Maroc. « Élémentaire », le film tout « eau » tout flamme sur le vivre ensemble à ne pas rater au cinéma

Maroc. « Élémentaire », le film tout « eau » tout flamme sur le vivre ensemble à ne pas rater au cinéma

CINEMA. Depuis le 21 juin, Elémentaire, le tout dernier film Disney Pixar, fait le bonheur des salles. Deux jeunes héros, une Flamboyante et un Aquatique, vont apprendre à se connaitre, à s’apprécier et plus si affinités, sur fond de clivages entre communautés dans une cité qui ressemble à se méprendre à New-York. Premier film confiée par la Walt Disney Compagny France a Film Event Consulting. Le nouveau Roméo et Juliette version animée fait son entrée en salles depuis le 21 juin. A El’ement City, la ville-monde où vivent enharmonie les créatures de feu, d’eau, d’air et de terre. Comme son prénom l’indique. Flam appartient à la première famille. La jeune femme, qui brûle en secret de s’émanciper se lie avec le pétillant et timide Flack, issu de la tribu aquatique. Comme quoi, le feu et l’eau ne sont pas incompatibles, malgré certains préjugés tout rouilles… Il y a de jolies trouvailles visuelles dans cette ‘nouvelle production Pixar, un message louable (certes bien convenu) sur le vivre ensemble, mais on cherche en vain l’originalité vif-argent, le génie inimitable qui furent longtemps la marque du studio de ToyStory oudeMonstres &-Cie. J.B. Film d’animation de Peter Sohn, avec les voix françaises d’Adèle Exarchopoulos, deVincent Lacoste… Un film qui fédère et qui rappelle les valeurs du Maroc : le vivre ensemble et l’esprit d’ouverture. A voir:

Maroc: “Murs effondrés”, du réalisateur Hakim Belabbes, raconte les contrastes du destin, ses injustices et ses plus beaux cadeaux

Maroc: “Murs effondrés”, du réalisateur Hakim Belabbes, raconte les contrastes du destin, ses injustices et ses plus beaux cadeaux

CINEMA. Projeté en avant-première, mercredi 20 juillet, au cinéma Mégarama de Casablanca, le long métrage “Murs effondrés” du réalisateur marocain Hakim Belabbes plonge le public dans des histoires de la vie quotidienne d’hommes et de femmes. Le film dont l’action se déroule à Bejaad où le quotidien est difficile pour certains et clément pour d’autres, selon les jours, propose un voyage poétique dans ce qui ressemble à une vie réelle au sein d’un petit village marocain. Avec son regard pointu et artistique, le cinéaste transporte le spectateur dans les détails qui passent d’habitude inaperçus. D’un visage marqué par des rides à un regard morne en passant par un corps affligé par les drames…Tout est décrit avec grandeur et précision. L’on peut ainsi suivre des visages des épouses et des maris, des mères et des pères, des fils et des filles … racontant les contrastes du destin, ses injustices mais aussi ses plus beaux cadeaux. Ceci allant d’un deuil suite à la perte d’un être cher jusqu’à une nouvelle naissance qui apporte espoir et bonheur. Dans le décor de cette magnifique production de 2 heures et 16 minutes, les voisins vivent des vies séparées avec le même cycle de fardeaux et de petites joies. Ici, lâcher prise est un défi, à la fois pour les morts et les vivants. Les gens de cette ville partagent le même monde, ils s’y côtoient et se confrontent mais ignorent quand ils vivent, chacun, dans la vie de l’autre, s’entraidant et se nuisant mutuellement. Connectés par l’amitié́, la proximité́ et le sang, ils se détruisent et se soutiennent : par des mariages, des funérailles, des meurtres, par le pardon, par l’amour, et le sacrifice. Les personnages construisent leur petite communauté́ en s’accrochant à l’espoir. Pendant ce temps, les âmes des morts persistent à veiller sur ceux qu’ils ont laissés derrière. Née d’un temps de réflexion sur des histoires intimes recueillies en quelques années et thématiquement liées par le temps et l’espace qu’elles habitent”, cette magnifique production réunit des acteurs de différentes générations: Amine Naji, Hassna Moumni, Zhour Slimani, Sanaa El Alaoui, Hanane Benmoussa, Hamid Najah, Rabab El Khechibi, Younes Yousfi, Zaynab Alji, Nabil El Mansouri, Fatima Zahra Lahouitar, Amine Talidi, Yettou Nefaoui, Abdurrahman Elmokrani, Khalil Oubaaqa, Moncef Kabri, Salah Laasri …partagent l’affiche de ce film grand public. Bejaad dont il est natif “ressemble à mon propre studio (ma petite Cinecittà), où j’ai accès à pratiquement tout ce dont j’ai besoin pour ma production et où les gens sont toujours accueillants avec moi”, confie Hakim Belabbes. Et pour lui, ce film est une méditation visuelle sur la vie intérieure d’un peuple, tissée à travers le fil de l’humanité partagée qui relie les personnages impliqués. C’est une célébration de la lutte quotidienne et de l’ambivalence. Un pic sobre dans les destins qui pourraient, à première vue, sembler sombres. Le nouvel opus du réalisateur marocain sera dévoilé au grand public ce mercredi 27 juillet, dans une sortie nationale soutenue par le Conseil de la Communauté marocaine à l’étranger (CCME), a annoncé l’équipe du film.

