Jude Bellingham favori pour le Ballon d’Or 2024 : Un Bilan Exceptionnel au Real Madrid !

Jude Bellingham favori pour le Ballon d’Or 2024 : Un Bilan Exceptionnel au Real Madrid !

L’arrivée tonitruante de Jude Bellingham au Real Madrid cet été, pour une somme record de cent trois millions d’euros, a été le prélude à une saison éblouissante pour le jeune prodige anglais. Ses performances remarquables font de lui un sérieux prétendant au Ballon d’Or. En effet, en trente-six apparitions toutes compétitions confondues, Bellingham a été une pièce maîtresse dans le parcours époustouflant des Merengues en Ligue des champions et dans leur quête imminente du titre de champion d’Espagne sous la houlette de Carlo Ancelotti. Ses statistiques parlent d’elles-mêmes : vingt et un buts inscrits et dix passes décisives délivrées, un exploit remarquable pour un joueur de seulement 20 ans. Avec l’Euro qui se profile cet été, Bellingham se positionne naturellement comme l’un des favoris au prestigieux Ballon d’Or. Toutefois, il convient de garder une certaine prudence, car le dénouement de la Ligue des champions ainsi que les performances à venir lors de l’Euro pourraient influencer le verdict final. Selon un classement établi par The Sun, Bellingham occupe actuellement la pole position pour décrocher ce trophée convoité, suivi de près par des poids lourds tels que Kylian Mbappé et Harry Kane, également engagés dans la course à la Ligue des champions. À noter également la forte représentation de Manchester City dans ce classement, avec la présence de quatre de leurs joueurs : Foden, Haaland, Rodri et De Bruyne. Lionel Messi, malgré sa septième place dans ce classement, reste toujours un concurrent redoutable. Ainsi, même s’il est encore trop tôt pour proclamer un vainqueur, Jude Bellingham s’affirme comme un prétendant sérieux au Ballon d’Or 2024, grâce à ses performances exceptionnelles au sein du Real Madrid et à son potentiel indéniable sur la scène internationale. Ya Willy.

Quel bilan pour le quinquennat du président Félix Tshisekedi ?

Emploi, inflation, économie, sécurité dans l’est du pays…. Quel bilan peut-on tirer du quinquennat du président-candidat Félix Tshisekedi élu en 2019 ? Éléments de réponse. À son arrivée au pouvoir en février 2019, le président Tshisekedi avait annoncé un peu moins d’une dizaine grandes priorités lors de sa prestation de serment. Parmi celles-ci : la pacification du pays, la démocratisation, la stabilité de l’économie, la lutte contre la pauvreté, la refondation de l’Etat de droit, la lutte contre la corruption, la promotion d’une presse libre ou encore la construction d’infrastructures… Lire la suite sur Tv5monde

Congo : Réaction de Mathias Dzon et l’Alliance ARD au bilan creux et aux promesses démagogiques de l’Etat-PCT sur l’état de la nation du 28 novembre 2022

Congo : Réaction de Mathias Dzon et l’Alliance ARD au bilan creux et aux promesses démagogiques de l’Etat-PCT sur l’état de la nation du 28 novembre 2022

