Livre. « Melhoun et peinture » de Loubaba Laalej présenté à Salé
Dans le cadre de la 14ème édition du Festival Maqamat qui se tient jusqu’au 7 juillet 2024 à Salé, l’artiste peintre et écrivaine Loubaba Laalej a présenté et signé son ouvrage intitulé «Melhoun et peinture», mardi dernier. Ce livre, disponible en français et en arabe, est une fusion harmonieuse de poésie et de peinture, qui révèle l’exceptionnel talent artistique d’exception de l’auteure. Dans cet ouvrage, elle nous donne à apprécier un recueil de poèmes magnifiquement illustré par ses propres tableaux. Divisé en quatre chapitres distincts, «Melhoun et peinture» aborde différents aspects du melhoun, notamment à travers des sections dédiées à sa parole mélodieuse, à son impact sur les toiles de l’artiste, à l’hommage rendu à la femme dans cette forme d’art, ainsi qu’à l’influence des grands maîtres du melhoun sur son travail. Lors de la présentation de son ouvrage, Madame Laalej a partagé sa vision artistique et littéraire et a souligné la symbiose entre ses poèmes et ses peintures. Son langage poétique donne une nouvelle dimension aux chefs-d’œuvre revisités pour enrichir ainsi l’expérience des passionnés de melhoun. La profondeur, la perspective et le choix des tons dans ses tableaux contribuent à sublimer l’esthétique de cet art ancestral. Résultat : un univers où la poésie et la peinture se rejoignent harmonieusement. « Le melhoun est cet art qui fait ressentir ce qu’il y a de plus précieux et de plus chaleureux en soi.Il ouvre les sourires et enchante les cœurs. Il informe l’esprit et rassemble le peuple autour de lui.Il est le sortilège de cette parole chantée. Il est le poème d’une mémoire séculaire portée. Il est notre identité culturelle d’une valeur intemporelle. Le melhoun est la mémoire qui a construit l’histoire populaire du Maroc. Il a su jouer à la perfection le rôle de trait d’union entre le passé et le présent.», a expliqué Loubaba Laalej. Cette fusion des sens, cette immersion totale dans un univers à la fois poétique et pictural, témoigne du talent et de la sensibilité artistique de l’auteur. Pour l’écrivain et chercheur Dr. Samir Lotfy, « Melhoun et Peinture » est une œuvre littéraire et artistique qui propose un voyage décoiffant à travers le temps et l’espace. «Loubaba Laalej via cet ouvrage nous invite à apprécier la magie du melhoun et la beauté des couleurs comme « espaces » de communion, de convivialité, de partage et un haut lieu de retrouvailles pour tous les humains, abstraction faite de leurs appartenances sociales, de leur ethnicité et de leurs religions. Des humains en quête d’une joie universelle, d’un bonheur éternel et d’un remède efficace contre tous les aléas pesants et pressants du temps et les tracasseries de la vie, que seuls les arts sont à même de procurer en toute abondance et en toute générosité», a-t-il souligné. Dans ce sens, «Melhoun et peinture» se prononce comme un véritable hommage à la richesse et à la diversité de l’art du melhoun. Quelle belle illustration de la synergie entre la poésie et la peinture, entre les mots et les couleurs, entre la tradition et la modernité! « Loubaba Laalej en profite et s’y trouve comme un poisson dans l’eau. Avec une thématique aussi riche que variée, le lyrisme est de mise, que ce soit dans les printanières « rabiiyate » ou les matinales «sebbohi» ou ces veillées teintées de jovialité musicale bienheureuse sans laisser dans les limbes des implorations de pardon quand il s’agirait de quelque remords aux relents du péché.Faste, féerie, félicité, tout y est pour célébrer beauté et art de vivre quand la femme occupe une place de choix et inspire moult paroliers. Autant de titrages aussi transparents que révélateurs. Et c’est Zineb, Fatima, Yamina, Aicha, Rita, Loubaba, Malika et le répertoire est bien long», a affirmé le chercheur en art Ahmed Fassi. BIO-EXPRESS. Native de Fès, Loubaba Laalej est une artiste peintre et écrivaine prolifique. Membre de la Ligue des Écrivaines du Maroc. Membre du Bureau Permanent de la Ligue des Écrivaines d’Afrique. En 2019, elle a obtenu un doctorat honorifique délivré par le Forum International des Beaux-arts (Fine Arts Forum International) à titre de reconnaissance. Elle a à son actif une multitude de publications sur son expérience créative : «Émergence fantastique», «Mes univers», «Matière aux sons multiples», «Abstraction et suggestion», « Dames du monde : entre l’ombre et la lumière». Parmi ses recueils de poésies (écrits et œuvres) : «Fragments», «Pensées vagabondes», «Mysticité et plasticité», « Melhoun et peinture», «Poésie et peinture», «Icônes de la plasticité au