RDC/Congo. Une nouvelle distinction pour le film « The Rumba Kings »

RDC/Congo. Une nouvelle distinction pour le film « The Rumba Kings »

Avec le Printemps est venu à Lyon, après Paris, un film déjà bien connu des “rumberos” du monde. Non pas pour être projeté dans une des salles de la capitale des Gaules (Lyon), mais bien pour recevoir un prix. En effet, l’Académie Charles Cros “Musique du monde” a décerné au film “The Rumba Kings” des réalisateurs Alain Brain et Monica Carlson le diplôme “Coup de cœur Musique du monde 2022” le 10 mars 2022. Pour la deuxième fois cette année, le Musée des confluences de Lyon a accueilli la cérémonie de remise des coups de cœur et des grands prix Musiques du monde de l’Académie Charles Cros 2022 : la découverte d’artistes remarquables. L’évènement a été suivi en direct le 10 mars 2022 à partir de 18 heures au grand auditorium du Musée des Confluences. En lieu et place des réalisateurs Alan Brain et Monica Carlson, le lyonnais Clément Ossinondé qui a participé dans le film a eu l’honneur de recevoir le diplôme “Coup de cœur 2022” de l’Académie Charles Cros. Auparavant, un extrait du film a été diffusé au grand plaisir de la salle enthousiaste. Qu’est ce que l’Académie Charles Cros ? Fondé en 1947 l’Académie Charles Cros défend la diversité musicale, veille à la présentation de la mémoire sonore, soutient la création, le développement de la carrière des artistes, l’esprit d’entreprise et le courage des éditeurs graphiques et phonographiques. Clément Ossinondé

Ecclésiaste Lemba, au sommet de son art dans son 2eme film « Welcome to Montréal »

Ecclésiaste Lemba, au sommet de son art dans son 2eme film « Welcome to Montréal »

