RDC. Sécurité et économie au centre des échanges entre le Chef de l’État et le Président de l’Assemblée nationale

RDC. Sécurité et économie au centre des échanges entre le Chef de l’État et le Président de l’Assemblée nationale

Après son retour à Kinshasa, le Chef de l’État Félix Tshisekedi a accordé une première audience au Président de la Chambre basse du parlement Vital Kamerhe, ce mercredi à la Cité de l’Union africaine. Des questions sécuritaires et économiques étaient au menu de leurs discussions. Sur la crise sécuritaire dans l’Est du pays, ils se sont convenus de faire une évaluation régulière de la situation sur le terrain. « Le Chef de l’État n’a pas lésiné sur les moyens. Il a recruté des hommes, les a formés et dotés d’équipements pour faire face à cette guerre », a dit Vital Kamerhe. Concernant la gestion des moyens fournis à l’armée congolaise, le Président de l’Assemblée nationale rappelle que le Chef de l’État veut la transparence totale dans la chaîne de livraison de la nourriture afin d’éviter les plaintes incessantes des soldats sur le terrain. Par ailleurs, la dépréciation du franc congolais par rapport aux devises étrangères a été abordée. « Il est temps que le programme de transformation et de diversification de notre économie nationale soit mis en exécution et qu’il y ait un suivi permanent », a relevé M. Kamerhe. « Le Président de la République met en garde tous les grossistes qui pratiquent des prix fantaisistes. Le contrôle dans ce secteur sera régulier et rigoureux », a poursuivi Vital Kamerhe. Une autre réunion est prévue à ce sujet avec la participation de la Première ministre et de quelques membres de son gouvernement parmi lesquels le vice-Premier ministre, ministre l’Économie nationale. Avant de clore leurs échanges, le Chef de l’État et le Président de la Chambre basse du parlement ont survolé la question liée au fonctionnement de l’Assemblée nationale. L’entretien s’est terminé par le message de condoléances du Président de la République à la population du Sud-Kivu à la suite du décès du Mwami et Chef de la chefferie de Kabare, Désiré Kabare Rugemaninzi II.

RD Congo. L’amélioration de la vie de la population parmi les défis de Vital Kamerhe

RD Congo. L’amélioration de la vie de la population parmi les défis de Vital Kamerhe

Réhabiliter l’image de l’Assemblée nationale, restaurer le député dans son honneur et sa dignité et améliorer les conditions de vie de la population, sont parmi les priorités que s’est fixées Vital Kamerhe nouveau président de l’Assemblée nationale. Lors de la première réunion du bureau, samedi 25 mai, Vital Kamerhe a réitéré ces priorités exprimées lors de son investiture.   Il a dit sa détermination à lutter contre les inégalités en faisant voter des lois justes qui garantissent la redistribution équitable des droits et devoirs à tous les Congolais et un contrôle rigoureux de la gouvernance afin de barrer la route à l’enrichissement illicite. Ce que salue le député Checain Malandji, élu de Lubumbashi. Il compte sur l’expérience de Vital Kamerhe pour conduire avec fermeté et responsabilité le bateau de la démocratie. Ce vœu est partagé par la société civile parlementaire qui estime que « l’image du député national aujourd’hui est ternie par les 21 à 33 000 dollars qu’il toucherait chaque mois pour passer du temps à dormir dans l’hémicycle, à après être arrivé à la plénière avec plus de 4 heure de retard pour examiner des lois qui n’ont rien avoir avec les attentes des Congolais ». Le nouveau président de l’Assemblée nationale, Vital Kamerhe, se lance le défi de rencontrer les attentes de la population : « Vecteur pour canaliser les attentes de la population, l’Assemblée nationale a dans sa mission, d’abord s’assurer que dans son programme d’investiture, Mme la Première ministre a tenu compte de ces desiderata. Est-ce que toutes les contrées du pays, toutes les provinces, toutes les questions en commençant par la question sécuritaire, du quotidien, du social du Congolais, les infrastructures de base [sont prises en compte].  Et pour toutes ces raisons, nous devons restituer à la chambre basse ses lettres de noblesse, au député national sa dignité et son honneur. Croyez-moi, ça sera fait ».

