RD Congo. La CNC dénonce le silence complice de la communauté internationale face aux massacres de la Prison de Makala
La Coalition pour un Nouveau Congo (CNC) dénonce le silence complice de la communauté internationale face aux massacres de la Prison de Makala par le pouvoir de l’UDPS et de l’Union Sacrée en République Démocratique du Congo. « La communauté internationale n’a plus de dignité et de crédibilité en République Démocratique du Congo, compte tenu de son silence complice face au génocide congolais et aux nombreux crimes commis par Mr Félix Tshilombo Tshisekedi et son pouvoir de l’UDPS et de l’Union sacrée diabolique. Les massacres de la prison de Makala ne resteront pas impunis, parce que ces massacres constituent des crimes contre l’humanité maquillés en ridicule scénario d’évasion des prisonniers. Les Nations Unies, l’Union Européenne, l’Union Africaine, l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), la SADC, la CIRGL, la CEEAC et d’autres institutions internationales et régionales n’attendent que des scènes des ridicules coups d’Etat en Afrique pour élever leurs voix. La Cour Pénale Internationale est devenue une institution monstrueuse difficile à comprendre. Les crimes, les massacres, les injustices, les violations flagrantes des Constitutions et la misère humaine qui peuvent amener des soulèvements et des coups d’Etat ne les intéressent pas. La communauté internationale doit éviter de tomber dans le piège de devenir un syndicat du mal. » La Coalition pour un Nouveau Congo (CNC) dénonce le silence complice de la communauté internationale face aux massacres de la Prison de Makala et demande une enquête internationale indépendante sur ces massacres et le sort réservé à tous ces nombreux cadavres. C’est désormais un sérieux problème de dignité et de crédibilité de la communauté internationale en République Démocratique du Congo. La sagesse nous apprend ceci : « qui ne dit mot consent ». Le fait de se taire est une approbation du mal. A long terme, il devient une complicité. La Coalition pour un Nouveau Congo (CNC) condamne le silence complice de la communauté internationale. La CNC met toutes les organisations congolaises de défense des droits de l’homme devant leurs responsabilités historiques de se taire face aux ignobles massacres de la Prison de Makala. L’histoire s’en souviendra. La communauté internationale est devenue spécialiste de condamnation théâtrale des coups d’Etat en Afrique sans se soucier des causes profondes qui conduisent à ces coups d’Etat. La CNC demande une enquête internationale indépendante sur les massacres de la Prison de Makala. Quels que soient les temps et les circonstances, la justice finira par avoir lieu. Qu’est-ce qu’ils ont fait de tous ces cadavres qu’ils sont scandaleusement incapables d’identifier eux-mêmes ? Quel est ce pouvoir monstrueux qui ne sait pas identifier lui-même tous ses prisonniers ? Ces massacres seront imputés à Mr Félix Tshilombo Tshisekedi et à son pouvoir de l’UDPS et de l’Union sacrée diabolique. Cela fait partie désormais du lourd bilan des massacres du pouvoir actuel. Ce sera écrit noir sur blanc dans l’histoire de la République Démocratique du Congo (RDC). La Coalition pour un Nouveau Congo demande aux forces vives congolaises de se mettre debout pour arrêter le pouvoir criminel de Félix Tshilombo Tshisekedi en application de l’article 64 de la Constitution. La Coalition pour un Nouveau Congo (CNC) est plus que jamais engagée dans son combat pour la mise en place d’un vrai Etat de droit en RDC. Le pouvoir de l’UDPS malade et de l’Union sacrée diabolique a totalement échoué. Félix Tshilombo Tshisekedi est champion de la violation de la Constitution congolaise. Il devient donc urgent d’appliquer l’article 64 pour le mettre hors d’état de nuire. La RDC n’a pas besoin d’un Néron déterminé à mettre le feu partout pour rester au pouvoir. La seule voix salutaire qui reste pour le Peuple Congolais est l’application de l’article 64 de la Constitution. C’est désormais une question de vie ou de mort. Vaincre ou mourir ! Mettons-nous ensemble avec la Coalition pour un Nouveau Congo (CNC) pour sauver le Peuple Congolais et la RDC en danger de disparition. Ainsi fait à Kinshasa, le 04 octobre 2024 Pour la Coalition pour un Nouveau Congo Isidore EKOFO LOKENYO Le Porte-parole
