Congo. Activités scientifiques sur le Sida et les maladies émergentes à Oyo

PARLONS-EN. Des activités scientifiques sur le Sida et les maladies émergentes se tiendront à Oyo les 8 et 9 mars 2024, en marge des évènements marquants le 15e anniversaire de la disparition de Mme Edith Lucie Bongo Ondimba, dans un pays où 140 000 personnes, généralement les jeunes filles et adolescents dont l’âge varie entre 15 et 25 ans, souffrent du Sida. Nous Congolais avons un vice rédhibitoire, nous sommes foncièrement attachés au respect suprême dû aux morts, c’est d’ailleurs la raison pour laquelle nous ne parlerons pas des à-côtés de cette journée hautement scientifique, même s’il faudrait reconnaitre le leadership de Mme Edith Lucie Bongo Ondimba dans la lutte contre le Sida et les maladies infantiles aussi bien au Gabon que dans notre pays. Mais sur le plan citoyen, qui pourrait nous blâmer de nous inquiéter de l’indifférence avec laquelle les autorités de notre pays, habituées aux roulements de tambours à chaque éclosion d’un œuf dans un poulailler, face à la montée exponentielle de cette pandémie dans la couche juvénile de notre pays ? Pourquoi avoir reconverti depuis des décennies, le ministère de la Santé en un ministère de la discrétion étanche, incapable de mener de véritables campagnes de lutte contre le Sida et toutes les maladies sexuellement transmissibles ? Pourquoi toujours mettre à la tête de ce ministère des quidams dont le talent et le génie ne dérogent pas de la contre-performance, des personnes dont les productions intellectuelles et publiques frisent le ridicule et tutoient le néant absolu ? Pour dire les choses de manière prosaïque, personne n’a été à la hauteur, et nous insistons, personne n’a réussi à se détacher du lot et marquer les esprits par la hauteur de vue dans l’exercice de la fonction. Fonction élégante qui requiert un verbe qui séduit, une analyse qui convainc et des actes qui portent, ce poste devrait être occupé par des personnalités qui ne viendraient pas là comme au catéchisme pour apprendre leurs gammes, mais plutôt ceux qui sont prêts à donner la pleine puissance par leur expérience et leur vécu. Or voilà que patatras, le maître du jeu confère à ce ministère, le statut de maroquin inodore et sans saveur, loin d’être un temple qui aurait été bâti pour mettre un terme au supplice et à la souffrance d’un peuple qui ne sait même plus à quel saint se vouer. En tout, pour avoir joué le drôle jeu de l’incantation qui consiste à considérer l’année 2024 comme une année de la jeunesse ou année consacrée aux jeunes, il serait dramatique de continuer à voir ces derniers atterrir comme des mouches foudroyées par un insecticide, dans les différents cimetières de notre pays, simplement parce qu’ils leur manquent une information pertinente et sont méprisés par les dirigeants du pays. Attachons du prix à voir ce qu’il en sera ! Que Dieu bénisse le Congo-Brazzaville. Laurent DZABAPrésident de la Dynamique VJ2R.
