Festival « Visa For Music » de Rabat. Parade carnavalesque, hommages et concerts donnent le coup d’envoi de la 10ème édition

Festival « Visa For Music » de Rabat. Parade carnavalesque, hommages et concerts donnent le coup d’envoi de la 10ème édition

Le coup d’envoi de la 10ème édition du Festival « Visa For Music » (VFM23) a été donné, mercredi 22, à Rabat, avec au programme une parade carnavalesque, des hommages et des concerts qui ont attiré un public nombreux, enthousiaste et cosmopolite. Les organisateurs ne pouvaient pas songer à une meilleure façon d’inaugurer cette manifestation qui, comme chaque année, met à l’honneur des artistes émergents du paysage musical d’Afrique et du Moyen-Orient, ainsi que des artistes de renom. Pour cette nouvelle édition, qui marque le dixième anniversaire de cet important rendez-vous, les organisateurs ont offert aux rbatis un magnifique carnaval à travers les rues de la capitale suivi d’une séquence d’hommages sur la scène du Théâtre Mohammed V. Hommage aux Bantous de la Capitale du Congo Des hommages rendus au légendaire groupe congolais considéré comme l’un des plus célèbres représentants historiques de la Rumba congolaise, Les Bantous de la Capitale , au bassiste américain Jamaaladeen Tacuma que le public amateur de musique et les professionnels retrouveront quelques minutes plus tard sur la même scène pour une performance très ovationnée ainsi que le collectif « Playing for change Africa » composé de musiciens de diverses régions d’Afrique qui célèbrent la diversité culturelle du continent. Il est à souligner que le maître américain de la basse électrique, connu pour avoir laissé une empreinte incroyable dans le monde du jazz en collaborant avec des légendes comme Ornette Coleman et Pharoah Sanders, était accompagné ce soir-là par quatre autres artistes dont un Cubain qui ont égayé de la plus belle manière l’assistance. Après la prestation de ce grand musicien polyvalent, innovant et, par ailleurs producteur prolifique, le public a eu droit à un show très électrique animé par Meteor Airlines. Visiblement très attendu ce soir-là, le groupe de rock marocain a enflammé la scène du Théâtre sans répit créant une ambiance festive et très mouvementée dont il a seul le secret parmi le public notamment jeune. L’ensemble connu pour ses titres en tamazight et des thèmes en lien avec l’histoire, les valeurs et les coutumes amazighes se distingue par une identité visuelle unique avec des manteaux connus sous le nom d’ »Azennar » qui imposent une certaine prestance. Des Expostands pour faciliter le contact entre artistes et professionnels Il est à noter que les locaux du Théâtre Mohammed V accueillent, du 23 au 25 novembre, de 10h à 17h, des Expostands dédiés aux professionnels. Selon les explications des organisateurs, « ces espaces offrent une opportunité unique de présenter leurs organismes, leurs projets et de créer des collaborations ». Ils permettent de faciliter le contact entre artistes et professionnels et participent à la logique d’échanges culturels promue par le festival, ont-ils souligné. Rappelons à ce propos que la mission de Visa For Music est de faire découvrir de nouveaux talents, et de leur donner une vitrine auprès des professionnels de la culture à l’international pour ainsi favoriser la création de partenariats. Portée par ANYA, une structure d’ingénierie culturelle indépendante basée à Rabat, cette manifestation vise également à stimuler l’évolution du marché de la musique et favoriser l’échange des meilleures pratiques entre professionnels. A noter que les recettes de la vente des billets seront reversées en totalité au Fonds spécial dédié à la gestion des conséquences du séisme d’Al Haouz, ainsi que l’avaient annoncé les promoteurs du festival. Organisé sous le Haut patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le festival « Visa For music » offre cette année encore une expérience unique imprégnée de la passion pour la musique et l’amour de la culture, faisant de la 10ème édition un événement à ne manquer sous aucun prétexte. Alain Bouithy

Maroc: la 22ème édition de Tanjazz, festival historique de jazz de Tanger, prévue du 22 au 24 septembre prochain