féminin», «Chuchotement du silence», «Musique et plasticité» (Tome I et Tome II), «Vivre avec soi», «Vivre ensemble», «Danse et plasticité» (Tome I et Tome II), «L’ Amour et l’Art », « La Mort et l’Art », « La Beauté et l’art », « La Route de lumière », «Voix intérieure», «La Vérité et l’Art » , « La Liberté et l’Art», « Le Bonheur et l’Art», « L’Imagination et l’Art», « Le Désert et l’Art», «L’Afrique et l’Art», « Le Rêve et l’Art ». Livres en cours de publication (écrits et œuvres) : « Manifeste lyrique », « La Mémoire et l’Art», « La Folie et l’Art», « Le Voyage et l’Art», « Le Sacré et l’Art», « La Société et l’Art », « L’ Âme et l’Art», « Le Sacré et l’Art», « Le Génie et l’Art », « L’Homme et l’Art » , « La Mémoire et l’Art » …
Loubaba Laalej signe son « Chuchotement du silence» à Rabat
Lors de la 29e édition du Salon international de l’édition et du livre (SIEL 2024), Loubaba Laalej, écrivaine et artiste peintre, a dévoilé son livre intitulé « Chuchotement du silence » samedi dernier à la galerie de la Ligue à Rabat. Ce livre, préfacé par les écrivains et professeurs chercheurs Aziz Stouli et Ahmed Bachnou, explore de manière approfondie le thème du silence et de ses murmures, qui sont des éléments centraux de l’œuvre de cette créatrice talentueuse. À travers ses écrits et ses œuvres picturales, Loubaba Laalej plonge dans la subtilité et l’intensité des silences pour offrir une réflexion poétique et artistique sur ce concept évocateur. Cette présentation a offert une occasion précieuse de découvrir la richesse du travail créatif de l’écrivaine et artiste. Son livre promet une immersion captivante dans la thématique du silence et de ses multiples résonances. Dans « Chuchotement du silence », la plume de l’écrivaine franchit avec finesse la puissance des mots et des images à travers la poésie et la peinture littéraire. Les poèmes se transforment en tableaux vivants, empreints d’émotions, de sentiments contrastés, de bonheurs et de souffrances, de solitude et de réflexions sur la vie et la mort. «La plume de Loubaba Laalej pianote de temps à autre des états d’âme colorés selon des humeurs et les circonstances, emmaillées de l’insondable profondeur du silence. Lequel silence est une matière chère à l’auteure ! Une source fortifiant ce trésor de paix «Chuchotement du silence ». Des lignes façonnées de parfum du silence. Des lignes chuchotées, bercées tendrement par des eaux douces des lumineuses sources ou des rivières intarissables. Des balades lyriques sans bruit, qui inspirent l’esprit pour découvrir d’autres mondes, d’autres voyages», a affirmé l’écrivain et professeur chercheur Aziz Stouli. En effet, Loubaba Laalejexplique de manière subtile et intelligente les différentes facettes du silence présentes dans son ouvrage : le silence de la plénitude, celui qui engendre, celui qui cache ses mystères, celui des personnes autistes et celui des sourds. L’auteure souligne la complexité du silence et ses implications profondes à travers des réflexions poignantes et des observations sensibles. « J’aimerais méditer le silence. J’ai soif, j’ai faim de paix. Je suis là, dehors auprès de toi. Cesser de l’attendre, c’est le rencontrer. Il est ce jardin qu’on apprend à cultiver. Il se pare d’images, de couleurs et de notes. Il crée le bruit qui précède le silence. La colère se tait dans la paix. Les volcans ravalent leur larve et les contraires s’acceptent. Les pensées retournent à leur chaos. Ce qui s’agite et irrite lâche et se détend. Le silence du plein devient vide. Son vide se transforme en plénitude», a indiqué Loubaba Laalej lors de cette rencontre. En abordant la thématique du silence, l’auteure invite le lecteur à une réflexion profonde sur la communication, la compréhension et les interactions humaines. Son approche artistique et littéraire offre une vision nuancée de ce concept universel, soulignant ses nuances et ses implications sociales et émotionnelles. « Il est une étrange inquiétude nourrie aux appréhensions, à la peur de ce qui pourrait se passer! De l’archaïque surgit une angoisse latente qui reste inconsciente. Les fantasmes menacent une réalité improbable qui n’aurait pas existé! Khalil Gibran : « Le silence de la solitude, révèle le moi dans sa nudité ». Le bruit en nous vient secourir les peurs. Il nous suggère l’idée de la mort! Des vagues énormes viennent à la rescousse. Elles affirment la frayeur du silence. Tout s’exalte et se multiplie. Les refoulements déferlent venimeux. La digue protectrice et saturée éclate!», a poursuivi Loubaba Laalej. L’analyse fine et profonde de Loubaba Laalej révèle que le silence peut revêtir diverses formes