CAN 2025 : arrivée progressive des Léopards à Kinshasa pour la double confrontation face à la Tanzanie
Les Léopards seniors football messieurs ont débuté le rassemblement dimanche 6 octobre à Kinshasa en prévision de la double confrontation entre la République démocratique du Congo et la Tanzanie dans le cadre de la 3eme et 4eme journée des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations Maroc 2025, prévue respectivement le jeudi 10 octobre à Kinshasa et le 15 du même mois à Dar-Es-Salam. La première séance d’entraînement des fauves Congolais est programmée ce lundi 7 octobre, à 17h00, au stade des Martyrs de Kinshasa à huis clos. Une absence est à signaler : celle de Chadrack Akolo déclaré forfait en raison d’une blessure contractée en club. Sur les 25 joueurs convoques, huit sont déjà présents sur le lieu d’internement depuis dimanche à savoir : Fiston Kalala Mayele, Théo Bongonda, Gédéon Kalulu, Joris Kayembe, Chancel Mbemba, William Balikwisha, Edo Kayembe, Peter Kioso. Sont attendus ce lundi 7 octobre : Rocky Bushiri, Samuel Essende, Samuel Moutoussamy, Simon Banza, Lionel Mpasi, Charles Pickel, Timothy Fayulu, Dylan Batubinsika, Dimitri Bertaud et Noah Sadiki. Selon le programme, c’est le mardi 8 octobre que la liste affichera complète avec les arrivées de : Enock Inonga Baka, Arthur Masuaku, Nathanaël Mbuku, Silas Katompa, Meschack Elia et Gaël Kakuta. En attendant ces matchs de la 3e et 4e journée du groupe H, la RDC est en tête du classement avec 6 points et un goal différence de +3 en 2 sorties. La Tanzanie vient en deuxième position avec 4 points +1, suivi de l’Ethiopie 3e avec 1 point -2, la Guinée est la lanterne rouge avec 0 point -2. Radio Okapi
RD Congo. Libération des prisonniers, le revers de la médaille
TRIBUNE. Nous avons apprécié à sa juste valeur l’acte posé par le Ministre de la justice en ordonnant la libération des milliers des prisonniers en vue de désengorger la prison. La méchanceté de nos magistrats est telle que, monsieur Kumbu Ngoy par exemple a eu à passer 21 ans à Makala sans avoir été jugé. Et sur 15000 prisonniers gardés dans cet enfer, seuls 3000 seraient déjà condamnés. Les autres, une fois arrêtés attendent leur mort en prison au cas où il n’ont personne dehors pour graisser les pattes aux magistrats instructeurs des dossiers. Les syndicats des magistrats qui étaient montés sur tous les toits pour pour se justifier sont-ils aujourd’hui capables de se regarder dans un miroir ? Toutefois, au-delà de l’humanisme qui a accompagné la libération de ces détenus parmi lesquels se trouvent des criminels professionnels, il y a lieu de souligner que notre gouvernement ne fonctionne pas harmonieusement. Un gouvernement, c’est comme un corps humain dont tous les membres sont indispensables. Ils se complètent et leurs mouvements sont synchronisés par la tête. Quand l’un agit, il fait une passe à un autre. Tous poursuivant le même objectif. La satisfaction du corps. Les jambes font déplacer le corps à la recherche de la nourriture ; Les bras préparent, les mains donnent à la bouche ; Les dents mâchent et font une passe à l’estomac… Le tout dans une parfaite harmonie. C’est comme cela que notre gouvernement devait fonctionner. Malheureusement, ce n’est pas le cas . Il y a à se demander si la décision louable de libération d’autant de prisonniers a été débattue en conseil des ministres ou dans une commission interministérielle où tous les aspects ont été passés au peigne fin. Dans une telle commission devaient siéger les ministres de la justice, de l’intérieur, de la santé , de l’agriculture, de la formation professionnelle… Chacun de ces ministres devait jouer un rôle dans cette action. Celui de la justice pour sélectionner les prisonniers éligibles, celui de l’intérieur pour prendre des dispositions sécuritaires en vue de faire face à l’insécurité qui résulterait du largage des criminels professionnels dans la population, celui de la santé pour la prise en charge médicale des malades, ceux de l’agriculture et de la formation professionnelle pour la réinsertion de ces personnes dont certains ont fait plusieurs années en prison et qui n’ont aucune structure pour les accueillir dehors. De la prison, on devait les amener à Kanyama Kasese ou à une autre prison à