Appelé par Macron, ce basketteur d’origine camerounaise refuse de jouer pour la France
La star de la NBA Joel Embiid a reçu un appel du Président français pour jouer en équipe nationale aux Jeux olympiques, mais a refusé et en a profité pour lui parler des mauvaises relations entre Paris et l’Afrique, a-t-il expliqué au New York Times. Né au Cameroun mais possédant en outre les nationalités française et américaine, la star de la NBA Joel Embiid a refusé de jouer pour la France Jeux olympiques, malgré un appel personnel du Président Emmanuel Macron, selon le New York Times. « J’ai eu l’occasion de parler au Président français de ce qui se passait et je lui ai dit qu’une chose qui me dérangeait beaucoup était la relation entre la France et le Cameroun, et les pays africains en général », a-t-il expliqué… Lire la suite sur Sputniknews
Afrique : La NBA Présente Quatre Terrains de Basket Récemment Rénovés a Alexandra
Le Basketball Without Borders (BWB) Africa s’est poursuivi ce week-end à l’American International School de Johannesburg (AISJ). Quatre-vingts garçons et filles se sont retrouvés sur les terrains de basket pour participer à des exercices de compétences, disputer des matchs et bénéficier des conseils d’anciens et actuels joueurs et entraîneurs de NBA et de WNBA. Samedi après-midi, Bam Adebayo, pivot des Miami Heat et double All-Star de la NBA, et Ian Mahinmi, champion NBA 2011, ont visité le NBA Store et rencontré les fans au Sandton City Mall. Tous deux ont signé des autographes, répondu aux questions de leurs fans et organisé une brève séance de tirs. Ensuite, dans le cadre de la sensibilisation communautaire du BWB Africa et des efforts de la ligue pour rendre le jeu plus accessible partout en Afrique, NBA Africa a dévoilé quatre terrains de basket récemment rénovés à Alexandra. La présentation des terrains a été suivie d’un atelier Jr. NBA pour 150 garçons et filles de la communauté locale, animé par des entraîneurs et joueurs, actuels et anciens, de la NBA et de la WNBA. D’autres activités d’entraînement ont eu lieu dimanche matin. Dans l’après-midi, J.B. Bickerstaff, entraîneur des Cleveland Cavaliers, et Dwane Casey, entraîneur de l’année 2018, ont animé un atelier pour les entraîneurs de la FIBA à l’AISJ. Le camp se terminera demain par des matchs de championnat et la remise des prix BWB Africa 2023. National Basketball Association.
Afrique : Des joueuses et entraîneuses de la Women’s National Basketball Association (WNBA) encadreront les meilleurs Espoirs féminins d’Afrique lors du quatrième NBA Academy Women’s Camp Africa au Sénégal
NBA Africa annonce que la quatrième édition du NBA Academy Women’s Camp Africa se déroulera du lundi 5 au jeudi 8 décembre à la NBA Academy Africa, un centre de formation du basket élite situé à Saly, au Sénégal, et qui s’adresse aux meilleurs espoirs de tout le continent. L’édition 2022 du NBA Academy Women’s Camp Africa rassemblera 25 des meilleurs espoirs féminins de 11 pays africains, qui suivront les enseignements d’entraîneuses et joueuses, anciennes et actuelles, de la WNBA, notamment Noelle Quinn (États-Unis), entraîneuse principale du Storm de Seattle et championne de la WNBA Commissioner’s Cup 2021 ; Hamchetou Maïga-Ba (Mali), championne de WNBA 2005 ; Taj McWilliams-Franklin (États-Unis), double championne de WNBA ; Astou Ndiaye (Sénégal), championne WNBA 2003 ; Arike Ogunbowale (Wings de Dallas ; États-Unis ; origines nigérianes), MVP du All-Star Game de la WNBA 2021 ; et Jasmine Thomas (Sun du Connecticut ; États-Unis), All-Star WNBA 2017. Les participantes et entraîneuses du camp prendront également part à des programmes de compétences essentielles et à des séances de développement du leadership. « En quelques années seulement, le NBA Academy Women’s Program a contribué à identifier et développer certains des meilleurs espoirs féminins au monde, dont un grand nombre sont