Centrafrique : des réfugiés congolais haussent le ton pour demander leur relocalisation
Les réfugiés congolais de la République démocratique du Congo vivant en terre centrafricaine demandent leur réinstallation dans un autre pays. Ce jeudi 28 novembre, plusieurs d’entre eux ont assiégé la représentation du Haut-commissariat des réfugiés à Bangui pour exprimer leur mécontentement. Assises à l’entrée du siège de l’UNHCR, Léa et ses compatriotes chantent en lingala [langue nationale de la RDC], crient et dansent pour exprimer leur ras-le-bol. Pour elles, plus question de rester en République centrafricaine. « Nous sommes abattus » « Nous voulons qu’on nous trouve une solution. Pas seulement pour moi. Mais, pour tous les réfugiés congolais. Nous souffrons ici, nous sommes abattus. C’est pourquoi, nous voulons avancer dans un autre pays. N’importe lequel, pourvu que nous vivions en paix. Nous voulons plus rester ici, en Centrafrique », lance-t-elle. Fatiguée de vivre dans ce pays qui l’a accueillie il y a quelques années, Marina compte s’installer au Tchad, pays voisin de la RCA. « Notre pays n’est pas stable » « Certains parmi nous ont demandé leur rapatriement en République démocratique du Congo. Mais, notre pays n’est pas encore stable. Raison pour laquelle on souhaite que le HCR nous envoie au Tchad. Nous sommes fatigués de cette situation », affirme jeune femme. Selon certaines sources proches du bureau du HCR à Bangui, l’organisation ne dispose pas d’un programme de réinstallation. Car, selon ces mêmes sources, la relocalisation se fait à la demande des pays d’accueil. Toutefois, sur initiative de l’ONG Refugie-Pointe, des discussions y relatives sont en cours. Radio Ndeke Luka
RD Congo. La CNC dénonce le silence complice de la communauté internationale face aux massacres de la Prison de Makala
La Coalition pour un Nouveau Congo (CNC) dénonce le silence complice de la communauté internationale face aux massacres de la Prison de Makala par le pouvoir de l’UDPS et de l’Union Sacrée en République Démocratique du Congo. « La communauté internationale n’a plus de dignité et de crédibilité en République Démocratique du Congo, compte tenu de son silence complice face au génocide congolais et aux nombreux crimes commis par Mr Félix Tshilombo Tshisekedi et son pouvoir de l’UDPS et de l’Union sacrée diabolique. Les massacres de la prison de Makala ne resteront pas impunis, parce que ces massacres constituent des crimes contre l’humanité maquillés en ridicule scénario d’évasion des prisonniers. Les Nations Unies, l’Union Européenne, l’Union Africaine, l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), la SADC, la CIRGL, la CEEAC et d’autres institutions internationales et régionales n’attendent que des scènes des ridicules coups d’Etat en Afrique pour élever leurs voix. La Cour Pénale Internationale est devenue une institution monstrueuse difficile à comprendre. Les crimes, les massacres, les injustices, les violations flagrantes des Constitutions et la misère humaine qui peuvent amener des soulèvements et des coups d’Etat ne les intéressent pas. La communauté internationale doit éviter de tomber dans le piège de devenir un syndicat du mal. » La Coalition pour un Nouveau Congo (CNC) dénonce le silence complice de la communauté internationale face aux massacres de la Prison de Makala et demande une enquête internationale indépendante sur ces massacres et le sort réservé à tous ces nombreux cadavres. C’est désormais un sérieux problème de dignité et de crédibilité de la communauté internationale en République Démocratique du Congo. La sagesse nous apprend ceci : « qui ne dit mot consent ». Le fait de se taire est une approbation du mal. A long terme, il devient une complicité. La Coalition pour un Nouveau Congo (CNC) condamne le silence complice de la communauté internationale. La CNC met toutes les organisations congolaises