ciel ouvert où ils s’adonneraient aux travaux champêtres et à l’apprentissage des métiers qui faciliteraient leur réintégration ds la société. Maintenant qu’ils se retrouvent dehors sans encadrement, où vont-ils dormir ce soir ? que vont-ils manger…? Sans pitié, ils seront prêts à tuer et voler pour survivre. Le gouvernement a trouvé une solution en désengorgeant la prison mais, il a créé un autre. Celui d’une insécurité exponentielle qui met les paisibles citoyens en danger. Qu’est-ce qui a manqué au gouvernement pour prendre des mesures concertées dans ce dossier ? Se poserait-il un problème au niveau de la coordination de ses actions ? Lors de la tentative d’évasion qui avait occasionné plusieurs dizaines de morts, nous avions vu deux membres du gouvernement se contredire dans l’espace de quelques heures. Le vice-ministre de la justice avait donné un bilan de deux morts avant-midi. Après-midi, le VPM de l’intérieur avait parlé de 129 morts en présence du Vice-ministre de l’intérieur qui n’avait pas bronché. Au vu de ce qui précède et sans peur d’être contredit, nous affirmons qu’il se pose un sérieux problème de la planification collaborative dans ce Gouvernement. Il y aurait un sérieux problème de conflits de compétences. Ce qui est fait est fait. Il appartient au ministre de l’intérieur de prendre des dispositions nécessaires pour renforcer la sécurité dans la ville. Par Steve Mbikayi
Goma : calme précaire après des affrontements entre FARDC, Wazalendo et FDLR à Mugunga
Une accalmie relative s’observe depuis le matin de ce jeudi 26 septembre dans les camps de déplacés situés à Mugunga à l’Ouest de la ville de Goma, (Nord-Kivu), après une panique qui a prévalu à l’aube ce jeudi. D’après plusieurs sources, cette situation a été causée par des affrontements à l’arme lourde et légère signalés dans la région Rusayo, dans le parc des Virunga en territoire de Nyiragongo, entre des militaires des FARDC, des éléments de la force d’autodéfense pour la patrie, Wazalendo et les rebelles des FDLR. Selon le chef de quartier, plusieurs personnes déplacées qui avaient fui regagnent timidement leurs milieux. L’armée n’a toujours pas communiqué sur cette situation qui sème la confusion dans la région. Cependant, les autorités locales et la société civile affirment que c’est le troisième incident qui oppose l’armée aux FDLR et Wazalendo dans cette partie qui surplombe les camps de personnes déplacées et qui les exposent à des risques. Radio Okapi
Le Président Felix Tshisekedi réclame des sanctions ciblées contre le Rwanda pour mettre fin à la crise sécuritaire à l’Est de la Rdc
Dans son discours à la tribune de la 79 ème Assemblée générale des Nations-Unies, le Président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a consacré un chapitre important à la situation sécuritaire préoccupante dans l’Est de la RDC. Le Chef de l’État a appelé à des sanctions contre l’agresseur rwandais. « La résurgence du groupe terroriste M23, soutenu par le Rwanda, a provoqué une crise humanitaire sans précédent, avec près de 7 millions de déplacés internes… Nous appelons la communauté internationale à condamner fermement ces actes et à imposer des sanctions ciblées contre le Rwanda pour son rôle déstabilisateur. », a dit le Président Tshisekedi du haut de la tribune des Nations-Unies. Au sujet de la protection des ressources naturelles de la RDC, le chef de l’Etat a dit: « Il est essentiel de renforcer la traçabilité des minerais stratégiques, indispensables aux équipements technologiques, afin d’assurer une exploitation responsable et durable de nos ressources. » Au sujet de la feuille de route de Luanda le président Félix Antoine Tshisekedi a déclaré que : « La RDC est résolument engagée dans la mise en œuvre de la feuille de route adoptée dans le cadre du processus de Luanda, que je soutiens fermement, qui promeut un dialogue de haut niveau visant à restaurer la confiance entre la RDC et le Rwanda, tout en minimisant le risque que la crise sécuritaire actuelle ne dégénère en conflit régional”. « Riche en biodiversité et en ressources naturelles, la RDC se positionne comme un acteur clé dans la lutte contre le changement climatique”, a dit le Chef de l’État réaffirmant le rôle de premier plan que la RDC entend jouer.