« Welcome to Montréal » tel est le nom du 2ème film multiculturel 100% indépendant, de l’acteur franco-congolais (RDC), Ecclésiaste Lemba. Une grande première dans l’histoire du Cinéma Canadien. Il s’agit d’un film représentatif pour mettre en avant le multiculturalisme de Montréal dans toutes ses facettes. Tournée au Canada entre Juin 2015 à Août 2015 et Juillet 2016, « Welcome to Montréal » est une Comédie Policière Type : Fiction ; durée 1h54 – Réalisateur Jason Careau-Hamel – Production : JCH Production, avec: Steve Nash, Dara Lowe, Daniel Potvin, Ecclésiaste Lemba. Producteur-Scenario : Ecclésiaste Lemba – Format: Numérique Le synopsis du film présente : Désiré Barreau Mutanzila, un redoutable Agent de la Brigade Anti-Criminelle travaillant au sein de la Police de Paris, de tempérament comique, charismatique, séducteur. Il est recruté dans la Brigade Spéciale Anti-Gang par le Service de Police de Montréal pour démanteler un réseau international de trafic de drogue contrôlé par le puissant baron de la drogue du Canada, le Général Diablo. L’enquête risque d’être dure et explosive… Le côté fascinant de ce film est sa diversité, car on retrouve plus de 200 acteurs/actrices issus de 42 nationalités différentes. Cela nous permet de mettre en avant les talents locaux des 3 principales communautés les plus importantes de Montréal, les communautés francophones, anglophones et hispanophones. Le contexte du film se rapproche un peu des comédies policières américaines Le Flic de Beverly Hills, Heure Limite, Mauvais Garçons2. Ce chef d’œuvre cinématographique montre l’envers du décor du crime organisé à Montréal, de la corruption au sein des plus hautes fonctions, du trafic en tout genre, tensions, violences policières… Le but de ce film consiste à rendre ces différents fléaux négatifs qui touchent la ville de Montréal en choses positives. Tout cela se déroule dans un contexte social très particulier, les acteurs souhaité le transformer en langage compréhensible par tous en choisissant un genre qui fascine un grand nombre de gens, la Comédie Policière d’Action. Très loin des films hollywoodiens à gros budgets, Welcome to Montréal n’a rien à envier aux films américains. Il est 100% indépendant, mais très professionnel. Se sont des acteurs/actrices expérimentés, des beaux lieux de tournage, des scènes extraordinaires, des faits réels jamais encore évoqués au cinéma. Les prouesses d’ Ecclésiaste Lemba Ecclésiaste Lemba est un jeune français d’origine congolaise, né le 17 février 1992 à Paris. Connu en France suite à ses nombreuses apparitions télévisées dans des émissions culturelles, jeux télévisés, notamment dans l’émission « Dîner Presque Parfait « . En tant que candidat, sa semaine d’apparition sur la chaîne nationale française M6 lui octroie une audience d’1,4 millions de téléspectateurs. La première chaîne de France TF1 lui accorde un reportage exclusif dans l’émission culte « Confessions Intimes » qui retrace ses débuts dans le cinéma, ses ambitions de devenir la future grande star d’Hollywood. Il profite de ce reportage pour montrer son talent d’acteur. Depuis cette émission, il est surnommé le nouvel Eddy Murphy par les médias français. Il n’en est pas à sa première expérience en tant que producteur, scénariste et acteur puisque « Welcome to Montréal » est son deuxième film. Son film « Le Prince du Ghetto » tourné également  au Canada et sorti en 2012, a été diffusé dans plusieurs pays à travers le monde. Il totalise à ce jour plus de 600. 000 vues sur You tube depuis sa mise en ligne en 2015, ce qui fait du long métrage « Le Prince du Ghetto » le film gangster canadien le plus visionné sur cette plate forme. Un véritable record ! Enfin, une date à retenir : C’est, le Vendredi 7 Juin 2019 à 19h00 au Cinéma Studio des Ursulines dans le 5ème arrondissement de Paris qu’aura lieu la Grande Première française du 2ème film d’Ecclésiaste Lemba « Welcome to Montréal «  Bus: 21, 27 (Feuillantines) 38 ou 82 (Auguste Comte) 84 ou 89 (Panthéon) RER B: Luxembourg (sortie rue de l’Abbé de l’Epée) Clément Ossinondé

Montréal: « Troisièmes noces », un film de David Lambert, avec Rachel Mwanza et Bouli Lanners, à l’affiche le 8 février

Montréal: « Troisièmes noces », un film de David Lambert, avec Rachel Mwanza et Bouli Lanners, à l’affiche le 8 février