RD Congo. VK : Reculer pour mieux sauter…

RD Congo. VK : Reculer pour mieux sauter…

LIBRES PROPOS. Un fait est passé inaperçu ce lundi 19 février 2024 : le Vice-Premier Ministre, ministre de l’économie nationale, Vital Kamerhe, a rendu sa démission de son poste de ministre de l’économie pour rester un simple député national ou, pour être plus clair, avec l’objectif de quitter l’Exécutif pour le Parlementaire. Ce choix est éminemment stratégique car, au regard des prérogatives lui octroyées par l’accord de Nairobi, il est hors de question qu’il siège à l’hémicycle comme simple député. Tout en écartant l’hypothèse de la primature, ce choix le met en pole position d’occuper la présidence de l’Assemblée nationale ou celle du Sénat. Plus vraisemblablement Felix Tshisekedi le placera à la présidence de l’AN pour ne pas prendre le grave risque d’en faire un régent direct selon l’article 75, car alors ce dernier peut être très tenté de précipiter la vacance du poste présidentiel. Par Germain Nzinga

RDC: rentrée politique pour Vital Kamerhe

RDC: rentrée politique pour Vital Kamerhe

L’ancien directeur de cabinet de Félix Tshisekedi reprend ce lundi les activités politiques formelles après deux années d’absence officielle sur la scène politique. Il présidera, ce jour, la réunion du bureau politique de son parti, Union pour la Nation congolaise (UNC). Après le tête-à-tête le 28 juin dernier avec le président Félix Tshisekedi, la réunion de ce lundi 22 août élargie aux députés membres de l’UNC et autres hauts cadres sera, pour Vital Kamerhe, la première activité politique formelle depuis son acquittement, il y a deux mois, par la Cour de cassation. Cet arrêt tombé comme un couperet avait marqué la fin d’un feuilleton politico-judiciaire qui avait coûté le poste de directeur de cabinet du président de la République à Vital Kamerhe, 63 ans. « C’était sans entacher les liens entre les deux partenaires », assure un haut cadre du parti. Lire la suite sur RFI