Maroc: la 22ème édition de Tanjazz, festival historique de jazz de Tanger, prévue du 22 au 24 septembre prochain

Après une reprise réussie en 2022, Tanjazz, festival historique de jazz de Tanger, soufflera sa 22ème bougie du 22 au 24 septembre 2023.  Le festival dévoile une première partie du line-up 2023 : Les Gipsy Kings ft Nicolas Reyes, maîtres de la rumba flamenca, les pianistes et compositeurs Omar Sosa (Cuba), Tigran Hamasyan (Arménie) et Roberto Fonseca (Cuba). Trois musiciens prodigieux et inclassables de la scène Jazz internationale ; Mais aussi, le chanteur italien de soul Mario Biondi, le jeune pianiste français, virtuose du boogie-woogie, Nirek Mokar, ainsi que le trompettiste de La Nouvelle-Orléans James Andrews. Organisée depuis l’année dernière par l’agence Seven PM, producteur exécutif de Jazzablanca, Casa Anfa Latina et Village Casa Anfa, et soutenue par la Fondation BMCI, sponsor officiel du Festival depuis 2008, cette nouvelle édition de Tanjazz proposera une programmation enrichie, pour profiter pleinement de la magie de la capitale du Détroit. L’ambition étant d’offrir une expérience festivalière fidèle à l’ADN de Tanjazz. La nouvelle équipe d’organisation prolonge ainsi cette promesse d’ouverture et de découverte, tout en élargissant le rayonnement du festival à de nouveaux publics. Pour cette 22ème édition, Tanjazz offrira deux jours de fête au sein du Palais (accès payant) avec 14 concerts, mais aussi des concerts et fanfares en accès gratuit, que le public découvrira à travers la ville durant les trois jours. Les aficionados du festival seront heureux de retrouver l’emblématique Palais des Institutions Italiennes, cœur battant du festival, avec ses trois scènes, ses jardins et ses espaces de restauration. Tanjazz promet des moments mémorables, notamment avec le retour de la grande scène extérieure du Palais, la scène BMCI, ainsi que la programmation des “Jam Sessions”. Ces dernières, tant appréciées par les festivaliers comme par les musiciens, offriront à nouveau des moments de communion et de célébration musicale inoubliables. Pour cette 22ème édition, Tanjazz présente une panoplie d’artistes et musiciens virtuoses :  The Gipsy Kings ft Nicolas Reyes : groupe légendaire ayant conquis le monde avec leur rumba flamenca envoûtante, sont devenus des ambassadeurs mondiaux du rythme et de la joie grâce à leur fusion unique de flamenco, de pop et de rumba catalane.. Omar Sosa – Quarteto AfroCubano : pianiste virtuose et compositeur cubain qui s’est forgé un parcours musical exquis en alliant jazz, musiques du monde, hip-hop et les éléments électroniques, tout en puisant dans ses racines afro-cubaines.  Tigran Hamasyan Trio, pianiste prodige et compositeur arménien, reconnu pour son style novateur qui fusionne le jazz, le rock et les influences folkloriques arméniennes. Mario Biondi, avec sa voix suave, fusionne soul, jazz et R&B avec une profondeur distinctive souvent comparée à celle de Barry White. Propulsé par « This is What You Are », Biondi captive toujours avec des performances passionnées. Roberto Fonseca, virtuose du Buena Vista Social Club, ramène les nuits animées de la Cabane Cubaine des années 30 sur scène. Accompagné de ses musiciens, il insuffle une passion ardente dans les mélodies enivrantes de l’époque. Nirek Mokar, le « Petit Prince du Boogie », séduit avec son énergie mêlant swing, blues et rock’n’roll, captivant les publics lors de festivals en France et à l’étranger. James Andrews, le « Satchmo of the Ghetto » de la Nouvelle-Orléans, transporte avec son charisme naturel et sa musique entraînante. Accompagné par le talentueux Frank Salis, une soirée exceptionnelle est garantie ! Swing, Jazz, Blues, Rock, Soul et World Music, la suite de la programmation sera dévoilée début septembre. Elle illustrera les ambitions et l’engagement du festival à offrir aux Tangérois fidèles, aux festivaliers venus de l’ensemble du Maroc, mais aussi aux nombreux étrangers habitués de Tanjazz ; une édition festive et un voyage musical sans pareil !

