Maroc. Le plus grand salon de la technologie et des startups en Afrique a fermé ses portes

Maroc. Le plus grand salon de la technologie et des startups en Afrique a fermé ses portes

Tenue sous le Haut patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, la première édition du GITEX Africa Morocco a fermé ses portes vendredi 2 juin à Marrakech, après trois jours d’intenses travaux. D’ores et déjà lieu de rencontres et d’échanges par excellence entre les participants, leaders technologiques, délégations gouvernementales, startups, investisseurs et pôles d’innovation mondiaux, ce rendez-vous est appelé à devenir incontournable de l’avis des exposants. Il faut dire que les 900 entreprises exposantes et startups qui ont participé à cette édition inaugurale, organisée par l’Agence de développement du digital (ADD), sous la tutelle du ministère de la Transition numérique et de la Réforme de l’administration, n’ont pas tari d’éloges quant à l’intérêt de leur présence en ce lieu. Outre le fait qu’elle vise à accélérer les opportunités d’investissement à travers le continent africain, comme l’ont rappelé à maintes reprises les organisateurs, cette messe de la technologie a tout d’abord permis aux uns et aux autres de se connecter afin d’accélérer, collaborer et explorer de nouvelles opportunités. Comme cela a été le cas pour bien de jeunes professionnels marocains, fortement représentés à ce salon qui deviendra annuel pour les dix prochaines années, comme l’a souligné le DG de l’Agence de développement du digital, Mohamed Idrissi Meliani. Des jeunes dont les stands n’ont pas manqué d’ambiance, comprendre échanges professionnels autour des solutions, services et innovations aussi originaux que pratiques pour le pays et le continent. L’occasion pour les nombreux visiteurs et surtout les investisseurs venus des quatre coins du monde d’apprécier des jeunes compétences, le savoir-faire et l’expertise ne laissent pas indifférent et qui savent, pertinemment, ce que représente ce haut lieu de la technologie africaine : une porte ouverte sur un marché aux opportunités illimitées. Promouvoir l’économie numérique et renforcer l’engagement dans la société des technologies de l’information et de la communication. Tels sont quelques-uns des nombreux objectifs du GITEX Africa. Des objectifs fort louables et, tout bien considéré, réalisables, qui n’ont pas échappé aux grandes entreprises technologiques, aux startups et aux organismes gouvernementaux ayant pris part à cet important rassemblement. Le moins que l’on puisse dire, c’est que la présence très remarquée des entreprises dont 80% exposaient pour la première fois au continent africain, des startups et des délégations venant d’une centaine de pays à cette première édition du GITEX Africa Morocco a foncièrement contribué au succès de cette édition. Il faut dire qu’au lendemain de l’inauguration, les entreprises exposantes n’ont cessé de multiplier les échanges et les démonstrations pour capter l’attention des visiteurs, professionnels et investisseurs afin de faire valoir leurs services, solutions, produits ou applications. Un exercice à la fois complexe et efficace qui a au final marqué cette édition. Soulignons qu’outre les nombreuses recommandations et promesses faites dans le cadre des conférences organisées en marge du salon, plusieurs conventions ont été signées en marge de cette édition, en vue de renforcer la coopération dans le domaine numérique, mettre en œuvre de la phase pilote du projet «JobInTech», accompagner et renforcer les capacités des ressources humaines en matière de protection des données à caractère personnel, simplifier et digitaliser les parcours usagers, promouvoir l’inclusion financière grâce à l’essor de la fintech, etc. En plus de la signature d’un mémorandum d’entente pour la construction au Maroc de la première Gigafactory d’Afrique, entre le gouvernement marocain et le groupe sino-européen « GOTION High-Tech ». Pour rappel, la cérémonie d’ouverture de ce salon avait été rehaussée par la présence de plusieurs autorités et personnalités dont le Chef du gouvernement, la ministre de la Transition numérique et de la Réforme de l’Administration, le ministre d’Etat de l’Intelligence artificielle des Emirats Arabes Unis, le président de la CGEM ainsi que le DG de l’ADD, entre autres. Marrakech – Alain Bouithy

