Cameroun : Crise entre la FECAFOOT et le MINSEP / le lion Mila sort de sa tanière

Cameroun : Crise entre la FECAFOOT et le MINSEP / le lion Mila sort de sa tanière

Roger Milla s’est exprimé au sujet de la crise qui secoue la Fédération camerounaise de football (FECAFOOT) et le Ministère des Sports et de l’Éducation Physique (MINSEP). C’était lors de la rentrée littéraire des Éditions Nnâ Maria, qui s’est tenue hier à Yaoundé. Pour l’ancienne légende du football camerounais, « il est grand temps que chacun prenne conscience que les Camerounais aspirent à un véritable changement ». Milla en appelle à l’implication des joueurs dans la résolution de cette crise, les exhortant à pousser les deux parties à surmonter leurs différends. « Prenons un simple exemple : si les deux capitaines de l’équipe nationale seniors s’engagent, avec leurs coéquipiers, à assumer leurs responsabilités pour ramener la paix au sein de notre sélection, ils en ont pleinement le droit. Je suis convaincu que les Camerounais partagent cet avis. Mes propos sont motivés par le développement de notre football et le bien de notre pays. Il est clair que certaines personnes ne veulent pas le meilleur pour ce pays », a-t-il déclaré. Selon lui, seul l’intérêt supérieur du football camerounais doit guider les acteurs impliqués dans cette crise qui a déjà trop duré. « Il est temps de mettre de côté les égos et de réaliser que les Camerounais attendent du changement. Je n’attaque personne, je ne fais que relater les faits, car trop, c’est trop », a-t-il ajouté. Pour rappel, le désaccord entre la FECAFOOT et le MINSEP porte sur la procédure de nomination du sélectionneur de l’équipe nationale. Ya Willy.

Crise aiguë dans l’arbitrage français : Les tensions entre clubs de Ligue 1 et instance fédérale s’intensifient

Crise aiguë dans l’arbitrage français : Les tensions entre clubs de Ligue 1 et instance fédérale s’intensifient

L’arbitrage français se trouve plongé dans une crise aiguë depuis plusieurs mois, une situation qui s’est aggravée suite au licenciement de son directeur, Stéphane Lannoy. Les relations tendues entre les clubs de Ligue 1 et l’instance d’arbitrage atteignent un niveau de friction rarement observé auparavant, contraignant le président de la FFF, Philippe Diallo, à intervenir pour tenter d’apaiser les tensions. Chaque week-end de Ligue 1 est désormais marqué par des controverses arbitrales de plus en plus fréquentes, alimentées en grande partie par l’utilisation du VAR. Cette situation crée un climat de défiance et de lutte d’influence parmi les dirigeants de club. À l’approche de la fin du championnat, où l’issue reste incertaine tant en haut qu’en bas du classement, les présidents multiplient les critiques publiques acerbes. Récemment, Loïc Féry, président du FC Lorient, a vivement critiqué l’arbitre du derby, accusant le système VAR de poser un « ÉNORME problème », suite à un penalty oublié pour son équipe. Ces polémiques récurrentes ne sont pas un cas isolé. Des erreurs arbitrales ont également été observées lors de rencontres précédentes, accentuant le malaise ambiant. La Direction Technique de l’Arbitrage (DTA) ambitionnait pourtant de redorer le blason de l’arbitrage français, mais les récentes performances lors de matchs clés, notamment lors du Classique, ont semé le doute quant à sa capacité à remplir cet objectif. La récente réunion de crise orchestrée par Philippe Diallo visait à désamorcer les tensions. Les présidents de club, tout en exprimant leurs préoccupations, se sont montrés conciliants. Un consensus s’est dégagé pour permettre à Anthony Gautier de continuer à superviser le volet professionnel de l’arbitrage jusqu’à la fin de la saison. Cependant, des changements sont attendus dès cet été, comme en témoigne la réunion prévue le 18 avril pour discuter de l’évolution de l’organisation de l’arbitrage. Ya Willy.

Crise à la CEDEAO : les pays de l’AES menacent de se retirer

Crise à la CEDEAO : les pays de l’AES menacent de se retirer

Un sommet de la CEDEAO s’est tenu dimanche 10 décembre, en l’absence de quatre pays membres dirigés par des Transitions militaires. L’objectif officiel était d’évaluer les avancées ou les manquements de ces pouvoirs transitoires, mais de nombreux observateurs estiment que la levée ou non des sanctions économiques et financières contre le Niger constituait la quintessence de ce sommet. Ce sommet a été marqué par l’absence des pays de l’Alliance des Etats du Sahel (AES), qui ont annoncé leur intention de se retirer définitivement de la CEDEAO et de l’UEMOA. Cette décision est une réponse aux sanctions que ces pays ont subies de la part de la CEDEAO, qui les accuse de ne pas respecter la feuille de route de la transition démocratique. Les pays de l’AES ont également envoyé un signal fort aux douze autres pays membres de la Cédéao, en organisant un conclave à Bamako pour explorer les pistes de réflexion relatives à l’intégration économique et monétaire des trois états. Cette initiative montre que les pays de l’AES sont déterminés à poursuivre leur coopération, malgré les pressions de la CEDEAO. AES