Burkina Faso : visite d’une ministre française pour l’apaisement

Burkina Faso : visite d’une ministre française pour l’apaisement

Chrysoula Zacharopoulou, la secrétaire d’Etat auprès de la ministre française des Affaires étrangères, a fait le déplacement Burkina Faso pour décrisper une délicate situation, rapporte tv5monde. Les autorités burkinabè ont récemment demandé le remplacement de l’ambassadeur français en poste à Ouagadougou.

Pointe-Noire: Liz Alphonsia Babindamana, la nouvelle diva de la chanson congolaise, tout feu tout flamme au Festival « RUMBA un jour RUMBA toujours »

Pointe-Noire: Liz Alphonsia Babindamana, la nouvelle diva de la chanson congolaise, tout feu tout flamme au Festival « RUMBA un jour RUMBA toujours »

Enfin un festival sur la rumba qui rend justice à l’immense talent de Liz Alphonsia Babindamana qui a su s’entourer de musiciens de premier plan, comme Maïka Munan, Ballou Canta, Sam Mangwana, Théo Blaise Kounkou et Freddy Massamba. La fraicheur de ses musiciens aguerris lui ont fait occuper une place à part dans la rumba. Elle a été d’ailleurs l’unique dame à occuper une place de choix dans la cour des grands. Chanteuse guitariste impressionnante et danseuse émérite, elle a cartonné sur tous les plans tout au long du Festival « RUMBA un jour RUMBA toujours » organisé par l’Institut Français du Congo à Pointe-Noire du 05 au 16 avril 2022. Les fans de la déesse de la chanson congolaise ont été ravis par ses prouesses en constante évolution. Plus que jamais ! elle regrette seulement les occasions qui manquent pour exercer pleinement ce qu’elle sait faire. Naturellement des occasions comme le « Festival de la Rumba un jour Rumba toujours ». Une chose est sûre on doit faire désormais avec Liz Alphonsia Babindamana, une des artistes les plus satisfaisantes dans le chant et dans la guitare. Bravo ! L’artiste Clément Ossinondé

Maroc/Festival: Jazzablanca revient du 1er au 3 juillet 2022

Maroc/Festival: Jazzablanca revient du 1er au 3 juillet 2022

La 15ème édition de Jazzablanca Festival se tiendra du 1er au 3 juillet 2022, après deux ans d’absence. Concerts en plein air, ambiance éclectique, une passion pour le jazz qui s’étend au funk, à la pop rock et à la soul music… L’univers Jazzablancais est de retour, avec son atmosphère chaleureuse, ses découvertes et rencontres. Pendant ces deux années, l’équipe de Jazzablanca a continué à travailler pour offrir aux festivaliers une programmation vibrante. Ainsi, cette année, Jazzablanca fait peau neuve. Le festival entame un nouveau chapitre placé sous le signe de l’intensité. Avec un format de trois jours et une programmation inédite, les Jazzablancais peuvent d’emblée compter sur une ambiance exclusive et de nombreuses surprises. Depuis sa première édition en 2006, Jazzablanca n’a cessé de se renouveler pour offrir aux Casablancais le festival de musique qu’ils méritent. Au fil des années, le festival s’est montré fidèle à son engagement auprès de la vie culturelle casablancaise, et continue de s’accrocher aux valeurs universelles que prône la musique : la générosité, la tolérance, et la passion.