de défense des droits de l’homme devant leurs responsabilités historiques de se taire face aux ignobles massacres de la Prison de Makala. L’histoire s’en souviendra. La communauté internationale est devenue spécialiste de condamnation théâtrale des coups d’Etat en Afrique sans se soucier des causes profondes qui conduisent à ces coups d’Etat. La CNC demande une enquête internationale indépendante sur les massacres de la Prison de Makala. Quels que soient les temps et les circonstances, la justice finira par avoir lieu. Qu’est-ce qu’ils ont fait de tous ces cadavres qu’ils sont scandaleusement incapables d’identifier eux-mêmes ? Quel est ce pouvoir monstrueux qui ne sait pas identifier lui-même tous ses prisonniers ? Ces massacres seront imputés à Mr Félix Tshilombo Tshisekedi et à son pouvoir de l’UDPS et de l’Union sacrée diabolique. Cela fait partie désormais du lourd bilan des massacres du pouvoir actuel. Ce sera écrit noir sur blanc dans l’histoire de la République Démocratique du Congo (RDC). La Coalition pour un Nouveau Congo demande aux forces vives congolaises de se mettre debout pour arrêter le pouvoir criminel de Félix Tshilombo Tshisekedi en application de l’article 64 de la Constitution. La Coalition pour un Nouveau Congo (CNC) est plus que jamais engagée dans son combat pour la mise en place d’un vrai Etat de droit en RDC. Le pouvoir de l’UDPS malade et de l’Union sacrée diabolique a totalement échoué. Félix Tshilombo Tshisekedi est champion de la violation de la Constitution congolaise. Il devient donc urgent d’appliquer l’article 64 pour le mettre hors d’état de nuire. La RDC n’a pas besoin d’un Néron déterminé à mettre le feu partout pour rester au pouvoir. La seule voix salutaire qui reste pour le Peuple Congolais est l’application de l’article 64 de la Constitution. C’est désormais une question de vie ou de mort. Vaincre ou mourir ! Mettons-nous ensemble avec la Coalition pour un Nouveau Congo (CNC) pour sauver le Peuple Congolais et la RDC en danger de disparition. Ainsi fait à Kinshasa, le 04 octobre 2024 Pour la Coalition pour un Nouveau Congo Isidore EKOFO LOKENYO Le Porte-parole
La CNC exige le départ du Président Félix Tshilombo Tshisekedi du pouvoir pour sauver la RDC de la mort
LIBRES PROPOS. La Coalition pour un Nouveau Congo (CNC) exige le départ sans condition du pouvoir de Mr Félix Tshilombo Tshisekedi pour sauver la République Démocratique du Congo, face à son incapacité totale d’assumer les missions régaliennes de l’Etat. « L’Etat congolais ressemble désormais à un Etat qui n’est pas gouverné, à un bateau ivre, fonctionnant dans l’insécurité totale et le désordre. L’autorité de l’Etat est bafouée par des groupes armés et des milices qui font la loi sur tout le territoire national, y compris la milice de l’UDPS non inquiétée par la justice. » Avant toute chose, la Coalition pour un Nouveau Congo (CNC), comme tous les Congolais, commémore la journée du 02 août déclarée journée du Génocide Congolais. Nous n’oublierons jamais nos morts et allons nous mobiliser pour que justice soit faite. Qui peut oser oublier plus de 12 millions de Congolais morts, plus de 8,5 millions de Congolais déplacés de force et vivant comme des réfugiés abandonnés sur le sol de nos ancêtres ? Et le pouvoir de l’UDPS et de l’Union Sacrée est totalement incapable de protéger les Congolais et l’intégrité territoriale. La Coalition pour un Nouveau Congo (CNC), s’appuyant sur l’article 64 de la Constitution, exige le départ sans condition du pouvoir de Mr Félix Tshilombo Tshisekedi pour sauver la République Démocratique du Congo entrée dans sa phase finale de balkanisation. Ce dernier est scandaleusement incompétent et incapable d’assumer les missions régaliennes de l’Etat. Son seul record avec son gouvernement se trouve dans la corruption, le vol et le pillage des ressources de l’Etat, ainsi que dans l’installation