L’Algérie invite les factions en conflit au Mali à reprendre le dialogue pour trouver une issue pacifique à la crise

L’Algérie a invité les parties maliennes en conflit à reprendre le dialogue pour trouver une issue pacifique à la crise dans le pays, selon un communiqué du ministère algérien des Affaires étrangères publié mercredi. Cet appel a été fait par l’Algérie après que la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation au Mali (MINUSMA) a organisé lundi une cérémonie à Bamako, capitale malienne, pour marquer la fin de dix ans de sa présence dans le pays. Dans le communiqué, l’Algérie a réitéré sa « ferme conviction » que l’Accord d’Alger signé en 2015 demeure « le cadre idoine pour la résolution de la crise au Mali et pour la préservation, par des moyens pacifiques, de l’intégrité territoriale du Mali, de sa souveraineté et de son unité nationale ». 

Niger : Poutine et le dirigeant malien Assimi Goïta appellent à un règlement pacifique de la crise

Le président russe Vladimir Poutine et le dirigeant malien Assimi Goïta ont discuté ce 15 août de la crise au Niger, et prôné un règlement pacifique dans ce pays. Le ministre Sergueï Choïgou a lui aussi taclé le «néo-colonialisme» occidental. Au cours d’un entretien téléphonique, qui a eu lieu «à l’initiative malienne», Vladimir Poutine et Assimi Goïta ont «souligné l’importance de régler la situation autour de la République du Niger uniquement par des moyens pacifiques politico-diplomatiques», a précisé la présidence russe dans un communiqué, ce 15 août. Cet appel intervient alors que la Communauté des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cédéao), tout en privilégiant la voie du dialogue, a donné la semaine dernière son feu vert à une intervention armée contre les militaires qui ont pris le pouvoir le 26 juillet au Niger, en activant sa «force en attente». Lire la suite sur RT France

La 3C-RDC réaffirme l’urgence d’une transition exceptionnelle pour la refondation de la nation congolaise en grave crise

La 3C-RDC réaffirme l’urgence d’une transition exceptionnelle pour la refondation de la nation congolaise en grave crise

La Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC) réaffirme l’urgence d’une transition exceptionnelle pour la refondation de la nation congolaise en grave crise. Un peuple qui oublie son histoire est condamné à répéter les mêmes erreurs, et est exclu de l’histoire des peuples et nations libres, stables, forts et prospères. Il est ainsi voué à la disparition de manière dramatique    La Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC) réaffirme l’urgence d’une transition exceptionnelle pour la refondation de la nation congolaise en grave crise. Le Peuple Congolais et la République Démocratique du Congo courent le risque de disparaître comme peuple et nation d’ici la fin de l’année 2023. La longue crise congolaise n’est pas une crise électorale qui n’en est qu’une des émanations flagrantes. C’est la crise profonde de l’être congolais et de sa société. La Troisième République, héritée de l’AFDL depuis 1997, est essoufflée et risque de s’effondrer brusquement. Un tel effondrement brusque aura des conséquences très graves pour le Peuple Congolais et la République Démocratique du Congo. Parmi les conséquences attendues, il y aura une terrible insécurité généralisée doublée d’une grande guerre civile et des actes terroristes, et la balkanisation de notre pays. C’est une question de vie ou de mort pour tous les Congolais. Le climat de méfiance, d’intolérance, d’insuffisance, de corruption, de clientélisme politique violent et de division renforcée par le retour dangereux du tribalisme annonce des élections violentes et totalement contestées d’avance en décembre 2023. Et ce climat pourrait contribuer à l’effondrement de la Troisième République dans le contexte d’un chaos électoral. Pour éviter cet effondrement brusque, il faut d’urgence un consensus national de refondation de la nation congolaise pour mettre en place la Quatrième République. Cette dernière devra correspondre  à notre identité profonde comme un grand peuple. Il ne s’agit pas du tout d’une transition électorale découlant des dialogues injustes et clientélistes de partage des postes, organisés dans le cadre du tennis politique injuste, ridicule et inadapté hérité depuis le 24 avril 1990 de Mobutu Sese Seko et d’Etienne Tshisekedi wa Mulumba. Toutes les transitions simplement électorales ont échoué et ont contribué à l’enchevêtrement des crises en République Démocratique du Congo depuis la fin de la Conférence Nationale Souveraine (CNS) en 1992.    Nous avons déjà pris un mauvais départ le 24 avril 1990 en République Démocratique du Congo, alors Zaïre. C’est à cette date qu’a débuté l’interminable et conflictuelle transition qui a mis en place sous Mobutu Sese Seko le tennis politique injuste, inadapté et ridicule qui est toujours en vigueur de nos jours dans notre pays. Le processus démocratique de la Troisième République, entamé avec l’AFDL depuis le départ de Mobutu le 17 mai 1997, ne nous a pas permis de sortir de ce système. Au contraire, l’AFDL a facilité l’infiltration des institutions congolaises et l’occupation des terres congolaises par des armées et populations de pays voisins à l’Est. C’est ainsi que le Président Laurent-Désiré Kabila a qualifié l’AFDL de conglomérat d’aventuriers. C’est le courant de l’AFDL qui a conduit à l’adoption de la Constitution du 18 février 2006, ayant des dispositions taillées sur mesure pour satisfaire les belligérants et préparer la voie de la balkanisation de la RDC. La Troisième République, avec cette Constitution, arrive essoufflée au sommet de sa crise et peut s’effondrer à tout moment. Il faut impérativement une nouvelle Constitution du génie et de la sacralité du Peuple Congolais dans la mise en place la Quatrième République.    Fustigeant les dispositions conflictuelles d’une Constitution qui consacre l’existence d’un Etat sans identité précise, le Mouvement pour la Paix et le Développement du Congo (MPDC), membre de la Coalition pour le Changement en République Démocratique du Congo (3C-RDC),  a publié en mai 2006 à Paris en France son premier Programme triennal d’urgence pour une transition exceptionnelle. En 2013, la 3C-RDC a publié un Programme triennal d’urgence politique, sécuritaire, sociale, culturelle et environnementale pour une transition exceptionnelle. Cette transition devra permettre à la RDC de prendre un nouveau et bon départ, car elle avait pris un mauvais départ avec l’AFDL et la Constitution de 2006. Cette Constitution consacre l’impunité. Le point culminant de ce mauvais départ avec l’AFDL est l’holocauste congolais avec plus de 12.000.000 de morts, plus de 7.5000.000 de Congolais déplacés de force et qui vivent comme des réfugiés abandonnés sur le sol de nos ancêtres, plus de 2.000.000 de femmes, filles et enfants violées et détruites. Le Congolais est désormais parmi les peuples les plus pauvres de l’humanité, lui qui était parmi les peuples africains prospères lors de la Première République (1960-1965).     Depuis 2006, toutes les élections sont contestées et les résultats sont considérés comme ne reflétant pas la vérité des urnes. La tragédie des élections de 2018 est encore fraîche dans nos mémoires pour qu’elle soit oubliée. Les élections prévues en décembre 2023 ne feront pas exception avec les insuffisances techniques, l’insécurité généralisée sur toute l’étendue du territoire, l’occupation d’une partie du pays à l’Est par des armées étrangères et la guerre qui nous est imposée pour ce faire. Cette guerre doit être une grande priorité nationale pour notre survie comme peuple et nation. On ne va pas aux élections en pleine guerre et pendant l’occupation de son territoire.    Il n’est un secret pour personne que la RDC connaît une crise très grave avec le schéma avancé de la balkanisation de notre pays, en instrumentalisant le mouvement terroriste du M23 appuyé par le Rwanda et d’autres pays à visage caché. Nous risquons de tomber dans le piège du terrorisme et de la guerre civile avec ces élections. L’insécurité généralisée, des incendies catastrophiques non élucidés et des assassinats des leaders politiques risquent de nous plonger dans un chaos électoral de la balkanisation de la RDC. Il est clair que personne ne gagnera ces élections dans de telles conditions, car nous allons tous perdre notre peuple et notre pays. Le Peuple Congolais risque de devenir un peuple à jamais divisé et affaibli dans un Congo balkanisé. Tous nos pays voisins,