Congo: La chanteuse Nina Wateko triplement distinguée à Rome

Congo: La chanteuse Nina Wateko triplement distinguée à Rome

MUSIQUE. Belle moisson pour Nina Wateko. La chanteuse d’origine congolaise a été triplement primée au Festival de la chanson et de la promotion musicale, « Promuovi la Tua Musica », qui s’est déroulé récemment au Nouveau Théâtre Saint Paul de Rome en Italie. Le jury, composé de stars et de professionnels de l’industrie musicale italienne, a en effet décerné, samedi 9 avril dernier, trois précieux prix à la diva : « Meilleure artiste chanteuse », « Meilleur titre » et « Meilleure interprétation ». Réunis sous la houlette de la chanteuse et star de la chanson italienne, Fanya di Croce, les membres du jury ont préféré la chanteuse congolaise aux 36 autres chanteurs et groupes qui concouraient également. Cette triple consécration sonne comme une juste reconnaissance internationale pour l’artiste-chanteuse, auteure, compositrice et interprète que nombre d’observateurs de la scène musicale décrivent comme la diva à la voix d’or. Une voix, doublée d’un talent et d’une prestance reconnus, qui vaut aujourd’hui à la diva – une issue d’une famille d’artistes-musiciens et chanteurs – une consécration plus que méritée. « Mes impressions sont les bonnes après avoir reçu ce Trophée qui honore mon art en terre étrangère chez Romulus et Rémus (pour ceux ou celles qui connaissent l’histoire de la Rome antique) », a d’emblée confié Nina Wateko à Pagesafrik. «Je dédie ce trophée à tous mes fans du monde, mes héros dans l’ombre et aux chroniqueurs et chroniqueuses de musique sans oublier les amoureux de la bonne musique », a-t-elle poursuivi affirmant que « c’est l’Afrique et le Congo qui gagnent ». « Par ce prix, c’est le drapeau congolais et sa culture qui ont été hissés au sommet dans un pays qui ne connait pas la musique congolaise. Que Dieu soit loué ! », a-t-elle confié, par la suite, à notre Rédaction. Mais au-delà de l’émotion et de la joie suscitée par cette magnifique consécration, la diva congolaise a ajouté que « ce trophée me fait prendre conscience du travail accompli, que j’ai à réaliser et sans oublier celui que je réaliserai avec le soutien de tous ceux et celles qui m’encouragent, m’accompagnent au quotidien et me poussent à aller plus loin ». « Je suis consciente que j’ai encore un grand chemin à parcourir et qu’il n’est pas pavée que de roses, mais aussi des épines. Fort heureusement, Dieu est au contrôle », a dit la chanteuse. Nina Wateko se donne ainsi un défi, celui de jamais « baisser mes bras », lance-t-elle. « J’ai l’obligation de braver le froid, le chaud, la poussière et les crocs-en-jambe pour atteindre mon objectif qui est d’aller encore plus loin ». Pour rappel, Nina Wateko est la marraine et l’invitée d’honneur du Festival de la ville de Gualdo Tadino en Umbrie qui se déroulera également en Italie. La chanteuse congolaise y est attendue le 30 avril courant. Martin Kam

Bienvenue à Pointe-Noire et à l’Institut français du Congo pour vivre un Festival au cœur de la Mère Rumba congolaise

Bienvenue à Pointe-Noire et à l’Institut français du Congo pour vivre un Festival au cœur de la Mère Rumba congolaise