d’une dictature plus féroce que celle de Mobutu. Du matin au soir, le peuple vit au son des détournements terribles de l’argent de l’Etat en toute impunité. La République Démocratique du Congo est envahie partout par des armées étrangères, notamment à l’Est du pays, les groupes terroristes étrangers et les milices font la loi (le M23, les mobondos, les forces du progrès de l’UDPS et tant d’autres). L’UDPS est tombé dans le piège de devenir un mouvement terroriste pour protéger le pouvoir. La CNC demandera que l’UDPS soit reconnu comme un groupe terroriste au niveau international. Mr Félix Tshilombo Tshisekedi doit partir sans condition, car il n’a pas été élu par des Congolais. Pour la CNC, les élections de décembre 2023 constituent le plus grand scandale électoral au Congo et en Afrique. L’histoire reviendra sur cet épisode très triste de l’histoire de la RDC et de l’Afrique. La Coalition pour un Nouveau Congo (CNC) exige la condamnation de Mr Félix Tshilombo Tshisekedi et de son ancien Ministre de l’Intérieur Gilbert Kankonde dans le procès contre les membres du M23 et de l’Alliance Fleuve Congo (AFC). Le procès contre les membres du M23 et de l’Alliance Fleuve Congo (AFC) n’a pas de sens, si l’on ne condamne pas ceux qui ont invité, nourri et blanchi à Kinshasa, au frais de l’Etat congolais, les rebelles et mercenaires du M23. Le retour du M23 sur la scène fait partie de leur stratégie moribonde. Ils doivent en assumer les conséquences. C’est ainsi que la Coalition pour un Nouveau Congo (CNC) demande la condamnation de Mr Félix Tshilombo Tshisekedi et de Mr Gilbert Kankonde pour haute trahison et intelligence avec l’ennemi de la RDC. La Coalition pour un Nouveau Congo (CNC) lance un appel urgent à la mobilisation générale de la population congolaise jusqu’au départ sans condition de Mr Félix Tshilombo Tshisekedi, conformément à l’article 64 de la Constitution. La République Démocratique du Congo (RDC) ressemble à un bateau qui est en train de couler, et le capitaine cherche seulement à se sauver avec sa famille et ses proches, en abandonnant tous les passagers. Le chaos total est à la porte de la RDC qui risque de disparaître brusquement à la grande joie de tous nos ennemis en Afrique et dans le monde. Pour sauver la RDC à deux pas de mourir, la Coalition pour un Nouveau Congo (CNC) lance un appel à la mobilisation générale de toute la population congolaise au Nord, au Sud, au centre, à l’Est et à l’Ouest, ainsi que de toutes les forces vives congolaises, à savoir : la société civile, la diaspora congolaise, le PPRD et le FCC, le LAMUKA, l’Ensemble pour la République, les déçus de l’Union Sacrée de la Nation souillée, les forces d’autodéfense comme les Wazalendo, les Bayi mboka et les autres, les plateformes des femmes comme celles d’Olive Lembe Kabila et des autres. C’est une question de vie et de mort. Mettons-nous tous ensemble autour de la Coalition pour un Nouveau Congo (CNC) pour sauver d’urgence notre pays. La CNC réaffirme la nécessité ainsi de la tenue d’une Table ronde des forces vives congolaises pour décider de la nouvelle feuille de route de notre pays sans le pouvoir démoniaque de l’UDPS et de l’Union Sacrée souillée. La CNC s’engage d’ores et déjà pour une transition sans Félix Tshilombo Tshisekedi. Ainsi fait à Kinshasa, le 02 août 2024 Pour la Coalition pour un Nouveau Congo Isidore EKOFO LOKENYO Le Porte-parole
RD Congo. La CNC demande la libération immédiate et sans condition de Jean-Marc KABUND
