Air Arabia Maroc lance de nouveaux vols reliant Marrakech et Dakhla
Air Arabia Maroc, le pionnier dans le domaine du transport aérien low cost, a annoncé la dernière extension de son réseau de vols, rapprochant les voyageurs de destinations importantes. A partir du 29 octobre 2023, et à travers le soutien de la région Dakhla-Oued Ed-Dahab, Air Arabia Maroc lancera de nouveaux vols pour desservir la destination Dakhla au départ de Marrakech à travers deux vols directs par semaine, les mercredis et les dimanches. Les passagers de Fès peuvent également bénéficier de vols directs vers Dakhla, qui partent le mercredi et le dimanche de chaque semaine. L’ajout de ce service reflète l’engagement de Air Arabia Maroc à fournir des options de voyage plus larges et abordables, qui rendent l’exploration de ces merveilleuses destinations plus disponible et accessible que jamais. A noter que les billets de ces nouveaux vols sont désormais disponibles à la vente sur le site d’Air Arabia (www.airarabia.com) et dans toutes les agences de voyages partenaires de la compagnie. Les voyageurs visitant Dakhla peuvent s’immerger dans la culture locale, déguster de délicieux fruits de mer et découvrir ses souks animés. Quant à la ville de Marrakech, que l’on surnomme la « ville rouge », elle offre un mélange unique qui allie le charme du passé et le développement contemporain. Les deux villes donnent à leurs visiteurs le plaisir de se promener et de découvrir une mosaïque de culture, d’histoire et d’art. Air Arabia Maroc continue d’étendre son réseau et de travailler pour offrir plus de flexibilité et de commodité à ses passagers. La compagnie aérienne se réjouit d’accueillir les passagers à bord de ses nouveaux vols, affirmant son intention d’offrir aux voyageurs une expérience de voyage à valeur ajoutée. Les passagers peuvent également profiter des avantages du programme de fidélité de Air Arabia Maroc AirRewards. Ce programme unique permet aux passagers de gagner des points pour leurs dépenses, d’échanger des points gagnés contre des vols gratuits ou des services supplémentaires, et de nombreux autres avantages.
Maroc. L’ENCG Dakhla fête sa troisième promotion
L’Ecole nationale de commerce et de gestion (ENCG) de Dakhla relevant de l’Université Ibn Zohr a organisé, mercredi, une cérémonie de remise de diplômes aux lauréats de sa troisième promotion 2023 et de la deuxième promotion du Master international en intelligence économique et prospective des territoires.Cette cérémonie a célébré 149 diplômés, répartis en six filières, à savoir la gestion financière et comptable (41 lauréats), l’audit et contrôle de gestion (27), le marketing et action commerciale (16), le commerce internationale (32) et le management logistique (13), en plus du Master international en intelligence économique et prospective des territoires (20). Parmi les lauréats de la deuxième promotion du Master international en intelligence économique et prospective des territoires figurent le consul Général d’Haïti à Dakhla, Anouce Bernard et le Consul Général de Guinée Bissau à Dakhla, Armandinho Erickson Fernandes Teixeira. Dans une allocution de circonstance, le directeur de l’ENCG de Dakhla, Aziz Sair a indiqué que parmi les lauréats de la troisième promotion figurent des étudiants provenant de l’Afrique subsaharienne, à savoir la République d’Haïti, la Guinée-Bissau, la République de Madagascar, le Congo, le Sénégal, le Niger et le Mozambique. Dans cette lignée, M. Sair a souligné que Dakhla est devenu un véritable pôle de l’enseignement supérieur permettant aux étudiants de différentes nationalités de poursuivre leurs études dans plusieurs filières et spécialités. Après avoir souligné que l’investissement dans le capital humain demeure au centre des stratégies prioritaires pour le Maroc, il a noté que l’ENCG Dakhla joue un rôle primordial en termes de formation et d’encadrement d’une jeunesse qualifiée et prête à contribuer à l’essor économique de la région Dakhla-Oued Eddahab. Ont notamment pris part à la cérémonie de remise de diplômes le wali de la région de Dakhla-Oued Eddahab, gouverneur de la province d’Oued Eddahab, Lamine Benomar, des élus et des chefs des services extérieurs, ainsi que les parents et tuteurs des lauréats de la troisième promotion de l’ENCG.