RD Congo. La CNC condamne fermement les massacres de la Prison de Makala et la place de Mr Félix Tshilombo est à la CPI
LIBRES PROPOS. La Coalition pour un Nouveau Congo (CNC) condamne avec fermeté les massacres de la Prison de Makala et la place de Mr Félix Tshilombo Tshisekedi est désormais à la Cour Pénale Internationale (CPI). « Désormais un pouvoir criminel et terroriste s’est installé à la tête de la République Démocratique du Congo. Le pouvoir de l’UDPS et de l’Union Sacrée diabolique a décidé d’utiliser des méthodes terroristes des massacres et crimes contre l’humanité pour rester par défi au pouvoir jusqu’au retour de Jésus-Christ. La vie humaine n’a plus de valeur pour le pouvoir barbare de l’UDPS aux abois, un parti sans vision ni conscience. Les massacres de la Prison de Makala constituent un crime contre l’humanité. La crédibilité de la Cour Pénale Internationale (CPI) est entamée en République Démocratique du Congo face à la responsabilité de Mr Félix Tshilombo Tshisekedi dans tous les massacres qui se commettent en RDC sous son pouvoir. Les massacres des membres de Bundu dia Kongo, des Wazalendo, d’un groupe religieux à Kilwa et de la Prison de Makala ne sont pas plus graves que ceux qui ont conduit Bemba à la CPI ! Les massacres de la Prison de Makala devraient amener la CPI à se saisir de ce dossier pour l’ouverture immédiate d’une enquête indépendante. Où sont les défenseurs des droits de l’homme dans toutes ces tragédies ? Le pouvoir illégitime de l’UDPS et de l’Union Sacrée diabolique vient de creuser sa propre tombe avec les massacres de Makala. La ligne rouge des massacres vient d’être franchie. » La Coalition pour un Nouveau Congo (CNC) condamne fermement les massacres de la prison de Makala et demande à Mr Félix Tshilombo Tshisekedi d’assumer ses responsabilités en tant que chef du pouvoir de l’UDPS et de l’Union Sacrée souillée. Personne ne peut changer l’histoire. Quand des massacres sont opérés dans un pays par le régime au pouvoir, c’est son chef qui en assume toutes les responsabilités. Bemba a été mis en prison à la CPI pour des faits reprochés à ses troupes en République Centrafricaine (RCA). Pour la CNC, la place de Mr Félix Tshilombo Tshisekedi est désormais à la CPI, parce que la RDC est membre de la CPI. Ainsi, la table ronde préconisée par la CNC sera organisée pour une institution neutre sur un sol neutre sans la participation de Mr Félix Tshilombo Tshisekedi. Organiser cette table ronde à Kinshasa ressemblerait déjà à un guet apens pour arrêter et mettre hors d’état de nuire tous les opposants, résistants et leaders d’opinion de la société civile. Les massacres de Makala illustrent qu’aucun dialogue n’est possible avec Mr Félix Tshilombo Tshisekedi et son groupe de l’Union Sacrée diabolique. Que tout le monde sache qu’il n’y aura jamais de vrai dialogue et de cohésion nationale avec le pouvoir de l’UDPS et de l’Union Sacrée. La CNC dit non à un dialogue servant de béquilles au pouvoir agonisant de Félix Tshilombo Tshisekedi. Seuls les démons peuvent croire à un vrai dialogue sincère avec ce pouvoir terroriste assis sur la corruption, la violence, la négation de la sacralité de la vie humaine, le vol et le pillage des ressources de l’Etat congolais. La Cour Pénale Internationale (CPI) à l’épreuve de l’histoire en République Démocratique du Congo Un génocide silencieux est commis jour et nuit en République Démocratique du Congo sous la barbe de la Cour Pénale Internationale (CPI). Plus