Au Kenya on enseigne la programmation informatique dès l’école primaire

PARLONS-EN. Voilà une révolution qui fait du Kenya le pionnier de la technologie en Afrique sub-Saharienne. On enseigne le code informatique à l’école primaire dans tout le pays.

Nul doute le Kenya est à la pointe de la technologie en informatique et en télécommunications en Afrique parce que c’est une vraie volonté politique et une vision.

Le Gouvernement Kenyan a mis beaucoup de moyens en jeu pour bâtir la Silicon Savannah, à l’image de la Silicon Valley, en Californie aux États-Unis. Aujourd’hui au niveau mondial les informaticiens Kenyans excellent. LA PLUPART DES APPLICATIONS TÉLÉPHONIQUES EN AFRIQUE SONT CRÉÉES AU KENYA. Ce pays veut rivaliser avec les grandes nations informatiques quit a devenir un leader mondial, le pari est lancé.

ENTRE TEMPS AU CONGO BRAZZAVILLE, ON PRIVILÈGE LE MOPACHO ! LES ÉTATS GÉNÉRAUX DE L’ÉDUCATION NATIONALE ONT ACCOUCHÉ D’UNE SOURIS.

LES GENS N’ONT PAS DE VISIONS,AVEC DES PROGRAMMES SCOLAIRES DE L’ÉPOQUE SOVIÉTIQUE QUI NE CADRENT PLUS AVEC LA MONDIALISATION.

Bref, il faut un vrai lifting dans notre système éducatif. Le Président Denis Sassou Nguesso, le néo-ecologiste pouvait mettre les moyens en jeu pour que le CONGO SOIT LE LEADER EN AFRIQUE DANS LES ÉNERGIES RENOUVELABLES (SOLAIRES, ÉOLIENNES, BIOMASSE, HYDROGÈNE, ETC…). Nous pouvons faire du Congo un grand pays scientifique dans les matières telles que les mathématiques, la biologie avec la Génétique, la physique, la chimie l’électricité et enfin l’informatique. NOUS DEVONS REVOIR TOUS NOS PROGRAMMES SCOLAIRES ET UNIVERSITAIRES.

Depuis longtemps dans notre pays, nous avons mis l’accent sur les matières littéraires aujourd’hui nous devons renverser la donne. C’EST LA MAÎTRISE DE LA SCIENCE QUI PERMETTRA À NOTRE PAYS DE SE DÉVELOPPER ET D’AMORCER LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE QUI EST LE GRAND DÉFI DE DEMAIN.

Lorsqu’un pays est dirigé par des aveugles et des aventuriers, vous allez seulement tourner en rond. Le modèle Kenyan doit nous inspirer !

Par EVRARD NANGHO.

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