Filmoption International a annoncé dernièrement la sortie de la comédie dramatique Troisièmes noces, écrite et réalisée par David Lambert, le 8 février prochain. Insipiré du roman éponyme de Tom Lanoye, le film met en vedette Rachel Mwanza et Bouli Lanners dans les rôles principaux. Eric Kabongo, Virginie Hocq, Jean-Benoît Ugeux ainsi que Jean-Luc Couchard complètent la distribution. Martin (Bouli Lanners), un homosexuel veuf et fantasque d’une cinquantaine d’années, se voit proposer de contracter un mariage blanc avec une congolaise de vingt ans, Tamara (Rachel Mwanza). Ces deux êtres que tout sépare vont devoir faire croire à leur amour auprès des autorités migratoires et à force de faire semblant, vont finir par s’aimer… à leur manière ! Pour son troisième film, David Lambert voulait casser les codes de son cinéma. Après la sélection de son premier film HORS LES MURS au Festival de Cannes (Semaine de la Critique) et son deuxième film JE SUIS À TOI qui révélait Nahuel Perez Biscayart (120 battements par minute), David voulait se lancer un nouveau défi, faire table rase, se mettre en danger en abordant un nouveau ton : la comédie. Si le roman de Tom Lanoye était une parfaite base pour y arriver, le choix du casting devait être osé et original. David a eu l’idée d’opposer Bouli Lanners à Rachel Mwanza sur le registre de la comédie et de créer un duo avec Virginie Hocq et Jean-Benoît Ugeux. Née en 1996, en République démocratique du Congo, Rachel passe sa petite enfance dans la région du Mbuji-Mayi. En 2010, parmi 200 autres enfants de la rue, Rachel participe au casting du film Kinshasa kids du réalisateur belge Marc Henri Wanjberg. Elle obtient un rôle et pour la première fois exprime son talent devant des caméras, en jouant son propre rôle. Rachel est repérée en 2011 par le réalisateur québécois Kim Nguyen, afin d’interpréter le rôle de Komona enfant soldat, dans le film Rebelle. Cette rencontre sera le tournant décisif, qui va lui permettre de sortir de la rue et se rapprocher de son rêve. Lauréate de divers prix de meilleure actrice : Berlinale2012(Allemagne), Tribeca2012(USA), La Soirée des Jutra (2013) et les prix Écrans Canadiens (2013), le point culminant de parcours exceptionnel sera son passage remarqué sur le tapis rouge de la 85e cérémonie des Oscars. Depuis 2015, elle vit au Canada et depuis 2018, elle est devenue immigrante reçue. Coproduit Jean-Yves Roubin et Cassandre Warnauts (Frakas Productions), Lilian Eche et Christel Henon (Bidul Productions) et Anne-Marie Gélinas (EMAfilms), Troisièmes noces est distribué par Filmoption international et prendra l’affiche au Québec le 8 février prochain.

Souheil Benbarka, icône du cinéma marocain et africain, réalise actuellement l’un des films les plus ambitieux du cinéma marocain

Souheil Benbarka, icône du cinéma marocain et africain, réalise actuellement l’un des films les plus ambitieux du cinéma marocain