et significations, selon le contexte dans lequel il s’inscrit. Par exemple, le silence de la plénitude, évoqué subtilement dans ses poèmes, renvoie à une sensation de calme et de sérénité, à un moment de connexion intérieure et d’apaisement. C’est un silence qui invite à l’introspection et à la contemplation, offrant à l’âme l’opportunité de se ressourcer. Selon l’écrivain et professeur chercheur Ahmed Bachnou, l’écrivaine a voulu nous introduire dans une rhétorique de l’indicible. «Loubaba Laalej fait de l’écriture du silence l’objet même de ses projets littéraires, en voulant explorer l’expérience de l’indicible à travers le silence, le monde d’au-delà du langage, le pouvoir du vide et de l’absent. Indéniablement, il y a un courage créateur dans le choix de se taire, une prise de conscience salutaire, digne. Le silence peut s’entrevoir par différents biais, comme une dialectique entre la parole et le vide, qui met en cause le rapport auteur et lecteur, mais aussi comme un acte énonciatif où le silence est pris en charge par le récit», a-t-il expliqué. Il faut dire enfin que la plume de Loubaba Laalej célèbre la richesse du silence, sa capacité à transcender les mots et à toucher l’essence même de notre humanité. Ses écrits nous rappellent que dans le tumulte du monde moderne, prendre le temps de se taire et d’écouter peut être une véritable source d’inspiration et de transformation. BIO-EXPRESS Native de Fès, Loubaba Laalej est une artiste peintre et écrivaine prolifique. Membre de la Ligue des Écrivaines du Maroc. Membre du Bureau Permanent de la Ligue des Écrivaine d’Afrique. En 2019, elle a obtenu un doctorat honorifique délivré par le Forum International des Beaux-arts (Fine Arts Forum International) à titre de reconnaissance. Elle a, à son actif, plusieurs publications sur son expérience créative : «Émergence fantastique», «Mes univers», «Matière aux sons multiples», «Abstraction et suggestion», « Dames du monde : entre l’ombre et la lumière». Parmi ses recueils de poésies (écrits et œuvres) : «Fragments», «Pensées vagabondes», «Mysticité et plasticité», « Melhoun et peinture», «Poésie et peinture», «Icônes de la plasticité au féminin», «Chuchotement du silence», «Musique et plasticité» (Tome I et Tome II), «Vivre avec soi», «Vivre ensemble», «Danse et plasticité» (Tome I et Tome II), «L’ Amour et l’Art », « La Mort et l’Art », « La Beauté et l’art », « La Route de lumière », «Voix intérieure», «La Vérité et
Maroc. Loubaba Laalej ou les enjeux de « l’Amour et l’Art »
Lors l’édition 2023 du Festival international du Film de Femmes de Salé, Loubaba Laalej, écrivaine et artiste peintre renommée a présenté son dernier ouvrage intitulé «L’Amour et l’Art». Cette rencontre-signature a été animée par M’braekHousni, écrivain et critique de cinéma. A l’occasion d’échanges avec les participants, Loubaba Laalej a partagé les origines inspirantes de son œuvre littéraire ainsi que la signification profonde qui se cache derrière ses textes. De plus, elle a également mis en avant ses talents artistiques en illustrant certains passages clés avec ses œuvres d’art. Cette instant privilégié, unique offert aux amateurs d’arts visuels et littéraires leur a permis non seulement de découvrir le travail prolifique de Loubaba mais aussi d’apprécier la diversité culturelle mise en lumière aux côtés des auteurs reconnus tels qu’Aicha Belarbi , Abdelkrim Ouakrim et Azlarabe Alaoui Lmhrazi. Dans son dernier ouvrage intitulé « L’Amour et l’Art », Loubaba, artiste marocaine eux talents multiples nous offre une œuvre d’une construction rigoureuse et efficace. Précédée par les préfaces du critique littéraire Dr Mostafa Ennahhal et du journaliste-enseignant chercheur français Claude Malin, cet ouvrage se distingue également par son style remarquablement maîtrisé. Traduit en arabe par le critique et chercheur Dr Abdallah Cheikh, ce livre est bien plus qu’un simple recueil de textes ; c’est une invitation au voyage dans un univers empreint de sensibilité artistique. « Loubaba Laalej est une artiste peintre et poétesse alliant à merveille l’art de composer des strophes et l’art de peindre. Elle a cette belle particularité d’enrichir les rayons de nos bibliothèques avec des livres où l’on savoure la rythmique poétique qui instaure un dialogue avec d’illustres noms de la littérature, de la philosophie, du sophisme, de la spiritualité et des arts, tant en Occident qu’en Orient, proche et extrême. C’est un trait éminemment caractéristique, qu’on pourrait aisément appeler un encyclopédisme, porté par la somme de références et de citations intégrées dans ses textes et ses vers, de manière à