La Coalition pour un Nouveau Congo demande la libération immédiate et sans condition de Jean-Marc KABUND, Président du Mouvement Alliance pour le Changement. Le pouvoir aux abois de l’UDPS et de l’Union Sacrée souillée crie jour et nuit que la justice est malade en République Démocratique du Congo. Ce pouvoir oublie que le plus grand malade c’est lui-même le pouvoir de l’UDPS et de l’Union Sacrée souillée qui est en train d’instrumentaliser et d’infecter la justice par ses virus du népotisme, de l’intolérance, du tribalisme, de la corruption, de la violence et du mensonge. Comment dans ces conditions accepter l’application de la peine de mort en République Démocratique du Congo ? Le pouvoir lui-même a ses propres prisonniers politiques, au premier rang duquel il y a le militant Jean-Marc KABUND qui restera un cadre de l’UDPS dans l’histoire. L’UDPS ne pourra rien changer arbitrairement. La Coalition pour un Nouveau Congo (CNC) demande la libération immédiate et sans condition de l’Honorable Jean-Marc KABUND, car la justice est scandaleusement incapable de le juger de manière publique et équitable sur les faits qui lui sont reprochés pour son emprisonnement. Ce dernier est donc un prisonnier politique et personnel du Président de la République Démocratique du Congo. La Coalition pour un Nouveau Congo (CNC) ne laissera pas le pouvoir de l’UDPS et de l’Union Sacrée souillée signer l’acte de décès de l’Etat de droit en République Démocratique du Congo. Le combattant Etienne TSHISEKEDI Wa MULUMBA est en train de se retourner mille fois dans sa tombe en voyant ce qu’est devenu le slogan de l’Etat de droit et du Peuple d’abord de l’UDPS. La nudité de l’UDPS éclate aujourd’hui au grand jour. Comment Jean-Marc KABUND, un des artisans de l’UDPS au four et au moulin du deal qui les a conduit au pouvoir en 2018-2019, se trouve en prison ? Et tous ses leaders politiques et d’opinion qui se trouvent toujours en prison ? Il n’y a pas de doute que la libération du journaliste Stanis BUJAKERA TSHIAMALA est motivée par la peur de la montée en puissance de la mobilisation pour la libération du journaliste au niveau international. Au-delà du grand symbole de la libération de Jean-Marc KABUND, la Coalition pour un Nouveau Congo (CNC) demande la libération immédiate et sans condition de tous les prisonniers politiques et d’opinion, comme Mike MUKEBAY et les autres. Le pouvoir de l’UDPS et de l’Union Sacrée souillée est en train de détruire totalement l’unité et la cohésion nationales par le tribalisme, la violence, les atteintes aux droits de l’homme, aux libertés individuelles de pensée, d’expression et d’opinion. Il en portera de lourdes responsabilités dans l’histoire de notre pays. La Coalition pour un Nouveau Congo (CNC) arrive pour que la République Démocratique du Congo soit un véritable Etat de droit. Ainsi, il sera mis fin au slogan mensonger de l’Etat de droit et du peuple d’abord du pouvoir de l’UDPS et de l’Union Sacrée souillée. La CNC organisera une justice transitionnelle pour des sanctions justes et méritées à l’encontre de tous ceux qui sont coupables de différents crimes humains, sociaux et économiques en République Démocratique du Congo. Ainsi fait à Kinshasa, le 22 avril 2024Pour la Coalition pour un Nouveau CongoIsidore EKOFO LOKENYOLe Rapporteur
Les casques bleus chinois en RDC décorés de la médaille des Nations Unies
Les casques bleus du 27e contingent chinois de maintien de la paix de la Mission de l’Organisation des Nations Unies pour la stabilisation en République démocratique du Congo (MONUSCO) ont été décorés mardi de la médaille des Nations Unies. La cérémonie de remise des médailles s’est déroulée au camp de la compagnie d’ingénierie du contingent chinois, situé en périphérie de Bukavu, chef-lieu de la province du Sud-Kivu (est). Ces 21 dernières années, les casques bleus chinois ont fait rayonner leur dévouement et leur professionnalisme avec une compagnie de génie civil et un hôpital de niveau II à Bukavu, a salué Bintou Keïta, cheffe de la MONUSCO, remerciant le gouvernement chinois pour avoir envoyé depuis 2003 des contingents d’ingénieurs et de personnels de santé dans la province du Sud-Kivu. Les missions chinoises ont pu favoriser la paix et le développement au Sud-Kivu, tout en contribuant au