aujourd’hui dans des universités de Division 1 de la NCAA », déclare Monica Rogers, double championne WNBA et responsable des opérations de la NBA Elite Basketball Women. « Nous nous réjouissons à la perspective de consolider cette réussite avec la quatrième édition du NBA Academy Women’s Program au Sénégal, dans le cadre de nos efforts renouvelés visant à rendre le basket plus accessible en Afrique et à fournir une trajectoire claire aux jeunes Africaines pour apprendre cette discipline et maximiser leur potentiel. » Lancé en 2018, le NBA Academy Women’s Program est une série de camps de développement du basketball s’adressant aux meilleures athlètes féminines, en dehors des États-Unis, dans les académies de la ligue en Australie, en Inde, au Mexique et au Sénégal. Les trois précédents NBA Academy Women’s Camps Africa se sont déroulés à la NBA Academy Africa en mai 2018, novembre 2018 et novembre 2019. Huit anciennes participantes au NBA Academy Women’s Camp Africa se sont engagées à entrer ou sont déjà inscrites dans des universités de Division 1 de la NCAA aux États-Unis. Voici une liste complète des joueuses participant à l’édition 2022 du NBA Academy Women’s Camp Africa (liste sujette à modification) : Prénom Nom Pays Marie Ann Dakuyo Burkina Faso Gisele Kipo Cameroun Hannah Dibadjou Cameroun Injy El Ghayesh Égypte Malak Elalfy Égypte Salma Khedr Égypte Murielle Ramahatra Madagascar Rakotonanahary Joani Madagascar Fatoumata Samake Mali Aya El Kallali Maroc Albertina Matsinhe Mozambique Lurdes Bata Mozambique Shanaya Matusse Mozambique Ayah James Nigeria Bright Eze Nigeria Franca Iyamah Nigeria Patience John Nigeria Adja Hinedou Ndiaye Sénégal Die Diop Sénégal Fatou Correa Sénégal Ndickou Matar Diop Sénégal Penda Dieng Sénégal Seynabou Mbaye Sénégal Reatlegile Taukobong Afrique du Sud Arwa Ghorbel Tunisie
La NBA et la Basketball Africa League lancent des initiatives pour l’égalité entre les genres en Afrique
À l’occasion de la Journée internationale des femmes, la National Basketball Association (NBA) et la Basketball Africa League (BAL) ont annoncé aujourd’hui le lancement d’initiatives visant à faire progresser l’égalité entre les genres et l’inclusion économique en Afrique. Ces initiatives s’appuient sur les efforts collectifs de la famille NBA pour promouvoir l’égalité et la justice sociale aux États-Unis, notamment la création de la NBA Foundation et de la National Basketball Social Justice Coalition l’année dernière. En Afrique, les efforts de la NBA et de la BAL se concentreront sur la sensibilisation à la violence sexiste, le soutien à l’éducation des filles et la participation accrue des femmes à tous les niveaux de l’industrie du basketball. Les ligues utiliseront chacune leurs propres plateformes et ressources pour promouvoir l’égalité entre les genres parmi les fans et les principales parties prenantes. Elles collaboreront avec des partenaires du monde des affaires et des communautés sur de nouveaux programmes et des initiatives de renforcement des capacités qui contribueront à réduire l’écart entre les genres dans les opérations des deux ligues. La NBA et la BAL visent à travailler et à s’associer avec davantage d’entreprises à capitaux africains dans le cadre de leurs activités commerciales sur le continent. « La responsabilité sociale fait partie intégrante des efforts de la NBA pour le développement de la jeunesse sur le continent depuis plus de trente ans », a déclaré le PDG de NBA Africa, Victor Williams. « À la suite de la création de la NBA Foundation et de la National Basketball Social Justice Coalition aux États-Unis et dans le prolongement de nos efforts plus généraux visant à contribuer à la création d’une société plus égale et plus juste, la NBA et la BAL sont toutes deux impatientes d’approfondir leurs engagements avec leurs partenaires, les dirigeants communautaires et d’autres parties prenantes, afin de