NRC: Le Burkina Faso est la crise la plus négligée au monde

NRC: Le Burkina Faso est la crise la plus négligée au monde

Pour la première fois, le Burkina Faso arrive en tête de la liste des crises de déplacement les plus négligées au monde, selon un nouveau rapport du Conseil norvégien pour les réfugiés (NRC). La réorientation de l’aide et de l’attention vers l’Ukraine a accru la négligence à l’égard de certaines des populations les plus vulnérables du monde.   La liste annuelle des crises de déplacement négligées est basée sur trois critères : le manque de financement humanitaire, le manque d’attention des médias et le manque d’initiatives politiques et diplomatiques internationales. La crise en République démocratique du Congo arrive en deuxième position, ayant figuré en première ou deuxième position sur la liste chaque année depuis sa création il y a sept ans. La Colombie, le Soudan et le Venezuela suivent dans ce sombre classement.  « La négligence est un choix – le fait que des millions de personnes déplacées soient abandonnées année après année sans le soutien et les ressources dont elles ont si désespérément besoin n’est pas inévitable », a déclaré Jan Egeland, secrétaire général du NRC.  « La réponse forte aux souffrances infligées par la guerre en Ukraine a montré ce que le monde peut faire pour les personnes dans le besoin. L’action politique en faveur des Ukrainiens a été efficace et rapide, les frontières sont restées ouvertes, les financements ont été abondants et la couverture médiatique a été importante. Les dirigeants doivent faire preuve de la même humanité à l’égard des personnes touchées par des crises dans des pays tels que le Burkina Faso et la République démocratique du Congo ».  L’année dernière, plus de cinq fois plus d’articles ont été consacrés à la crise des déplacés ukrainiens qu’à l’ensemble des dix crises les plus négligées dans le monde. Pour chaque dollar collecté par personne dans le besoin en Ukraine en 2022, seuls 25 cents ont été collectés par personne dans le besoin dans l’ensemble des dix crises les plus négligées au monde.   Les avertissements répétés d’une disparité accrue due à la réaffectation des ressources à la réponse à l’Ukraine sont maintenant devenus réalité. La réorientation d’une grande partie de l’aide vers l’Ukraine et vers l’accueil de réfugiés dans les pays donateurs signifie que de nombreuses crises ont connu une baisse de l’aide, malgré des besoins croissants. L’aide totale à l’Afrique, où l’on trouve sept des dix crises les plus négligées, était de 34 milliards USD en 2022, soit une baisse de 7,4 % par rapport à 2021.  La crise ukrainienne a également contribué à l’augmentation de l’insécurité alimentaire dans de nombreux pays mentionnés dans le rapport, aggravant des crises déjà désastreuses et augmentant le nombre de personnes dans le besoin.  « Le monde n’a pas réussi à soutenir les plus vulnérables, mais il est possible d’inverser la tendance. La vie de millions de personnes souffrant en silence peut s’améliorer si les fonds et les ressources sont alloués en fonction des besoins, et non des intérêts géopolitiques et des gros titres médiatiques », a déclaré M. Egeland. « L’année dernière, l’écart entre ce qui était nécessaire et ce qui a été fourni en matière d’aide humanitaire s’élevait à 22 milliards de dollars. C’est une somme énorme, mais pas plus que ce que les Européens dépensent en crèmes glacées chaque année. Nous avons besoin que les donateurs augmentent leur soutien et que de nouveaux pays donateurs s’engagent à partager les responsabilités ».  Le déclin du Burkina Faso depuis l’éclatement de la crise il y a cinq ans a été rapide et dévastateur. Plus de 2 millions de personnes ont été contraintes de fuir leur foyer et près d’un quart de la population a désormais besoin d’aide. Dans tout le pays, 800 000 personnes vivent dans des zones sous blocus par des groupes armés où elles n’ont même pas accès aux services de base. La situation est de plus en plus grave, certaines personnes étant contraintes de manger des feuilles pour survivre.  « Nous devons faire plus pour mettre fin à la souffrance au Burkina Faso avant que le désespoir ne s’installe et que le pays ne vienne s’ajouter à la liste croissante des crises prolongées. Le fait que cette crise soit déjà si profondément négligée témoigne de l’incapacité du système international à réagir aux nouvelles crises, tout en ne parvenant pas à redresser celles qui sont restées dans l’ombre pendant des décennies. En fin de compte, il est nécessaire d’investir davantage dans des solutions diplomatiques si nous espérons retirer des crises de cette liste », a déclaré M. Egeland. 

Ousmane Ndiaye: la France comprend qu’elle ne peut pas perdre le Maroc

Ousmane Ndiaye: la France comprend qu’elle ne peut pas perdre le Maroc

Le paroxysme de la crise entre Paris et Rabat est quasiment dépassé, a estimé Ousmane Ndiaye dans un entretien accordé au quotidien marocain Libération. « La France a fait quand même l’effort d’essayer d’éteindre le feu en envoyant le ministre des Affaires étrangères », a fait remarquer le Rédacteur en chef Afrique de la chaîne TV5 Monde notant qu’elle est en outre revenue sur les politiques de visas. L’éditorialiste et chroniqueur sur France Info croit ainsi que « la France comprend qu’elle ne peut pas perdre le Maroc, c’est inimaginable. Il y a donc une politique de rattrapage ». L’ancien responsable Afrique de l’hebdomadaire Courrier International, correspondant au Mali, au Sénégal pour plusieurs médias (TV5, Le Monde, APIC, ATS), cette politique de rattrapage « arrive au moment où éclate ce problème au niveau de l’Union européenne. On voit clairement que la France est peu active et il n’y a pas un soutien affiché de la France par rapport au Maroc », a-t-il constaté. Adrien Thyg