faire partie prenante d’un tout signifiant unique», a souligné l’écrivain et critique de cinéma M’barekHousni lors de cette rencontre. L’auteure maîtrise avec précision une mécanique littéraire redoutable qui captive le lecteur dès les premières pages. Chaque élément s’assemble parfaitement pour former un ensemble cohérent où l’amour et l’art sont étroitement liés. À travers ces pages, nous découvrons la passion de l’écrivaine pour les mots mais aussi pour la peinture. Elle explore avec finesse toutes les facettes de l’amour dans ses différentes formes : amour romantique, amour familial, amour platonique… Ses vers poétiques viennent magnifier chaque tableau qu’elle dépeint avec habileté et expertise. «Ne pas vivre l’amour c’est rater le coche. Car tout ce qui est malade dans l’homme, l’est par manque d’amour. L’amour je peux dire est phénoménal,. Il est notre nature profonde, il est alchimique, et il a toujours le dernier mot. Il parachève notre existence en lui donnant sens. Il est comme un sortilège. Il est notre substance et la substance de tout ce qui est. L’amour se suffit à lui-même et il est le maître du cœur. Nécessaire à notre vie, il transforme notre ADN, disent les physiciens quantiques. La beauté et la compassion sont ses ingrédients, nous expliquent les bouddhistes. Il est le but de notre incarnation. Nous sommes là pour l’expérimenter. Du profane au sacré, de celui conditionnel à l’inconditionnel, il rayonne et nous fait rayonner», a indiqué Loubaba Laalej lors de cette rencontre. Pour elle, nous sommes prisonniers de nous-mêmes, de nos instincts, nos désirs. «La vie est au-delà de cela. L’amour est infini. Il nous fait dépasser notre animalité, notre négativité, nos limites» Dans «L’Amour et l’Art», Loubaba Laalej nous propose une exploration approfondie des différents points de vue philosophique, historique et artistique. Grâce à sa vaste culture, elle analyse ces perspectives avec brio dans un texte d’une grande fluidité. Ce qui rend cet ouvrage particulièrement réussi, c’est la force de ses descriptions picturales. En effet, Laalej utilise une variété déconcertante d’exemples et d’anecdotes pour illustrer ses idées. Son style expert nous plonge au cœur même des sujets traités, ce qui nous permet de les comprendre pleinement. «L’art est un espace sans murs. Il ne peut se passer de fantasme. Qu’il soit profane ou mystique, il suscite notre imaginaire. Il se nourrit de la laideur et de l’horreur, comme il s’abreuve de l’harmonie et de la beauté. L’art et l’amour fusionnent. Allégories, paraboles, métaphores. L’incomplétude est la source de nos désirs. Elle est porteuse du manque et elle fait du désir une tentation. La beauté se fait muse. L’amour est la flamme. Le refus même mène à la mort. Et le désir est vie. L’amour est sublimé dans l’art. Il se projette et se confesse sensuel. Mystique, il devient chaste et pur, digne de Dieu. Il vise perfection et complétude. L’art est spirituel. Chaque artiste a sa vision et sa voie. Chacun voit avec l’œil de son œil», a-t-elle poursuivi. Bio-express Native de Fès, Loubaba Laalej est une artiste peintre et écrivaine prolifique. Membre de la Ligue des Écrivaines du Maroc. Membre du Bureau Permanent de la Ligue des Écrivaine d’Afrique. En 2019, elle reçoit letitre de docteur honoriscausa au Forum International des Beaux-arts (Fine Arts Forum International) à titre de reconnaissance. Elle a, à son actif, plusieurs publications sur son expérience créative : «Émergence fantastique», «Mes univers», «Matière aux sons multiples», «Abstraction et suggestion», « Dames du monde : entre l’ombre et la lumière». Parmi ses recueils de poésies (écrits et oeuvres) : «Fragments», «Pensées vagabondes», «Mysticité et plasticité», «Melhoun et peinture», «Poésie et peinture», «Icônes de la plasticité au féminin», «Chuchotement du silence», «Musique et plasticité» (Tome I et Tome II), «Vivre avec soi», «Vivre ensemble», «Danse et plasticité» (Tome I et Tome II), «L’ Amour et l’Art », « La Mort et l’Art », « La Beauté et l’art », « La Route de lumière », «Voix intérieure», «La Vérité et l’Art » . Livres en cours de publication (écrits et œuvres) : « Le Bonheur et l’Art», «L’Imagination et l’Art», « Manifeste lyrique », « Le Rêve et l’Art», « La Mémoire
Rabat. L’«Hommage à la femme créative» joue les prolongations jusqu’au 24 mars 2023