Congo-Togo : Faure Gnassingbé en visite de travail de 24 heures à Oyo

Le Président togolais, Faure Essozimna Gnassingbé a effectué une visite de travail à Oyo (département de la Cuvette), ce mardi 7 novembre 2023. Arrivé à l’aéroport d’Ollombo, en mi-journée, il a été accueilli par son homologue congolais, Denis Sassou-N’Guesso. Les deux dirigeants ont, par la suite, pris la direction d’Oyo, où ils se sont entretenus en tête à tête. Les présidents Denis Sassou-N’Guesso et Faure Faure Essozimna Gnassingbé ont eu un premier échange au salon présidentiel de l’aéroport, avant de les avoir poursuivi en tête-à-tête à Ngolodoua et à Oyo. Aucune déclaration n’a été faite à l’issue de cette série d’entretiens entre les deux chefs d’Etat. Néanmoins, les discussions entre les présidents congolais et togolais renseignent sur l’excellence des relations d’amitié et de coopération existant aussi bien entre les deux pays qu’entre les deux chefs d’Etat. Ainsi, il n’est pas exclu que les deux hommes d’Etat aient abordé des questions relatives à la coopération bilatérale, sans oublier de nombreuses questions d’actualité sur les plans continental et international. Le président Denis Sassou-N’Guesso n’a pas manqué de faire le point à son hôte sur la tenue réussie et les conclusions du 2ème sommet des trois Bassins forestiers tropicaux, organisé à Kintélé du 26 au 28 octobre dernier. Le togolais n’ayant été présent à ce rendez-vous ‘’historique’’ dont l’objectif a été, pour ces les pays de ces trois bassins de parler d’une seule voix lors de la COP 28, prévue à Dubaï, à la fin de ce mois de novembre. Les deux présidents des Républiques ont aussi, probablement, évoqué la situation politique et sécuritaire sur le continent ainsi que les questions internationales d’intérêt commun. Les derniers développements de l’actualité dans le monde n’ont, certainement, laissé indifférents ces deux dirigeants qui sont attachés à la paix. L’excellence des relations d’amitié et de coopération entre le Congo et le Togo donne à chacune des rencontres des deux chefs d’Etat, l’occasion de les marquer du sceau de leur engagement à les redynamiser dans l’intérêt mutuel des peuples congolais et togolais. Wilfrid Lawilla D.
Congo-Kenya : William Ruto s’imprègne de la réalité économique d’Oyo

Située à environ 400 kilomètres au nord du pays, la ville d’Oyo a été la seconde étape de la visite d’Etat du Chef de l’Etat kenyan en terre congolaise. Dans la ville d’Oyo, avec quelques activités économiques qui s’y déroulent, préfigure la diversification de l’économie congolaise, le président William Ruto a touché du doigt cette réalité économique. Arrivé de Brazzaville, le 9 juillet 2023, en début d’après-midi et accueilli en grande pompe à l’aéroport international d’Ollombo, le président William Ruto a pris, en compagnie de son homologue congolais, Denis Sassou-N’Guesso, un bain de foule, dès l’aéroport. Visite des sites à vocation économique Près d’une demi-heure après son arrivée au bord de l’Alima, William Ruto a eu un bref entretien avec son homologue, Denis Sassou-N’Guesso. Les deux chefs d’Etat ont, par la suite, pris la direction de quelques sites à vocation économique. Ce qui a permis à l’hôte du président congolais de visiter la réalité économique de la ville d’Oyo. En compagnie de son homologue congolais, le chef de l’Etat kenyan a, en effet, visité l’abattoir « Bon bœuf », situé au village Engouemé, à quelques kilomètres d’Oyo. William Ruto a admiré cette infrastructure qui compte, au total, six secteurs d’activités, dont l’abattage, le réfectoire et l’étable. Cette ronde des sites s’est poursuivie à la palmeraie du village Mbobo, à la ferme d’autruche d’Opokania, au ranch de Kila et à l’usine de lait d’Alima, basée à Edou. La tripartite de fin de la visite Au terme d’une visite bien riche, le président kényan a regagné son pays ce 9 juillet peu avant midi. Il a eu droit aux honneurs civils militaires conformément au protocole d’une visite d’Etat : exécution des hymnes nationaux des deux pays, revue des troupes, salutations des corps constitués. Mais avant d’accompagner son homologue à l’aéroport, Denis Sassou N’Guesso a accueilli ce 9 juillet dans la matinée, le chef de l’Etat centrafricain, Faustin-Archange Touadera. Les trois chefs d’Etat, le kényan, le centrafricain et le congolais ont ainsi eu un entretien tripartite dont ils n’ont rien révélé à la presse. Néanmoins, tout porte à croire qu’au cours de cette tripartite qui a clos la visite d’Etat du président kényan au Congo, les trois dirigeants ont échangé sur les questions de paix, de sécurité et de développement sur le continent. Wilfrid Lawilla