processus de désengagement de la MONUSCO en cours, a souligné Mme Keïta, qui est également représentante spéciale du secrétaire général des Nations Unies en RDC. En soignant les malades et en construisant des routes, les casques bleus chinois ont défendu la paix et tissé des liens d’amitié au Sud-Kivu dans des conditions parfois très difficiles, un parcours salué par la MONUSCO, le gouvernement congolais et la population du Sud-Kivu, a indiqué Zhao Bin, ambassadeur de Chine en RDC. En tant qu’ami fiable et partenaire stratégique global de la RDC, la Chine a toujours soutenu fermement les efforts de ce pays pour défendre sa souveraineté nationale, sa sécurité et son intégrité territoriale, a-t-il souligné, notant que la Chine avait toujours fait de son mieux pour aider la RDC à renforcer ses capacités sécuritaires. Depuis le déploiement du 27e contingent chinois de maintien de la paix en RDC en septembre 2023, la compagnie d’ingénierie a organisé 13 enquêtes d’ingénierie et réalisé 16 projets de haute qualité, tandis que la compagnie médicale a reçu environ 500 patients. Xinhua
La CNC met en garde contre des procès iniques et expéditifs en RDC contre la résistance et l’opposition
La Coalition pour un Nouveau Congo (CNC) met en garde le Peuple Congolais contre des procès iniques et expéditifs pour faire taire à jamais l’opposition et la résistance en République Démocratique du Congo « Il ne peut y avoir de vraie justice équitable pour tous en République Démocratique du Congo avec une mauvaise gouvernance du pouvoir de l’UDPS et de l’Union Sacrée souillée fondée sur la corruption, la violence et le mensonge » Dans un contexte de justice malade et instrumentalisée par le pouvoir de l’UDPS et l’Union Sacrée souillée en République Démocratique du Congo (RDC), la Coalition pour un Nouveau Congo (CNC) réaffirme sa ferme opposition au rétablissement de la peine de mort. La CNC met en garde le Peuple Congolais contre des procès iniques et expéditifs pour faire taire à jamais l’opposition et la résistance en RDC. La CNC craint que le pouvoir de l’Union Sacrée ne monte des procès iniques et expéditifs des coups d’Etat montés et manqués pour exterminer les leaders de l’opposition et de la résistance par l’application de la peine de mort. Les forces vives congolaises doivent se mobiliser comme un seul homme pour empêcher le pouvoir de l’UDPS et de l’Union Sacrée d’éliminer l’opposition et la résistance La Coalition pour un Nouveau Congo (CNC) est convaincue que la peine de mort va faciliter l’émergence d’un Etat voyou et criminel en République Démocratique du Congo, d’une dictature tribale plus féroce qu’à l’époque de Mobutu. C’est une question de vie ou de mort, notre mise en garde concerne tout le Peuple Congolais et notamment les opposants et les résistants au pays et dans la diaspora. La peine de mort n’est pas pour punir les traîtres de l’armée, car le pouvoir de l’UDPS et de l’Union Sacrée connaît très bien depuis 2019 tous les traîtres et voleurs de l’armée et des différents services de sécurité et d’immigration. Ces traîtres et voleurs n’ont jamais été inquiétés. Les opposants et résistants de quelque étiquette que ce soit, les acteurs la société civile, de LAMUKA, de FCC, d’Ensemble et de toutes les plateformes politiques seront menacés directement de peine de mort. La justice militaire risque d’être débordée par le nombre de procès de haute trahison et de menace de la sécurité nationale. L’application de l’article 64 va s’imposer à tout le monde pour éviter un suicide collectif forcé. La Coalition pour un Nouveau Congo (CNC) prend à témoin la communauté internationale et notamment les Nations Unies, l’Union Africaine, l’Union Européenne et les instances internationales de la justice contre les risques d’extermination de l’opposition et de la résistance par l’application de la peine de mort en République Démocratique