RD Congo. Les 100 jours du Gouvernement Suminua
TRIBUNE. Cent jours après l’investiture de l’équipe gouvernementale, l’opinion juge son action. Quant à nous, nous estimons que dans notre environnement, coter un Gouvernement après 100 jours n’est pas réaliste. Nous sommes habitués à faire du copier coller. Parce qu’aux USA, en France…un Chef de l’État ou un gouvernement est évalué et côté après 100 jours, nous le faisons aussi. Le contexte est-il le même ? Dans des pays développés, un gouvernement qui est mis en place trouve les infrastructures nécessaires, une administration qui fonctionne harmonieusement et qui assure la continuité de l’État. Les ministres sont sélectionnés tenant compte des critères on ne peut plus objectifs. Une fois investis, ils savent par où commencer et se mettent directement au travail avec un budget à la hauteur des enjeux. Chez nous, ce n’est pas le cas. Généralement, les cabinets ministériels ne travaillent pas en parfaite harmonie avec l’administration. Plusieurs dossiers se limitent aux cabinets. La plupart des nouveaux ministres recommencent à zéro ou abandonnent les projets de leurs prédécesseurs. Il se pose aussi un problème de casting. Il y a certains ministres sélectionnés par les regroupements politiques qui n’ont aucune expérience ni savoir-faire. Ils apprennent à traiter les dossiers en étant au gouvernement. Parfois, les directeurs des cabinets leur sont imposés par leurs familles politiques, pas sur base de la technicité mais, sur base du militantisme et de la soumission à leur autorité morale. Sûrement qu’après 100 jours, ils se recherchent encore. Que peut-on attendre d’un ministre et d’un directeur de cabinet novices ? La profondeur de la crise que traverse le pays nécessite que le casting soit fait de sorte qu’un nouveau ministre se mette au travail dès le premier jour. Il doit savoir ce qu’il doit faire avant même d’entrer en fonction. Cela nécessite qu’au-delà de l’appartenance à des regroupements politiques, le Président de la République soumette les candidats ministres à une interview. Chacun doit faire preuve de la connaissance du secteur qu’il voudrait diriger et le changement qu’il compte apporter conformément à la politique et à sa vision parce que c’est lui qui est détenteur du mandat populaire. Parmi les membres du gouvernement actuel, certaines individualités sortent du lot. C’est la preuve que ce sont les personnes qu’il faut à la place qu’il faut. Le cas le plus frappant est celui du ministre d’ État à la justice choisi par le Chef lui-même sans passer par une quelconque autorité morale. À voir sa prestation, ns pouvons affirmer qu’avant d’entrer en fonction, il savait déjà ce qu’il devait faire. Et sur le plan du fond, il le fait bien. Reste à soigner la forme. Il s’attaque à un mal que l’opinion publique victime du dysfonctionnement de la justice a toujours décrié dans l’indifférence totale de l’autorité de tutelle. Chaque congolais a déjà été victime de la prévarication de nos magistrats. Du fait pr le nouveau ministre d’avoir dénoncé publiquement ce mal et de faire preuve d’une ferme volonté à le combattre, lui attire une estime méritée de la population. Toutefois, pour réussir sa mission, il doit être en bonne intelligence avec le Conseil Supérieur de la magistrature. Continuer à bien faire les choses, parler moins et le faire savoir par ses services de communication. Si les choses s’étaient passées ainsi dans tous les secteurs, les 100 jours du gouvernement auraient été une réussite. Dans tous les cas, tenant compte de la complexité de notre environnement, du copinage qui prévaut lors de la composition du gvt et du fait que les membres du gvt n’ont pas les moyens de leur politique par le fait que les ministres des finances et du budget font passer les dossiers de qui ils veulent, il n’est pas indiqué de juger le gvt après 100 jours. Toutefois, il serait mieux que ceux des ministres qui ne sont pas à leurs places dégagent le plus tôt que possible. Par Steve Mbikayi