faire progresser l’égalité entre les genres et de créer un environnement économique plus inclusif en Afrique. » « La Basketball Africa League s’est engagée à combattre les stéréotypes, les préjugés et les barrières qui empêchent trop souvent les femmes en Afrique de réaliser leurs rêves », a déclaré le président de la BAL, Amadou Gallo Fall. « Ces initiatives contribueront à faire en sorte que les jeunes filles et les femmes de tout le continent puissent bénéficier d’opportunités et de ressources qui les aideront à progresser sur le terrain et dans la vie. » Les actions et la programmation spécifiques que la NBA et la BAL mettront en œuvre au cours des trois prochaines années comprennent : la lutte contre la violence sexiste à travers diverses formations, la participation à des campagnes de lutte contre la violence, tout en profitant de l’influence et du leadership des joueurs évoluant dans les deux ligues ; le soutien à l’éducation des jeunes filles à travers l’élaboration d’un programme de Sciences, Technologie, Ingénierie et Mathématiques (STEM) et de sport pour les jeunes filles de 14 ans et moins, les incitant à découvrir des domaines qui les préparent à un emploi futur ; la garantie que davantage de possibilités s’ouvriront aux femmes dans les rôles opérationnels liés à la BAL, y compris les arbitres, les officiels des tableaux de scores, les commissaires de match et les annonceurs ; le développement de partenariats et de relations d’affaires avec les petites et moyennes entreprises africaines. La NBA est liée à l’Afrique depuis de nombreuses années et a ouvert son siège africain à Johannesburg en 2010. Lors de la soirée d’ouverture de la saison 2020-2021, les effectifs de la NBA comptaient 14 joueurs africains, et plus de 100 joueurs actuels et anciens sont africains ou ont un lien de parenté africain. Grâce à NBA Cares, le programme mondial de responsabilité sociale de la ligue, la famille NBA a créé plus de 90 lieux en Afrique dans lesquels les enfants et les familles peuvent vivre, apprendre et jouer en toute sécurité. La Jr. NBA (Junior NBA), le programme mondial de basketball pour les jeunes garçons et filles, a été mise en œuvre dans 15 pays africains. Basketball Without Borders (BWB) Africa, le programme mondial de développement du basketball et de sensibilisation communautaire de la NBA et de la FIBA, a été organisé 17 fois, et 10 anciens participants à BWB Africa ont été recrutés par la NBA. En 2018, la NBA et le SEED Project ont ouvert la NBA Academy Africa, un centre d’entraînement de basketball d’élite basé à Saly, au Sénégal, destiné aux meilleurs espoirs masculins de toute l’Afrique. Il s’agit du premier du genre sur le continent. Depuis lors, neuf participants aux programmes de la NBA Academy Africa, y compris son programme féminin, ont intégré des écoles de la première division sportive universitaire des Etats-Unis, la NCAA Division-1. Par APO
NBA: Dikembe Mutombo, l'ambassadeur du basket africain
Dix ans après avoir raccroché les baskets, l’héritage de la légende congolaise Dikembe Mutombo reste toujours intact. À 53 ans, son impact et son influence dans le basket africain en NBA et sur son continent natal reste unique. Son fameux « not in my house », sa célébration où il remuait son doigt pour dire non à ses adversaires à qui il venait de contrer le tir, a beau faire partie intégrante de la culture basket – et être la « marque de fabrique » de Dikembe Mutombo partout où il passe, mais limiter l’influence du natif de Kinshasa à ce simple geste serait un véritable faux pas. Première légende africaine de la NBA Dix-huit saisons durant, aux quatre coins des États-Unis et en se frottant aux Michael Jordan, Hakeem Olajuwon et autres Magic Johnson, Mutombo a été l’un des premiers joueurs africains à impacter le jeu de la meilleure ligue du monde, à un moment où la NBA n’ouvrait que très peu ses frontières aux