Au Kenya on enseigne la programmation informatique dès l’école primaire

Au Kenya on enseigne la programmation informatique dès l’école primaire

PARLONS-EN. Voilà une révolution qui fait du Kenya le pionnier de la technologie en Afrique sub-Saharienne. On enseigne le code informatique à l’école primaire dans tout le pays. Nul doute le Kenya est à la pointe de la technologie en informatique et en télécommunications en Afrique parce que c’est une vraie volonté politique et une vision. Le Gouvernement Kenyan a mis beaucoup de moyens en jeu pour bâtir la Silicon Savannah, à l’image de la Silicon Valley, en Californie aux États-Unis. Aujourd’hui au niveau mondial les informaticiens Kenyans excellent. LA PLUPART DES APPLICATIONS TÉLÉPHONIQUES EN AFRIQUE SONT CRÉÉES AU KENYA. Ce pays veut rivaliser avec les grandes nations informatiques quit a devenir un leader mondial, le pari est lancé. ENTRE TEMPS AU CONGO BRAZZAVILLE, ON PRIVILÈGE LE MOPACHO ! LES ÉTATS GÉNÉRAUX DE L’ÉDUCATION NATIONALE ONT ACCOUCHÉ D’UNE SOURIS. LES GENS N’ONT PAS DE VISIONS,AVEC DES PROGRAMMES SCOLAIRES DE L’ÉPOQUE SOVIÉTIQUE QUI NE CADRENT PLUS AVEC LA MONDIALISATION. Bref, il faut un vrai lifting dans notre système éducatif. Le Président Denis Sassou Nguesso, le néo-ecologiste pouvait mettre les moyens en jeu pour que le CONGO SOIT LE LEADER EN AFRIQUE DANS LES ÉNERGIES RENOUVELABLES (SOLAIRES, ÉOLIENNES, BIOMASSE, HYDROGÈNE, ETC…). Nous pouvons faire du Congo un grand pays scientifique dans les matières telles que les mathématiques, la biologie avec la Génétique, la physique, la chimie l’électricité et enfin l’informatique. NOUS DEVONS REVOIR TOUS NOS PROGRAMMES SCOLAIRES ET UNIVERSITAIRES. Depuis longtemps dans notre pays, nous avons mis l’accent sur les matières littéraires aujourd’hui nous devons renverser la donne. C’EST LA MAÎTRISE DE LA SCIENCE QUI PERMETTRA À NOTRE PAYS DE SE DÉVELOPPER ET D’AMORCER LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE QUI EST LE GRAND DÉFI DE DEMAIN. Lorsqu’un pays est dirigé par des aveugles et des aventuriers, vous allez seulement tourner en rond. Le modèle Kenyan doit nous inspirer ! Par EVRARD NANGHO.

