Covid 19. Le Congo aurait atteint l’immunité collective !
TRIBUNE. Depuis la chute du pic du variant Delta en novembre 2021, le comportement du virus Covid-19 a beaucoup évolué dans les grandes villes comme Brazzaville et Pointe-Noire, où les contaminations sont nombreuses, mais ne bousculent plus les sujets. De nombreux scientifiques savent que cette thèse est plausible, le Congo aurait atteint son immunité collective depuis des semaines, même si le discours officiel reste capé sur la vaccination. Il y en a même qui nous disent que cette immunité collective « est largement atteinte »! D’autres n’hésitent d’avancer le chiffre de 70%! Dommage que les scientifiques ne s’expriment pas eux-mêmes à ce sujet. Comme depuis le début d’ailleurs! Qu’est-ce qui se serait passé alors? Le premier variant qui a atterri au Congo, c’est le Alpha. Lui n’a pas trop causé de dégâts humains. Il a été rapidement avalé par notre propre variant, le B1.640, repéré par un des laboratoires locaux dès mai 2021. Ce variant congolais est très agressif dans le corps, mais ne fait pas de dégâts. Au contraire, il s’y installe en défense immunitaire. Beaucoup de Congolais infectés au Covid-19 ont survécu à la suite d’une forte fièvre. C’était l’effet de la résistance! Selon nos sources, ce variant congolais est né de la résistance pendant la période de confinement imposé à la population. Les jours de marché, il y a eu beaucoup de contaminations et de recontaminations. Cela a développé la résistance. Et la jeunesse y a ajouté l’incrédulité et la banalisation. Lorsque le variant Delta débarque chez nous en août 2021 (une alerte a été donnée par les scientifiques), il prend le temps de l’invasion et commence à sévir début octobre 2021. Ici, il y a eu d’importants dégâts humains, beaucoup de nos proches ayant perdu leurs parents. La caractéristique de Delta, c’est la virulence, et il a emporté de nombreux patients qui avaient des antécédents de santé, quoique vaccinés à double doses! Mais, Delta a aussi été dominé par notre propre ange gardien, le B1.640 ! Finalement, il y a Omicron en fin d’année passée. Il n’a presque pas fait de dégâts, car, il est, certes très transmissible, mais pas virulent! Donc, avec l’environnement congolais fait de chaleur et de microbes ambiants, la Covid-19 n’a pas pu percer. Jusqu’alors en tout cas. Mais surtout, très rapidement, la population s’est immunisée avec les différents variants qui ont circulé dans le pays. Cela ne veut pas dire que le virus a disparu au Congo. Non, il est toujours là et circule de façon volatile, notamment actuellement avec le variant Omicron. Tous les tests positifs dans nos laboratoires ne sont plus que Omicron. Le séquençage l’a prouvé. Il faut donc en tenir compte. Par exemple, à la dernière semaine de décembre, donc entre Noël et Bonané, le Congo a enregistré 748 nouveaux cas de contamination, mais presque pas de décès. Et depuis le déclenchement de la pandémie au Congo mars 2020, seulement ( évidemment même un mort, c’est à déplorer) 316 cas de décès ont été enregistrés. Malgré tout le bruit, la vaccination n’a jusqu’à ce jour atteint que 15% de Congolais, y compris tous les fraudeurs (non vaccinés, mais détenteurs de certificats de vaccination dûment délivré). Le gouvernement n’a pas atteint son objectif de vacciner au moins 30% des Congolais au 31 décembre 2021. Il ne sera pas aussi possible de vacciner jusqu’à 60% de la population dans les 7 prochains mois. Heureusement, l’immunité collective vient d’elle-même, suite à ce que les Congolais ont subi : exposés à plusieurs variants, ils ont été contaminés et recontaminés, puis se sont blindés contre la Covid-19. Il est peut-être temps que nos scientifiques envisagent différemment la stratégie de la vaccination, car les médicaments existent déjà. Conseiller au gouvernement d’investir dans ces traitements, afin que la population en bénéficie gracieusement ! @Arsène SEVERIN OFFICIEL