basketteurs venus du continent. « À l’époque, c’était un rêve quasiment impossible, quelque chose qu’on ne pensait jamais pouvoir atteindre. Mais avec mes frères Hakeem Olajuwon (Nigeria) et Manute Bol (Soudan), on a réussi à ouvrir la voie pour l’Afrique », se souvient l’ancien étudiant de l’université de Georgetown, qui se voyait, à son arrivée aux États-Unis, devenir médecin ou diplomate, avant de se découvrir une véritable passion pour le basket. Sur les parquets, le pivot faisait la différence par ses bras tentaculaires et sa défense de guerrier. Au long d’une immense carrière couronnée par plusieurs sélections au All Star Game (à huit reprises) et de titres de meilleur défenseur de la saison (quatre fois, record NBA), l’intérieur a marqué quasiment deux décennies de basket de son empreinte. Lui qui a dû stopper sa carrière un soir de match de playoffs avec les Houston Rockets, en avril 2009, pour cause de rupture des ligaments croisés, à 43 ans ! « Je n’oublierai jamais ce moment-là, mais je savais aussi que ma vie dans le basket allait continuer, avec mon continent en tête de toutes mes initiatives. » Conseiller incontournable et second père Aujourd’hui, il vit dans une philosophie qui le poursuit depuis toujours : « Donner et rendre à l’Afrique, aider la jeunesse de mon continent, quelles que soient les circonstances. C’est ce qui me fait avancer et vivre avec une telle passion. » Après avoir été nommé ambassadeur de la NBA en Afrique en 2011, Dikembe Mutombo n’a aucunement perdu de son influence depuis la fin de sa carrière, pour le plus grand bonheur de ses successeurs qui font les beaux jours des franchises nord-américaines et qui font briller le Cameroun, la République démocratique du Congo, et le Sénégal sur les parquets d’Amérique du Nord. De Joël Embiid, à Pascal Siakam, en passant par ses compatriotes Bismack Biyombo et Emmanuel Mudiay, la légende africaine est un conseiller incontournable, une sorte de second père toujours présent. « Ils savent que je suis là pour eux, qu’ils peuvent compter sur moi tout le temps. J’ai vécu ce qu’ils vivent bien avant eux », précise-t-il. Avant d’avouer « être fier de ce qu’ils font ». « Ils suivent mes conseils, à savoir être exemplaire, appliqué, travailler dur et ne jamais baisser les bras, continueDikembe Mutombo. Ça paraît simple, mais la vie de joueur NBA est très difficile, surtout pour les jeunes d’aujourd’hui qui sont encore plus exposés, avec les médias et les réseaux sociaux. Un gars comme Joël Embiid est scruté sur tous les angles chaque soir, et il est attendu comme le messie en permanence. Je suis aussi là pour l’aider à gérer cela, pour qu’il continue à avancer et à inspirer la jeunesse africaine. » « L’avenir de la NBA, c’est l’Afrique » Pas une semaine ne se passe pour Mutombo sans qu’il ne se déplace à travers le continent nord-américain pour suivre de près les performances des basketteurs venus de l’autre côté de l’Atlantique. Il décroche volontiers son téléphone pour échanger avec ceux qui rêvent de devenir les nouveaux Pascal Siakam ou Serge Ibaka. Témoin privilégié de l’explosion du basket en Afrique, et conscient du potentiel énorme de celui-ci, Dikembe Mutombo est aussi totalement investi dans un autre projet qui pourrait révolutionner son sport sur le continent : le lancement de la Basketball Africa League (BAL). Sur ce projet financé en grande partie par la NBA, le Congolais est impliqué à plusieurs niveaux, tant sur le côté sportif que sur le plan du développement de la première ligue transcontinentale de basket professionnel. « L’avenir de la NBA, c’est l’Afrique », affirme-t-il. « Le continent est gorgé de trésors, de talents qui ne demandent qu’à être aidés et formés pour pouvoir réaliser leurs rêves. Je veux les aider, et avec la NBA, leur donner les outils et les moyens de les atteindre. C’est plus qu’un engagement pour moi, ça dépasse le cadre du basket. La jeunesse africaine, j’ai envie de tout lui donner, d’aider autant que possible mon magnifique continent. C’est un peu ma raison d’être. » Par Michaël Oliveira Da Costa Retrouvez cet article sur RFI.fr
