La ville de Marrakech accueille la conférence internationale sur l’innovation et l’investissement touristique

Marrakech se positionne une nouvelle fois comme une plaque tournante de l’innovation en accueillant, le 28 janvier 2025, la conférence internationale sur l’innovation technologique et l’investissement touristique. Organisée par la Société Marocaine d’Ingénierie Touristique (SMIT) et le Ministère du Tourisme, de l’Artisanat et de l’Économie Sociale et Solidaire en étroite collaboration avec l’UN Tourism, cet événement mettra en lumière les synergies entre innovation et investissement. Cette conférence réunira des acteurs de premier plan tels que Monsieur Zurab Pololikashvili, Secrétaire Général de l’UN Tourism, Madame Fatim Zahra Ammor, Ministre du Tourisme, et Monsieur Karim Zidane, Ministre Délégué chargé de l’Investissement, Monsieur Imad Barrakad, Directeur Général de laSMIT ainsi que d’éminents experts du secteur du tourisme et de l’investissement touristique. UNE PLATEFORME POUR FAÇONNER L’AVENIR DU TOURISME Cette conférence offre une plateforme unique pour explorer les dernières tendances mondiales en matière d’innovation technologique appliquée au tourisme, encourager les investissements dans des solutions intelligenteset promouvoir la croissance numérique des petites et moyennes entreprises du secteur. CELEBRER L’EXCELLENCE DES JEUNES POUSSES MAROCAINS Au-delà des échanges et des débats, la conférence sera l’occasion de célébrer l’excellence en matière d’innovation à travers une cérémonie de remise de prix récompensant les startups les plus prometteuses ayant participé au concours lancé par la SMIT en partenariat avec l’UN Tourism. Il est à rappeler que ce concours avait pour objectif d’identifier les projets les plus innovants et les plus disruptifs, capables de répondre aux défis du tourisme de demain. Ce concours a été une formidable opportunité pour les jeunes pousses de l’écosystème touristique de faire connaître leurs solutions et de bénéficier d’un accompagnement personnalisé. DES PARTENARIATS STRATEGIQUES POUR REPONDRE AUX DEFIS DE DEMAIN Par ailleurs, des partenariats stratégiques seront annoncés, soulignant ainsi la volonté de tous les acteurs de fédérer leurs forces pour faire du Maroc une destination touristique de référence à l’échelle internationale. Le Maroc, terre de richesse culturelle et d’innovations, compte renforcer les écosystèmes innovants, promouvoir le savoir-faire marocain et consolider le rôle du Maroc sur la scène internationale. Monsieur Imad Barrakad, Directeur Général de la SMIT, souligne : « Cette conférence est bien plus qu’un simple événement. C’est un point d’inflexion qui nous permettra de construire un tourisme marocain répondant aux attentes des nouvelles générations de voyageurs et faisant appel aux initiatives individuelles et privées conformément au Hautes Directives Royales. » Pour suivre cette conférence. Rendez-vous le 28 janvier 2025 en diffusion directe sur les réseaux sociauxpour façonner ensemble l’avenir du secteur.