de 12.000.000 de morts, plus de 8.500.000 Congolais sont déplacés de force et vivent comme des réfugiés abandonnés sur le sol de nos ancêtres, exposés à une mort certaine sur le plan des catastrophes sociales et sanitaires. Les différents massacres perpétrés sous le pouvoir de Félix Tshilombo Tshisekedi appellent la CPI à lancer des enquêtes urgentes pour sa crédibilité. La CPI doit examiner tous les dossiers en sa possession. Les vidéos en direct de ces différents massacres font foi. La Coalition pour un Nouveau Congo (CNC) s’associe à toutes institutions ou associations qui initient des dossiers à soumettre à la justice internationale pour les crimes contre l’humanité et le génocide en République Démocratique du Congo. La Coalition pour un Nouveau Congo (CNC) engagée dans le combat pour un vrai Etat de droit en RDC L’illusion d’un Etat de droit avec l’UDPS est terminée. Il n’y a que des démons et des aveugles qui peuvent encore croire aux slogans creux de ce parti sans vision, une véritable coquille vide qui a fait perdre l’espoir à tout un peuple. Les voleurs, pilleurs et jouisseurs au pouvoir ont oublié leurs slogans d’Etat de droit et de peuple d’abord. Maintenant c’est nos ventres et nos familles d’abord. La CNC s’engage à relever les défis de l’Etat de droit en RDC. Plus que jamais, l’application de l’article 64 de la Constitution devient un impératif pour sauver la RDC et son peuple en danger de disparition. La CNC lance de nouveau un appel à toutes les forces vives congolaises pour se joindre à elle pour arrêter cette dictature terrible qui s’installe dans notre pays. Les massacres de la Prison de Makala montrent clairement les dangers que nous courons tous, si ce pouvoir terroriste continue à la tête de notre pays. Ce sera pour nous tous la signature de l’arrêt de mort de notre pays et de notre peuple. Ce n’est plus un secret, ou nous mettons fin à la dictature du pouvoir de l’UDPS et de l’Union Sacrée démoniaque en appliquant l’article 64, ou nous acceptons tous de mourir avec notre peuple. Vaincre ou mourir ! Nous allons vaincre ensemble tous nos ennemis et arrêter l’installation d’une dictature terrible en se mettant ensemble avec la Coalition pour un Nouveau Congo (CNC) qui est totalement du côté du Peuple Congolais. Ainsi fait à Kinshasa, le 07 septembre 2024 Pour la Coalition pour un Nouveau Congo Isidore EKOFO LOKENYO Le Porte-parole
La 3C-RDC condamne les massacres de Goma et exige une enquête indépendante d’urgence pour la justice
La Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC) condamne les massacres de Goma du 30 août 2023 lors de la manifestation contre la MONUSCO et exige d’urgence une enquête indépendante pour la justice. « C’est la justice qui élève une nation et affermit le pouvoir » La Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC) condamne avec fermeté les massacres de la population ce mercredi 30 août 2023 à Goma, Chef-lieu de la Province du Nord-Kivu, lors de la manifestation contre la MONUSCO, et exige d’urgence une enquête indépendante pour établir les responsabilités en vue de punir sévèrement les coupables. Faute d’une enquête indépendante crédible, comme dans d’autres cas, le Gouvernement actuel de République Démocratique du Congo en portera les responsabilités indélébiles de l’histoire. Les coupables devraient être jugés dans un procès public juste pour tenter de reconstruire dans la douleur la cohésion sociale et nationale totalement abîmée. La dignité humaine et la sacralité de la vie humaine ont été scandaleusement bafouées au vu et au su de tout le monde. La 3C-RDC pleure avec son peuple et présente ses vives et sincères condoléances aux familles éprouvées. Le Peuple Congolais a le droit de manifester contre la MONUSCO et les forces de l’EAC, dès lors leur présence ne change rien dans leur sécurité et leur bien vivre ensemble dans l’intégrité territoriale non retrouvée Sans