Burkina Faso – Fédération de Football : Oumarou Sawadogo élu nouveau président

La Fédération burkinabè de football (FBF) a tenu son assemblée générale élective ce samedi 31 août, à son siège de Ouagadougou. À l’issue de cette session, Oumarou Sawadogo a été désigné président pour les quatre prochaines années. Lors de l’ouverture de la séance, le président sortant, Lazare Banssé, a présenté le bilan de ses quatre années à la tête de l’organisation, marquant ainsi la fin de son mandat. La commission électorale a ensuite pris place pour superviser l’élection du nouveau président. Candidat unique, Oumarou Sawadogo a été plébiscité avec 112 voix sur 117 votants, les cinq autres bulletins ayant été déclarés nuls. Il succède donc à Lazare Banssé à la présidence de la FBF. Ya Willy.
Les Espérances du Monde Sportif envers le Nouveau Président de la République du Sénégal !

Le Sénégal a récemment élu un nouveau Président de la République à la suite des élections présidentielles du 24 mars dernier. La campagne électorale de deux semaines qui a précédé le scrutin a révélé une certaine lacune dans l’attention accordée au sport dans les programmes des 19 candidats à la présidence. Un seul candidat semble avoir fait du développement sportif une priorité, et ce candidat n’est autre que le vainqueur, le Président Bassirou Diomaye Faye. Les acteurs du monde sportif ont identifié les manques et exprimé leurs attentes envers le prochain gouvernement. Dix-neuf candidats se disputaient les voix de plus de 7 millions de Sénégalais appelés aux urnes le dimanche 24 mars 2024. Cette élection présidentielle a captivé non seulement les 18 millions de Sénégalais, mais aussi l’Afrique et le monde entier. L’intérêt porté au Sénégal par le reste du monde peut s’expliquer par les récentes découvertes de ressources pétrolières, gazières et minières, ainsi que par les tensions politiques des trois dernières années. Les propositions des divers candidats mettent en évidence le fait que certains domaines, dont le sport, sont négligés, voire minimisés. Le Sport, un Domaine Négligé dans la Campagne Parmi les secteurs clés tels que l’économie, le pouvoir d’achat, l’exploitation des ressources pétrolières et gazières, l’agriculture, la bonne gouvernance et l’éducation, le sport a été relégué au second plan par les candidats. Pourtant, le sport pourrait représenter une véritable force économique et de stabilité dans un pays où 75% de la population a moins de 35 ans, selon le dernier rapport de l’Agence Nationale de la Statistique et de la Démographie (ANSD). Plus d’un Sénégalais sur deux est âgé de moins de 18 ans, ce qui fait de la jeunesse un véritable enjeu pour les candidats à la présidence. Parmi les 19 candidats, un seul semble avoir élaboré un programme significatif pour le sport, comme l’a observé le Dr Mamadou Koumé, qui a examiné attentivement les programmes et les politiques sportives. « Il est évident que Bassirou Diomaye Faye propose le programme le plus complet pour le sport », affirme-t-il. « Il met l’accent sur les besoins du sport sénégalais, notamment le financement, la promotion du sport à l’école, la formation et le soutien aux sports d’élite. En revanche, les programmes des autres candidats sont souvent succincts voire inexistants en ce qui concerne le sport. » Ces dernières années, le sport a apporté beaucoup de joie aux Sénégalais, comme en témoigne la domination du football sénégalais sur le continent entre 2022 et 2023. Cette réussite a même incité certains responsables politiques à investir dans les fédérations et les associations sportives pour accroître leur popularité. Cependant, cet engouement ne s’est pas reflété dans les programmes des candidats à la présidence, à l’exception de celui du président Diomaye Faye, qui a été élu dès le premier tour. Son programme est certainement le plus prometteur et ouvre de nouvelles perspectives pour le sport au Sénégal. S’il parvient à mettre en œuvre ces réformes proposées, cela bénéficiera grandement au sport sénégalais. Un Vaste Chantier en Attente Le monde du sport a déjà identifié les défis qui entravent son développement. Pour le président de l’Association Sénégalaise des Managers du Sport, Samsidine Diatta, il est nécessaire de revoir l’approche politique envers le sport. « Nous reconnaissons les efforts du président sortant pour sa contribution aux succès récents du football, mais il reste encore beaucoup à faire », déclare-t-il. « Le football et, dans une moindre mesure, la lutte traditionnelle, ne sont que la partie émergée de l’iceberg d’un secteur sportif ravagé par des décennies d’erreurs politiques. Le sport aurait dû être un moteur de développement humain et économique pour le pays, mais il est devenu négligé par les politiques publiques. » Bien que le deuxième mandat du président sortant, entre 2019 et 2024, ait été marqué par d’importantes réalisations en termes d’infrastructures sportives telles que l’Arène Nationale, la Dakar Arena, le Stade Abdoulaye Wade et son annexe, le Sénégal souffre toujours d’un manque criant de terrains et d’équipements sportifs. « Le sport est un phénomène dynamique au Sénégal, mais il manque cruellement de moyens financiers et d’infrastructures », souligne M. Koumé, également ancien Directeur de l’Agence de Presse Sénégalaise (APS). Le Comité Olympique Sénégalais (CNOSS) est également préoccupé par l’avenir du sport avec ce changement de leadership. Son secrétaire général à la commission technique, M. Avelino Monteiro, déplore que l’État n’ait pas une vision à long terme pour le sport. « Nous devons investir dans le sport dès maintenant pour en récolter les fruits plus tard », affirme-t-il. « Malheureusement, l’État se contente souvent de réagir aux résultats au lieu d’investir de manière proactive. Il est temps de changer cette approche. » Priorité au Sport Scolaire et au Financement du Sport d’Élite Les acteurs du sport ont formulé plusieurs demandes à l’attention du prochain Président, qui prêtera serment le 2 avril prochain. Parmi ces demandes figurent le renforcement du sport à la base et l’augmentation du financement du sport. « Il ne faut pas se concentrer uniquement sur les sports de haut niveau, mais investir également dans la base », souligne M. Monteiro. « En investissant dans la jeunesse, nous investissons dans l’avenir du sport sénégalais. » Dans le domaine de la compétition, le financement reste un problème majeur. « Il est essentiel de trouver des moyens pour soutenir tous les sports, pas seulement le football », explique M. Koumé. « Le sport sénégalais souffre de nombreuses lacunes et doit être mieux structuré et organisé. » Samsidine Diatta se montre optimiste après avoir échangé avec des collaborateurs du futur Président. « Il s’est engagé à faire du Sénégal une nation sportive », déclare-t-il. « Il est temps d’opérer des transformations profondes dans la gouvernance et le financement du sport sénégalais. Nous attendons une politique sportive ambitieuse qui soutiendra à la fois les pratiques de masse et les performances de haut niveau. » En conclusion, le sport au Sénégal est à un tournant crucial de son histoire. Le prochain Président aura la responsabilité de transformer ce secteur pour en faire un véritable levier de développement humain, économique et social. Ya Willy.
Côte d’Ivoire/Haute autorité pour la bonne gouvernance : le nouveau président Epiphane Zoro Ballo prête serment devant la Cour des comptes