Impression A4 : Epson dévoile sa toute dernière innovation en matière de technologie jet d’encre zéro chaleur

Epson dévoile la dernière évolution technologique de sa gamme Jet d’Encre Professionnel Zéro Chaleur, apportant au marché de l’impression A4 des performances améliorées et des avantages en termes de développement durable. Les imprimantes Epson AM-C400 et AM-C550 illustrent la dernière avancée dans le domaine de la technologie jet d’encre compacte. Epson dévoile les multifonctions WorkForce Enterprise AM-C400 et AM-C550et étend ainsi sa gamme Jet d’Encre Professionnel Zéro Chaleur au marché A4 couleur. Ces nouveaux produits offrent tous les avantages de la technologie Jet d’Encre Professionnel Zéro Chaleur – consommation électrique réduite, moins de pièces à changer, moins d’interventions, grande réactivité – dans un design particulièrement compact. Adaptés aux utilisateurs ayant des volumes d’impression importants, les modèles WorkForce Enterprise AM-C400 et AM-C550 représentent, pour les partenaires Epson, une solution rentable et simple à maintenir. De plus, cette gamme confirme l’engagement solide du constructeur en faveur du développement durable. Dotées de vitesses d’impression et de numérisation élevées (jusqu’à 55 ppm pour l’impression et 100 ppm pour la numérisation), des capacités papiers importants et des réservoirs d’encre à haute capacité (jusqu’à 31 500 pages en noir, et 28 000 pages en couleur), les deux imprimantes offrent des avantages en matière de productivité, sans aucun compromis sur la qualité. Leur large écran tactile couleur, similaire à ceux des modèles A3, permettent une utilisation simple et intuitive. Le chemin papier en forme de « C » utilisé dans leur conception signifie que leur encombrement a été réduit, plaçant ces imprimantes parmi les plus petites de leur catégorie et les rendant idéales pour les environnements qui exigent un appareil hautement fiable et productif, mais où l’espace est limité. Chorouq Machtache, Directrice commerciale d’Epson Maroc a déclaré : « Ces modèles A4 élargissent notre gamme WorkForce Enterprise et offrent des niveaux de productivité impressionnants comparables à ceux des modèles A3 AM-C, avec une expérience utilisateur fluide grâce à l’interface commune, tout en ayant un encombrement réduit. Ils offrent une grande productivité, comparables à ceux des modèles AM-C A3, grâce à notre technologie d’impression à froid Zéro Chaleur.» Les vitesses d’impression rapides, la fiabilité élevée et le faible encombrement du produit sont couplés avec une réduction de la consommation d’énergie et des déchets ;caractéristiques attendues de la technologie d’impression à jet d’encre Zéro Chaleur d’Epson ; ce qui renforce le programme de développement durable et offre une alternative convaincante aux imprimantes laser traditionnelles. Développées à partir de la plate-forme ouverte d’Epson, ces imprimantes multifonctions s’intègrent facilement dans les infrastructures technologiques existantes et sont compatibles avec toutes les solutions logicielles tierces.
Shanghai/2023 Asia Mobile Awards : OPPO Find N2 désigné meilleur smartphone dans la catégorie des smartphones pliables

Le Find N2 de OPPO a été nommé meilleur smartphone lors des 2023 Asia Mobile Awards au MWC de Shanghai. Reconnu pour ses performances exceptionnelles et son expérience utilisateur innovante, le Find N2 s’est démarqué d’une liste compétitive pour remporter ce prix très prestigieux. Le prix du meilleur smartphone est décerné par d’éminents experts de l’industrie de la GSMA sur la base de critères tels que la performance, l’innovation et le leadership de l’industrie. Le prix de cette année ne reconnaît pas seulement la force individuelle de l’OPPO Find N2, mais montre également la reconnaissance plus large et le leadership de l’OPPO dans l’industrie. Le Find N2 OPPO est le téléphone pliable phare de deuxième génération d’OPPO. Doté d’une charnière Flexion ultra-légère et durable et du premier cadre de support d’écran en fibre de carbone de qualité aérospatiale de l’industrie, le Find N2 offre une expérience de pliage incroyablement légère sans sacrifier la durabilité et la fiabilité. L’appareil adopte le même ratio de pliage en or que le Find N original et utilise des écrans E6 120Hz pour ses écrans internes et externes. Associé à une excellente autonomie de charge et de batterie, à l’appareil photo Hasselblad Camera for Mobile et au mode FlexForm, OPPO Find N2 est un appareil pliable léger et intuitif parfaitement conçu pour une utilisation quotidienne. Depuis sa sortie fin 2022, OPPO Find N2 a capté l’imagination des utilisateurs du monde entier grâce à ses expériences innovantes, ouvrant une nouvelle ère pour les téléphones pliables. Selon les données d’IDC, au premier trimestre 2023, la série OPPO Find N2 s’est classée première sur le marché chinois des téléphones pliables avec une part de marché de 35,0 %, aidant OPPO à prendre la première place en termes de livraisons globales de téléphones au cours de la même période. OPPO favorise un développement industriel axé sur l’innovation et offre aux utilisateurs du monde entier des expériences de vie intelligentes grâce à un vaste écosystème de produits. Ces dernières années, ces efforts ont été de plus en plus reconnus au niveau international. En 2023, OPPO a été désignée comme l’une des 10 entreprises les plus innovantes de la région Asie-Pacifique par Fast Company et a reçu un total de 15 prix de l’iF International Forum Design. OPPO a également remporté de nombreux prix pour ses produits, notamment le 2023 Edison Best New Product Awards et le 2023 SEAL Sustainable Product Award pour l’OPPO Air Glass et l’OPPO Battery Health Engine respectivement, ce qui témoigne d’une reconnaissance croissante de la technologie de pointe d’OPPO et de ses contributions au développement durable. Guidée par sa mission « Technologie pour l’humanité, bonté pour le monde », OPPO continuera à utiliser l’innovation pour offrir des expériences technologiques de pointe aux utilisateurs du monde entier.
