DISPARITION. « Tshala Muana, maman Tshala comme je t’appelais toujours, affectueusement. J’ai voulu supporter cette douleur sans publier quoi que ce soit, mais que c’est dur !
Tu es le patrimoine de notre culture des deux Congo. Partout où je suis passée, en Afrique, on m’a parlé de toi. Je te croyais physiquement immortelle, mais tu le seras spirituellement car tes œuvres d’esprit que j’ai écoutées toute la journée dans ma voiture le resteront.
Maman, oui tu es née la même année que ma mère, Isabelle, rappelée à Dieu il y a deux ans jour pour jour. Tu resteras éternelle.
Puisse le Dieu Tout Puissant accueillir ton âme artistique ».