Comment la technologie permet le développement durable en Afrique

Comment la technologie permet le développement durable en Afrique

TRIBUNE. Bien que le continent africain soit le plus faible contributeur aux émissions de gaz à effet de serre (GES) au monde, il est de plus en plus touché par les phénomènes météorologiques extrêmes. N’émettant que 3,8 % de GES et se situant ainsi loin derrière des pays comme la Chine (23 %) et les États-Unis (19 %), le continent africain reste tout de même le plus vulnérable aux changements climatiques et ses pays portent le poids de la crise climatique. Le Maroc connaît, par exemple, des conditions de sécheresse persistantes et une vulnérabilité au changement climatique telles que l’évolution instable des régimes de précipitations. Le Nigeria quant à lui, a enregistré 600 décès en une décennie dans des inondations. Selon la Banque mondiale, environ 282 millions de la population africaine est actuellement sous-alimentée en raison de facteurs environnementaux tels que la sécheresse, la dégradation de l’environnement ainsi que les déplacements. À chaque inondation ou sécheresse, la sécurité alimentaire diminue de 5 à 20 %. Quant à la facture des importations alimentaires du continent, elle pourrait atteindre 110 milliards de dollars d’ici 2025, à moins que des changements significatifs ne soient mis en œuvre en passant par une agriculture résiliente au changement climatique. Les inondations, les vagues de chaleur et les sécheresses menacent les moyens de subsistance ainsi que les vies des africains, qui représentent un sixième de la population mondiale. Constituant 70% des moyens de subsistance de l’Afrique, l’agriculture devrait être soutenue par les gouvernements et les organisations pour trouver des solutions innovantes, en utilisant des technologies de pointe. Le tout pour révolutionner la production alimentaire et aider à éliminer la faim et réduire la pauvreté en Afrique. Les pays africains doivent s’adapter à des conditions imprévisibles, en passant par une meilleure gestion des ressources à l’instar de l’eau ; et en mettant en œuvre des pratiques durables dans des secteurs comme l’agriculture et l’énergie. La digitalisation a un rôle vital à jouer dans la durabilité dans le monde. L’Afrique n’en est pas une exception. Adopter des technologies telles que l’Intelligence Artificielle (IA), l’analyse de données, le cloud et l’IoT offre un potentiel pour transformer le présent et l’avenir du continent. Les solutions technologiques contribuent à construire un avenir durable L’alimentation et l’agriculture doivent devenir intelligentes pour relever, avec succès, les défis actuels face au climat, notamment en matière de sécurité alimentaire et de changement climatique. Les avancées technologiques dans le secteur agricole aideront à répondre à la demande croissante d’automatisation, de digitalisation et de durabilité des exploitations agricoles. L’agriculture intelligente contribue à une série d’objectifs de développement, en l’occurrence la réduction de la faim et de la pauvreté ; et cela grâce aux prévisions météorologiques, à la croissance de cultures à forte valeur ajoutée et à la connexion avec des experts agricoles pour davantage de soutien. Les gouvernements et les organisations ont pris des engagements pour faire face à la crise climatique. Pour y arriver, ils ont besoin de solutions qui tirent parti de la puissance de la technologie. Ceci accélérera les progrès dans la création d’un avenir durable pour le continent grâce à un impact dans le monde réel. Les entreprises technologiques jouent un rôle essentiel pour aider leurs partenaires à travers l’Afrique à adopter et à tirer parti de la puissance de la digitalisation. Par exemple, en plus d’investir 1 milliard de dollars dans le Climate Innovation Fund, qui se concentre sur les solutions technologiques climatiques émergentes dans les marchés sous-financés. Microsoft est par ailleurs un participant fondateur de The Carbon Call, une initiative mondiale qui utilise des flux de données, l’apprentissage automatique et le cloud computing pour améliorer la mesure, la notification et la vérification des émissions de GES des entreprises. Microsoft s’efforce ainsi à réduire la fracture climatique avec une expansion de son laboratoire de recherche AI for Good en Égypte et au Kenya, informés par un nouveau Conseil africain de l’innovation en IA. Les compétences techniques deviennent une nécessité L’évolution des entreprises pour relever les défis du changement climatique aura un impact sur de multiples processus et opérations, en partie basés sur de nouvelles applications technologiques comme le cloud, l’IA et des services dédiés comme le Cloud for Sustainability de Microsoft. Cela nécessitera un effort tout aussi important pour doter les entreprises et les employés d’un large éventail de nouvelles compétences nécessaires à l’adaptation au changement climatique et à la transformation durable. L’entrée du monde dans l’ère numérique a exigé que l’informatique s’installe dans toutes les écoles. De la même manière, la création d’une planète NetZero exigera que la science de la durabilité se répande dans tous les secteurs de l’économie. L’un des grands défis pour combler le déficit de compétences en matière de développement durable est de s’assurer que les employés aient accès aux formations spécialisées requises pour les emplois de l’avenir. Les employeurs doivent agir rapidement pour améliorer les compétences de leurs collaborateurs avec des initiatives d’apprentissage axées sur les connaissances et les compétences en matière de durabilité, au moment où le monde doit préparer la prochaine génération pour les emplois durables de l’avenir. L’innovation technologique, un moyen pour faire face à la crise climatique Selon le profil de risque climatique établi pour le Maroc par la Banque mondiale, le Royaume connaît une hausse des températures et des précipitations de plus en plus irrégulières, ce qui a entraîné  20% de réduction des ressources en eau au cours des 30 dernières années. Bien que le réseau électrique marocain couvre presque tous les ménages, il dépend toujours fortement des précipitations. Le Maroc vise à horizon 2030, à atteindre moins 52 % de l’énergie issues de sources renouvelables. Pour aider les entrepreneurs marocains à trouver des solutions innovantes à ces défis climatiques, Microsoft s’est associée à l’Université Mohammed VI Polytechnique (UM6P) pour proposer un programme de compétences appelé : Social-Up Your Start Up. La Master Class Entrepreneurship for Positive Impact vise à développer une nouvelle génération d’entrepreneurs sociaux qui commencent avec une mission de changer la société. Contrairement à la communauté d’affaires traditionnelle qui fait évoluer