Congo/Développement : Une politique définie pour la recherche et l’innovation

Le Premier ministre, Anatole Collinet Makosso, a reçu des mains de la ministre en charge de l’Enseignement supérieur, Delphine Edith Emmanuel, le 5 octobre à Brazzaville, le document de politique nationale de la recherche scientifique et de l’innovation technologique qui contribue au développement socio-économique du pays. « Le document, rendu disponible à un moment où le pays vient de lancer son Plan national de développement à l’horizon 2026, va servir de boussole », a déclaré le chef du gouvernement, en présence notamment de la communauté scientifique, des partenaires dont les agences du système des Nations unies. Selon la ministre Delphine Edith Emmanuel, l’utilisation des systèmes de science, technologie et innovation est un impératif pour atteindre les objectifs de développement durable. Il est, en effet, nécessaire de s’appesantir sur la recherche appliquée au développement, en vue d’apporter des réponses aux problèmes auxquels les communautés sont confrontées. La recherche scientifique et l’innovation technologique sont à la base du développement dans plusieurs secteurs : environnement, énergies renouvelables, tourisme, santé, éducation, agriculture et bien d’autres. « La mise en œuvre de cette politique axée sur la mobilisation des ressources humaines, juridiques, politiques, financières sera appréciée par des indicateurs au plus grand bonheur du peuple congolais », à en croire la ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation technologique. L’Unesco, qui a contribué à l’élaboration de cette politique de la recherche scientifique et de l’innovation technologique, est disposée à accompagner le Congo dans la mise en œuvre de celle-ci, selon sa représentante, Fatoumata Marega.
Cahiers économiques du Rwanda : Doper les exportations en misant sur la technologie, l’innovation et le commerce des services

La dernière édition des Cahiers économiques du Rwanda, paru vendredi 23 septembre, prévoit un fléchissement de la croissance nationale en 2022, après la reprise vigoureuse enregistrée l’année dernière. En cause notamment, les effets de la guerre en Ukraine et la menace que continue de faire peser la pandémie de COVID-19 sur les grandes économies. Selon le 19e numéro de cette publication, disponible en anglais sous le titre Boosting Exports Through Technology, Innovation and Trade in Services, la croissance du PIB rwandais n’atteindra que 6 % en 2022, contre un taux de 11 % en 2021. L’inflation continue de monter, la hausse des cours internationaux des produits de base et la perturbation des chaînes d’approvisionnement mondiales ayant entraîné une augmentation importante des prix de l’énergie, des transports et des denrées alimentaires. « La montée de l’inflation au Rwanda, alors même que l’emploi n’a pas encore retrouvé son niveau d’avant la pandémie, risque de réduire à néant des progrès durement acquis sur le front de la réduction de la pauvreté et du développement du capital humain. Il est essentiel que les pouvoirs publics poursuivent leurs actions pour protéger les plus vulnérables, en s’appuyant sur le système de filets sociaux du pays », souligne Rolande Pryce, chef-pays de la Banque mondiale pour le Rwanda. Dans un dossier spécial consacré aux échanges commerciaux, le rapport se penche sur des résultats du Rwanda en matière d’exportations. Il en ressort que les entreprises rwandaises ont vu leur participation au commerce international augmenter au cours de la dernière décennie (en particulier dans le secteur des services), pour atteindre des niveaux supérieurs à ceux des autres entreprises de la région et du continent. Parmi les principaux facteurs qui déterminent les performances commerciales, le rapport met notamment l’accent sur l’obtention d’une certification à une norme de qualité internationale, telle que celles produites par l’Organisation internationale de normalisation (ISO). Ces certifications sont un sésame qui facilite l’ouverture des entreprises à l’international : les entreprises certifiées ISO ont 36 % plus de chances d’exporter que celles qui ne le sont pas. Or, cet aspect reste un frein majeur pour le Rwanda, où seules 3 % des entreprises avaient obtenu une certification ISO en 2019. Le rapport met également en évidence une corrélation importante entre passage au commerce en ligne et participation aux