Bonne nouvelle ! Portée aux nues par le public et les médias, l’exposition « De l’ombre à la lumière» de la plasticienne Loubaba Laalej qu’abrite actuellement la Bibliothèque nationale du Royaume du Maroc (BNRM) sera prolongée jusqu’au 24 mars 2023. Dans cette exposition, organisée sous l’impulsion de la Ligue des Écrivaines du Maroc à l’occasion de la tenue du Congrès constitutif de la Ligue des Écrivaines d’Afrique, Loubaba Laalej met en lumière le portait de nombreuses femmes (célèbres ou méconnues) appartenant à des époques et des civilisations différentes mais toutes unies dans leur lutte contre les stéréotypes et les carcans qui les emprisonnent et les cantonnent dans l’ombre. L’exposition, offrant au visiteur plus de 40 tableaux, est organisée en deux volets. Le premier traite des «icônes de la plasticité au féminin», où Loubaba Laalej célèbre, par le pinceau et la plume, de nombreuses artistes engagées «immortelles» et «contemporaines» qui ont rencontré plusieurs obstacles contre lesquels, elles ont choisi, selon l’expression même de l’artiste, de lutter et de ne pas céder à la passivité mortelle. Le deuxième volet de cette exposition comporte, quant à lui, des tableaux représentant des exemples de «dames du monde», accompagnées de titres résumant la lecture faite par Mme Laalej au sujet de leurs parcours exceptionnels : «Balkis, message d’ascension», «Néfertiti, ma Pharaonne», «La magie d’Isis», «Zénobie, la fière», «Sapho, amoureuse des étoiles», «Sayyida al-Hurra, la brillante reine de Tétouan», «Zarqa’al-Yamama ou le regard ressuscité» et bien d’autres femmes ayant marqué l’Histoire de l’Humanité. Pour la critique littéraire Zhour Gourram, les tableaux de Loubaba Laalej «libèrent la femme du silence de l’Histoire sur son acte symbolique» et valorisent l’attachement de la femme créatrice à «s’exprimer sur son projet historique de réécrire l’Histoire des femmes dans toutes les civilisations et les cultures par le langage de la création et de l’art, loin de tout régionalisme extrémiste et proche de tout ce qui est commun entre les dames du monde». Native de Fès, Loubaba Laalej est une artiste peintre et écrivaine prolifique, membre de la Ligue des Écrivaines du Maroc. En 2019, elle obtient un doctorat honorifique délivré par le Forum International des Beaux-arts (Fine Arts Forum International) à titre de reconnaissance. Elle a publié plusieurs ouvrages sur son expérience créative : « Émergence fantastique », « Mes univers », « Matière aux sons multiples », « Abstraction et suggestion », « Femmes du monde : entre l’ombre et la lumière ». Parmi ses recueils de poésies (Écrits et œuvres) : « Fragments », « Pensées vagabondes », « Icônes de la plasticité au féminin », « Mysticité et plasticité », « Melhoun et peinture », « Poésie et peinture », « Chuchotement du silence », « Musique et plasticité » (Tome I et Tome II), « Vivre avec soi », « Vivre ensemble », « Danse et plasticité » (Tome I et Tome II), « L’Amour et l’Art », « La Mort et l’Art », »Le Temps et l’Art », »La Route de lumière », « La Beauté et l’Art », « Voix intérieure », « La Vérité et l’Art »… Parmi ses livres en cours de publication (Écrits et œuvres) figurent: « La Liberté et l’Art », « L’Imagination et l’Art », « La Mémoire et l’Art », « Le Bonheur et l’Art », « Le Rêve et l’Art », « Le Désert et l’Art », « Manifeste lyrique »…
Maroc/Exposition. L’œuvre de Loubaba Laalej s’invite à la BNRM
ARTS. Jusqu’au 20 mars 2023, l’artiste-peintre et écrivaine marocaine Loubaba Laalej dévoile ses œuvres récentes à la Bibliothèque nationale du Royaume du Maroc sur le thème « De l’ombre à la lumière». Organisée par la Ligue des écrivaines du Maroc, cette exposition, dont le vernissage a eu lieu jeudi dernier, s’inscrit dans le cadre du Congrès constitutif de la Ligue des écrivaines d’Afrique. Le public aura l’occasion de voir et d’apprécier les œuvres de cette plasticienne chevronnée dédiée aux femmes qui ont marqué l’Histoire de l’humanité à travers les époques de par leur lutte farouche contre les stéréotypes. «De l’ombre à la lumière» un titre qui sonne comme un message surtout qu’il est le thème choisi pour l’exposition d’une artiste-peintre et écrivaine, fervente défenseure de la liberté et des droits des femmes. Bien qu’elle coïncide avec la Journée internationale de la Femme, cette exposition qui se poursuit jusqu’au 20 mars 2023 se veut un hommage à toutes les femmes qui ont défié le contexte sociopolitique de leurs différentes époques pour briller de mille feux. Des femmes innovantes et actives dans leurs sociétés qui ont consacré leurs vies à la lutte contre les injustices dont elles ont été victimes, afin de porter la voix des femmes et participer à leur sortie de l’ombre à la lumière. « Cette exposition intervient afin de contribuer à la promotion des revendications des femmes et à la mise en lumière de leur participation dans le processus de développement civilisationnel, angle