RD Congo/Rwanda. F. Tshisekedi et P. Kagame : uni par le suprémacisme ethnique
LIBRES PROPOS. La seule petite différence entre le régime de Kigali dirigé par Paul Kagame et le pouvoir de Kinshasa dirigé par Félix Tshisekedi est que le premier est dominé par des extrémistes dirigés par un suprématiste tutsi, alors que le second est gouverné par des suprématistes lubas dirigés par un tribaliste que l’on pourrait qualifier de « colombe » aux ailes de faucon. Tant au Rwanda qu’en RD Congo, on a des gens pour qui le suprémacisme ethnique et/ou tribal constitue l’ADN de leur système de gouvernance. La « Luba supremacy » sur laquelle s’est littéralement construit le pouvoir de Félix Tshisekedi n’est pas le mal de l’heure, mais bien un mal qui perdure depuis le récupération de l’UDPS originelle par Étienne Tshisekedi, puis la bande à Maman Marthe à la tête de laquelle trône le fils. L’aversion des Congolais à l’égard de Joseph Kabila avait soudé les Congolais. La tribalisme décomplexé de Félix Tshisekedi et de certains de ses frères de tribu les a divisés. Le vivre ensemble a volé en éclat au Congo de Lumumba; ce qui contribue à nourrir le ressentiment et la haine de la majorité frustrée et silencieuse à l’égard de ces suprémacistes au raisonnement approximatif. Bref. L’après Kagame et Tshisekedi sera douloureux pour certains. C’est juste une question de temps… Par Patrick Mbeko
Protégez les femmes et les filles dans les prisons de la RD Congo
Un rapport interne daté du 9 septembre du Fonds des Nations Unies pour la population, l’agence de l’ONU chargée de l’amélioration de la santé reproductive et maternelle, a révélé que, plus tôt dans le mois, 268 des 348 femmes détenues dans la prison de Makala en République démocratique du Congo – soit près de 80 pour cent d’entre elles – ont été victimes de viols et d’autres violences sexuelles lors d’une tentative d’évasion qui s’est avérée mortelle. Le rapport, consulté par Human Rights Watch et couvert pour la première fois par Reuters, indique que 17 des survivantes de ces violences sexuelles avaient moins de 19 ans. Suite aux violences du 2 septembre dans la prison, le ministre congolais de l’Intérieur, Jacquemain Shabani, a annoncé le même jour que 129 prisonniers étaient morts et 59 ont été blessés. Il a également déclaré qu’il y avait eu « quelques femmes violées ». Le 4 septembre, une détenue a affirmé à Human Rights Watch qu’elle avait vu des femmes en train d’être violées et qu’aucune d’entre elles n’avait reçu des soins appropriés. Le rapport souligne que bien que nombre de survivantes aient reçu, dans les 72 heures suivant les attaques, les soins de prise en charge couramment fournis après un viol, telles qu’une contraception d’urgence et la prophylaxie post-exposition au VIH, elles n’avaient reçu de soutien psychologique adéquat qu’à partir du 11 septembre. La violence sexuelle est un problème chronique dans les prisons de la RD Congo. En septembre 2020, une émeute à la prison centrale de Kasapa à Lubumbashi a provoqué un incendie dans la section des femmes, forçant les prisonnières à rester dans la cour principale de la prison pendant trois jours, et