Le lundi 28 novembre 2022, le président de la République s’est adressé aux Congolaises et aux Congolais par un discours sur l’état du Congo-Brazzaville en 2022, discours que le chef de l’Etat délivre habituellement au mois de décembre, à la veille des fêtes de fin d’année. De fait, il ne s’est pas agi d’un discours sur l’état de la nation, dont la vocation traditionnelle est de présenter avec objectivité et rigueur, la situation générale et réelle d’un pays pour l’année en cours, en indiquant avec précision et concision, les réalisations physiques des actions programmées pour l’année, les ressources financières engagées, ainsi que les faiblesses de l’action gouvernementale, les défis à relever et les réponses appropriées à apporter. En lieu et place d’un état de la nation, tel que défini ci-dessus, le chef de l’Etat congolais a prononcé un discours de campagne électorale dans lequel, tordant le cou à la vérité des faits sur le terrain, il a présenté un bilan largement positif de l’action gouvernementale pour l’année 2022. Ce discours a été émaillé de nombreuses promesses et a fait l’impasse totale sur la situation sociale très préoccupante des couches populaires, alors que les populations attendaient du président de la République, l’annonce d’actions concrètes, appropriées et fortes, visant l’amélioration de leur pouvoir d’achat gravement érodé par les hausses abusives des prix des denrées alimentaires de première nécessité. Il s’est agi, non pas d’un état du Congo en 2022, mais d’un discours électoral lénifiant, ayant pour but de magnifier l’action gouvernementale, aux fins de faire croire à l’opinion nationale et internationale que le bilan de l’Etat/PCT est largement positif, et ainsi, tromper les consciences insuffisamment averties. Dans son adresse à la nation, le président de la République s’est employé à faire croire que contrairement aux affirmations de l’opposition, le Congo est bel et bien gouverné, qu’il n’a pas reculé d’un pouce, loin s’en faut, mais qu’il a, au contraire, fait un bond remarquable en avant dans tous les secteurs de la vie nationale, comme en témoignent les avancées significatives réalisées dans les secteurs de l’éducation, de la santé, des infrastructures de base, de l’agriculture avec les zones agricoles protégées, de l’économie avec le lancement du processus de déploiement des zones économiques spéciales et surtout, avec la stratégie du partenariat public/privé, qui va booster les investissements privés. Toutes ces affirmations du chef de l’Etat sont démenties par la réalité sur le terrain, réalité marquée entre autres, par : – l’effondrement de l’économie nationale ; – la faillite des systèmes d’enseignement, de santé, de recherche scientifique et d’innovation technologique ; – la dette publique abyssale (116% du PIB) ; – la très grande dépendance alimentaire du pays par rapport à l’étranger (le Congo dépense chaque année plus de 700 milliards de francs CFA, au titre des importations des produits alimentaires et agricoles) ; – l’épuisement des réserves internationales de change (aujourd’hui le Congo n’importe les produits qu’il consomme que grâce à la gestion commune des réserves de change de l’ensemble des pays de la CEMAC) ; – l’illiquidité générale de l’économie ; – l’illiquidité de l’Etat ; – l’incapacité du gouvernement à assurer les paiements courants (salaires, pensions, bourses, service de la dette) ; – l’extrême pauvreté des populations ; – l’explosion de la morbidité et de la mortalité dans toutes les familles congolaises ; – les inégalités et injustices sociales criardes; – le délitement de l’unité et de la concorde nationales ; – la montée en flèche des comportements déviants, notamment l’exacerbation des crispations géo-ethniques, le népotisme, l’ethnocentrisme, le régionalisme, la préférence ethno-régionale, la corruption, la concussion, l’appropriation personnelle des biens de l’Etat, le détournement des deniers publics, l’enrichissement illicite, les violences urbaines, les violences en milieu scolaire, les violences faites aux femmes, etc. Telle est, sans addition étrangère, la réalité congolaise en 2022. Toute autre façon de la présenter relève du travestissement. Abordant les questions économiques et financières, le président de la République a indiqué que l’économie congolaise se redresse et qu’en 2022, le taux de croissance est évalué à 2,6%. Cependant, le chef de l’Etat a oublié de nous dire deux choses : d’une part, que le taux de croissance évoqué est dû, non pas aux performances économiques de notre pays, mais tout simplement, à la hausse du prix du baril de pétrole sur le marché mondial à la suite de la guerre d’Ukraine (le renchérissement du pétrole a rapporté au Congo, une cagnotte, évaluée par le gouvernement lui-même, dans le collectif budgétaire, à près de 800 milliards de francs CFA) ; d’autre part, que la croissance dont il parle n’induit pas une amélioration du vécu quotidien des populations et ne s’accompagne pas de l’élévation du pouvoir d’achat du plus grand nombre. Elle est une croissance creuse, c’est-à-dire, non inclusive. Malgré les 2,6% du taux de croissance, 95% des Congolais continuent de vivre en dessous du seuil de pauvreté. Par ailleurs, portés uniquement par la volonté de s’enrichir à des fins personnelles, les tenants du pouvoir passent le plus clair de leur temps à réfléchir sur les stratégies à mettre en œuvre pour grossir leurs comptes bancaires dans les paradis fiscaux. Ainsi, après la stratégie « des municipalisations accélérées » des années 2004-2016, qui leur avait permis de s’octroyer tous les marchés publics juteux et qui a fait de plusieurs d’entre eux des multimilliardaires, ils viennent d’inventer une nouvelle stratégie leur permettant de blanchir les fortunes colossales qu’ils ont amassées et cachées, soit dans des domiciles privés, soit dans des cimetières ou placées dans les paradis fiscaux. Aux fins de recycler l’argent public qu’ils ont détourné, plusieurs tenants du pouvoir ont, en violation des articles 81 et 106 de la Constitution, créé par des intermédiaires (Libanais, Chinois, Indiens, Rwandais, membres des entourages immédiats), des entreprises privées, candidates au partenariat public/privé. Astucieux, ils ont habillé cette stratégie de blanchiment de l’argent public détourné, du nom pudique de : « partenariat public privé». Or, au Congo, il n’y a pas d’opérateurs économiques nationaux ayant une surface financière suffisante pour participer au financement