du Congo. Les organisations qui s’occupent des droits de l’homme en République Démocratique du Congo vont avoir du pain sur la planche. Certains de leurs responsables risquent d’être condamnés injustement d’intelligence avec l’ennemi. La Coalition pour un Nouveau Congo (CNC) met en garde l’Agence Nationale des Renseignements (ANR) et la DEMIAP dans leur plan d’arrêter et de faire taire à jamais les leaders de la résistance et de l’opposition affaiblie et éparpillée en République Démocratique du Congo Toutes les institutions nationales sont mobilisées pour sauver le pouvoir moribond de l’UDPS et de l’Union Sacrée souillée en République Démocratique du Congo. Nous ne sommes plus loin des conséquences de l’explosion du compromis à l’africaine de décembre 2018 et de janvier 2019. Au premier rang des institutions nationales instrumentalisées pour sortir de l’agonie le pouvoir de Kinshasa, il y a l’Agence Nationale des Renseignements (ANR) et la DEMIAP chargées de détruire toute forme d’opposition ou de résistance. La Coalition pour un Nouveau Congo (CNC), qui est au courant de leurs plans et stratégies, met en garde l’ANR et la DEMIAP dans leur plan d’arrêter et de faire taire à jamais les leaders de la résistance et de l’opposition affaiblie et éparpillée en République Démocratique du Congo. Les acteurs du deal FCC-CACH n’ont qu’à bien se tenir. La peine de mort va mettre la RDC à feu et à sang. Plusieurs scénarios sont préparés pour détruire totalement l’opposition et la résistance. Il y aura en particulier des coups d’Etat montés et manqués, l’atteinte à la sécurité de l’Etat, la haute trahison pour la participation notamment à des mouvements insurrectionnels, la planification des assassinats ou crimes d’Etat. Les leaders de l’opposition qui ont participé au processus de chaos électoral de décembre 2023 sont tombés dans le piège infernal du pouvoir de l’UDPS et de l’Union Sacrée souillée. Ils seront totalement asphyxiés, s’ils ne collaborent pas avec le pouvoir actuel comme des ouvriers humiliés et corrompus. La CNC est aussi au courant du plan préparé contre ses membres et ne se laissera pas faire. La République Démocratique du Congo (RDC) va devenir un véritable Etat criminel et voyou. L’humiliation ce dimanche 14 avril 2024 du Cardinal Fridolin AMBONGO qui allait à Rome est un événement annonciateur qui inaugure la mise en place d’une dictature de loin plus féroce et plus dangereuse que celle de l’époque de Mobutu. Refuser l’accès du salon d’honneur au Cardinal AMBONGO paraît un fait banal, mais il est un symbole grave pour tous ceux qui ne veulent pas comprendre que désormais la vie de tout le Peuple Congolais qui est en danger face à un pouvoir tyrannique décidé de se maintenir au pouvoir jusqu’au retour de Jésus-Christ, sans le moindre souci du génocide congolais et de la balkanisation très poussée de notre pays. Savons-nous pourquoi le pouvoir de l’UDPS et de l’Union Sacrée a invité et nourrit pendant 14 mois à Kinshasa les leaders du M23 qui crée la désolation à l’Est de la République Démocratique du Congo ? Il faut être un vrai aveugle pour ne pas comprendre ce qui se cache derrière cela.La Coalition pour un Nouveau Congo (CNC) va suivre de très près la position du pouvoir de l’UDPS et de l’Union Sacrée face aux groupes armés et politico-militaires. La CNC suit de près les conséquences de l’invitation et du séjour de 14 mois à Kinshasa
La République démocratique du Congo rétablit la peine de mort