ce sans aucune protection de l’administration pénitentiaire. Durant ces trois jours, des hommes détenus avaient à maintes reprises violé des dizaines de prisonnières, dont une adolescente. Un procès tenu 16 mois plus tard fut une occasion ratée d’enquêter sérieusement sur ce qui s’était passé et de tenir pour responsables les auteurs des viols, ainsi que les fonctionnaires de l’État qui n’ont pas empêché les abus. Ceci vient s’ajouter à la surpopulation et aux mauvaises conditions de vie et d’hygiène prévalant à Makala et dans plusieurs autres prisons congolaises. Le 2 septembre, Jacquemain Shabani a annoncé la mise en place d’une commission mixte pour établir les faits autour de l’incident à la prison de Makala. Bien que cette commission doive faire face à plusieurs défis, elle devrait accorder une attention particulière à cette question cruciale : que doit faire le gouvernement pour lutter contre la violence sexuelle dans les prisons congolaises et garantir la dignité et la sécurité des femmes et des filles détenues ? Carine Kaneza Nantulya Directrice adjointe, division Afrique -HRW
Coupe d’Afrique des Nations 2025 : La RD Congo assure, l’Afrique du Sud et l’Ouganda dos à dos
FOOTBALL. Cinq matches au programme et aux fortunes diverses pour la suite de cette première journée des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations CAF TotalEnergies, Maroc 2025. RD Congo 1-0 Guinée But : E. Kayembe 27’ Pour ce remake du quart de finale de la Coupe d’Afrique des Nations CAF TotalEnergies 2023, les Congolais ont une nouvelle remporté la mise. Grâce à Edo Kayembe, les hommes de Sébastien Desabre empochent les trois points de la victoire et lancent parfaitement leur campagne qualificative. De leur côté, les Guinéens devront se racheter face à la Tanzanie. Tunisie 1-0 Madagascar But : F. Sassi 90+8’ À la 98e minute de la rencontre, les protégés de Rôrô Rakotndrabe ont succombé sur le fil, malgré le fait que le seul but de la partie ait été marqué par Ferjani Sassi. Les Tunisiens, qui avaient participé au dernier Mondial, semblent avoir éprouvé des difficultés à se débarrasser de l’équipe malgache, malgré leur expérience dans des compétitions internationales de haut niveau. Les défenseurs malgaches ont tenu bon pour empêcher les avancées tunisiennes. Néanmoins, beaucoup estiment que les Tunisiens ont bénéficié de certaines décisions arbitrales, ce qui aurait perturbé le sélectionneur malgache, entraînant des erreurs dans la gestion du temps et des joueurs. Afrique du Sud 2-2 Ouganda Buts : L. Foster (14’), T. Mbatha (90+5) pour l’Afrique du Sud/ D. Omendi (51’), R.Mato (53’) L’Afrique du Sud a réussi à égaliser à la dernière minute face à l’Ouganda. Après l’ouverture du score par Lyle Foster à la 14e minute, les joueurs ougandais ont pris l’ascendant en seconde période avec deux buts consécutifs à la 51e et à la 54e minute. Cependant, Thalente Mbatha a permis aux Bafana Bafana de revenir à 2-2 en fin de match. Par ailleurs, bien qu’un but tardif de Kevin Denkey à la 79e minute ait mis la pression, le Libéria a réussi à égaliser avec un but dans le temps additionnel (90+2e) contre le Togo. Togo 1-1 Libéria Buts : K.Denkey (72’) pour le Togo / W. Gibson (90+2) pour le Libéria À l’issue d’un match difficile, les Togo ont été les premiers à prendre l’avantage à la 78e minute, grâce à Denkey. Néanmoins, les Libériens ont réussi à rétablir l’équilibre dans le temps additionnel avec un but de Gibson à la 90+2e minute. Sierra Leone 0-0 Tchad Les Sierra-Leonais et les Tchadiens se séparent sur un score nul et vierge. Caf