Congo. Le bilan de la classe politique congolaise est indispensable

Congo. Le bilan de la classe politique congolaise est indispensable

TRIBUNE. A deux jours du nouvel an et à deux (2) mois des élections présidentielles, les Congolais s’interrogent sur leur avenir car l’horizon semble très assombri pour les 5 millions de nos citoyens. Comme à l’accoutumée il est d’usage de faire un bilan annuel pour bien amorcer la nouvelle année qui commence. L’occasion est propice, aujourd’hui à la veille du nouvel an et de l’élection présidentielle de mars 2021 que toute la classe politique Congolaise (Majorité Présidentielle, opposition républicaine et opposition radicale, la diaspora) se lance dans cet exercice. IL EST IMPÉRATIF QUE CHAQUE MINISTRE DU GOUVERNEMENT DE CLÉMENT MOUAMBA PRÉSENTE SON BILAN AUX CONGOLAIS Y COMPRIS L’OPPOSITION RÉPUBLICAINE ET RADICALE pour que les Congolais soient édifiés sur les actions de tout un chacun. Chacun doit être évalué, jaugé sur ses capacités et ses actions. Le double engagement du Gouvernement de présenter son bilan global et individuel, LE BILAN DU PROGRAMME POLITIQUE DE DENIS SASSOU NGUESSO : »LA MARCHE VERS LE DÉVELOPPEMENT, ALLONS ENSEMBLE ». LES CONGOLAIS VEULENT SAVOIR QU’EST-CE QUI A ÉTÉ FAIT ET PAR QUI ET QU’EST-CE QUI N’A PAS ÉTÉ FAIT ET POURQUOI. La pandémie du coronavirus n’est en rien à l’origine des détournements de fonds publics ni des scandales financiers révélés par la presse internationale. Lors de son discours sur l’état de la nation le 17 décembre 2019, le Président Denis Sassou Nguesso déclara en substance: « L’on observe beaucoup d’empressement à vouloir accéder à des postes de responsabilité dans les structures de l’Etat. L’engouement disparaît lorsqu’il s’agit de sanctionner comme si seuls ne comptaient que les privilèges et autres avantages liés à la position administrative occupée. Assumer des fonctions appelle, dans certaines circonstances, des décisions disciplinaires à prendre et à faire appliquer. Ceux qui veulent diriger en restant innocents n’ont pas leur place là où ils se trouvent. L’efficacité que nous recherchons inlassablement n’est pas dans le laxisme. Quand on veut toujours se faire applaudir, il faut aller ailleurs. » L’ETHIQUETTE D’HOMME POLITIQUE NE CONFÈRE NI IMMUNITÉ NI EXONÉRATION QUELCONQUE POUR FAIRE UN BILAN DES ACTIONS POLITIQUES DURANT LE QUINQUENNAT. PERSONNE N’EST AU-DESSUS DES AUTRES CE QUI COMPTE CE SONT LES ACTIONS MENÉES POUR RESTAURER LA DÉMOCRATIE CONFISQUÉE PAR LE PCT DANS NOTRE PAYS. La vérité doit être connue des Congolais pour que le choix qui sera fait le 21 mars 2021, soit le choix de la raison et non un choix ethnique, tribal ou motivé par le ngiri (gain facile). ÊTRE MINISTRE, DÉPUTÉ, SÉNATEUR, ETC… EST AVANT TOUT ÊTRE RESPONSABLE, CELUI QUI EST CAPABLE DE RENDRE COMPTE DE SON ACTION DEVANT LE PEUPLE ET LA COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE. L’OPPOSITION RÉPUBLICAINE COMME L’OPPOSITION RADICALE DOIT IMPÉRATIVEMENT NOUS PRÉSENTER LEUR BILAN DU QUINQUENNAT ET EXIGER IMPÉRATIVEMENT UN DÉBAT CONTRADICTOIRE AVEC LE CANDIDAT DU PCT À SAVOIR DENIS SASSOU NGUESSO. L’année 2021 sonne le glas de la vieille classe politique et inaugure une nouvelle ère tant attendue par nos compatriotes. C’est grâce au bilan de tout un chacun que les Congolais pourront faire un bon choix qui sera très déterminant dans l’histoire de notre pays. C’EST ICI LE COURAGE POLITIQUE, C’EST UN EXAMEN PÉRILLEUX OÙ SEULS LES ÉLUS SONT APPELÉS À PASSER BRILLAMMENT CET EXERCICE DIFFICILE OÙ LA RAISON DOIT TRIOMPHER SUR LE RESTE. « On peut tromper une partie du peuple tout le temps et tout le peuple une partie du temps, mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps. » Evrard NANGHO Président national du Modec.