Epiphane Zoro Ballo, a prêté serment, le mercredi 08 novembre 2023 à Abidjan, devant le président de la Cour des comptes, Kanvaly Diomandé en qualité de président de la Haute autorité pour la bonne gouvernance (HABG). C’était en présence de plusieurs chefs d’institutions. Au cours d’une cérémonie qui consacre son entrée en fonction officielle, le nouveau président Epiphane Zoro Ballo a « juré de remplir cette fonction avec honnêteté, impartialité, intégrité et objectivité dans le respect de la Constitution, les lois et les règlements de la République ». Epiphane Zoro Ballo a traduit sa gratitude au Président Alassane Ouattara pour le choix porté sur sa personne pour diriger cette importante institution de la République. Pour lui, la question de la promotion de la bonne gouvernance est une action collective. « C’est ensemble que nous parviendrons à la moralisation de la vie publique ». Et d’ajouter que la lutte contre la corruption est un impératif essentiel à la cohésion sociale, à la stabilité et au développement de la nation. Pour sa part, le président de la Cour des comptes, Kanvaly Diomandé, a souligné que la présente cérémonie de prestation de serment est une exigence légale. Selon lui, les méfaits de la corruption justifient la détermination du Chef de l’Etat à lutter inlassablement contre ce fléau. « La création d’une haute autorité en charge de la lutte contre la corruption consacre un renforcement institutionnel », a-t-il indiqué. En luttant contre ce fléau, le gouvernement contribue à créer un environnement plus propice à l’investissement, l’éducation, la santé et bien d’autres domaines. Poursuivant, Kanvaly Diomandé a rappelé que l’impact économique de la corruption est manifeste. Ce phénomène, a-t-il dit, engendre une injustice sociale flagrante, conduit à une mauvaise prestation des services publics, dissuade les investissements étrangers, etc. Il a exhorté Epiphane Zoro Ballo à « garder en tête l’équité, la justice et la transparence ». Toutes choses qui lui permettront d’obtenir la confiance du public. Anciennement ministre de la Promotion de la Bonne gouvernance et de la lutte contre la Corruption, Zoro Bi Ballo Epiphane a été nommé président de la HABG par décret présidentiel, le 04 octobre 2023.
BOLA TINUBU : Le nouveau président du Nigéria…