Cahiers économiques du Rwanda : Doper les exportations en misant sur la technologie, l’innovation et le commerce des services

Cahiers économiques du Rwanda : Doper les exportations en misant sur la technologie, l’innovation et le commerce des services

La dernière édition des Cahiers économiques du Rwanda, paru vendredi 23 septembre, prévoit un fléchissement de la croissance nationale en 2022, après la reprise vigoureuse enregistrée l’année dernière. En cause notamment, les effets de la guerre en Ukraine et la menace que continue de faire peser la pandémie de COVID-19 sur les grandes économies. Selon le 19e numéro de cette publication, disponible en anglais sous le titre Boosting Exports Through Technology, Innovation and Trade in Services, la croissance du PIB rwandais n’atteindra que 6 % en 2022, contre un taux de 11 % en 2021. L’inflation continue de monter, la hausse des cours internationaux des produits de base et la perturbation des chaînes d’approvisionnement mondiales ayant entraîné une augmentation importante des prix de l’énergie, des transports et des denrées alimentaires.  « La montée de l’inflation au Rwanda, alors même que l’emploi n’a pas encore retrouvé son niveau d’avant la pandémie, risque de réduire à néant des progrès durement acquis sur le front de la réduction de la pauvreté et du développement du capital humain. Il est essentiel que les pouvoirs publics poursuivent leurs actions pour protéger les plus vulnérables, en s’appuyant sur le système de filets sociaux du pays », souligne Rolande Pryce, chef-pays de la Banque mondiale pour le Rwanda. Dans un dossier spécial consacré aux échanges commerciaux, le rapport se penche sur des résultats du Rwanda en matière d’exportations. Il en ressort que les entreprises rwandaises ont vu leur participation au commerce international augmenter au cours de la dernière décennie (en particulier dans le secteur des services), pour atteindre des niveaux supérieurs à ceux des autres entreprises de la région et du continent. Parmi les principaux facteurs qui déterminent les performances commerciales, le rapport met notamment l’accent sur l’obtention d’une certification à une norme de qualité internationale, telle que celles produites par l’Organisation internationale de normalisation (ISO). Ces certifications sont un sésame qui facilite l’ouverture des entreprises à l’international : les entreprises certifiées ISO ont 36 % plus de chances d’exporter que celles qui ne le sont pas. Or, cet aspect reste un frein majeur pour le Rwanda, où seules 3 % des entreprises avaient obtenu une certification ISO en 2019. Le rapport met également en évidence une corrélation importante entre passage au commerce en ligne et participation aux échanges internationaux, en soulignant les avancées limitées des firmes rwandaises dans ce domaine. « Compte tenu du lien étroit entre commerce électronique et export, et sachant que les entreprises du Rwanda mettent systématiquement en avant le manque d’informations sur les marchés étrangers, il apparaît important d’investir dans les infrastructures internet pour garantir aux entreprises isolées, tant en milieu rural que dans les zones urbaines sous-développées, un moyen d’accès à bas prix aux marchés et aux clients, et étendre ainsi la participation des entreprises locales au commerce international », explique Calvin Djiofack, économiste senior à la Banque mondiale. Le rapport rappelle que le Rwanda a largement misé sur le développement des services pour accroître l’emploi, les revenus et les recettes d’exportation. Le pays est toutefois confronté à un déficit de compétences qui, s’il n’est pas comblé, limitera la croissance des exportations de services hautement qualifiés. Afin d’y remédier à court terme, le rapport préconise notamment de pallier la pénurie de compétences en reconnaissant les qualifications des professionnels de la région et en les dispensant de l’obligation de permis de travail.