échanges internationaux, en soulignant les avancées limitées des firmes rwandaises dans ce domaine. « Compte tenu du lien étroit entre commerce électronique et export, et sachant que les entreprises du Rwanda mettent systématiquement en avant le manque d’informations sur les marchés étrangers, il apparaît important d’investir dans les infrastructures internet pour garantir aux entreprises isolées, tant en milieu rural que dans les zones urbaines sous-développées, un moyen d’accès à bas prix aux marchés et aux clients, et étendre ainsi la participation des entreprises locales au commerce international », explique Calvin Djiofack, économiste senior à la Banque mondiale. Le rapport rappelle que le Rwanda a largement misé sur le développement des services pour accroître l’emploi, les revenus et les recettes d’exportation. Le pays est toutefois confronté à un déficit de compétences qui, s’il n’est pas comblé, limitera la croissance des exportations de services hautement qualifiés. Afin d’y remédier à court terme, le rapport préconise notamment de pallier la pénurie de compétences en reconnaissant les qualifications des professionnels de la région et en les dispensant de l’obligation de permis de travail.
Partech Shaker et LaStartupFactory signent un partenariat en vue d’accompagner les scaleups européennes sur le marché africain

MAROC. Partech Shaker et LaStartupFactory, deux acteurs majeurs de l’accélération des startups, ont décidé de s’unir pour créer des ponts d’innovation entre l’Europe et l’Afrique. Partech, considéré comme l’un des fonds de capital-risque les plus actifs au monde, et l’entreprise privée citoyenne annoncent avoir conclu un partenariat dans le cadre du programme Chapter54 (lancé par Partech Shaker) qui vise à créer des « ponts d’innovation » entre l’Europe et l’Afrique via l’accompagnement des meilleures scaleups (startups en phase de croissance forte à l’international) européennes cherchant à se développer sur le marché africain. « Nous avons décidé de travailler avec LaStartupFactory car elle propose plusieurs atouts à nos scaleups », a déclaré Vincent Previ, Directeur de Chapter54. Cité dans un communiqué, ce dernier estime qu’«au-delà d’un très bel espace d’accélération à Casablanca, c’est surtout sa connaissance fine de l’écosystème des startups, son expérience cumulée à travers les multitudes de programmes d’appui déjà réalisés et surtout les nombreuses opportunités de networking à travers son réseau de corporates au Maroc et en Afrique qui seront des atouts décisifs pour nos scaleups ». « En tant que Hub d’innovation qui crée des ponts entre les startups installées au Maroc et notre cher continent, nous sommes ravis de ce partenariat avec Partech Shaker et nous sommes prêts à accueillir leurs scaleups européennes pour les orienter dans leur développement en Afrique », s’est pour sa part réjoui Mehdi Alaoui, Directeur de LaStartupFactory. Et d’ajouter: « Nous comptons aussi organiser plusieurs événements et rencontres entre elles et notre écosystème pour bénéficierde leur retour d’expérience en matière de mise à l’échelle de solutions technologiques innovantes. » Martin Kam
AIM for Climate cherche à doubler les investissements dans l’agriculture intelligente et l’innovation des systèmes alimentaires d’ici à la COP27
La Mission d’innovation agricole pour le climat (AIM for Climate), une initiative mondiale dirigée par les Émirats arabes unis (EAU) et les États-Unis (USA) avec le soutien de plus de 140 partenaires gouvernementaux et non gouvernementaux, a annoncé un nouvel objectif visant à faire passer les engagements d’investissement de 4 milliards de dollars, promis lors de son lancement en 2021, à 8 milliards de dollars d’ici la 27e Conférence des Nations unies sur le changement climatique (COP27) à Sharm El-Sheikh, en Égypte. L’objectif d’investissement ambitieux a été annoncé lors de la première réunion ministérielle d’AIM for Climate, qui s’est tenue à l’Expo 2020 de Dubaï, où les partenaires gouvernementaux ont discuté des priorités de l’initiative et des plans pour la COP27. Lors de cette réunion, AIM for Climate a accueilli le Chili, le Costa Rica, l’Égypte, la Commission européenne, la Guyane, le Mozambique et la Turquie au sein de sa coalition, a annoncé AIM for Climate Ideations, une nouvelle opportunité de coopération pour les partenaires pour 2022, ainsi que des domaines d’intervention pour