préjuger de ce que sera le bilan macabre de l’histoire des massacres de Goma, la 3C-RDC prend acte de la mort de plus de 48 civils et d’un policier. La 3C-RDC pensent pieusement aux blessés et aux familles éprouvées. Il est inacceptable que des civils congolais non armés soient persécutés ou se fassent massacrer lors des manifestations contre la présence de la MONUSCO et des forces de l’EAC. Le Peuple Congolais a le droit de manifester contre la MONUSCO et la présence de toutes autres forces étrangères sur son sol. En dépit de l’état de siège, de la présence de la MONUSCO et des forces armées de l’EAC, les massacres continuent à l’Est de la République Démocratique du Congo et s’accélèrent même dans une sorte de schéma précipité de balkanisation effective de la RDC avant la date des élections prévues en décembre 2023. Les massacres de Goma viennent renforcer toutes les forces négatives qui, au niveau national et international, travaillent pour la balkanisation de la République Démocratique du Congo. Le Gouvernement de la République Démocratique du Congo est désormais devant un grand rendez-vous de l’histoire. L’article 60 de notre Constitution souligne que le respect des droits de l’homme et des libertés fondamentales s’impose aux pouvoirs publics et à toute personne. Si le Gouvernement congolais ne fait pas toute la lumière sur les massacres de Goma, ce carnage sera un vrai et grand signe avant-coureur qui annonce des élections les plus violentes, les plus sanglantes de l’histoire de notre pays. Il faut éteindre maintenant un feu qui risque de brûler totalement toute la République Démocratique du Congo. Dans l’état actuel, il est impossible de rêver à des élections justes, inclusives et apaisées en République Démocratique du Congo. Préparer des élections précipitées et bâclées à n’importe quelle condition deviendra la préparation d’une guerre civile où nous serons tous perdants sans la moindre exception. La présence des forces armées étrangères sur le sol congolais devient une question urgente de vie et de mort du Peuple Congolais et de la République Démocratique du Congo. Il faut organiser d’urgence des Etats Généraux de la Défense et de la Sécurité Nationales pour un plan d’urgence stratégique du départ de la MONUSCO et de toutes les forces armées étrangères du sol congolais Les manifestations populaires contre la présence de la MONUSCO et des forces armées étrangères dont celles de l’EAC constituent une bombe à retardement contre les autorités de la République Démocratique du Congo. Personne ne peut vaincre longtemps un peuple, notamment une jeunesse consciente et déterminée. Il faut éviter dès maintenant des scènes terribles des violences et des vengeances qui pourront naître des massacres perpétrés contre la population congolaise. Le Gouvernement Congolais doit assumer d’urgence ses devoirs régaliens, sans compter sur les forces armées étrangères. Personne ne viendra nous sécuriser et protéger nos frontières à notre place. Notre sécurité est avant tout notre propre devoir sacré. Il s’impose d’organiser d’urgence des Etats Généraux de la Défense et de la Sécurité nationales pour des réformes profondes et l’adoption d’un plan d’urgence stratégique du départ de la MONUSCO et de toutes armées étrangères. Devront participer à ces Etats généraux des cadres compétents et intègres du Gouvernement, du Parlement, de la Société civile et d’une vraie intelligentsia congolaise ad hoc de la diaspora et au pays. Un peuple qui oublie son histoire est condamné à répéter les mêmes erreurs, et est exclu de l’histoire des peuples et nations libres, stables, forts et prospères. Il est ainsi voué à la disparition de manière dramatique. Pensée pieuse pour nos morts d’un génocide silencieux. Fait à Paris, le 1er septembre 2023 Le Président de 3C-RDC Armand MAVINGA TSAFUNENGA Président du Mouvement pour la Paix et le Développement du Congo (MPDC).