La réponse à la pandémie n’a pas permis d’offrir la protection sociale que mérite tout être humain
Le droit humain à la sécurité sociale n’est pas encore une réalité pour tous, déplore l’Organisation internationale du travail (OIT) dans un nouveau rapport rendu public mercredi 1 septembre. En effet, malgré les efforts déployés dans de nombreuses régions du monde pour l’étendre et son expansion mondiale sans précédent pendant la crise du COVID-19, plus de 4 milliards de personnes dans le monde en sont encore totalement dépourvues. Selon l’institution spécialisée des Nations Unies, « actuellement, seuls 47% de la population mondiale est effectivement couverte par au moins une prestation de protection sociale, tandis que 4,1 milliards de personnes (53%) ne bénéficient d’aucune garantie de revenu par leur système national de protection sociale ». Alors qu’« une protection sociale complète et efficace n’est pas seulement essentielle pour la justice sociale et le travail décent mais qu’elle permet aussi de créer un avenir durable et résilient », comme l’estime Guy Ryder, Directeur général de l’OIT, la grande majorité des enfants n’ont toujours pas de réelle couverture de protection sociale. En effet, seul un enfant sur quatre (26,4%) bénéficie d’une prestation de protection sociale. Il ressort, en outre, de ce rapport que « seuls 45% des femmes ayant un nouveau-né reçoivent une allocation de maternité en espèces. Seule une personne gravement handicapée sur trois (33,5%) dans le monde touche une pension d’invalidité ». Par ailleurs, la couverture des indemnités de chômage est encore plus faible: seuls 18,6% des travailleurs au chômage sont effectivement couverts, note l’institution onusienne dans son rapport mondial sur la protection sociale 2020-22: La protection sociale à la croisée des chemins – en quête d’un avenir meilleur. A noter que « si 77,5% des personnes ayant dépassé l’âge de la retraite perçoivent une pension de vieillesse sous une forme ou une autre, des disparités majeures subsistent entre les régions, entre zones urbaines et rurales, et entre hommes et femmes », relève le rapport. L’insuffisance de la protection sociale porte à croire que « beaucoup de pays rencontraient des difficultés considérables pour faire du droit humain à la sécurité sociale une réalité pour tous lorsque s’est déclarée la pandémie de COVID‑19 », selon l’OIT. Il semble en outre que « la réponse à la pandémie a été insuffisante et hétérogène, creusant l’écart entre les pays à haut revenu et les pays à faible revenu », comme le souligne le rapport qui donne une vue d’ensemble des progrès accomplis dans le monde ces dix dernières années en vue d’étendre la protection sociale et de mettre en place des systèmes de protection sociale, y compris des socles, fondés sur les droits et traite de l’impact de la pandémie de COVID-19. Selon les auteurs dudit document, qui identifie également les lacunes en matière de protection et formule des recommandations politiques clés, notamment par rapport aux objectifs du Programme de développement durable à l’horizon 2030, la réponse à la pandémie « n’a pas permis d’offrir la protection sociale indispensable que mérite tout être humain ». En plus de toutes ces informations, le rapport constate aussi que les dépenses publiques relatives à la protection sociale varient considérablement. En effet, le document montre qu’«en moyenne, les pays consacrent 12,8% de leur produit intérieur brut (PIB) à la protection sociale (hors santé), cependant les pays à revenu élevé