Le président de l’Initiative nationale pour l’apaisement (Ina) et coordonnateur national des groupements politiques du centre, M. Jean Michel Bokamba Yangouma a réitéré, le 22 novembre 2014 à Brazzaville, la demande de son groupement politique d’organiser un dialogue dans le cadre du débat sur le changement de la constitution du 20 janvier 2002.
M. Bokamba Yangouma a lancé cet appel au cours d’une conférence de presse au cours de laquelle il a reconnu jurisprudence très abondante des Congolais en ce qui concerne le dialogue. Il a cité e, exemple les dialogues politiques de 2009 à Brazzaville ; 2011 à Ewo et 2013 à Dolisie.
Il a souligné que les acteurs politiques du centre suggèrent au président de la République la convocation, dans les plus brefs délais, du dialogue tant attendu par le peuple congolais au sujet du changement ou non de la constitution du 20 janvier 2002.
«Qu’il s’agisse des états généraux de la nation ou du dialogue national, ce qui compte c’est le contenu que les participants donneront à cette réunion. Le but final est de créer un consensus autour de la question en vue de préserver la stabilité et la paix au Congo », a-t-il expliqué s’agissant des états généraux de la nation exprimée par l’opposition et le dialogue sollicité par le centre.
M. Bokamba Yangouma a rappelé, en outre, que le Congo a beaucoup souffert des affres des derniers conflits armés nés des contradictions politiques et que les acteurs politiques et sociaux doivent agir en amont pour prévenir les troubles sociaux, au lieu d’être des médecins après la mort.
Pour lui, le débat sur le changement ou non de la constitution du 20 janvier 2002 commence progressivement à connaître une évolution positive au Congo. Il a positivement apprécié la décision implicite de convoquer un dialogue, prise au cours de la dernière réunion du bureau politique du Parti congolais du travail et la volonté affichée du Congrès africain pour le progrès de réunir les forces vives du Congo autour d’une même table fait partie.Dans la foulée de cette conférence de presse, le coordonnateur des partis du centre a aussi passé en revue l’actualité africaine, en évoquant entre autres, l’épidémie à virus Ebola et les moyens financiers et logistiques mis en jeu pour son éradication ; les violences sexuelles à outrance au Katanga en Rdc ; le refus par le Maroc d’abriter la phase finale de la coupe d’Afrique des nations de football ; le départ du président Blaise Compaoré du Burkina Faso ; l’intervention de la police au domicile de M. Clément Mierassa ; la décision du bureau politique du Parti congolais du travail privilégiant le dialogue ; la proposition de l’Union pour un mouvement populaire sur la nomination d’un conciliateur et l’engagement du Congrès africain pour le progrès, parti de l’opposition pour le dialogue.
Il a souligné que les acteurs politiques du centre suggèrent au président de la République la convocation, dans les plus brefs délais, du dialogue tant attendu par le peuple congolais au sujet du changement ou non de la constitution du 20 janvier 2002.
«Qu’il s’agisse des états généraux de la nation ou du dialogue national, ce qui compte c’est le contenu que les participants donneront à cette réunion. Le but final est de créer un consensus autour de la question en vue de préserver la stabilité et la paix au Congo », a-t-il expliqué s’agissant des états généraux de la nation exprimée par l’opposition et le dialogue sollicité par le centre.
M. Bokamba Yangouma a rappelé, en outre, que le Congo a beaucoup souffert des affres des derniers conflits armés nés des contradictions politiques et que les acteurs politiques et sociaux doivent agir en amont pour prévenir les troubles sociaux, au lieu d’être des médecins après la mort.
Pour lui, le débat sur le changement ou non de la constitution du 20 janvier 2002 commence progressivement à connaître une évolution positive au Congo. Il a positivement apprécié la décision implicite de convoquer un dialogue, prise au cours de la dernière réunion du bureau politique du Parti congolais du travail et la volonté affichée du Congrès africain pour le progrès de réunir les forces vives du Congo autour d’une même table fait partie.Dans la foulée de cette conférence de presse, le coordonnateur des partis du centre a aussi passé en revue l’actualité africaine, en évoquant entre autres, l’épidémie à virus Ebola et les moyens financiers et logistiques mis en jeu pour son éradication ; les violences sexuelles à outrance au Katanga en Rdc ; le refus par le Maroc d’abriter la phase finale de la coupe d’Afrique des nations de football ; le départ du président Blaise Compaoré du Burkina Faso ; l’intervention de la police au domicile de M. Clément Mierassa ; la décision du bureau politique du Parti congolais du travail privilégiant le dialogue ; la proposition de l’Union pour un mouvement populaire sur la nomination d’un conciliateur et l’engagement du Congrès africain pour le progrès, parti de l’opposition pour le dialogue.