Maroc. Le Forum international de l’étudiant fait escale à Dakhla pour sa 13ème édition
La ville de Dakhla a accueilli, vendredi, la 13ème édition du Forum international de l’étudiant, un événement pédagogique phare initié par le Groupe l’Etudiant marocain. Initiée en partenariat avec l’Académie régionale de l’éducation et de la formation (AREF) Dakhla-Oued Eddahab, cette manifestation estudiantine a pour objectif de promouvoir l’information de proximité pour favoriser une meilleure orientation des jeunes à l’échelle régionale, à travers des rencontres directes avec des experts et spécialistes de l’enseignement supérieur et de la formation professionnelle. Dans une déclaration à la chaine d’information en continu M24 de la MAP, le directeur de l’AREF, Mohamed Faouzi a souligné que l’organisation de cet événement pédagogique s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la feuille de route 2022-2026, notamment l’engagement relatif à l’orientation scolaire et professionnelle. Dans ce cadre, M. Faouzi a indiqué que cet événement constitue une plateforme d’information et d’aide à l’orientation des bacheliers, qui rassemble plus de 90 exposants et plus de 150 établissements supérieurs et professionnels. Ce forum rassemble également les professionnels de la formation qui sont à l’écoute de ces jeunes pour répondre à leurs questionnements par rapport aux différentes filières et les informer sur les débouchés des études envisagées, a expliqué M. Faouzi. Cette plateforme d’aide à l’orientation fournit aux visiteurs toutes les informations sur les filières et les cursus offerts aussi bien au niveau de l’enseignement supérieur que de la formation professionnelle. Lors de cette édition, plus de 50 exposants procèdent à la présentation de supports de communication regroupant des fiches techniques des établissements de formation marocains et étrangers, ainsi que les dates des concours dans les grandes écoles.
Maroc: 10ème Conférence internationale sur la Micro-irrigation à Dakhla
Sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, l’Association nationale des améliorations foncières, de l’irrigation, du drainage et de l’environnement (ANAFIDE) organise la 10ème Conférence internationale sur la Micro-irrigation (10IMIC) du 25 au 27 janvier 2023 au Maroc à Dakhla. L’événement, placé sous le thème « La Micro irrigation à l’ère de l’innovation technologique et de la transformation digitale », est organisé en partenariat avec la Commission internationale de l’irrigation et du drainage (CIID) et avec le Ministère de l’Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et Forêts et en collaboration avec le CCME (Conseil de la Communauté Marocaine à l’Étranger). Le Maroc a été choisi par la Commission Internationale de l’Irrigation et du Drainage (CIID) pour organiser la 10ème conférence internationale sur la Micro-irrigation (10IMIC) du 25 au 27 janvier 2023 à Dakhla, suite à la demande faite par le comité Marocain à la CIID lors des travaux du 3ème congrès Mondial de l’irrigation tenu à Bali en Indonésie du 01 au 07 septembre 2019. Cette manifestation s’organise pour la 1ère fois en Afrique du nord depuis la première édition tenue en Israël en 1971, la 9èmeédition a été organisée en Inde en 2019. Cette rencontre internationale, scientifique et technique constitue l’occasion pour de nombreux experts, professionnels et décideurs, issus de différents pays, d’échanger leurs expériences dans le domaine de l’application des récents développements technologiques et de la digitalisation en matière d’économie et de valorisation de l’eau, en vue d’un développement durable et d’une meilleure résilience aux changements climatiques.
