DISPARITION. Le JAZZ ne laisse AUCUN espace aux ATALAKU et à la vulgarité. C’est une musique qui a été créée dans la douleur pour préserver l’EXCELLENCE. Elle tire ses racines dans les profondeurs d’une histoire tragique et s’inscrit dans la lutte des justes causes.
WAYNE SHORTER, saxophoniste et compositeur de standards, aura participé à cette histoire, vécu la VRAIE vie aux côtés de ses compères dont les noms pour la plupart ont été inscrits dans les HALLS OF FAME, consécration suprême pour un artiste ou un athlète. Lui a été consacré de son VIVANT et s’est éteint à presque 90 ans, un bel âge pour tirer sa révérence. Il lègue à l’humanité toute entière un immense héritage fait de mélodies, de belles notes et de swing. Sa discographie éloquente est la preuve qu’il n’aura bossé ardemment que pour égailler.
J’ai eu le bonheur de le voir, le photographier en concert, et d’étudier certaines de ses compositions pendant mes années de conservatoire. « FOOTSPRINT », PINOCCIO », « DANCE CADEVEROUS » et bien d’autres chefs-d’œuvre vont continuer à alimenter l’industrie musicale.
Il s’était complètement retiré de la scène depuis une bonne décennie pour mieux préparer sa transition.
La route de MPEMBA, le pays des Ancêtres, est sans embûche pour ceux et celles qui ont su se mettre au service de l’humanité.
LOVELY CAT, REST IN POWER
Par Nysymb Lascony