Technologie : Vers un partenariat entre l’ARPCE et l’Ecole Supérieure de Technologie du Littoral

Technologie : Vers un partenariat entre l’ARPCE et l’Ecole Supérieure de Technologie du Littoral

En marge des travaux de la dernière session du Comité de Direction, le Directeur Général de l’ARPCE, Louis-Marc SAKALA, a échangé, dans la matinée du 18 décembre 2021, avec les étudiants de l’Ecole Supérieure de Technologie du Littoral de Pointe-Noire (EST-Littoral). En effet, il s’agit d’un établissement privé d’enseignement supérieur dûment agréé par l’Etat, qui a ouvert ses portes le 6 novembre 2000. En lien avec quelques entreprises, l’EST-Littoral qui se veut être un centre de formation « des professionnels de demain », assure des formations en alternance avec des programmes mis en place par l’IUT d’Evry Val d’Essonne (France). Pendant plus d’une heure, le Directeur Général de l’ARPCE, craie à la main, a échangé avec une vingtaine de jeunes filles et garçons sur leurs formations et leurs aspirations. Un moment de partage émouvant au cours duquel Louis-Marc SAKALA n’a pas hésité à partager à ces jeunes son parcours qui correspond à ce qu’ils font. « Ce que vous apprenez ici, c’est exactement ce que j’ai fait aussi il y a quelques années », a indiqué le Directeur Général de l’ARPCE, comme pour mettre ses interlocuteurs en confiance et les encourager à poursuivre dans cette voie. Des fréquences à la qualité de services des opérateurs en passant par des demandes de stages et l’intégration au sein de l’ARPCE, ces jeunes ont exprimé un vif intérêt pour l’action de l’ARPCE au cours de cet échange, que les responsables de l’EST-Littoral ont qualifié de « très intéressant et édifiant » au regard de la « clairvoyance, l’expertise et la précision » du Directeur Général de l’ARPCE. « Nous sommes une entité de l’Etat, c’est de notre responsabilité de valoriser ce qui se fait dans notre champ de compétences. C’est pourquoi, dans la mesure de nos possibilités, nous verrons comment nous pourrons vous accompagner dans votre vocation de formation et de transmission de connaissances à nos enfants», a confié le Directeur Général de l’ARPCE aux responsables de cette structure. L’EST-Littoral qui reçoit des élèves des séries A C, D, BG, E, F, G et S offre des formations aussi bien dans le domaine des technologies que de la gestion maritime et portuaire. Il propose deux cursus de trois et quatre ans pour l’obtention respectivement du Diplôme Supérieur de Technologie et de la Licence Professionnelle. Le Directeur Général de l’ARPCE était accompagné lors de cette visite de son Directeur des Projets et de la Prospective, Luc Missidibanzi, de son Conseiller aux Ressources Humaines, Armel Issay et de sa Responsable de Communication et Relations Publiques, Sara Ahoui.