RD Congo. Les dessous du retour de V. Kamerhe à Kinshasa

RD Congo. Les dessous du retour de V. Kamerhe à Kinshasa

TRIBUNE. Après quatre mois de séjour en France , Vital Kamerhe est rentré au pays le lundi 18 avril 2022. Ce retour semble déterminant dans un contexte judiciaire et politique tout de même bien particulier. En effet, le président de l’UNC est de retour au pays une semaine après que la Cour de cassation ait annulé l’arrêt de la cour d’appel l’ayant condamné à 13 ans des travaux forcés. Ce retour est également très significatif dans la mesure où la RDC se retrouve à une année des échéances électorales dans un contexte de redistribution des cartes sur la scène politique congolaise. Kamerhe est en train donc de faire son come-back au centre du jeu politique congolais. Des rumeurs persistantes sur la démission de Sama Lunkonde vont de pair avec l’hypothèse de sa succession par un des poids lourds de la politique congolaise. L’Executif sous la houlette de Félix Tshisekedi étrangement nommé « Gouvernement des Warriors » quitte le terrain de bataille économique pour celui de la bataille électorale. D’où la nécessité de remplacer à la primature un nouveau PM mieux adapté au profil de propagande politique en faveur du président actuel qui pour rempiler a réussi à tout mettre sous ses pas ( Bureau de la CENI; Cour Constitutionnelle ; Justice et Chambre haute et basse du Parlement sans compter le contrôle direct des régies financières qui sont les nerfs de la campagne électorale) Manque seulement un tribun et un Chef de campagne électorale à la hauteur de l’enjeu. Deux noms sont sur la table de Fatshi: Vital Kamerhe et Jean-Pierre Bemba. Selon les indiscrétions de source crédible, Vital Kamerhe aurait accepté la modification de clauses de l’Accord de Nairobi qui le désignait comme successeur logique de Fatshi pour le second mandat. Au regard du contexte de son incarcération qui l’a profondément fragilisé, il a accepté de soutenir FATSHI en 2023 mais avec cette contrepartie significative d’être lavé dans son casier judiciaire. C’est d’ailleurs ce plan qui se dessine derrière les gesticulations de la Cour de Cassation qui a annulé le jugement du Tribunal de Grande Instance et a dû changer les membres de la cour pour un prochain jugement. Son retour trop DISCRET à Kinshasa le lundi dernier s’inscrit dans cette nouvelle dynamique où il est appelé à ne pas faire de l’ombre à celui qu’il est appelé à promouvoir pour la seconde fois au sommet de la magistrature suprême. Au cas où Vital Kamerhe serait tellement honni par l’opinion au point de ne pas faire l’unanimité à la primature, il se contenterait du rôle du stratège de la campagne présidentielle, laissant ainsi la conduite du gouvernement à Jean-Pierre Bemba. Concernant Jean-Pierre Bemba, il sied d’observer que cet acteur politique joue profil bas depuis sa sortie du Tribunal Pénal International (TPI) et conforte la thèse d’un deal qui aurait abouti à sa libération conditionnelle, faisant de lui un politicien DOCILE et PACIFIQUE. Le fait que ce « trublion » d’hier prêt à prendre les armes pour conquérir le pouvoir soit miraculeusement reconverti en politicien trop assagi donne matière à réflexion. Il n’est pas impossible qu’il serve de plan B pour la primature ou, faute de mieux, candidat dans la course au premier tour des présidentielles dans l’objectif de reporter ses voix à FATSHI au second tour. Un Bemba allié avec Fatshi affaiblirait automatiquement la plate-forme Lamuka déjà fortement lézardée de l’intérieur tout comme l’opposition congolaise dans son ensemble. Vu qu’en RDC, les électeurs ne votent pas toujours selon le projet de société du candidat ni à l’aune de son bilan économique ni non plus selon son intégrité morale mais plutôt pour son appartenance ethnique, le triumvirat Tshisekedi – Kamerhe – Bemba (couplé au parti de Modeste Bahati) devient par le fait même le ticket gagnant qui aura le double avantage de gratigner la plupart des voix électorales du Nord, de l’Est et du centre, asphyxiant du coup le challenger Moïse Katumbi dans son fief électoral de Katanga et Martin Fayulu dans son fief de Bandundu et d’une partie de Kinshasa. Pour tout dire de ces deux potentiels candidats premiers ministres, il semble bien fonctionner cette sempiternelle stratégie du pouvoir profond en RDC consistant à affaiblir les acteurs politiques, quitte jusqu’à leur incarcération ( Kamerhe et Bemba) avant de les soumettre, bon an mal an, au plan d’asservissement et de spoliation du peuple congolais. Si un tel plan venait à se mettre en place, alors on retiendra que le destin du Congo semble scellé d’avance dans le sens contraire de sa prospérité et que par contre les politiciens congolais ne se lasseront jamais de nous surprendre de par leur inconstance idéologique, leur opportunisme sans scrupule et leur manque total de vision pour un Congo nouveau et prospère. Par Germain Nzinga