Congo Brazzaville/Réformes des finances publiques. Le casse-tête congolais

En marge de leur deuxième assemblée générale, du 26 au 27 novembre 2022, à Oyo, au bord de l’Alima, l’Onec-C a innové en initiant un atelier sur les réformes des finances publiques. Quel est le rôle que peuvent jouer les professionnels en comptabilité( experts-comptables, commissaires aux comptes, et experts judiciaires en comptabilité) pour accompagner le gouvernement dans ce vaste chantier des réformes appelées à être effectives dès janvier 2024? Le Congo sera t-il prêt dans un an…? En rapport avec les deux principaux thèmes: » État des lieux sur l’organisation de la comptabilité publique », et la » Présentation de la réforme et le retour d’expérience « , les organisateurs, Michel Patrick Gamassa, le président de l’Onec-C, et le comité d’organisation présidé par Colbert Okinga Eboungou, ont mis de petits plats dans les grands pour offrir un débat de qualité aux professionnels de la comptabilité et autres invités de marque qui se sont donné rendez-vous à l’hôtel Alima palace, à Oyo. Le commissaire du gouvernement auprès de l’Onec-C, Henri Loundou, a centré sa présentation sur les 6 nouveaux textes sur la gestion des finances publiques, avec, en prime, le contenu succinct de chaque texte, ainsi que la procédure ayant conduit à leur élaboration, en conformité avec les directives de la Cemac. Le conseiller aux comptes publics, à la normalisation et aux réformes des finances publiques, au ministère du Budget, des comptes publics et du portefeuille public, Saturnin Ipodo-Nzingou, s’est, quant à lui, étendu, sur la présentation de l’architecture comptable projetée après la reforme, en comparaison avec la comptabilité actuelle. Une étude comparée qui donne un aperçu des résultats attendus en rapport avec la logique de gestion axée sur les performances… S’il est vrai que le Congo a connu un retard dans la mise en œuvre de ses réformes des finances publiques, qui vont de la réforme fiscale et de la douane, au trésor et à la comptabilité, en passant par la réforme budgétaire, force est de reconnaître que le gouvernement reste engagé sur ce chantier titanesque. Au regard du timing, la mobilisation des ressources humaines de qualité dans les domaines de la comptabilité publique, des finances et autres, le changement de logiciel mental, pourraient-ils donner un coup d’accélérateur à ces réformes attendues en 2024? De l’avis des experts interrogés, le temps paraît court. « Il va falloir solliciter un délai supplémentaire, comme nous l’avons fait au Bénin « , suggère l’expert-comptable beninois Arnaud Mensah. Les expériences, en mode visio conférence, tunisienne et togolaise, présentées respectivement par Anis Wahabi et Nicodème Adzra, auxquelles s’est joint l’exposé, en mode presentiel, sur l’expérience du Bénin développée par un fin limier des finances publiques, Dodey Arnaud Crépin Mensah, inspecteur général des finances de son pays, ont constitué une valeur ajoutée en termes d’informations de qualité que devraient exploiter de manière concomitante les officiels congolais et professionnels de la comptabilité. L’exemple du Bénin, arrivé à sa 12 ème revue, en matière de réformes de finances publiques, premier pays dans la zone Franc, pourrait-il servir d’école aux autorités congolaises? Par A. Ndongo (à Oyo) Journaliste économique et financier Brazzaville
Congo. Denis Sassou Nguesso a-t-il pris conscience du potentiel du tourisme de mémoire de son pays?