Maroc. Opération promotionnelle à Abidjan sous le signe «Dakhla, terre d’opportunités»
La Région de Dakhla-Oued Eddahab, la plus septentrionale des régions marocaines, a organisé, vendredi à Abidjan, une rencontre pour promouvoir ses opportunités d’investissement devant un parterre d’opérateurs économiques ivoiriens.Initié par le Conseil régional de Dakhla-Oued Eddahab en partenariat avec l’ambassade du Maroc en Côte d’Ivoire, la Chambre africaine de commerce et de services (CACS) et le Centre régional d’investissement (CRI), cet événement avant-gardiste constitue la première opération promotionnelle organisée par une région du Royaume du Maroc en direction d’investisseurs issus du continent. Le choix de la première escale de ce roadshow, baptisé Africa Executive meeting, qui mènera la Région de Dakhla vers plusieurs capitales africaines, s’est porté sur Abidjan, ont précisé les promoteurs de cette initiative, notant que ce choix est «loin d’être fortuit, tellement les deux pays donnent une illustration aboutie d’une coopération Sud-Sud mutuellement avantageuse». La présence active des entreprises marocaines et le volume croissant des échanges entre les deux pays mettent en perspective une connexion entre deux hubs économiques à forts potentiels, ont-ils fait remarquer à l’ouverture de cette rencontre. Et d’ajouter que la Région de Dakhla-Oued Eddahab, porte naturelle du Maroc sur sa profondeur continentale, a mis au point, grâce à un partenariat avec l’Etat, un programme de développement régional qui se trouve aujourd’hui dans sa 2-ème phase de réalisation et qui lui permet de se doter d’infrastructures structurantes, autant de leviers au service de la transformation du potentiel immense qui la caractérise. «Pêche, commerce, logistique, tourisme, agriculture énergies, soins médicaux, formation … nombreux sont les secteurs d’activité pour lesquels Dakhla offre aux opérateurs économiques et aux investisseurs des accès à des facilités leur permettant de valoriser le plein potentiel des échanges Nord-Sud et un accès multimodal aux marchés de la sous-région», ont souligné les participants à cette rencontre. Dans son intervention, le président du conseil de la Région de Dakhla Oued-Oued Eddahab, Yanja El Khattat, a expliqué que l’organisation de cet événement dénote l’intérêt particulier qu’accorde cette Région, en particulier, et le Maroc, en général, à la Côte d’Ivoire, pays frère et ami, affirmant qu’assurément la relation entre les deux pays constitue l’exemple type, pour ne pas dire le plus abouti, d’une coopération Sud-Sud, mutuellement avantageuse et basée sur le principe gagnant-gagnant. Dans un contexte mondial caractérisé par une régionalisation accrue des économies et une intensification de la concurrence sur le plan commercial et financier, le renforcement des relations de partenariats, entre pays ou entre régions, est devenue une nécessité incontournable, a-t-il dit, faisant savoir que la région de Dakhla-Oued Eddahab «ambitionne des relations économiques libératrices d’énergie, homogènes et inclusives avec nos frères ivoiriens». M. El Khattat a souligné dans son allocution que la vision de développement socio-économique, à long terme, de la région de Dakhla-Oued Eddahab est ancrée dans sa position géographique avantageuse, en tant que pôle commercial et logistique pour l’Afrique du Nord et de l’Ouest, et point d’entrée pour les investissements régionaux et continentaux. Les principaux moteurs économiques de la Région de Dakhla-Oued Eddahab qui vont de la pêche à l’agriculture, au tourisme et aux énergies renouvelables, ont connu une croissance notoire ces dernières années, a-t-il précisé, faisant remarquer que le registre des projets à venir comprend le port atlantique de Dakhla, la zone franche d’Afrique de l’Ouest et le plus grand parc éolien d’Afrique du Nord. De plus, la décision de plusieurs pays d’ouvrir des consulats à Dakhla devrait créer de nouvelles opportunités d’investissement et de commerce, a-t-il encore ajouté, poursuivant que le Maroc, qui a décidé de faire du développement socio-économique de l’Afrique l’une de ses priorités, compte faire de la région de Dakhla-Oued Eddahab, en particulier, et des régions du Sud, en général, un