RD. Congo/Politique. Félix Tshisekedi, l’homme des divorces politiques

RD. Congo/Politique. Félix Tshisekedi, l’homme des divorces politiques

TRIBUNE. À un an de la présidentielle 23 – si elle se tient à date échue – « Fatshi Béton », ainsi que l’appellent ses affidés de l’Udps, a divorcé d’avec ceux qui l’ont politiquement soutenu, peu avant et pendant son séjour au palais de la Nation. Les épousailles entre Joseph Kabila et Félix Tshisekedi, comme on s’y attendait, étaient un marché de dupes qui a fini par déboucher sur éclats de voix et rixes. Au point d’amener l’époux à demander le divorce tout de suite. Ainsi a été donc portée sur les fronts baptismaux l’Union sacrée dont la signature de l’acte de naissance a été fêtée dans les grands milieux de Kinshasa, à coup de billets verts et nuits blanches. Jean-Marc Kabund, le grand agitateur politique, qui soufflait bien sur les braises pour précipiter ce divorce, vient de tomber en disgrâce de manière déshonorante pour un secrétaire général du parti dominant. Son exclusion de l’Udps n’a même pas attendu que ce dernier présente sa lettre de démission comme vice-président de l’Assemblée nationale, tel il l’avait lui-même annoncé. Peu avant ces épisodes de politique politicienne assaisonnés aux kinoiseries, Vital Kamerhé, président de l’Unc, tant engagé aux côtés de Tshisekedi pendant les moments de braise pour déloger Joseph Kabila du Palais de la Nation, a été mis sous clef(à tort ou à raison?) pour une affaire de détournement de deniers publics. Comment Félix Tshisekedi n’a-t-il pas pu extraire son acolyte et ami de lutte des griffes des juges du tribunal de la Gombé, à Kinshasa? Pourquoi a-t-il fait le mort en n’accordant aucune compassion aux explications techniques de ces contrats que lui avait fait parvenir son ancien directeur de cabinet, à partir de sa cellule de la prison de Makala ? S’interroge t-on à l’Unc, où l’on estime que ce sont les pressions internationales qui ont amené Fatshi à fléchir, dans un cadre purement humanitaire, à la mise en liberté provisoire de Kamerhé, mal en point et obligé d’être évacué en France. Moïse Katumbi, le financier des opérations et combats politiques de Fatshi voire de l’opposition, notamment pendant la période pré électorale se ronge désormais les ongles après la rupture entre lui et son poulain… De l’avis des exégètes du landerneau politique national, Fatshi a ouvert plusieurs fronts qu’il aura du mal à refermer. Outre l’église catholique, à travers la puissance Cenco, ses principaux lieutenants politiques(Kamerhé, Kabund, Katumbi…) lui feront défaut pour rempiler à la tête du Congo. D’autant que le corps électoral de la RDC, comme ailleurs en Afrique, reste socio ethnique et régional. Difficile, dans ces conditions, qu’un président soit élu sans l’appui des autres puissants groupes ethniques du pays, notamment de l’Est de la république, Lubas, Ngalas, Kongos et Katangais… Fatshi dispose t-il, en dehors de « ses » Lubas naturels, des relais crédibles dans ces contrées? À Kinshasa, où le mouvement de réveil des églises pentecôtistes est plus influent que nulle part dans les pays francophones, Marc 9:23 est visible à tout bout de champ: « Tout est possible à celui qui croit « . Par Alphonse Ndongo Journaliste économique et financier.

RD Congo. Avant l’estocade finale…

RD Congo. Avant l’estocade finale…

TRIBUNE. Comme à leur habitude, la majorité des congolais ergotent ce soir sur la libération “conditionnelle “ de Vital Kamerhe, de sa sortie de prison et de son retour triomphal à domicile. Mais très sincèrement de quelle prison parle-t-on? Posez une seule fois la question aux gardes de la prison centrale et ils vous confirmeront qu’ils n’ont pas vu l’ombre d’un Kamerhe ni hier (dim.5, dnr) ni aujourd’hui (lundi 6, dnr) à la porte de sortie de cette prison. Pour tout dire, ce monsieur n’est pas sorti de la prison où il n’était plus depuis plus d’un an. Sa prétendue mise en liberté tout comme au même moment, la grâce présidentielle octroyée à Willy Bakonga et à Eteni Longondo (sans qu’un seul sous des millions volés ne soit récupéré par le trésor public) équivalent à l’officialisation de la maffia politique en RDC où la lutte contre la corruption et les détournements des deniers publics n’est plus qu’un slogan creux. C’est bien là la preuve tangible du non-état et du viol du peu de dignité qui restait encore au peuple congolais. Il importe donc de mettre ces libérations en cascade en étroite corrélation avec l’installation progressive et durable (sous le sceau de l’officiel) des troupes ougandaises et rwandaises à l’Est congolais pour comprendre la gravité de ce qui se prépare derrière le dos des congolais. Avec cette politisation et cette gabegie à grande échelle de l’appareil de la justice qui culmine avec ce qu’on peut interpréter comme un début d’acquittement de Kamerhe, les congolais entament donc la phase cruciale de l’EFFONDREMENT effectif de trois piliers de leur état raté et, aux yeux de l’opinion internationale, le lancement important dans la guerre psychologique, de la campagne de DÉCRÉDIBILISATION massive de leur pays avant l’estocade finale… Par Germain Nzinga