La peine capitale est en passe d’être rétablie en République démocratique du Congo, après la levée d’un moratoire. Les militaires sont notamment concernés, dans le sillage du conflit avec les rebelles du M23 (« Mouvement du 23 mars »). La ministre congolaise de la Justice a décidé de lever le moratoire sur la peine capitale, qui commuait les exécutions en peines de prison depuis 2003, selon une circulaire du ministère dont une copie circule sur les réseaux sociaux. La peine de mort pourrait de nouveau être appliquée pour les infractions graves au code militaire, comme les actes de désertions, de rébellions ou de refus d’obéissance, indique le document. Cette décision est en lien direct avec les conflits armés qui secouent le pays depuis plusieurs années. Les rebelles du M23 (« Mouvement du 23 mars ») continuent notamment de mener des offensives dans le Nord-Kivu. Des hostilités qui ont ravivé les tensions avec le Rwanda voisin, accusé de porter assistance aux rebelles. Récemment, la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) a décidé d’un déploiement de forces en accord avec la RDC. L’Afrique du Sud, la Tanzanie et le Malawi ont envoyé des militaires. Retrouvez cet article sur Sputniknews
La Coalition pour un Nouveau Congo (CNC) s’engage à construire une vraie et solide opposition pour la libération, l’unité et la cohésion nationales en République Démocratique du Congo
La République Démocratique du Congo ressemble désormais sur le plan politique et global à un bateau à la dérive. L’émergence du tribalisme et d’un nouveau parti unique avec l’UDPS et l’Union Sacrée met en grave péril l’existence de notre grand pays. C’est ainsi que la Coalition pour un Nouveau Congo (CNC) s’engage à construire une vraie et solide opposition, compte tenu de l’urgence de mener le combat pour la libération, l’unité et la cohésion nationales. La Coalition pour un Nouveau Congo (CNC) constate avec inquiétude que les nominations électorales de la CENI en décembre 2023 et janvier 2024 avait pour mission de tuer toute forme d’opposition en RDC et d’établir un parti unique au pouvoir fondé sur l’ancrage tribal du Kasaï. La République Démocratique du Congo agressée, occupée et pillée ne pourra jamais s’en sortir avec un pouvoir tribal qui brise les fondements de notre unité et de notre cohésion nationales. La Coalition pour un Nouveau Congo (CNC) met en garde contre la mise en place d’un nouveau parti-Etat de nature tribale pour faciliter les jeux des ennemis de la RDC, décidés de liquider notre pays cette année. Le tribalisme comme mode de gouvernance est un véritable suicide planifié de l’Etat Congolais pour servir les intérêts personnels d’un petit groupe de Congolais sans vision et de nos ennemis embarqués dans la mission pressante de la balkanisation de la RDC pour s’approprier les ressources naturelles stratégiques de notre pays. La Coalition pour un Nouveau Congo (CNC) a pris acte de la volonté de la plateforme FCC avec le PPRD de faire de l’opposition silencieuse. Elle note que ces derniers avaient bien compris qu’il ne fallait pas s’engager dans le processus de chaos électoral qui était préparé. La preuve est que tous les « opposants » candidats ont été piégés et humiliés par des résultats qui ne reflètent aucune réalité, si ce n’est la volonté de domination sans le moindre partage. Ils ont malheureusement permis au pouvoir en place de légitimer son forfait électoral. La Coalition pour un Nouveau Congo (CNC) dit non à la nouvelle comédie de la chambre musicale d’une majorité parlementaire digne d’un Comité central de l’ancienne Union Soviétique. Face à la liquidation de l’opposition, la Coalition pour un Nouveau Congo (CNC) construit la nouvelle vraie opposition pour fédérer les forces vives nationales engagées dans le combat de la libération, de l’unité et de la cohésion nationales. La Coalition pour un Nouveau Congo (CNC) appelle le peuple congolais à la vigilance tous azimuts pour combattre fermement la montée du tribalisme et l’installation du parti-Etat en RDC. L’heure est grave. Mobilisons-nous derrière la Coalition pour un Nouveau Congo (CNC) pour libérer notre peuple et notre nation congolaise en grave danger. Ainsi fait à Mbandaka, le 23 février 2024 Pour la Coalition pour un Nouveau Congo Isidore EKOFO LOKENYO Le Porte-parole