L’AMMC livre son premier bilan relatif à l’application des nouvelles règles de bonne gouvernance par les émetteurs

L’AMMC livre son premier bilan relatif à l’application des nouvelles règles de bonne gouvernance par les émetteurs

La circulaire de l’AMMC n°03/19, adoptée en juin 2019, a opérationnalisé les nouvelles dispositions relatives aux règles de bonne gouvernance introduites par les derniers amendements de la loi n°17-95 relative aux sociétés anonymes telle que modifiée et complétée. Il s’agit principalement de la nomination d’un ou plusieurs administrateurs indépendants dans les organes de gouvernance des sociétés faisant appel public à l’épargne et de la composition des comités d’audit des sociétés cotées qui doivent dorénavant compter au moins deux administrateurs indépendants dont le Président dudit comité. Ainsi, au cours du premier semestre 2020, de nombreux émetteurs ont été amenés à faire évoluer la composition de leurs organes de gouvernance. Ce communiqué permet de dresser un premier bilan sur l’application des nouvelles règles de bonne gouvernance par les émetteurs ainsi que leurs pratiques en termes de mixité au sein de leurs organes de gouvernance. ADMINISTRATEURS INDÉPENDANTS ET COMITÉS D’AUDIT L’état des lieux effectué par l’AMMC sur la conformité des émetteurs[1] en matière de nomination d’administrateurs indépendants s’est basé sur l’examen de plusieurs sources d’information, principalement les avis de convocation aux assemblées générales tenues en 2020, les rapports ESG, les documents de référence, les communiqués de presse, les procès-verbaux des organes de gouvernance…  Ledit examen, arrêté au 31 août 2020, révèle que : 69 émetteurs disposent d’au moins 1 administrateur indépendant, soit 75% des émetteurs soumis à l’obligation de nommer des administrateurs indépendants, répartis comme suit : 19 émetteurs disposent de 1 administrateur indépendant ; 38 émetteurs disposent de 2 administrateurs indépendants ; 7 émetteurs disposent de 3 administrateurs indépendants ; 5 émetteurs disposent de 4 administrateurs indépendants. 46 sociétés cotées sur le marché principal disposent d’au moins 2 administrateurs indépendants au sein de leur comité d’audit, soit 63%, dont : 36 sociétés cotées disposent de 2 administrateurs indépendants ; 6 sociétés cotées disposent de 3 administrateurs indépendants ; 4 sociétés cotées disposent de 4 administrateurs indépendants. MIXITÉ AU SEIN DES CONSEILS L’analyse de la composition des organes de gouvernance des émetteurs indique que : Le nombre de femmes administrateurs a atteint 150, soit 17% du nombre total des administrateurs siégeant dans les conseils de l’ensemble des émetteurs ; Les femmes représentent 34% des administrateurs indépendants siégeant dans les conseils de l’ensemble des émetteurs ; Les femmes représentent 23% des administrateurs indépendants siégeant dans les conseils de l’ensemble des sociétés cotées. [1] Par émetteur, on entend l’ensemble des sociétés faisant appel public à l’épargne dont les sociétés cotées et les sociétés qui émettent des titres de créances.