A propos de technologie et d’échanges : Défis et opportunités en Afrique

Webb Fontaine, l’un des principaux fournisseurs au monde pour les solutions destinées aux Etats dans les domaines douaniers et commerciaux, réunira le 12 juillet à 12 :00, HEC, un panel d’experts du secteur pour envisager les Défis et les Opportunités que représentent la Technologie et les Echanges en Afrique. Cette discussion entre experts se penchera sur les idées profondément innovantes ainsi que les perspectives nouvelles que présentent les échanges internationaux en Afrique, l’impact de l’Accord portant création de la zone de libre-échange continentale africaine (AfCFTA), ainsi que les responsabilités des nations africaines dans la réalisation de l’intégration économique au niveau du continent. Ce webinaire, destiné aux professionnels des secteurs publics et privés, avec pour thèmes essentiels les échanges et la technologie en Afrique, examinera de manière approfondie les défis que présentent les développements géopolitiques, la mise en place de zones de libre-échange, et leurs effets cumulatifs sur les politiques commerciales au niveau du continent. Avec les effets de la pandémie globale du Covid19 qui a été le perturbateur majeur de l’économie, les discussions porteront également sur les conséquences que de telles turbulences ont pu avoir sur les chaines d’approvisionnement africaines.  Le panel d’experts comprend des experts du secteur de haut niveau avec des formations aussi diverses que Fridah Kimani, spécialiste de la facilitation des échanges auprès de l’Office des Recettes du Kenya (Kenya Revenue Authority), Agnes Katsonga Phiri, Directeur Executif des services d’Etat Major de l’Office des Recettes du Malawi (Malawi Revenue Authority). Entre eux, ils analyseront la performance du commerce africain, l’effet des diverses politiques et accords dans le développement socio-économique du continent, ainsi que les facteurs-clé qui détermineront une stratégie efficace pour l’ensemble des milieux d’affaires ainsi que du paysage commercial en Afrique.   Ce webinaire servira également de plateforme permettant aux experts de débattre sur les avantages et inconvénients de l’Accord portant création de la zone de libre-échange continentale africaine (AfCFTA), son influence sur l’intégration économique au niveau du continent, ainsi que les échéances et les défis que représentent sa mise en place. Les experts évalueront également les différents facteurs qui affectent le modèle actuel des exportations en Afrique et sa croissance potentielle.  Anticipant sur le webinaire, Alioune Ciss – Chief Executive Officer de Webb Fontaine – fait remarquer que “Le commerce et la technologie avancent la main dans la main ; au fur et à mesure que la technologie se développe, elle affecte le paysage commercial dans son ensemble, depuis les chaines logistiques jusqu’aux systèmes commerciaux globaux. Alors que la pandémie du COVID-19 a donné un coup d’accélérateur jamais vu au changement et à l’innovation, c’est maintenant le moment d’envisager et d’évaluer les facteurs-clé, les défis et opportunités, et les possibilités futures de l’ensemble du spectre commercial et technologique pour l’Afrique. Chez Webb Fontaine, nous nous essayons sans cesse d’anticiper sur les nouvelles tendances, et ce webinaire témoigne ainsi de nos efforts pour réunir les experts du secteur dans un débat qui pourra déboucher sur de nouvelles idées et activités.” Le webinaire sur la technologie et le commerce en Afrique sera diffusé à 14h00, heure de Dubaï. Vous pouvez participer en cliquant sur le lien Zoom ici () Ce webinaire est d’une durée d’une heure. Ces webinaires sont destinés à susciter une discussion ; ils font partie d’un projet élargi de série de groupes de réflexion, dont l’objectif sera de proposer une approche dynamique permettant aux acteurs et aux consommateurs d’échanger et de mettre au point des stratégies d’affaires concrètes.

KSB Maroc s’investit dans l’efficacité énergétique via sa technologie « Conscience énergétique »