TRIBUNE. Des images qui circulent actuellement sur les réseaux sociaux montrent le Président congolais avec Yannick Noah ancienne gloire du tennis et chanteur franco camerounais au bord de l’Alima à Oyo. Dans les conversations qui transpirent entre les deux personnalités, on entend clairement DSN parler des afro descendants et de leur intérêt de plus en plus croissant pour le continent. Il parle aussi de son intention de construire un musée. Sûrement sur la baie de Laongo qui est l’un des plus importants ports d’embarquement d’esclaves du continent. Le Chef de l’Etat a-t-il, enfin, pris conscience du potentiel de Soft Power et de tourisme de mémoire qu’il y a derrière ce patrimoine ? Madame Pongault qui a longtemps été conseillère du Président sur ces questions et qui a beaucoup travaillé à la valorisation du site de Laongo a t elle été choisi pour cela? Après Yannick Noah à Oyo, peut-être Mike Tyson ou Will Smith à Loango? Nous savons que ce sont des projets que porte depuis des années la nouvelle Ministre. Qui vivra verra! Guillaume Kouka Promoteur de visiterlecongo
Congo. A Oyo, le régime de Sassou Nguesso sous son plus beau bourg

PELE-MELE. Aéroport international, hôpital ultramoderne… le village de pêcheurs s’est doté des infrastructures les plus modernes dont manque le reste du pays. Le président congolais, réélu le 21 mars avec 88,4% des voix, est de nouveau investi ce vendredi. Il a préparé la cérémonie dans cette vitrine à sa gloire. Des paons. C’est la première chose qu’on voit en pénétrant dans Oyo, gros village de plusieurs milliers d’habitants au milieu du Congo et fief du président congolais Sassou Nguesso. Seuls ou en meute bien ordonnée, ils divaguent dans les rues, les cours, explorent, picorent, entre deux cris perçants. «Ce sont les paons du Président», murmure-t-on. Leur refuge doré est tout près. Au numéro 1 de l’avenue Denis Sassou Nguesso, l’une des trois artères qui s’étirent à l’entrée de ce bourg de pêcheurs. Et tout indique que leur illustre compagnon est sur zone. Des bérets rouges sont postés à l’entrée de la propriété, le moteur d’un blindé ronfle près d’un de ses flancs débouchant sur l’Alima. «Le fleuve du Président», renseigne à son tour un piroguier sur la rive. En réalité, un affluent du fleuve Congo, qui coule entre des massifs de palmiers, bambous et ficus. L’avenue est nette, avec ses poubelles bleues fixées à des lampadaires. Le long des murs d’enceinte des résidences, on lorgne parfois un bout de Californie: villa avec larges baies vitrées et briques de verre, gazon impeccable, arbustes taillés, dépendances blanc immaculé. Mais le contraste est criant à deux pas: case en tôle, manguier, cour en terre… Lire la suite sur Libération.fr
REPORTAGE. Gare routière d’Oyo : Une porte vers plusieurs destinations

La gare routière d’Oyo a été inaugurée le 28 septembre 2016. Elle est située non loin du grand marché à étage de cette localité. Cette gare appartient à l’Etat congolais. Dans la cour y sont garés plusieurs véhicules qui sont, quant à eux, la propriété de certains citoyens autrement appelés opérateurs économiques dans le secteur du transport. Ces autobus et taxis sont disposés selon les axes routiers desservie en direction de plusieurs destinations de leurs choix. Ils desservent les localités d’Ollombo et Gamboma dans le département des Plateaux. Ils utilisent la devanture du grand bâtiment comme quai d’embarquement. Les autobus de marque Coaster qui embarquent plus d’une trentaine de voyageurs à leur bord, prennent la direction de Brazzaville. Le site du lavage de voitures et autres véhicules est utilisé par les véhicules desservant les axes de Bokouélé, Obouya et Owando dans le département de la Cuvette. D’autres s’arrêtent à Ewo dans le département de la Cuvette-Ouest. Selon le régisseur de cette gare, M. Alphonse Ongagna, la gare routière d’Oyo est un canal d’entrée d’argent pour le Trésor public à travers les petites recettes. Ces petites recettes sont remises au délégué qui en assure le versement au Conseil départemental d’Owando. Le Trésor public contrôle