RDC : massacres à huis clos dans l’ouest du pays avant la présidentielle 2018
En décembre dernier, au moins 500 Banunus ont été tués dans l’Ouest du pays à quelques jours des élections, présidentielle et législative. Un massacre qui aurait été organisé et prémédité, rapporte la chaîne de télévision TV5Monde dans un document exclusif à suivre ci-dessous:
Massacres au Kasaï : hausse des attaques sur la base de l’appartenance ethnique, selon l’ONU
L’ONU s’inquiète de la dimension ethnique croissante des massacres perpétués au Kasaï en République démocratique du Congo (RDC). Selon un rapport du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme (HCDH) publié récemment, la violence qui sévit dans la région du Kasaï tend à prendre une dimension ethnique croissante inquiétante. En effet, les personnes interrogées ont indiqué que les forces de l’ordre locales et d’autres agents de l’État ont activement fomenté, alimenté et parfois même dirigé les attaques sur la base de l’appartenance ethnique, apprend-on. Les indications recueillies par le HCDH font état de bains de sang sont d’autant plus terrifiants qu’«il semblerait que les populations sont toujours plus souvent ciblées en raison de leur appartenance ethnique », a déclaré le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, Zeid Ra’ad al Hussein. « Les Bana Mura aurait initié une campagne visant à éliminer l’ensemble de la population Luba et Lulua dans les villages pris d’assaut », selon le rapport. Par ailleurs, il a été constaté aussi que dans bon nombre des incidents signalés à l’équipe, des soldats des FARDC étaient à la tête des groupes de la milice Bana Mura lorsque les villages ont été assaillis. Bon nombre de témoins et victimes ont déclaré que les miliciens Bana Mura s’en sont pris aux habitants Luba et Lulua, décapitant, mutilant et abattant leurs victimes, certaines ayant même été brûlées vives dans leurs maisons. L’équipe des nations Unies a également recueilli des témoignages faisant état de viols et d’autres formes de violence sexuelle. Zeid Ra’ad al Hussein a appelé le gouvernement à prendre toutes les mesures nécessaires pour s’acquitter de son obligation première de protection des personnes de toutes origines ethniques dans le Grand Kasaï.
La 3C-RDC exige une enquête internationale indépendante et urgente sur les massacres au Kasaï en RD Congo
La plus grande coupe de sang est pleine en République Démocratique du Congo. Un véritable génocide silencieux est en train de se passer dans ce pays. Le sang est en train de crier très fort et personne ne pourra faire taire les terribles bruits de ce sang dans le sous-sol, sur le sol et dans tout l’espace congolais. Des massacres prémédités dans les quatre coins du pays, des fosses communes non élucidées au vu et au su de tous, des experts de l’ONU, des journalistes, des prêtres et des défenseurs des droits de l’homme assassinés. Comme cela n’a jamais suffi, de nouveaux massacres au Kasaï et des adeptes de Bundu dia Kongo. Nous disons maintenant ça suffit, car le rouleau compresseur de la justice visible et invisible se met maintenant en marche. Seule une transition exceptionnelle sans Mr Joseph Kabila permettra l’organisation d’enquêtes internationales dans des conditions appropriées et la mise en route d’une vraie justice pour les massacres, les assassinats, les crimes contre l’humanité et les crimes de génocide commis en République Démocratique du Congo. A cet égard, la Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC) se réjouit de constater que toutes les forces vives congolaises, à l’exception de celles qui ont monté dans le bateau Titanic de Mr Joseph Kabila, ont rejoint sa pertinente vision d’une transition exceptionnelle sans Mr Joseph Kabila bien ficelée depuis décembre 2012. Ainsi, le Peuple Congolais est déterminé de monter dans le « Bateau de Noé » piloté par le visionnaire Armand MAVINGA TSAFUNENGA en vue de la mise sur les rails du Grand Congo du XXIème siècle, Siècle de la Justice. 