y consacrent 16,4% de leur PIB et les pays à faible revenu seulement 1,1% ». A cela s’ajoute le déficit de financement (les dépenses supplémentaires nécessaires pour assurer au moins une protection sociale minimale à tous) qui s’est accru d’environ 30% depuis le début de la crise du COVID-19. Exhortant la communauté mondiale à progresser vers la protection sociale universelle pour parvenir à la justice sociale, l’OIT estime que les mesures de protection sociale mises en place pour affronter la pandémie de COVID‑19 doivent être maintenues jusqu’à ce que la crise s’atténue et que la reprise soit bien engagée. Tout en ne cédant à la tentation de revenir à une politique d’assainissement budgétaire dans le but de compenser les dépenses publiques massives rendues nécessaires par la pandémie, « les pays doivent saisir l’occasion unique fournie par le COVID‑19 pour bâtir l’avenir de la protection sociale et faire résolument le choix d’une stratégie ambitieuse ». Car, en dépit des ravages qu’elle a provoqués, la pandémie a fait naître l’espoir d’une évolution des mentalités, soutient l’organisation internationale. L’Oit appelle ainsi à mettre en place des systèmes de protection sociale universelle pérennes qui assurent une couverture adéquate et complète à tous, en s’appuyant sur un dialogue social tripartite efficace et d’investir davantage dans ce secteur pour combler les déficits de financement. Alain Bouithy
Communiqué de la Coordination nationale de gestion de la pandémie de coronavirus Covid-19 suite à sa réunion du mardi 25 mai 2021
Il s’est tenu ce Mardi 25 Mai 2021, de 10h00 à 12h10, par visioconférence et sous la très haute autorité de Son Excellence, Monsieur Denis SASSOU N’GUESSO, Président de la République, Chef de l’Etat, la 21ème réunion de la Coordination Nationale de gestion de la pandémie de coronavirus Covid-19. Ont été invités à se joindre aux Membres de la Coordination Nationale les Professeurs Fidèle YALA et Antoine Ange ABENA, respectivement président et vice-président du Comité d’experts. Deux (2) points étaient inscrits à son ordre du jour, à savoir : – L’examen du 21ème Rapport de la Task Force à la Coordination Nationale de gestion de la pandémie de coronavirus Covid-19 ; – Les recommandations de la Coordination Nationale. I/ – De l’examen du 21ème Rapport de la Task Force près la Coordination Nationale de gestion de la pandémie de coronavirus Covid-19. Invité par le Président de la République à prendre la parole pour le compte de la Task Force, M. Alphonse Claude NSILOU, Ministre d’Etat, Ministre du Commerce, des Approvisionnements et de la Consommation, a informé les Membres de la Coordination Nationale du fait qu’au 18 mai 2021, la situation épidémiologique dans le monde reste préoccupante avec 162 184 263 cas confirmés et 3 364 446 décès. L’Afrique comptabilise 4 685 412 cas confirmés et 126 161 décès, soit un taux de létalité de 2,69% au 19 mai 2021. Le continent demeure globalement résilient face à la COVID-19. Cependant, et comme les autres continents, elle n’est pas à l’abri de la menace des variants : il faut noter que trois pays africains semblent avoir déjà enregistré des souches mutantes. La vaccination qui constitue l’espoir dans cette lutte est en cours, mais le constat est que son accès reste faible pour les populations. A ce jour, on dénombre environ un milliard et demi de personnes ayant reçu une première dose de vaccin anti-Covid dans le monde, dont seulement 2% pour l’Afrique. La situation épidémiologique en Inde a créé une tension dans l’acquisition des vaccins notamment pour les pays en développement. Cette situation a entraîné le retard dans l’acquisition des doses du vaccin russe Sputnik V dans notre pays, où une partie des