territoire, tant attrayant à l’investissement qu’un hub commercial, facilitant l’accès au marché africain. «Pour ce faire, la région de Dakhla-Oued Eddahab invite les investisseurs ivoiriens à l’exploration d’opportunités et de gisements multiples. Elle met à leur disposition un dispositif d’accompagnement adapté pour la dynamisation de relations économiques», a-t-il conclu. De son côté, l’Ambassadeur de SM le Roi en Côte d’Ivoire, Abdelmalek Kettani, a indiqué que le choix, ni fortuit ni anodin, de l’organisation de cet événement à Abidjan, est une manifestation supplémentaire de l’excellente coopération qui existe entre les deux pays et la volonté manifeste de consolider ces liens sur le plan économique avec cette belle initiative. Ce choix judicieux se justifie également par le fait que la Côte d’Ivoire a toujours été un fervent défenseur de l’intégrité territoriale du Royaume et a toujours apporté un soutien, sans faille, au Maroc dans toutes les instances régionales et internationales en vue de son recouvrement définitif. Trait d’union économique majeur entre le Maroc et les pays d’Afrique subsaharienne, la région de Dakhla-Oued Eddahab est une région de nos provinces du Sud dont les potentialités économiques sont immenses, a enchaîné M. Kettani, relevant que le développement que connaît cette région, dont les investissements se chiffrent en milliards de dollars, n’aurait jamais pu voir le jour sans la sollicitude particulière dont SM le Roi Mohammed VI entoure l’ensemble des provinces du Sud, et la forte adhésion, pleine et entière, des populations marocaines vivant sur ces terres ancestrales aux projets de leur pays comme en témoigne avec éloquence, le plus fort taux de participation aux scrutins électoraux nationaux et locaux, à l’échelle du Royaume. «Votre excellence initiative de ce jour nous rapproche de la réalité, tant économique que politique ou sociale de cette belle région de nos provinces du Sud, et nous incite et nous invite à nous y rendre rapidement pour appréhender les réalités du terrain et aussi inciter les investisseurs de Côte d’Ivoire à venir profiter des opportunités importantes que vous avez brillamment mises en exergue», a souligné le diplomate marocain. Pour sa part, le président de la CACS, Abdelmonaim Faouzi, a relevé que la décision de lancer les Africa Executive Meeting à Abidjan traduit pleinement la place de choix que le Maroc accorde à la Côte d’Ivoire dans les relations économiques et politiques qui le lient avec ses partenaires sur le Continent, poursuivant que la présence
Maroc : Green challenge Sahara édition revient à Dakhla le 13 novembre 2021 !
SPORT. Pour donner suite au succès de ses éditions précédentes, l’événement sportif tant attendu de l’année, le Green Challenge organisé par GC SPORTS prendra place cette fois à Dakhla le 13 Novembre 2021, entre les eaux de l’Atlantique et le sable du Sahara. Le Green Challenge est un rendez-vous incontournable qui a lieu 6 fois par an dans plusieurs régions du Maroc. Ce concept, créé en 2019 est une course d’obstacles éco-responsable, où les participants devront franchir seuls ou en équipe, plusieurs types d’épreuves de forces et d’équilibre. Pour cette 6éme édition, des packages en pension complète, seront proposés aux participants. Plusieurs actions environnementales en faveur de l’écologie seront menées lors de cet événement afin de sensibiliser les populations d’une part, et d’avoir un réel impact positif sur le plan net d’autre part (Plantation d’arbres, ramassage de déchets, mise à disposition de fontaines à eau et de gourdes pour limiter l’usage du plastique, etc…) Ce qui permet aux jeunes et aux moins jeunes de profiter d’une journée sportive et ludique en famille. Certaines entreprises, utilisent le Green Challenge comme moyen de faire vivre une expérience de team-building inédite à leurs collaborateurs, alliant cohésion d’équipe et dépassement de soi. Pour ceux qui ne pourront pas participer au Green Challenge, une édition virtuelle sera proposée sur l’application GYMFLIX gratuitement, permettant aux participants de faire le parcours de la course tout en mettant en avant les sites touristiques et culturels, ainsi que les initiatives durables de la région de Dakhla.