les sprints d’innovation qui seront lancés lors de la COP27. Son Excellence Mariam bint Mohammed Almheiri, ministre du changement climatique et de l’environnement des EAU, a déclaré : « L’agriculture et les systèmes alimentaires offrent d’immenses opportunités pour l’action climatique mondiale. En catalysant l’innovation dans l’agriculture intelligente face au climat, nous pouvons réduire les émissions nocives et capturer le carbone dans le secteur, augmenter durablement la productivité pour nourrir une population mondiale croissante, et soutenir les agriculteurs en première ligne pour renforcer la résilience et s’adapter aux impacts du changement climatique. Si l’initiative AIM for Climate a connu un début remarquable lors de la COP26, nous plaçons la barre plus haut pour mobiliser des investissements encore plus importants et un soutien coordonné afin de conduire la transformation des systèmes alimentaires mondiaux. En travaillant ensemble et en nous appuyant sur les diverses connaissances et expériences des pays et des acteurs de la chaîne de valeur, nous pouvons permettre un bond en avant de l’innovation agricole et relever nos défis climatiques communs. » Le secrétaire américain à l’agriculture Tom Vilsack a ajouté : « Les partenaires gouvernementaux de AIM for Climate ont démontré aujourd’hui leur ferme engagement à travailler ensemble pour combler le déficit d’investissement dans l’agriculture intelligente face au climat et dans l’innovation des systèmes alimentaires, nécessaires pour relever le double défi de la faim dans le monde et de la crise climatique. Nous sommes fiers du large éventail de partenaires de l’initiative AIM for Climate qui s’efforcent de fournir des solutions efficaces pour tous les peuples. AIM for Climate cherche à étendre son réseau encore plus loin avec de nouveaux participants du monde entier. Les États-Unis se réjouissent d’accueillir tous les partenaires AIM for Climate à Washington, au printemps 2023, pour le sommet AIM for Climate, afin d’examiner nos progrès et de tracer les importants travaux à venir. » Lors de la réunion ministérielle, les codirecteurs de AIM for Climate, les Émirats arabes unis et les États-Unis, ont lancé des AIM for Climate Ideations pour offrir aux partenaires des possibilités d’accueillir des événements et des activités tout au long de l’année afin de soutenir l’avancement des objectifs de l’initiative. Cette « conceptualisation d’idées » tournera autour du partage d’idées, de la collaboration en matière d’innovation, du renforcement des capacités institutionnelles, de la coordination ou de la démonstration et du déploiement. Les partenaires gouvernementaux de AIM for Climate fournissent la base cruciale de l’initiative grâce à une vague de nouveaux investissements publics dans l’agriculture intelligente face au climat et l’innovation des systèmes alimentaires. Mais d’autres secteurs, y compris les entreprises, la philanthropie et d’autres partenaires non gouvernementaux, sont invités à s’appuyer sur cette fondation avec des sprints d’innovation : des investissements dans des efforts spécifiques, impactants et accélérés, ou en fournissant des connaissances essentielles pour identifier les lacunes d’investissement, les défis et les opportunités de collaboration. Représentant 200 millions de dollars d’investissements accrus de la part des partenaires non gouvernementaux, AIM for Climate comporte neuf sprints d’innovation, avec l’ajout le plus récent de l’accélérateur de durabilité IBM (IBM Sustainability Accelerator). AIM for Climate encourage toute personne intéressée à prendre contact avec les points de contact des sprints d’innovation disponibles sur le site Web. AIM for Climate accepte actuellement les propositions de sprints d’innovation pour 2022 et a identifié quatre domaines focaux pour les sprints d’innovation qui seront lancés lors de la COP27 : les petits exploitants agricoles dans les pays à revenu faible et intermédiaire, la réduction du méthane, les technologies émergentes et la recherche agroécologique. Lancé lors de la 26e Conférence des Nations unies sur le changement climatique (COP26), AIM for Climate galvanise le soutien et les investissements en faveur de l’agriculture intelligente face au climat et de l’innovation dans les systèmes alimentaires pour permettre des solutions à l’intersection de la faim dans le monde et de la crise climatique.