personnes ayant reçu la première dose reste en attente de l’arrivée prochaine d’un lot de vaccins correspondant à la seconde dose. Les doses de vaccins attendues dans le cadre des initiatives internationales ne sont, quant à elles, pas encore à la disposition des autorités congolaises. Au Congo, l’épidémie est sous contrôle. On observe une tendance à la baisse en nombre de cas positifs et de décès depuis les 4 dernières semaines. Pointe-Noire demeure l’épicentre de l’épidémie après la baisse du nombre de cas à Brazzaville. Le taux de positivité se situe autour de 5,5%. Le contexte est marqué par l’apparition et la menace sous-régionale de nouveaux variants. Le variant britannique a été retrouvé chez cinq patients congolais. I- SITUATION EPIDEMIOLOGIQUE DU CONGO. A la date du 21 mai 2021, notre pays a enregistré 11.658 cas confirmés depuis le début de la pandémie, soit 10.591 cas guéris et 903 cas actifs ; le Congo déplore à ce jour un total de 153 décès de la Covid-19, soit un taux de létalité de 1,3%. Du 1er au 20 mai 2021, le département de Pointe-Noire a enregistré 259 cas, soit 53,8% des 481 cas enregistrés au niveau national. Le département de Pointe-Noire est plus que jamais devenu l’épicentre de la pandémie dans notre pays, le taux de positivité se situant à 8,8% dans la ville océane contre 2,2% à Brazzaville et un taux de positivité évalué au niveau national à 5,6%. La situation dans les autres départements se caractérise par le faible taux de dépistage. Toutefois, dans les départements où les tests sont réalisés, des cas positifs sont observés, comme la situation de nouveaux cas enregistrés en avril dans la Sangha et la Likouala. La transmission de la maladie est en baisse progressive depuis le mois d’avril 2021. A quelques jours de la fin du mois de mai 2021, on totalise 600 patients pris en charge par les services de santé, en hospitalisation ou à domicile, contre 825 en avril. 25 de ces patients ont bénéficié de l’oxygénothérapie au mois d’avril et 19 au mois de mai. Ces chiffres indiquent que le nombre de cas graves pris en charge demeure préoccupant. II- EVOLUTION DE LA VACCINATION La mise en œuvre du plan national de déploiement et de vaccination est en cours depuis le 25 mars 2021. A ce jour, 24 sites de vaccination sur 453 attendus sont ouverts dans 3 départements sur 12. Des équipes dédiées ont quitté Brazzaville le 19 mai 2021 pour lancer la vaccination dans les autres départements. La population-cible de la vaccination est fixée à 3 468 906 personnes. Le nombre total de doses reçues pour les deux vaccins est de 403 200 (381 200 Sinopharm et 22 000 Sputnik V). Au total, 42 421 personnes ont reçu la première dose et 19 524 personnes la deuxième dose. Le nombre total de doses administrées est de 61 945. Le stock de doses disponible est de 335 255. Les besoins en vaccins sont de 6 267 302 doses. L’intervalle d’attente entre la première et la deuxième dose de Sputnik V peut aller jusqu’à 60 jours selon l’avis du Comité des experts. III- GOUVERNANCE DE LA RIPOSTE Du fait des mouvements de nominations et départs, et devant le risque de compromettre leur fonctionnement, la Coordination Nationale invite les autorités compétentes à réorganiser dans les meilleurs délais certains des organes de la riposte. La coordination nationale doit, en outre, décider du sort à réserver à l’organe de gestion des commandes qui n’a jamais été opérationnalisé. La Coordination Nationale constate également la nécessité de renforcer les moyens de fonctionnement de l’unité de gestion du matériel Covid-19 et ceux de la riposte des équipes de la force publique et de la santé aux frontières, pour une application efficace des mesures de protection préventive dont le couvre-feu.