souvent négligé en faveur des hommes», indique à cette occasion l’artiste-peintre et écrivaine Loubaba Laalej. Le vernissage de cette exposition a été rehaussé par la présence du Ministre de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication Mohamed Mehdi Bensaid, mais aussi du Directeur de la Bibliothèque nationale du Royaume du Maroc Mohamed El Ferrane, la présidente de la Ligue des écrivaines du Maroc, présidée par Badia Radi, fraîchement élue présidente de la Ligue des écrivaines d’Afrique. Jusqu’au 20 mars, cette exposition, qui comporte plus de 40 tableaux, est organisée en deux volets. Le premier volet traite des «icônes de la plasticité au féminin» où Loubaba Laalej célèbre, par le pinceau et la plume, de nombreuses artistes engagées «immortelles» et «contemporaines», qui ont réussi à surmonter les différents obstacles qu’elles ont rencontrés dans leurs parcours. Il s’agit entre autres de l’artiste Niki de Saint Phalle, Frida Kahlo, Camille Claudel, Yayoi Kusama, Wangechi Mutu, Shuren Sukhat…. Se profilent ensuite les chefs-d’œuvre d’artistes arabes et marocaines qui ont réussi à se forger un nom au sein de sociétés patriarcales, à l’instar de la célèbre artiste irakienne Zaha Hadid, de l’algérienne Baya et des Marocaines Meriem Ameziane, Chaïbia et Zahra Ziraoui. Concernant le deuxième volet de cette exposition, Loubaba Laalej a choisi de nous régaler les yeux et transpercer l’âme à travers ses œuvres qui mettent en lumière les Dames du monde, des déesses et des reines. Ces œuvres sont accompagnées de titres résumant la lecture faite par Laalej au sujet de leurs parcours exceptionnels. On citera notamment «Balkis, message d’ascension», «La magie d’Isis», «Zénobie, la fière», «Sapho, amoureuse des étoiles», «Sayyida al-Hurra, la brillante reine de Tétouan», «Zarqa’al-Yamama ou le regard ressuscité». «L’artiste Loubaba Laalej a choisi de soulever la problématique de la situation de la femme dans le monde entre l’ombre et la lumière avec toutes ses références artistiques, politiques et historiques. Elle a travaillé sur son œuvre, avec la minutie et la rigueur d’un arsenal épistémologique profond et nous a offert une œuvre artistique qu’on peut lire d’une manière similaire à la manière taoïste, à savoir apprendre à trouver la voie qui mène à l’union et à l’harmonie parfaites entre l’homme et la nature», souligne l’écrivain et spécialiste en Esthétique, Driss Kattir. Sublimes, variées et riches, les œuvres de Loubaba Laalej, pour la critique littéraire Zhour Gourram, présentatrice de cette exposition, libèrent la femme du silence de l’Histoire sur son acte symbolique. «Elles valorisent l’attachement de la femme créatrice à s’exprimer sur son projet historique de réécrire l’Histoire des femmes dans toutes les civilisations et les cultures par le langage de la création et de l’art, loin de tout régionalisme extrémiste et proche de tout ce qui est commun entre les dames du monde», affirme-t-elle. Dans les œuvres de Loubaba Laalej, il est question également, selon le professeur agrégé et chercheur El Assad Hassane, de «reconstruire les parcours biographiques des femmes artistes qui, dans leur lutte, expriment dans la sérénité l’être féminin universel». Chose que l’écrivaine et plasticienne a réussi avec brio. Bio-express Native de Fès, Loubaba Laalej est une artiste peintre et écrivaine prolifique, membre de la Ligue des écrivaines du Maroc. En 2019, elle a obtenu un doctorat honorifique délivré par le Forum International des Beaux-arts (Fine Arts Forum International) à titre de reconnaissance. Elle a, à son actif, plusieurs publications sur son expérience créative : « Émergence fantastique », « Mes univers », « Matière aux sons multiples », « Abstraction et suggestion », « Femmes du monde : entre l’ombre et la lumière ». Parmi ses recueils de poésies (écrits et œuvres) : « Fragments », « Pensées vagabondes », « Icônes de la plasticité au féminin », « Mysticité et plasticité », « Melhoun et peinture », « Poésie et peinture », « Chuchotement du silence », « Musique et plasticité » (Tome I et Tome II), « Vivre avec soi », « Vivre ensemble », « Danse et plasticité » (Tome I et Tome II), « L’Amour et l’Art », « La Mort et l’Art », »Le Temps et l’Art », »La Route de lumière », « La Beauté et l’Art », « Voix intérieure », « La Vérité et l’Art »….Parmi ses livres en cours de publication (écrits et œuvres) figurent: « La Liberté et l’Art », « L’Imagination et l’Art », « La Mémoire et l’Art », « Le Bonheur et l’Art », « Le Rêve et l’Art », « Le Désert et l’Art », « Manifeste lyrique »…
Maroc. Loubaba Laalej dévoile ses «Icones de la plasticité au féminin »