La NBA annonce la liste des équipes masculine et féminine qui représenteront l’Afrique au Jr. NBA Global Championship
La NBA a annoncé aujourd’hui le nom des 10 garçons et les 10 filles qui représenteront le continent africain dans la seconde édition du Jr. NBA Global Championship, un tournoi de basket-ball pour les meilleurs garçons et filles âgés de 13-14 ans en provenance du monde entier et qui se déroulera du 6 au 11 août au ESPN Wide World of Sports Complex à Walt Disney World, près d’Orlando en Floride. Les 20 jeunes joueurs représentant huit pays africains ont été sélectionnés par les programmes et les camps Jr. NBA organisés à travers le continent. Bahati Mgunda (Tanzanie) et Samba Fall (Sénégal) ont été choisis pour entrainer respectivement l’équipe féminine et l’équipe masculine. *Equipe feminine africaine Shaza Ayman (Egypt) Badmus Mistura Bisola (Nigeria) Fatou Cisse (Senegal) Jana Ehab (Egypt) Merit Atebe Innocent (Nigeria) Sandrine Kamgain (Cameroon) Ndeye Ndiaye (Senegal) Aisha Nhantumbo (Mozambique) Leslie Catherine Njukoua (Cameroon) Kadidia Traore (Mali) *Equipe masculine africaine Hassan Amer (Egypt) Badara Aliou Diakite (Mali) Khadim Rassoul Diongue (Senegal) Seydina Limamoulaye Faye (Senegal) Mohamed Fofana (Guinea) Dieu Merci Bolisomi Ilonga (DRC) Ngeleka Kabeya (DRC) Said Nkene F. Michel (Cameroon) Marouf Moumine (Cameroon) Emmanuel Owonibi (Nigeria) Lors de la première édition l’année dernière, l’équipe masculine d’Afrique et du Moyen-Orient a remporté la division internationale avant de perdre en finale du championnat mondial, face à l’équipe du centre des Etats-Unis, finissant donc vice-champion du tournoi. Marouf Moumine (Cameroun), qui sera de nouveau présent avec l’équipe masculine africaine, avait reçu l’an dernier, le Determination Award (le Prix de la Détermination). Il est maintenant membre de la NBA Academy Africa de Saly au Sénégal. Il rejoint Said Nkene F. Michel (Cameroun), seuls joueurs à faire leur deuxième apparition. Sandrine Kagmain (Cameroun) et Kadidia Traore (Mali) feront leur deuxième apparition au Jr. Global Championship après avoir participer lors de la première édition, au sein de l’équipe d’Afrique et du Moyen-Orient. Le Jr. NBA Global Championship réunira les championnats féminin et masculin, divisés en deux compétitions : la division américaine et la division internationale, qui commenceront par une phase de poule et continueront par une phase à élimination directe. Les vainqueurs de la division américaine affronteront ceux de la division internationale dans une finale mondiale le 11 Août. Durant la semaine, les 32 équipes participeront à des activités sélectionnées pour mettre l’accent sur les valeurs fondamentales du programme Jr. NBA, et pour fournir aux joueurs des possibilités de développement et des souvenirs mémorables sur le terrain, y compris des ateliers de vie quotidienne, des visites du parc Disney ainsi qu’un projet de travail communautaire. APO
NBA: Alain Mabanckou salue la victoire des Raptors de Serge Ibaka et Pascal Siakam
Dans un message posté sur sa page Facebook, l’écrivain congolais Alain Mabanckou a salué la victoire des « Raptors — l’équipe de basket de Toronto — qui deviennent la première franchise non états-unienne championne de la NBA ». « Ma joie est d’autant plus immense que l’équipe en question compte deux ressortissants de l’Afrique centrale : le Camerounais Pascal Siakam et le Congolais de Brazzaville Serge Ibaka », s’est-il réjoui. « A ma connaissance c’est la première fois que des basketteurs venus du Cameroun et du Congo-Brazza atteignent ce couronnement historique », a-t-il ajouté avant de conclure par un « Bravo Champions du monde !!! » Adrien Thyg