Au Maroc, c’est le vaccin qui se déplace chez les personnes âgées ou à mobilité réduite
Il est important de signaler que dans toutes les villes et villages du Maroc, les personnes âgées, faisant partie de la première catégorie ciblée par la campagne de vaccination et ne pouvant se déplacer aux centres dédiés à cette opération, reçoivent leur première dose à domicile et ils en sont satisfaits, ainsi que leurs familles. Des équipes médicales, composées de médecins et d’infirmiers, avec le concours d’agents d’autorité, informent avant tout les personne de leur visite pour lui administrer le vaccin. Ce personnel médical effectue le tour des domiciles des personnes concernées par cette première campagne, selon un planning bien établi dont le but est de venir en aide aux personnes alitées, ne pouvant se déplacer jusqu’aux unités fixes. Au Maroc et à la date du 27 février 2021, 416 nouveaux cas de contamination, 07 décès et 420 guérisons ont été confirmés et les cas encore actifs s’élèvent à 5.988, alors que 3.435.997 Marocains ont été vaccinés. Et ce alors que l’Algérie ne communique pas le nombre de tests de dépistage, ce qui laisse penser que le nombre de contaminations est bien supérieur aux chiffres officiels, alors qu’à ce jour du 27 février 2021, l’Algérie comptabilise 112.777 cas infectés par la COVID-19, dont 2.975 décès. Raison pour laquelle, les Marocaines et Marocains remercient le Roi du Maroc pour sa Haute Bienveillance ainsi que le personnel médical et les autorités locales. Farid Mnebhi.
Corona business ou le racket officiel (requiem pour les pauvres)
TRIBUNE. J’ignore qui a fabriqué ce VIRUS et dans quel but, mais cette PANDEMIE semble BIEN profiter aux RACKETTEURS. Elle permet à certains ETATS de combler leur déficit BUDGETAIRE. C’est le moment de dénoncer tout le BUSINESS qui s’organise autour. En temps normal, l’AVION n’est accessible qu’aux couches sociales aisées. Les gens les plus démunis sont condamnés à emprunter soit la voie TERRESTRE (pour les pays enclavés), soit la voie FLUVIALE ou MARITIME. Pour l’instant, les frontières terrestres sont presque toutes fermées. Les pauvres sont obligés d’être SEDENTAIRES, y compris les nomades. En 8 semaines, j’ai effectué 8 voyages par AVION A/R entre ACCRA, COTONOU et OUAGADOUGOU pour aller enseigner dans divers établissements. Le test COVID est OBLIGATOIRE, sauf que dans certains pays, il faut débourser une somme assez CONSIDERABLE avant d’obtenir les résultats. Qu’ils soient positifs ou négatifs, la FACTURE est SALEE. Le BENIN fait cavalier seul en matière de TARIFICATION. Au départ, le test COVID était taxé à 100000 F CFA (152 euros) valable 72 heures. Des citoyens BENINOIS mécontents ont vigoureusement protesté contraignant ainsi le gouvernement béninois a revoir son tarif à la baisse. 51120 F CFA (76 euros) en espèces et 57000 CFA par carte bleue . L’attestation est délivrée sous 48 heures. En cas d’urgence, les autorités sanitaires proposent un test COVID VIP à 76000 F CFA dont l’attestation est délivrée sous 24 heures. En sortant de l’avion, votre PASSEPORT est confisqué par la police de l’air et des frontières de l’aéroport international Cadjehoun Bernardin Gantin de Cotonou. Il vous est restitué sous 48 heures après avoir réglé la facture du test COVID. Mal inspiré par le BENIN, le BURKINA FASO, qui jusqu’à novembre dernier proposait GRATUITEMENT le test COVID, est passé de ZERO F CFA à 50000 F CFA. Les tests délivrés par les autorités sanitaires de tous les PAYS sont valables