L’artiste-peintre, écrivaine et poétesse marocaine Loubaba Laalej vient de publier un nouvel ouvrage intitulé «Icones de la plasticité au féminin », fraîchement paru à l’occasion de la Journée internationale de la femme. Poignant, ce recueil de textes, trempés de poéticité époustouflante et d’œuvres d’art, d’une diversité déroutante, porte un regard particulier sur le travail pictural de plusieurs plasticiennes de divers horizons et aux trajectoires bien distinctes. Un vibrant hommage à l’art conjugué au féminin. Loubaba Laalej est une artiste-peintre à la palette riche. Furtive, juste, incisive. Elle est aussi une plume. Légère, libre, critique. Dans son dernier ouvrage «Icones de la plasticité au féminin », cette plume devient une voix. Douce, ferme, habitée. Mieux encore, dans cet opus, elle est des voix, celles des artistes-peintres femmes qui ont marqué l’histoire de l’art à travers les générations et dont l’oeuvre ne prend jamais de rides face à l’usure du temps. De Louise Vigie Le Brun à Artemésia en passant par Frida, Zaha Hadid, Baya, Camille Claudel, Kusama, Shuren, Chaïbia ,Meriem Meziane , Zahra Ziraoui, Cindy Sherman, Mutu, Yahne, entre autres, ces plasticiennes incontournables ont œuvré, chacune selon ses convictions, ses moyens, ses rêves, ses contraintes, à façonner le monde de demain, celui où nous vivons aujourd’hui. Dans cet ouvrage, Loubaba Laalej, avec sa prose de miel, pur sucre, s’applique à cet univers fougueusement magique où la vie est toujours présente pour rendre un hommage appuyé à chacune de ses artistes qui ont joué la carte de l’excellente dans le domaine des arts plastiques avec ferveur et enthousiasme. « Grâce à son livre « Icones de la plasticité au féminin », les femmes créatrices , pour parler autrement comme Hérodote, sont « des oracles qui n’ont pas cessé », et qui intéressent toujours les passionnés d’art. L’idée de cette anthologie est une caution morale et intellectuelle basée sur l’érudition éclectique et la curiosité inépuisable de Loubaba. Une initiative savante et audacieuse qui n’est pas opposée aux élans de cette artiste peintre et écrivaine, pour qui l’art n’est jamais donné d’avance, et, comme l’amour, n’est pas affaire de beauté, mais de passion », indique à ce propos l’écrivain et journaliste Khalil Rais. Ainsi, Loubaba Laalej présente l’œuvre et le parcours de ces femmes plasticiennes de vision, de passion, de courage et d’action qui s’offrent une place prépondérante dans le domaine de l’art. Et elles y brillent de mille feux. Cependant, les femmes artistes représentées ne versent pas dans le féminisme étriqué. C’est ce que pense aussi El Assad Hassane, professeur agrégé et chercheur. « Le masculin n’est jamais considéré comme autre, il est juste l’autre versant de soi, le père, le frère ou le compagnon, Orazio, Talal, et Rodin. C’est pourquoi, dans le monde de Loubaba, il y a une féminité du masculin, une féminité retrouvant l’Un, un ordre d’abondance et de plénitude sans « la pomme et le serpent », lumière, arc-en-ciel embrassant l’universelle condition de l’homme », explique-t-il. Pour lui, l’artiste-peintre Loubaba se sert de la mise en abyme pour mettre en évidence , au-delà du fait biographique , son émotion esthétique devant le visage; le choix du portrait met en valeur un triple regard : le regard de l’artiste-femme , le regard de Loubaba présente dans ses toiles et le regard du spectateur, regards témoins se regardant à travers les autres car toute contemplation est introspection et quête de soi dans l’autre. « En somme, Loubaba a su traverser, plume et pinceau à la main, ces destins féminins pour nous initier à l’amour d’un art libérateur et atemporel », conclut-il. Bio -express Native de Fès, Loubaba Laalej est une artiste peintre et écrivaine. En 2019, elle a obtenu un doctorat honorifique délivré par le Forum International des Beaux-arts (Fine Arts Forum International) à titre de reconnaissance. Elle a, à son actif, plusieurs publications sur son expérience créative : « Emergence fantastique », « Mes univers », « Matière aux sons multiples », « Abstraction et suggestion », « Femmes du monde : entre l’ombre et la lumière » ( en cours de publication) . Parmi ses recueils de poésie (écrits et śuvres): « Fragments », « Pensées vagabondes », « Icônes de la plasticité au féminin ». Livres en cours de publication( écrits et œuvres) : « Mysticité et plasticité », « Melhoun et peinture », « Peinture et poésie »,«Chuchotement du silence », « Musicalité et plasticité »(Tome I), « Musicalité et plasticité »(Tome II), « Voix intérieure », « l’art et l’amour « , « la route de lumière ». AA.