Le 5e sommet Africa Fintech se tiendra virtuellement

Le cinquième sommet Africa Fintech sera organisé virtuellement cette année via la plateforme Accelevents les 9, 10 et 12 novembre 2020. Le sommet a lieu dans le contexte de la pandémie mondiale COVID-19 qui a entraîné un besoin sans précédent de commerce et de financement numériques et a positionné Fintech comme un élément clé de la reprise économique.Cette année, le sommet accueillera plus de 1 000 participants et plus de 60 intervenants provenant de 10 fuseaux horaires différents sur les 6 continents. Le thème de chaque journée a été conçu pour explorer les nouvelles perspectives que nous avons découvertes en préparant le rapport qui sera bientôt publié, Africa Fintech : State of the Industry 2020, un rapport de 63 pages consacré aux esprits brillants et aux innovations. Parmi les panélistes, on retrouve les génies qui sont à l’origine des innovations qui ont mené l’industrie : Olugbenga Agboola, co-fondateur et PDG de Flutterwave ; Tayo Oviosu, fondateur et PDG de PAGA ; Yemiru Chanyalew, fondateur et PDG d’Amole ; Djiba Diallo, conseiller principal en matière de technologie financière auprès d’EcoBank ; Coen Jonker, co-fondateur et PDG de TYME Bank ; Iyin Aboyeji, fondateur et partenaire général de Future Africa ; Viola Llewellyn, co-fondatrice et présidente d’Ovamba ; et Ham Serunjogi, co-fondateur et PDG de ChipperCash. L’AFTS a établi des partenariats stratégiques avec le Bureau mondial des partenariats (GOP) du Département d’État Américain pour aider à rassembler les leaders d’opinion de tout le continent Africain. Cette initiative fait suite au partenariat entre le GOP et l’AFTS, dans le cadre duquel une délégation technique Américaine s’est rendue à l’ATFSAddis19 en novembre dernier. La journée d’ouverture du sommet se concentrera sur les principaux écosystèmes fintech régionaux du continent, avec des sessions distinctes consacrées à l’Afrique de l’Ouest, de l’Est, du Nord, centrale et australe. Le deuxième jour sera consacré aux modèles commerciaux basés sur les technologies de pointe, et à l’analyse de la manière dont les technologies de pointe fournissent une base pour l’innovation dans des secteurs tels que le commerce électronique, les soins de santé et l’agriculture. Il y aura également une session consacrée aux modèles commerciaux de paiement par répartition (PayGo) qui ont connu une augmentation significative de leur popularité en raison de leur capacité à faciliter l’accès à des services cruciaux mais souvent inaccessibles. « The Business of Fintech » est le titre de notre troisième et dernier jour. Nous invitons ici les investisseurs de Fintech, les experts financiers décentralisés et les leaders d’opinion des entreprises les plus prospères à discuter des meilleures pratiques pour relever les défis communs des innovateurs, y compris l’expansion du marché, la mobilisation de capitaux, l’applicabilité de la chaîne d’approvisionnement, le ciblage de la dernière étape et la sélection de partenaires potentiels de Fintech. Le sommet se termine par la demi-finale régionale et la compétition de pitch pour la Coupe du monde des start-ups, dont le vainqueur disputera une étape sur une scène de la Silicon Valley pour 1 million de dollars US. L’Africa Fintech Summit (AFTS) est la première initiative mondiale consacrée à l’écosystème fintech Africain. L’AFTS se tient traditionnellement à Washington, D.C., chaque année en Avril pendant la semaine de réunion annuelle de la Banque mondiale et de la SFI, et dans une ville Africaine différente chaque année en Novembre (dernièrement, Lagos et Addis Abeba). Soutenue par un conseil consultatif composé de leaders d’opinion et de pionniers de la technologie, l’AFTS est un espace unique où les idées sont explorées, les investissements mobilisés, les partenariats et les collaborations formés à travers les secteurs et les zones géographiques. Cette année, l’AFTS est organisée en partenariat entre le groupe de conseil stratégique Dedalus Global de Washington, D.C. et la société de conseil Ibex Frontier axée sur l’Éthiopie. Par APO