PARTOUT dans le monde pendant 72 heures, sauf au BENIN. A l’entrée comme à la sortie, il faut s’acquitter de la taxe COVID. Pour l’instant, le BON exemple nous vient du CAMEROUN, seul pays AFRICAIN (à ma connaissance) où le test COVID est GRATUIT. Au CONGO-MFOA, GABON, le test COVID est à 20000 F CFA. En R.D.C à 50 $ US (46 euros). J’aurais dépensé au TOTAL 408960 F CFA (629 euros), de quoi DOTER une BELLE princesse à ABOMEY. Dans ces conditions, je suis condamné à rester sur place pour économiser le PEU d’argent qui me reste. Le TOGO, le NIGER, la COTE-D’IVOIRE, le KENYA étaient sur la liste de mes prochaines destinations. Je suis navré pour les étudiants qui espéraient bénéficier de mes modestes connaissances. Ainsi va l’AFRIQUE des égoïstes. Par Nysymb Lascony
Quel beau geste du Royaume du Maroc
TRIBUNE. Il est acquis que le Maroc était disposé à apporter toute son assistance à ses ressortissants sahraouis séquestrés dans les camps de la honte de Tindouf en Algérie en leur fournissant, via la MINURSO, 20 000 doses de vaccins contre la COVID-19. Une aide que le Roi Mohammed VI, connu pour ses positions humanitaires envers les plus vulnérables, notamment les ressortissants marocains embastillés contre leur gré dans des camps militaires où leur sont imposés un diktat contraire aux principes du Droit International, a présenté aux autorités algériennes afin que ces vaccins soient inoculés aux sahraouis marocains embastillés dans les camps de la mort de Lahmada et ce, après l’envoi d’une aide humanitaire de 800 tonnes de denrées alimentaires de première nécessité. Une initiative louable du Royaume du Maroc envers ses citoyens embastillés dans les camps sis à Tindouf et est la démonstration formelle que le régime algérien use comme il lui plaît afin de quémander aide alimentaire et autres et surtout de les détourner à son unique profit mais aussi à ses sbires polisariens. Cette approche du Maroc prouve, si besoin est, que les séquestrés de Tindouf sont bien des détenus marocains et que le Maroc pense à ses citoyens. Cette initiative commémore la précédente initiative entreprise par le Maroc lorsque les Nations-Unies ont alerté l’état de négligence intentionnelle auquel environ 45 000 résidents de ces camps de la mort sont exposés. Ces initiatives embarrassent le régime militaire algérien et dénoncent l’idée qu’il défend un peuple présumé, lui qui se vante de défendre la cause sur la base des principes internationaux au moment même où il dépense des milliards dans la campagne de propagande contre le Maroc et ce, au moment même ou ce régime de caporaux a été incapable de fournir le vaccin contre le coronavirus même au peuple algérien. Il n’a pu disposer que de cent mille doses d’une manière similaire à de la mendicité auprès de ses amis de la Russie. Force est doncde souligner que le régime algérien ne fait pas le nécessaire, ni envers son peuple ni envers les habitants des camps des séquestrés sahraouis marocains, utilisés par l’Algérie comme carte de chantage devant la communauté internationale. En conclusion on peut dire que si le régime algérien interdit l’accès aux camps des réfugiés sahraouis marocains embastillés à Tindouf est qu’il cache beaucoup de choses, que ce soit le nombre de leurs résidents et leur désir de rentrer dans leur Mère-Patrie, le Maroc, mais aussi, et surtout le contrôle des réfugiés par des bandes armées ainsi que groupes terroristes à leur solde qui pullulent sur son territoire et en zone sahélo-saharienne. Farid Mnebhi.
