique-t-on dans ce document.
La même source a poursuivi en ajoutant que « le volume des débarquements de la pêche côtière et artisanale a accusé une baisse de 1,1%, en glissement annuel, à fin juillet 2017, après une augmentation de 19% un an plus tôt ». Ce résultat est principalement attribué à la hausse de 11,5% des captures de céphalopodes et de 612,9% de celles de coquillages, contrebalancée par le recul de celles du poisson pélagique de 1% (représentant à elles seules 88,5% de l’ensemble des captures) et du poisson blanc de 9,1%, apprend-on de même source.
La DEPF a, cependant, constaté que la valeur marchande de ces débarquements s’est affermie de 9,9% à fin juillet 2017, après une hausse de 6,1% il y a une année.
Seraient en cause : «La bonne tenue de la valeur des débarquements de céphalopodes (+33,1%, pour une part de 39% du total des débarquements), de coquillages (+372,3%) et du poisson pélagique (+0,2%, à 37% du total des débarquements), contre une baisse de 1,6% des débarquements de poisson blanc pour occuper la part de 19,7% du total des débarquements », a expliqué la DEPF.