L’une des grandes figures du cinéma marocain, en particulier, et africain, de manière générale, le réalisateur Souheil Benbarka se lance dans la réalisation d’un superbe film alliant histoire et actualité. Cette annonce a été faite, le mardi 18 avril 2017, en marge de la projection au Centre Cinématographique Marocain à Rabat de l’une de ses plus grandes œuvres cinématographiques,  » La bataille des trois Rois  » , intitulée également  » Drums of Fire  » ; une projection qui a vu la participation d’un parterre imposant d’hommes et de femmes de lettres, d’historiens, de représentants de la presse nationale et étrangère, de critiques de cinéma, d’étudiants des écoles marocaines de cinéma, et au-delà, de simples spectateurs férus de 7ème Art et admirateurs du grand cinéaste marocain Souheil Benbarka. Le dernier projet cinématographique de Souheil Benbarka, titré « Le songe du Calife », a connu son premier tour de manivelle, il y a plusieurs semaines, en Italie et se poursuivra au Maroc dans le courant de ce mois d’avril. Une dizaine d’acteurs internationaux et autant d’acteurs marocains, tous de renoms, prennent part à cette grande aventure cinématographique. L’ensemble est soutenu par près de 30 000 figurants. Cette superproduction maroco-italienne est dotée d’un budget de 5 millions d’Euros, dont 0,7 million provient d’une contribution marocaine. Le film retrace l’histoire de Domingo Badia Y Leblich, connu sous le nom d’Ali Bey Al Abbassi, et ne se limite pas aux 26 mois que cet espion espagnol a passés au Maroc. Dès 1803, il s’y était fait, ainsi que dans l’ensemble du monde musulman, l’espion de Manuel Godoy, Premier Ministre du Roi Charles IV, en se faisant passer pour un prince turc. L’objectif était de jauger la stabilité du Sultan Moulay Slimane qui, n’ayant pu obtenir le retour de Sebta et Mellilia, ravitaille Gibraltar, en préambule à une conquête du Maroc par l’Espagne et de l’Empire Ottoman, et de Lady Hester Stanhope, connue sous le nom, Meleki, Reine de Palmyre. Une histoire d’amour naîtra entre les deux personnages qui se terminera de manière tragique en raison de deux visions inconciliables de l’Islam. Bien que l’histoire de cette fresque cinématographique se déroule entre 1804 et 1818, elle est néanmoins d’une actualité criante, où l’Islam modéré et pacifique se heurte au fanatisme religieux le plus rigoureux, le plus extrême et le plus cruel. « Le songe du Calife » est un film d’aventure et d’action qui transportera le spectateur dans un incroyable voyage à travers l’Espagne, la France et le Maroc. Il stimulera également la réflexion sur des problèmes et thématiques de l’heure : guerre, barbarie, fanatisme religieux, remise en cause des valeurs occidentales imposées depuis longtemps comme modèle universel. Ce film suscitera indéniablement l’intérêt des grands critiques cinématographiques qui se bousculeront pour en apprécier la densité et en capter toute son intensité, comme il verra les cinéphiles, amoureux d’un cinéma de qualité, de plus en plus rare, investir largement les salles obscures. A l’issue de la projection du film  » La bataille des trois Rois « , les nombreux invités, personnalités, représentants des média marocains et étrangers, étudiants en cinéma et autres, se sont rassemblés autour d’un thé convivial, servi selon le cérémonial traditionnel marocain, qui n’était pas sans rappeler l’ambiance, à la fois historique et raffinée, de ce péplum.

Le 15e Festival international du film de Marrakech met à l’honneur le cinéma canadien

Le 15e Festival international du film de Marrakech met à l’honneur le cinéma canadien

Le coup d’envoi de la a 15ème édition du Festival international du film de Marrakech (FIFM) a été donné vendredi soir au Palais des Congrès de la Cité Ocre. Plusieurs personnalités du monde du 7ème Art (acteurs, réalisateurs et producteurs), de la culture et des arts, des universitaires ainsi que de prestigieux invités ont pris part à la cérémonie d’ouverture. Le cinéma canadien est à l’honneur de cette quinzième édition qui met en compétition quinze longs-métrages que départageront , le 12 décembre courant, un jury de professionnels reconnus présidé par le réalisateur américain Francis Ford Coppola. Les quinze films en compétition officielle – « Babai » de Visar Morina (Allemagne, Kosovo, Macédoine et France). – «Closet monster» de Stephen Dunn (Canada). – «Cop car» de Jon Watts avec Kevin Bacon (Etats-Unis). – «Desierto» de Jonas Cuaron (Mexique et France). – «Keeper» de Guillaume Senez (Belgique, Suisse et France). – «Key house mirror» de Michael Noer (Danemark). – «Lingering memories» de Keiko Tsuruoka (Japon). – «Neon bull» de Gabriel Mascaro (Brésil, Uruguay et Pays-Bas). – «Paradise» de Sina Ataeian Dena (Iran et Allemagne). – «Rebellious girl» (Insoumise) de Jawad Rhalib (Belgique et Maroc). – «Steel flower» de Park Suk-young (Corée du Sud). – «Thithi» de Raam Reddy (Inde et Etats-Unis) – «Toll bar» de Zhassulan Poshanov (Kazakhstan). -«Very big shot» de Mir-Jean Bou Chaaya (Liban et Qatar). -«Virgin mountain» (L’Histoire du géant timide) de Dagur Kari (Islande et Danemark).