ACTUALITE. La Commission électorale nigériane a proclamé hier mercredi matin, Bola Tinubu, vainqueur du scrutin, avec 8.794.726 voix. L’écart de plus de deux millions de voix avec son concurrent Aboubakar a été amplement suffisant suivant la Constitution nigériane, pour pouvoir être proclamé vainqueur dès le premier tour avec 37% des voix. Originaire du Sud-Ouest nigérian au Yoruba, de confession musulmane, le nouvel élu est diplômé en économie et travaille pour plusieurs entreprises états-uniennes dont le géant pétrolier Exxon Mobil dont il a été longtemps l’administrateur délégué. Multimillionnaire ayant des parts dans de nombreuses entreprises, des médias à l’aviation, en passant par l’hôtellerie et l’immobilier, Bola Tinubu souffre encore de son image d’homme « appartenant à une vieille classe politique à court d’idées, présent depuis trop longtemps sur la scène politique. A lui de prouver le contraire avec sa grande expérience manageriale, son riche carnet d’adresse et surtout avec l’idée de grandeur qu’il voudra matérialiser pour ce pays-continent au cœur de l’Afrique. Par Germain Nzinga
Togo/Aba Kimelabalou, nouveau président de la HAPLUCIA

La Haute autorité de prévention et de lutte contre la corruption et les infractions assimilées (HAPLUCIA) a désormais un nouveau président, Aba Kimelabalou. Le nouveau responsable, nommé par décret présidentiel le 24 janvier dernier en remplacement de Essohana Wiyao, a été officiellement installé mardi 31 janvier, en attendant la désignation des autres membres. Le nouveau n°1 de l’institution de lutte contre la corruption est un magistrat de premier grade, qui a occupé ces dernières années (jusqu’en août 2022), les fonctions de Directeur Général du Groupe Intergouvernemental d’Action contre le Blanchiment d’Argent en Afrique de l’Ouest (GIABA). Il a par ailleurs été juge à la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples. En rappel, la HAPLUCIA a été mise en place en 2015 par le gouvernement, afin de mieux combattre la corruption et les infractions assimilées, conformément aux instruments internationaux qu’il a ratifiés en la matière. ©République Togolaise
Maroc : Hicham CHIGUER, nouveau président de l’AUSIM

L’Association des utilisateurs des systèmes d’information au Maroc a tenu son Assemblée Générale élective le vendredi 11 mars dernier. Lors de la présentation du Rapport d’activités et Moral, et le rapport Financier, les adhérents ont salué les grandes réalisations effectuées par le bureau sortant ainsi que la gestion de crise pendant la pandémie pour accompagner la communauté. Un nouveau bureau a été élu et à sa tête M. Hicham CHIGUER, Global Senior Director IT Finance, IT Procurement & sourcing de Majorel Corp. Une nouvelle vision a été présentée par M. Hicham CHIGUER. Elle retrace l’évolution soutenue et la performance des actions de l’AUSIM, figure emblématique et avant-gardiste du monde du Digital et des Technologies de l’information au niveau National et International depuis vingt-neuf ans. « IMPACT » de son nom, représente la nouvelle vision de la nouvelle équipe, qui se base principalement sur quatre piliers. Le premier, « IMPACT…By DIGITAL », vise à dynamiser la transformation de l’entreprise et de l’administration publique par le digital; le deuxième, « IMPACT…On PEOPLE », se propose de transformer le Mindset pour innover; le troisième, « IMPACT…In The COMMUNITY », consiste à animer la communauté AUSIM et plus largement les utilisateurs du Digital et des Technologies de l’information tandis que le quatrième, « IMPACT…On SUSTAINABLE DEVELOPEMENT », vise à sensibiliser autour des leviers de développement durable ayant un impact Social, économique et environnemental. Créée en avril 1993, l’AUSIM est une association à but non lucratif œuvrant activement dans l’esprit de développer et de vulgariser l’usage des Technologies de l’Information et du Digital au Maroc. L’AUSIM compte 100 organisations membres (PME et grands groupes nationaux) opérant dans trois secteurs (primaire, secondaire et tertiaire) et dont le chiffre d’affaires cumulé représente 20 % du PIB. Avec CP
Handball : Ayessa Ndinga Yengue alias Yan, nouveau président de la FECOHAND