Santé : Le Parlement congolais pour une nouvelle prorogation de vingt jours
Les sénateurs et députés congolais ont autorisé en plénière, le 4 janvier 2020, le projet de loi agréant la prorogation de l’état d’urgence sanitaire pour la quatorzième fois. Ce dossier a été transmis par le gouvernement qui a transmis le dossier au Parlement pour adoption. Ce dossier justifie cette quatorzième prorogation à cause du fait que le Congo observe actuellement une recrudescence de la pandémie de Covid-19, le gouvernement a décidé de reconduire les gestes barrières, avec un nouveau cadre légal, étant donné que celui qui est en vigueur s’arrête 5 janvier 2021. L’Assemblée nationale est appelée à se prononcer sur le projet de loi portant protection des informations sensibles en matière de défense et de sécurité. Approuvé récemment en Conseil des ministres, ce projet de loi vise toutes les entités publiques et privées concernées par la protection ou la sauvegarde des informations sensibles en matière de défense et de sécurité, ainsi que toute personne dépositaire ou gardienne, à quelque titre que ce soit, de telles informations. La cérémonie d’ouverture de cette huitième session extraordinaire du parlement a été présidée par le 1er vice-président de l’Assemblée nationale, Léon Alfred Opimbat. Florent Sogni Zaou
L’homme qui se prend pour le Président Franklin Delano Roosevelt
OPINION. Il est plus que certain que le Président algérien, Abdelmajid Tebboune, ait perdu toute faculté de marcher sur ses deux pieds et ce, après deux mois d’hospitalisation en Allemagne pour cause d’atteinte à la COVID-19. En effet, depuis son retour à Alger, le 29 décembre 2020, Tebboune est apparu à trois reprises sur les écrans de la télévision publique algérienne assis alors que son fauteuil roulant était placé hors champ. D’ailleurs, son retour au bercail, via l’aéroport de Boufarik, les images le montrant incapable de se tenir debout et de marcher ont été totalement zappées et ce n’est qu’une fois installé dans le salon d’honneur de l’aéroport par les hommes du Général Saïd Chengriha, Chef d’Etat-Major de l’armée, que des personnalités triées sur le volet l’ont rejoint pour les besoins de la photo officielle prise par des caméras de l’armée et non de la télévision publique algérienne. Le lendemain, 30 décembre 2020, il signe le décret promulguant la nouvelle Constitution amendée mais ne signe pas la loi électorale comme il s’est engagé à le faire lors de sa sortie du 13 décembre 2020. Les prochaines élections législatives et locales sont donc renvoyées aux calendes grecques, puisque l’armée ne compte pas voir se rééditer le fiasco du 1er novembre 2020, où le peuple a refusé de voter sous un régime illégitime. Le même jour, il aura un tête-à-tête avec le Général Chengriha au cours duquel le Chef de l’armée algérienne se substituera à un gouvernement entier pour brosser au Président un « bilan de la situation interne » du pays, et au Ministre des Affaires Etrangères pour parler « des pays voisins ». Une grave entorse qui en dit long sur la réalité du pouvoir en Algérie. Au dernier jour de l’année 2020, après la signature de la fameuse loi de finances 2021 quelques heures seulement avant la deadline légalement impartie, Tebboune ne s’est pas levé, ni pour serrer la main aux huit personnalités présentes à cette cérémonie solennelle et très attendue, ni pour quitter les lieux tant que la caméra était là. En plus de ne s’être jamais départi de sa position assise sur un siège, le Président algérien Tebboune a été flanqué, dans toutes ses apparitions, du Général Chengriha qui l’accompagnait comme son ombre et ce, même lors de la cérémonie de signature de la Loi des Finances, où Chengriha n’avait aucune raison d’être présent. En effet, il est de coutume en Algérie que le Président de la République signe la Loi desFinances en présence de tous les membres du gouvernement. En tout cas, la symbolique d’un Président incapable de se tenir debout est terrible, autant pour l’armée, dont il est le Chef Suprême, que pour le pays. Il n’y a pas de doute le Président algérien se veut être la copie conforme du défunt 32ème Président des Etats-Unis d’Amérique, Monsieur Franklin Delano Roosevelt, mais que voulez-vous il n’en a ni la culture politique et encore moins géostratégique et son pays, l’Algérie, et ses piteux militaires sont bien petits et encore plus face aux Etats-Unis d’Amérique,pour qu’il puisse ouvrir son caquet. On peut dire sans risque de se tromper que la gérontocratie militaire algérienne rapine lamentablement le peuple algérien et obère l’ensemble du Maghreb avec le dossier du Sahara marocain, une pure création du faux dévot que fut Boumédiène. Farid Mnebhi.