L’association marocaine des importateurs du matériel agricole dresse le bilan de la mécanisation de l’agriculture en 2019

L’association marocaine des importateurs du matériel agricole dresse le bilan de la mécanisation de l’agriculture en 2019

L’Association marocaine des importateurs du matériel agricole (AMIMA), acteur majeur du monde agricole au Maroc, dresse le bilan des ventes de tracteurs agricoles neufs dans le royaume pour l’année 2019. La campagne agricole 2017/2018 a connu des conditions pluviométriques  favorables marquées par des pluies générales et suffisantes. Cependant, la campagne agricole 2018/2019 a été caractérisée par l’absence de pluies et une mauvaise répartition temporelle dans certaines régions, principalement dans la région du Haouz, Souss Massa et l’oriental. Ces conditions climatiques ont contribué à une baisse importante du marché des tracteurs agricoles neufs de 33% par rapport à l’année précédente pour s’établir à 1687 unités en 2019, soit le volume le plus faible depuis 2006. La vente des tracteurs standards quatre roues motrices représentent plus de la moitié des ventes avec 898 unités en 2019 contre 1253 unités en 2018 et a enregistré une baisse de 28%. Alors que les tracteurs standards deux roues motrices sont les plus affectés avec la vente de 512 unités en 2019 contre 903 unités en 2018, soit une régression de 43%. Quant aux tracteurs fruitiers, le volume réalisé en 2019 est de 277 unités contre 373 unités en 2018, soit une baisse de 26%. Comme cité dans les derniers communiqués de presse, l’AMIMA a signé une convention avec le Crédit Agricole du Maroc en 2013 qui a été renouvelée en 2019, malgré le renouvellement de partenariat, l’agriculteur a de plus en plus de difficulté à accéder au financement auprès des organismes de crédits, cette problématique a aussi contribué à cette baisse drastique du marché. Par ailleurs, la trésorerie de l’AMIMA ainsi que celle de son réseau de distribution ne permettent pas de financer continuellement les achats des agriculteurs en tracteurs agricoles et en matériel d’accompagnement surtout avec le retard de déblocage des subventions aux sociétés qui prennent en charge le montant de la subvention lors de la vente par délégation de créance. Ce bilan confirme les craintes émises par l’AMIMA tout au long de l’année 2019 à travers ses communiqués de presses précédents.