RD Congo. Ce mystère caché de la prison de Makala…

RD Congo. Ce mystère caché de la prison de Makala…

TRIBUNE. Les congolaises et les congolais se sont-ils interrogés un seul instant par quelle magie Vital Kamerhe accusé de détournement des centaines de millions de dollars semble être déjà exfiltré de la prison de Makala vers une paisible habitation quelque part à Kinshasa? Qui peut nous expliquer la libération de son complice dans le scandale du programme de 100 jours, le libanais Samy Jamal et son éventuel discret retour dans son pays natal? Et comment se fait-il que l’ex ministre de la santé Eteni Longondo écroué le 27 août 2021 pour le détournement des fonds alloués à la lutte contre le civid-19 soit déjà sorti de la prison juste deux semaines plus tard, le mercredi 15 septembre 2021? Et son collègue de l’EPST Willy Bakonga arrêté avec grand bruit à Brazzaville pour avoir détourné plus de 25 millions de $ de frais de fonctionnement de son ministère et écroué à plus de dix ans de prison ferme à Makala juste en avril 2021, par quelle baguette magique se retrouve-t-il libre de ses mouvements depuis hier jeudi matin? Contacté ce matin par la presse, son avocat affirme qu’il a été libéré suite à la grâce présidentielle. Qui peut bien m’expliquer le mystère de cette prison qui, avant même le délai requis pour purger la peine et parfois avant même le jugement sur les faits reprochés, octroie gracieusement la liberté à ses propres pensionnaires, plus particulièrement à ceux jugés coupables d’avoir volé la caisse de l’état par millions de $? Pour pouvoir percer ce grand mystère, il suffit de se poser la douloureuse question suivante : “ Où sont allés finir les millions des dollars volés par ces justiciables? Ont-ils été récupérés par l’état congolais spolié?” Trouver un début de réponse à cette question, c’est comprendre en même temps que le pillage systématique de l’état congolais tel qu’il se passe ces jours-ci n’est point une simple affaire personnelle de ces quelques individus cités haut. C’est plutôt tout un SYSTÈME DE PRÉDATION mis en place en RDC et ayant plusieurs tentacules jusqu’au sommet de l’Etat. Bref ces quelques individus ne sont que la partie émergée de l’iceberg et sont juste utilisés avec moult garanties comme des « fusibles » par plus forts qu’eux. Ils savent par conséquent que la prison de Makala est devenue une simple usine de blanchiment des crimes financiers et qu’ils n’ont rien à craindre de leur avenir grâce à leurs connivences avec les détenteurs du pouvoir. Il est désormais préférable de ne plus trop vite crier NAÏVEMENT à la victoire de la démocratie quand l’un de ces prédateurs sera de nouveau arrêté ou lorsqu’on va faussement nous rassurer qu’une prétendue enquête judiciaire serait ouverte, car c’est bien là un simple cirque pour apaiser les esprits ( le temps d’oublier et de passer à autre chose) et de là se servir de ce simulacre de justice pour faire miroiter l’existence d’un état de droit dans ce pays en pleine déliquescence…. Qu’on se le dise! Par Germain Nzinga