ces petites recettes par le biais de carnets de quittances gérés par les régisseurs de la gare routière pour des besoins de traçabilité. «Lorsque nous encaissons l’argent, nous faisons des états de versement que nous remettons au délégué. Il lui revient d’aller faire les versements au Trésor du Conseil départemental à Owando», a confié le régisseur Ongagna. Tous les véhicules qui embarquent et débarquent à la gare routière d’Oyo s’acquittent d’une taxe de stationnement. Ceux qui vont et reviennent de Brazzaville, c’est-à-dire, les autobus de marque Toyota Coaster, s’acquittent de la somme de 2500 FCFA de droit de stationnement. Les gros véhicules qui transportent les passagers et les marchandises s’acquittent de la somme de 5000 FCFA pendant que les taxis déboursent 1000 FCFA. Lorsque des bus passent la nuit dans l’enceinte de la gare routière, ils doivent ajouter la somme de 1000 FCFA de frais de gardiennage, ce qui leur fait un total de 3500 FCFA pour les bus, 2000 FCFA pour les taxis et 6000 FCFA pour les gros véhicules. Lorsque des véhicules tombent en panne dans l’enceinte de la gare routière, les propriétaires ou meurs chauffeurs payent à ce moment-là des frais journaliers de gardiennage correspondant au nombre de jours de leur panne. Dans le cas où le véhicule passe dix jours dans la gare par exemple, le chauffeur ou le propriétaire doit s’acquitter de la somme de 10 000 FCFA ou n’importe quel montant correspondant au nombre de jours de stationnement du véhicule en panne multiplié par 1000 FCFA par jour. La gare routière gère également des boutiques louées à des usagers ayant signé des contrats avec l’Etat. Les petites recettes sont renforcées par des dortoirs pour permettre aux chauffeurs qui ne peuvent pas repartir le même jour de passer la nuit dans des conditions adéquates. Ces dortoirs coûtent 3 000 FCFA la nuit. La gare routière rencontre toutefois des problèmes d’incivisme avec des chauffeurs véreux qui tentent parfois de se soustraire du paiement de la taxe de stationnement. Ils sont souvent rattrapés avec l’aide de la police qui les ramène dans les services du la gare routière où ils a-acquittent leurs taxes avant de repartir. La gare routière emploie huit personnes dont deux régisseurs. Elle est dotée d’une grande salle d’attente et de toilettes modernes.
Congo/culture : Le Musée Kiebe-Kiebe de N’Gol’Odoua ouvert au public

Le président Denis Sassou N’Guesso a procédé, le 9 mars 2017 à Ngol’Odoua à Oyo à plus de 400 km au nord de la ville de Brazzaville, à l’inauguration du musée Kiébé-Kiébé dit de N’Gol’odoua. Cette activité a eu lieu en présence de plusieurs invités de marque parmi lesquels les anciens présidents nigerian Olesegun Obsanjo et malien Alpha Omar Konaré. Ce musée qui replonge son initiateur, le président Denis Sassou N’Guesso dans ses racines, contient plus de 150 pièces de Kiébé-Kiébé. Le professeur Théophile Obenga a prononcé l’unique discours avant la coupure du ruban symbolique par le président Sassou N’Guesso. L’intervenant qui a salué la venue de ce musée dans l’espace culturel congolais, a déclaré en substance, que le Musée de N’Gol’odoua se dresse désormais au cœur de la végétation pour faire entrer les sculptures Kiebe-Kiebe dans l’histoire de l’humanité». Visitant le Musée, le président de la République et autres personnalités ont découvert plusieurs figurines Kiebe-Kiebe, des instruments de musique, des paniers des œuvres plus récentes issues de la collection présidentielle, et liés au cérémonial du Kiebe-Kiebe. Les participants à cette cérémonie ont eu l’occasion de vivre quelques pas de la danse Kiébé-Kiébé sous un soleil accablant. Cette cérémonie s’est poursuivie le jour suivant avec le colloque à propos au cours duquel deux communications ont été faites par les Universitaires Yvon Norbert Gambeg et Ndinga-Mbo sous la modération de M. Camille Bongou. Plusieurs experts du Kiébé-Kiébé ont ainsi débattu des caractères profane et sacré de cette danse en présence de la conseillère du Président de la république, Lydie Pongault, l’artiste de ce musée. Rwanhe Darwin