Maroc: La DEPF dresse son bilan de l’année écoulée

Maroc: La DEPF dresse son bilan de l’année écoulée

La Direction des études et des prévisions financières (DEPF) relevant du ministère de l’Economie et des Finances a présenté récemment son rapport d’activité au titre de l’année 2018. Ce document dresse le bilan des travaux d’études et d’analyses réalisés au cours de l’année écoulée et intègre les actions menées en matière de renforcement des liens de coopération et d’organisation de rencontres scientifiques de haut niveau par ce département, dirigé par Mounssif Aderkaoui. A noter que les travaux de la DEPF traitent autant des dimensions clés du capital matériel et immatériel du Maroc que des questions liées à l’ouverture de son économie marocaine sur l’extérieur et à son ancrage régional, notamment en Afrique. Ils ont pour dénominateur commun l’appréhension des grands enjeux endogènes et exogènes, auxquels le Maroc se trouve confronté. Dans son rapport, la DEPF a indiqué que ses « travaux visent à identifier les leviers de politiques publiques de nature à libérer le potentiel de développement du Maroc et l’inscrire dans un cercle vertueux de croissance durable et auto-entretenue ». A propos de ses activités de l’année écoulée, « la DEPF a structuré son programme de travail au cours de l’année 2018 autour des grandes questions qui interpellent le processus de développement de notre pays », a indiqué Mounssif Aderkaoui. « Parallèlement aux travaux portant sur les aspects purement économiques, un intérêt croissant a été accordé à certaines dimensions clés du capital immatériel de notre pays, dont notamment la dimension institutionnelle, la dimension sociale et la dimension durabilité environnementale », a-t-il ajouté. Pour passer en revue ses réalisations en 2018, notons que le rapport d’activité a été articulé autour de trois axes interdépendants. Le premier axe restitue les principales conclusions issues des travaux menés par la Direction en 2018 et la contribution de la DEPF au processus d’élaboration de la loi de Finances 2019. Notons que plusieurs thématiques ont fait l’objet d’un examen approfondi par la DEPF qui précise dans son rapport que celles-ci se rapportent à des questions prioritaires traitant du régime de croissance de l’économie marocaine, de la dynamique de la compétitivité extérieure du Maroc au même titre que des perspectives qui se profilent en ligne avec la nouvelle politique africaine du Royaume. La Direction a ajouté, en outre, qu’« un intérêt particulier a été accordé aux questions sociales et territoriales au vu des effets structurants de celles-ci sur la trajectoire de développement de notre pays ». S’agissant du second axe, qui traite des actions déployées par la DEPF en matière de renforcement de ses liens de partenariat à l’échelle nationale et internationale, il est précisé que la Direction a placé le renforcement de ses liens de coopération et de partenariat avec des acteurs nationaux et internationaux au cœur de ses priorités. Pour la DEPF, « ces liens sont mus par la volonté d’échanger autour des nouveaux concepts et instruments d’analyse économique et ce, à des fins de renforcement mutuel des compétences et de l’expertise ». Comme indiqué dans le ledit rapport, « les liens de partenariat établis par la DEPF, comptent à leur actif plusieurs réalisations allant du développement d’instruments d’analyse sophistiqués à l’organisation de séminaires conjoints sur une fréquence régulière et dans certains cas à la publication conjointe d’études sur des questions de politique économique et sociale ». Quant au troisième axe, il est consacré aux activités de support, dont notamment la valorisation du capital humain de la Direction, la consolidation de ses outils d’analyse et de son système d’information ainsi que le relèvement de l’efficacité de sa politique de communication interne et externe. A ce propos, la DEPF a indiqué qu’elle a œuvré activement en faveur du renforcement des compétences de ses ressources humaines et de la consolidation de son système d’information en vue d’accompagner la montée en charge de ses travaux d’études et d’analyse et leur diversification graduelle. Outre le recours à une programmation stratégique de ses activités, elle a donné une forte impulsion à sa politique de communication pour la mettre davantage en phase avec les exigences de l’ère digitale, apprend-on. Soulignons que la partie conclusive du rapport d’activité met en perspectives les axes prioritaires devant constituer l’ossature du programme de travail envisagé par la DEPF au titre de l’année 2019. Alain Bouithy