En effet, la ville de Pointe-Noire est en pleine ébullition par la présence des mélomanes ponténégrins, brazzavillois et kinois, pour donner le top départ le mardi 5 avril 2022 de son Festival : « Rumba un jour, Rumba toujours ». Pendant deux semaines, du 05 au 15 avril 2022, les festivaliers, les spectateurs, les partenaires de l’IFC seront invités à vibrer sur le thème « Rumba un jour, Rumba toujours”. Parce que “Rumba un jour, Rumba toujours” est un festival qui résonne dans toute la ville de Pointe-Noire, nous vous proposons ici un éclairage sur les deux scènes particulières. Tout d’abord la salle de spectacles de l’Institut Français du Congo, qui part à la recherche des stars de la Rumba de demain dans une ambiance intimiste et un cadre bien connu des fidèles de la musique : Le Centre Culturel Tati Loutard, transformé en Club pour l’occasion. Deux scènes incontournables de la Rumba à Ponton la Belle” et qui pour ce premier festival de la Rumba congolaise, après son inscription par l’Unesco au patrimoine culturel immatériel de l’humanité, propose la programmation ci-après : –     Le mardi 5 avril 2022 au matin : Conférence de presse –     Le jeudi 7 avril 2022 10 h Conférence « Les figures légendaires de la rumba » –     Le mardi 12 avril 2022 : Table ronde : Thème D : Le statut du musicien. –     Le samedi 16 avril 2022 : Soirée de clôture en présence de tous les artistes, ainsi que les partenaires de L’Institut français du Congo (l’IFC) Ce programme sera à coup sûr pour les festivaliers autant de coups de cœur ! Ce sera une belle rencontre avec des artistes de renommés , qui eux aussi profiteront de leur venue pour faire entendre la véritable face de leur personnalité musicale. Nota : Au nombre des invités du festival, on compte une forte délégation de la RDC (République Démocratique du Congo) composée des officiels et des artistes, tout comme une délégation d’Europe composée des artistes des producteurs de musique et des journalistes. Clément Ossinondé

Le Bénin à l’honneur au prochain Festival international Cinéma et migrations d’Agadir

Le Bénin à l’honneur au prochain Festival international Cinéma et migrations d’Agadir

Le Bénin sera à l’honneur au Festival international Cinéma et migrations d’Agadir qui se tiendra 5 au 10 novembre prochain. Après la Côte d’Ivoire en 2016 et le Cameroun l’an passé, le festival met, à nouveau, en lumière le 7ème art et les artistes d’un pays d’Afrique subsaharien, « dans une volonté de contribuer à promouvoir le cinéma du continent et le rapprocher du grand public marocain », a indiqué, à la MAP, Driss Moubarik, président de l’Association « L’Initiative culturelle » qui organise l’évènement en partenariat avec le ministère chargé des Marocains résidant à l’étranger et des affaires de la migration et le Centre cinématographique marocain avec le soutien du conseil régional Souss-Massa et du conseil provincial d’Agadir. « Depuis sa création il y a 15 ans, le festival met en avant la diversité du cinéma marocain, produit dans le Royaume mais aussi par des Marocains du monde, ainsi que des productions des quatre coins du monde portant sur la thématique de l’immigration, un sujet encore très brûlant aujourd’hui avec des naufrages à répétition de clandestins Africains en Méditerranée, une crise qui place le monde devant ses responsabilités », a ajouté M. Moubarik. Une délégation du Bénin conduite par le producteur et réalisateur Sylvestre Amoussou est attendue dans la capitale du Souss. Elle comportera des réalisateurs, des comédiens, et des journalistes. Plusieurs films de ce pays d’Afrique de l’ouest seront à l’affiche, dont « l’orage Africain » de Sylvestre Amoussou, un manifeste contre le néocolonialisme économique sur le continent, qui a été primé au Festival panafricain de cinéma et de télévision de Ouagadougou (Fespaco) où il a remporté le prestigieux prix de l’Étalon d’argent de Yennenga et le prix spécial de l’Assemblée nationale. Le festival Cinéma et Migrations propose deux compétitions officielles ouvertes respectivement aux courts et aux longs métrages qui sont réalisés durant les deux dernières années avec pour thème l’immigration. Le jury des longs métrages est présidé par le réalisateur camerounais Bassek Ba Kobhio, délégué général du festival Ecrans noirs, l’un des principaux festivals de cinéma en Afrique, alors que celui le jury des courts métrages est coiffé par le cinéaste marocain Daoud Oulad Sayed. Au cinéma Rialto, le public aura l’occasion de découvrir une multitude d’autres courts et longs métrages, marocains et étrangers, avec pour dénominateur commun la question de la migration. A l’instar des autres éditions, cette manifestation propose également des Master class, ainsi qu’une série de débats sur le sujet de l’immigration et du regard que porte le cinéma sur les enjeux humains derrière le drame des réfugiés. MAP