Cameroun. Assassinat de notre confrère Martinez Zogo

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PARLONS-EN. Sur fond de bataille successorale à la tête du Cameroun, l’éthique et la déontologie en journalisme ont foutu le camp!

Acharnement, haine, instrumentalisation ou utilisation du journaliste par un camp des faucons contre l’autre, dans le cadre de la lutte successorale au sommet de l’Etat au Cameroun…

À dire vrai, notre confrère, dont je condamne l’assassinat crapuleux commis par des assoiffés de sang qui distribuent gratuitement la mort, était loin de la déontologie et de l’éthique.

Le journaliste doit savoir se mettre en levitation par rapport aux luttes politiques.

Au Cameroun, en ces temps de crépuscule politique du locataire du Palais d’Etoudi à Yaoundé, journalistes, politiques au pouvoir, activistes de la société civile, intellectuels et universitaires, hommes d’affaires ont, chacun en ce qui le concerne, choisi leur camp.

Pro Ferdinand Ngoh Ngoh(le puissant secrétaire général de la présidence de la République), pro Franck Biya(fils éponyme du président camerounais), pro Louis Paul Motaze(le puissant ministre des finances)…, se livrent, à visage couvert, une bataille successorale.

Par A.Ndongo

Journaliste économique et financier.

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