Maroc. L’IPC poursuit son trend haussier
L’ indice des prix à la consommation (IPC) poursuit son trend haussier à fin mars 2021, selon les chiffres rendus publics récemment par le Haut-commissariat au plan (HCP). Après deux mois consécutifs de hausse, entamée en début d’année, l’IPC a connu une hausse de 0,2% au cours du mois dernier par rapport au mois précédent, a indiqué l’institution publique. L’augmentation de l’IPC résulte de la hausse de l’indice des produits alimentaires et de l’indice des produits non alimentaires qui ont progressé respectivement de 0,3% et 0,2%, selon une note d’information du HCP relative à l’indice des prix à la consommation du mois de mars 2021. Pour rappel, l’indice des prix à la consommation avait connu une hausse de 0,1% en février dernier en raison de la hausse de 0,1% de l’indice des produits non alimentaires et de la baisse de 0,1% de l’indice des produits alimentaires. En janvier, sur le même taux, la variation avait été attribuée à la stagnation de l’indice des produits alimentaires et à la hausse de 0,2% de l’indice des produits non alimentaires. Il est à noter que les hausses des produits alimentaires observées entre février et mars 2021 ont concerné principalement les «Fruits» (1,6%), les «Huiles et graisses» (0,9%), les «Légumes» (0,4%) et les «Viandes» (0,3%). Le Haut-commissariat a en revanche relevé une diminution des prix de 1,4% pour les «Poissons et fruits de mer» et de 0,3% pour le «Café, thé et cacao». Pour les produits non alimentaires, la hausse a concerné principalement les prix des «Carburants» avec 2,5%, a indiqué l’institution. A titre comparatif, en février dernier, les prix avaient augmenté de 2,4% pour les «Huiles et graisses», de 1,6% pour les «Fruits» et de 0,3% pour le «Lait, fromage et œufs». En ce qui concerne les produits non alimentaires, la hausse avait été enregistrée principalement au niveau des prix des «Carburants» (2,5%). Soulignons qu’entre janvier et février de la même année, les baisses des produits alimentaires avaient concerné principalement les «Légumes» avec 1,5%, les «Poissons et fruits de mer» et les «Viandes» avec 1,3% et le «Sucre, confiture, miel, chocolat et confiserie» avec 0,2%. Un mois plus tôt, les hausses des produits alimentaires observées avaient concerné principalement les «Poissons et fruits de mer» (2,1%), les «Huiles et graisses» (1,5%) et les «Eaux minérales, boissons rafraîchissantes, jus de fruits et de légumes» (0,3%). Au cours de cette même période, le HCP avait en revanche relevé une diminution des prix de 1% pour les «Légumes» et de 0,6% pour les «Fruits» et pour les «Viandes». Alors que, pour les produits non alimentaires, la hausse avait concerné principalement les prix des «Tabacs» (2,3%) et des «Carburants» (2,5%). Selon les chiffres publiés par le HCP, en mars dernier, «les hausses les plus importantes de l’IPC ont été enregistrées à BeniMellal (0,9%), à Fès et Dakhla (0,8%), à Kénitra, Tétouan et Safi (0,5%), à Marrakech et Laâyoune (0,4%) et à Meknès, Tanger, Settat et Al-Hoceima (0,3%), a-t-il souligné précisant en revanche qu’une baisse a été enregistrée à Oujda (0,1%). En février dernier, les hausses les plus importantes de l’IPC avaient été enregistrées à Agadir, Tanger et Errachidia (0,3%), à Oujda et Settat (0,2%) et à Marrakech, Tétouan et Al-hoceima (0,1%), avait noté le HCP dans sa note d’information précédente soulignant, en revanche, que les plus importantes baisses avaient été enregistrées à Safi (0,6%) et à Dakhla (0,2%). A titre comparatif, en janvier les hausses les plus importantes de l’IPC avaient été enregistrées à Kénitra (0,7%), à Safi (0,6%), à Tétouan et Errachidia (0,4%), à Meknès (0,3%) et à Casablanca et Tanger (0,2%), tandis que des baisses avaient été enregistrées à Dakhla (0,6%), à Laâyoune (0,5%) et à Guelmim et Beni-Mellal (0,4%). «Comparé au même mois de l’année précédente, l’indice des prix à la consommation a enregistré une hausse de 0,1% au cours du mois de mars 2021 conséquence de la hausse de l’indice des produits non alimentaires de 1,4% et la baisse de celui des produits alimentaires de 1,8%», a fait remarquer le HCP relevant, en ce qui concerne les produits non alimentaires, que les variations vont d’une baisse de 0,1% pour la «communication» à une hausse de 5% pour le «Transport». Ainsi, l’indicateur d’inflation sous-jacente aurait connu au cours du mois de mars 2021 une hausse de 0,1% par rapport au mois de février 2021 et de 0,7% par rapport au mois de mars 2020, a-t-il conclu. Alain Bouithy
Aucune inquiétude à avoir, il y a de la place pour tout le Monde au Sahara marocain !