Pour accompagner les organismes souhaitant adopter un management efficace de l’énergie, KSB Maroc a introduit une nouvelle technologie de pompes à forte conscience énergétique. Ce n’est pas tout. La filiale marocaine du leader mondial de la pompe offre un accompagnement personnalisé avec des solutions technologiques sur mesure répondant à la norme ISO 50001. Consciente que s’engager à réduire l’impact sur le climat n’est plus un luxe, KSB Maroc a introduit, au Maroc, la technologie ‘Conscience énergétique’ qui offre des pompes et des solutions de suivi compatibles avec les besoins des organisations soucieuses de réduire leur consommation d’énergie ou s’inscrivant dans un système de management de l’énergie (SMÉ). La technologie KSB ‘Conscience énergétique’ consiste en des Pompes à faible consommation et des Moteurs SupermE, ayant un fonctionnement économe en énergie au point nominal grâce au rendement élevé. En plus de ses équipements à faible consommation énergétique, la technologie KSB ‘Conscience énergétique’ offre le SES Système Efficiency Service, qui est un dispositif de surveillance de pompes, mesurant leur rendement ainsi que le système intelligent KSB Guard et l’outil de veille du fonctionnement des pompes, KSB Pumpmeter. Ces outils permettent de suivre la consommation et garantissent ainsi une meilleure efficacité énergétique. Par ailleurs, les Experts qualifiés de KSB Maroc offrent un service de conseil et d’accompagnement pour répondre aux besoins spécifiques des organismes souhaitant optimiser leur consommation d’énergie, en leur offrant des solutions et des produits sur mesure. « En dotant le marché marocain de pompes KSB moins énergivores, nous ambitionnons de soutenir les organismes souhaitant améliorer leur performance énergétique», déclare Toufik Ouerdani, Ingénieur -Responsable du secteur Chimie & Pétrochimie au sein de KSB Maroc. « Ayant fait leur preuve dans d’autres marchés notamment dans le secteur de la chimie et de la pétrochimie au sein degroupes mondiaux à l’instar de BASF, nos pompes à faible consommation d’énergie sont aujourd’hui disponibles au Maroc pour servir les opérateurs locaux et soutenir leur stratégie d’efficacité énergétique.», poursuit M. Ouerdani. De grande qualité, la technologie KSB ‘Conscience énergétique’ respecte la norme ATEX et offre des pompes étanches, fiables et robustes au même titre que le reste des pompes KSB. Il est à noter que le Groupe KSB s’est engagé, depuis plusieurs années, dans une stratégie de développement des technologies à haute efficacité énergétique. Aujourd’hui, KSB Maroc déploie concrètement cette stratégie dans le marché local, en cohérence avec la stratégie énergétique du Royaume.

Women In Business Annual Leadership Meeting 2019 : L’Innovation et la Technologie au Cœur des Débats

Women In Business Annual Leadership Meeting 2019 : L’Innovation et la Technologie au Cœur des Débats

Prolongeant l’engagement de l’AFRICA CEO FORUM en faveur du leadership féminin, le Women in Business Annual Leadership Meeting repose sur une conviction forte : les dirigeantes africaines sont un levier de transformation puissant du continent. Organisé pour la première fois en juillet 2018 à Paris, l’événement a rassemblé plus de 150 femmes parmi les plus influentes du secteur privé africain avec, à la clé, la naissance du Women in Business Network, le premier réseau féminin d’influence panafricain. A l’heure où une minorité de femmes africaines occupent des postes de décisions dans la science et l’innovation, la deuxième édition du Women in Business Annual Leadership Meeting placera au centre des discussions l’impact des nouvelles technologies dans le monde des affaires et la place des femmes dans le domaine scientifique et des technologies. Intelligence artificielle, robotisation, internet des objets : miser sur la science est essentiel pour accélérer la croissance et répondre aux nombreux besoins du continent, dans des domaines aussi variés que l’agriculture, la santé, l’énergie ou la finance. 250 cheffes d’entreprises et d’institutions publiques africaines, dirigeantes de multinationales et de cabinets de conseil actifs en Afrique débattront de ces sujets au cours de conférences interactives. Pendant deux jours, elles échangeront également lors de masterclasses inspirantes et d’ateliers pratiques avec pour objectif de développer leurs capacités de leadership. Parmi les dirigeantes africaines de haut niveau attendues pour prendre part aux débats : Elisabeth Medou Badang, porte-parole et directeur zone MEA, Orange ; Cathia Lawson-Hall, Directrice des institutions financières pour l’Afrique, Société Générale ; Lucy Quist, Co-fondatrice, Women Network ; Toyin Sanni, P-dg, Emerging Africa Group ; Anta Babacar Ngom, DG, SEDIMA ; Habiba Laklalech, DG adjointe, Royal Air Maroc ; Nadia Fettah, DG, Saham Finances ; Ibukun Awosika, Présidente, First Bank PLC ; Massogbé Touré, Présidente, SITA ; Françoise Remarck, PCA, Canal + Côte d’Ivoire ou encore Martine Coffi-Studer, PCA, Bolloré Côte d’Ivoire. AMA