Edition. Loubaba Laalej livre ses « Pensées vagabondes »
«Pensées vagabondes» est le titre qu’a choisi l’artiste peintre et écrivaine marocaine Loubaba Laalej pour son dernier recueil de poèmes fraîchement paru. Quel plaisir de s’oxygéner avec les vers de Loubaba Laalej. Un vrai délice quand on se rince la gorge avec ses sons, entraîné par leur rythme et écoutant leur écho dans l’air. Poésie ou peinture ? Indubitablement, les deux. La peinture et la poésie sont intimement liées par l’extase de l’image. Une richesse visuelle et polyphonique à apprécier, absolument. Grâce à la poésie, l’image se fait une voix. Une voix libre, éloquente et douce. L’image chante l’amour, la paix, la vie et la nature. Plastique ou poétique, l’image provoque nos émotions, nous fait rêver, écrire et peindre. Résultat : une parole peinte. C’est d’ailleurs le cœur sensible de ce recueil de poèmes de Loubaba Laalej où elle livre, comme l’indique son titre, ses pensées vagabondes. «Le dénominateur commun entre le texte poétique et le tableau peint est qu’il s’agit de deux outils expressionnistes répartis entre la tâche d’écrire et de peindre et l’essence de la création…», indique à cet égard le critique d’art, journaliste et écrivain Hassan Nrais. Déjà, dans ses premiers vers, apparaît sa veine créatrice. La poétesse, artiste-peintre, auteur de plusieurs ouvrages à succès sur son expérience plastique et philosophique, définit rapidement ses thèmes et son style. Pour assurer la musicalité de ses poèmes, elle travaille la langue française et met en valeur sa sonorité, son harmonie et sa beauté. Sans hésitation, elle se met à écrire ses poésies et va suivre le chemin, parfois douloureux, de sa vocation jusqu’aujourd’hui. Dans cette poésie lyrique, des motifs plus personnels émergent également. «La véritable expérience qui nous permet l’écriture est la lecture. Dans l’œuvre intitulée Pensées vagabondes de l’artiste poétesse Loubaba Laalej, fixer les linéaments d’une pensée itinérante et pathétique devrait permettre toute appréhension selon un changement personnel. Par sa coloration générique, cette œuvre s’oppose au souci de la représentation, à la logique de la ressemblance ; elle substitue celle du rêve à l’enchainement causant des faits, elle préfère la coïncidence», note de son côté le critique d’art Hassan Laghdache, dans la préface de ce recueil. Pour lui, même si le texte incline parfois à l’allégorie, il met en scène une forme intermédiaire entre le réel et le mythe, dans le sens d’une reconstitution historique fictive. Il s’agit de «se consoler des déboires de la vie. Mais ce n’est pas un repli sur soi, au contraire, pour créer, l’énergie et le déploiement du moi sont indispensables», ajoute-t-il. C’est pourquoi aujourd’hui, Loubaba Laalej est considérée l’une des figures emblématiques de l’art contemporain marocain au féminin mais également de la poésie. Il faut dire que son œuvre est, ou presque, à l’origine d’une école poétique. Une école avec ses thèmes spécifiques et ses propres formes. Une poésie dont la portée est d’une importance majeure pour l’évolution de la poésie marocaine d’expression française. De « Là et ailleurs» à « Le tableau» en passant par «le rêve, l’errance», « la géographie», «les frontières», « l’amour», « la haine», «le voyage, les voyages et le nomadisme», « le ciel », « la haute montagne », « l’infini et l’illimité », « l’éloignement », «la solitude», « l’isolement », « l’émancipation » et « la porte ouverte », tous les poèmes dans ce recueil sont « emplis de significations qui font du mot ou de l’expression une raison de cette existence. Et chaque texte poétique ici contient ses propres références pour la préserver loin des « d’illusions, des fausses vérités et de croyances limitantes… », souligne Hassan Nrais. L’univers unique de l’artiste peintre Loubaba Laalej, tantôt poétique, tantôt teinté de magie, ne vous laissera pas de marbre. Son œuvre est d’un tel onirisme de rêveries incantatoires qui se matérialise en un monde de mutations et de métamorphoses. Plus encore, c’est même le symbole de la transcendance qui peut s’interpréter comme être-médium unique, doué d’une vision spirituelle, allégorie du voyage libérateur. A lire ce dernier recueil, s’ouvrent à nous alors les portes des mondes improbables. Ayoub Akil BIO-EXPRESS : Native de Fès, Loubaba Laalej est une artiste peintre et écrivaine. En 2019, elle a obtenu un doctorat honorifique délivré par le Forum International des Beaux-arts (Fine Arts Forum International) à Imouzzer à titre de reconnaissance. Elle a à son actif plusieurs publications sur son expérience créative : « Emergence fantastique », « Mes univers », « Matière aux sons multiples », « Abstraction et suggestion », « Femmes du monde : entre l’ombre et la lumière » ( en cours de publication) .Parmi ses recueils de poésie : « Fragments », « Pensées vagabondes ». Elle compte également plusieurs ouvrages en cours de publication notamment «Mysticité et plasticité», « Melhoun et peinture», «Peinture et poésie», «Icônes de la plasticité au féminin», « Chuchotement du silence».