TRIBUNE. Dakhla, ville marocaine des Provinces Sahariennes, est internationalement connue pour sa baie fascinante et est à l’abri des courroux arides qui frappent cette péninsule saharienne mais les Alizés d’Ouest sont frais et toujours présents. S’agissant de son centre-ville, son marché municipal, son souk et ses ruelles propres, ils valent le détour avant de découvrir les multiples facettes de ce paradis naturel local qui se trouve à environ une dizaine de kilomètres pour y percevoir la plage d’Oum Labouir, réputée mondialement pour le spot surf, mais aussi Lassarga, village de pêcheurs, connu des surfeurs pour sa vague. En élargissant son spectre d’exploration tout voyageur venant à Dakhla, pourra constater la dune blanche qui enchante tant les amateurs de kitesurf que les adeptes de curiosités géologiques et où une dizaines de gravures rupestres sont inscrites sur la liste du patrimoine national. Après cette présentation succincte de la ville de Dakhla, il y a lieu de noter que la République du Sénégal, grand pays africain situé sur le côte Ouest de l’Afrique, vient de rejoindre la liste des pays amis et alliés du Royaume du Maroc en ouvrant, ce 05 avril 2021, un Consulat Général à Dakhla, deuxième grande ville du Sahara marocain. L’inauguration officielle de ce Consulat Général, situé dans le quartier diplomatique de Dakhla, a été présidée, le 05 mars 2021, par le Ministre marocain des Affaires Etrangères, de la Coopération Africaine et des Marocains Résidents à l’Etranger, Nasser Bourita, et la Ministre des Affaires Etrangères et des Sénégalais de l’Extérieur, Aïssata Sall Tall et ce, en présence des notables de la Région, des Autorités Locales et des représentants des Consulats étrangers installés à Dakhla. L’ouverture du Consulat Général du Sénégal sonne, par ailleurs, comme un désaveu au dernier communiqué du Conseil de la Paix et Sécurité de l’Union Africaine, du 18 mars 2021, appelant le Secrétaire Général de l’ONU à demander au Conseiller Juridique des Nations-Unies de fournir un avis juridique sur l’ouverture de Consulats dans les Provinces sahariennes marocaines. Au total, le nombre de Consulats ouverts au Sahara marocain vient d’atteindre le chiffre de 22 représentations consulaires sans oublier l’ouverture, incessamment sous peu, celui du Suriname. A noter que la France tente de se positionner pour contribuer à la réalisation des grands projets structurants initiés par le Maroc, notamment le Port Atlantique de Dakhla et la Ligne à Grande Vitesse (LGV) reliant Marrakech à Agadir, comme l’a si bien affirmé le Ministre délégué français des Transport, Jean-Baptiste Djebbari, le 25 mars 2021 lors de sa visite à Rabat, à son homologue marocain, Abdelkader Amara. Mais, il semblerait que Monsieur Djebbari ait omis de déclarer que la France se doit de réparer ses fautes historiques avec le Maroc en reconnaissant la souveraineté inaliénable du Maroc sur ses Saharas, Oriental et Occidental. Comme l’a si bien dit le Général de Gaulle, « il n’y a pas d’amis entre Etats mais seulement des intérêts mutuellement partagés ». Aussi la France à meilleurs temps à revoir sa position sinon Rabat fera la sourde oreille aux entreprises françaises désirant investir au Maroc. Vu la conjoncture économique française actuelle, la France se doit de reconnaître, conformément à ses droits historiques, la souveraineté du Maroc sur ses Provinces sahariennes avant de parler affaires. A défaut le Maroc cherchera d’autres investisseurs qui se bousculent, d’ailleurs, pour obtenir les marchés plus qu’avantageux pour les populations locales en matière d’emploi, de santé, d’enseignement, de tourisme, d’industrie, d’agriculture, et de vie sociale. Face à cette nouvelle donne et suite à une économie française en totale perdition, la France devrait revenir à la raison en reconnaissant par une déclaration officielle la marocanité de son Sahara et en procédant à l’ouverture d’un Consulat Général français dans ses Provinces sahariennes, ce qu’un nombre de plus en plus croissant d’Hommes Politiques français, et pas des moindres, ne cessent de réclamer à corps et à cris au pouvoir français. Farid Mnebhi.