1. La Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo exige une enquête internationale indépendante et urgente sur les massacres du Kasaï Il est indécent de demander ou de laisser un criminel mener des enquêtes sur ses propres crimes. Le pouvoir en place en République Démocratique du Congo a des comptes à rendre au Peuple Congolais et à la communauté internationale. Une enquête internationale indépendante s’impose d’urgence pour les massacres au Kasaï, comme pour celui des adeptes de Bundu dia Kongo. Outre les massacres, plus de 1.700.000 personnes sont déplacée au Kasaï. Une tragicomédie est créée pour ajourner sine die les élections en République Démocratique du Congo. Ceux qui croient habilement être en train de renvoyer aux calendes grecques leurs mauvaises élections, oublient qu’ils sont en train de précipiter leur fin inévitable. La situation est très grave et aucun argument valable ne peut être avancé par le pouvoir en place pour empêcher une enquête internationale indépendante. L’Organisation des Nations Unies (ONU) notamment doit éviter d’être condamnée un jour dans l’histoire pour n’avoir pas agi, comme il se doit, face au plus grand holocauste après la seconde guerre mondiale. L’histoire de l’holocauste congolais est en train d’être écrite et personne ne pourra plus l’occulter. 2. La trompette de la justice a déjà sonné en République Démocratique du Congo Quand la vie de tout un peuple est en danger, comme en République Démocratique du Congo, la communauté internationale ne peut avoir des arguments à avancer pour ne pas agir d’urgence». Des enquêtes internationales indépendantes doivent être menées sur des massacres, des assassinats, des crimes contre l’humanité et un génocide silencieux. Dans ce contexte, la justice est fondamentale. La mise en place d’un Tribunal Pénal International pour la République Démocratique du Congo (TPI/RDC) s’impose d’urgence. Comme le souligne toujours le Président de 3C-RDC et Président National du MPDC, Mr Armand MAVINGA TSAFUNENGA, c’est la justice qui élève une nation et affermit le pouvoir, et non les massacres et le fait de semer la terreur dans la population. La justice permet d’avoir des institutions fortes et enracinées. Un peuple qui ignore ses morts est un peuple d’office mort et effacé du concert des nations. Le Grand Congo du XXIème siècle, cher à la Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC) et au Mouvement pour la Paix et le Développement du Congo (MPDC), s’investira profondément dans la justice en vue de la reconnaissance du génocide congolais, désormais appelé « CONGOCIDE » (vocable créé par le leader Armand MAVINGA TSAFUNENGA en 2004). Le Grand Congo sous la présidence de ce dernier sera Etat de droit modèle et un pays respecté et respectable dans le monde. Notre pays sera bien présent dans les arènes de la justice internationale et développera sa propre branche de la justice internationale, face à l’ampleur du génocide congolais qui est le plus grand holocauste après la seconde guerre mondiale. Comme l’indique toujours la 3C-RDC et le MPDC, la justice devra être une autre façon d’appeler le Grand Congo du XXIème siècle qui sera au cœur du nouvel humanisme du IIIème millénaire, Millénaire de la Justice. 3. Urgence d’une transition exceptionnelle sans Mr Joseph Kabila en tant que processus adapté et incontournable de justice La Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC) note que beaucoup d’acteurs de l’opposition et de la société civile, dont de grands partis politiques, ont décidé de monter sans la moindre hésitation dans le bateau Titanic de Mr Joseph Kabila avec sa majorité illégitime. Ils ont tous privilégié leurs intérêts personnels au détriment de ceux du Peuple Congolais et de la République Démocratique du Congo. Ils auront une lourde responsabilité dans l’histoire de notre pays. Il n’y a plus de doute possible, la République Démocratique du Congo va tout droit vers l’accomplissement de la transition exceptionnelle sans Mr Joseph Kabila préparée depuis 2012 par la Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC). Toutes les forces vives congolaises rejoignent sans la moindre hésitation la vision d’une transition exceptionnelle de 3C-RDC. Le bateau de la transition de 3C-RDC, « Bateau de Noé » piloté par Armand MAVINGA TSAFUNENGA, est donc prêt à accueillir toutes les forces vives congolaises pour un nouveau voyage vers un destin sûr et radieux du Peuple Congolais au XXIème Siècle. Tout le monde reconnait aujourd’hui le rôle de précurseur d’une transition exceptionnelle joué depuis