RDC. DIDISTONE VS KOFFI OLOMIDE

RDC. DIDISTONE VS KOFFI OLOMIDE

INDISCRETION. Est-ce qu’en Afrique, il est commun de dire quelque chose de bien sûr une autre personne, même un membre de sa famille, et surtout en son absence ? Est-ce qu’en Afrique, il y a une seule famille où la femme n’a pas eu de conflit avec sa belle-mère ou ses belles sœurs ? Est-ce qu’il y a une seule famille où X n’a pas critiqué positivement ou négativement/volontairement ou involontairement ses nerveux, nièces, cousins, cousines ? Si je comprends bien, et d’après toutes les explications de Didistone olomide, parce que ses tantes auraient critiquées leurs nerveux, ou parce qu’une belle-sœur aurait eu un problème avec la femme Koffi, donc, à tout prix, Koffi Olomide devait faire des publications sur les réseaux sociaux pour insulter ceux qui ont osé critiquer ses enfants ou ses sœurs qui ont eu un problème avec sa femme. Puisque Koffi Olomide ne l’a pas fait, sa fille continue à l’insulter publiquement, et prend parti de sa mère dans un divorce qu’elle aurait elle-même conseillé sa mère. Apparemment tout ceci est logique selon nos « femmes fortes africaines vivantes en occident, et indépendantes qui n’ont besoin d’hommes » Soit cette gamine est victime de sa naïveté et son immaturité ou soit est victime de sa célébrité qu’elle doit entièrement à son père qui payait même des magazines aux États-Unis et en France pour afficher sa fille comme mannequin alors qu’elle ne l’était pas. Quand on a goûté au succès, on a tendance en vouloir tout faire pour rester dans l’actualité. Surtout quand on vend un produit qui n’existe pas. En tant que mannequin, que peut-elle faire d’autre pour rester dans l’actualité en dehors de créer des scandales ? Scandales dans lesquels elle joue un rôle de superhéros qui sauve sa mère d’un conflit entre deux belles sœurs comme on en voit tous les jours et de façons banales en Afrique, mais aussi à travers le monde. À qui profite le crime ? Comme toute bonne manipulatrice, elle dit que c’est son père qui aurait apporté ce sujet sur la place publique et pas elle. Elle affirme dans le même texte que son père qui « publie des bêtises sur les réseaux sociaux, n’a jamais publié en guise de réponse à ses sœurs, sauf que je ne vois pas ce que Koffi a publié sur sa famille qu’elle accuse d’être à l’origine de ce scandale médiatique. Cela me fait croire à la manipulation, car elle a consciemment créé ce scandale pour être la seule à en tirer profit. C’est à elle seule que tout ça profite. Même pas à sa mère ni à ses frères, encore moins à son père qui perd y perd beaucoup. Ma petite expérience en communication et stratégie me pousse à conclure que : 1) vu la longue carrière de Koffi Olumide, la seule façon de quitter l’ombre de son père et de dépasser un certain seul de succès pour elle (après un certain succès généralement ça stagne, surtout pour les mannequins) c’est de se frotter au meilleur. Le meilleur accessible pour elle c’est qui ? 2) La carrière de mannequin est une carrière d’image, car aucun mannequin n’est indispensable et tous sont remplaçables et rapidement. De ce fait, vu les déboires de son père accumulé tout au long d’une longue carrière musicale dont certains procès, elle veut être “du bon côté” au moment où certains contrats viendraient. Au contraire, elle veut en tirer profit en créant tout un récit dans lequel elle est l’héroïne qui aurait sauver sa mère de… elle ne sait pas, car malgré son grand déballage elle ne dit absolument pas de quoi elle reproche à son père. Elle a peut-être attendu longtemps que son père commette une bourde qui l’auto éliminerait, je pense au procès de paris pour viol, dans lequel son père était acquitté, durant lequel, toujours Didistone, avait renié son père carrément. Vu qu’il n’a pas été reconnu coupable, ça doit être un moment difficile pour sa fille qui ne rêve que de prendre le Trône de père, et à défaut elle ne peut que se mettre en compétition. Une compétition malsaine tout de même. Je n’ai jamais vu une publication, interview, déclaration, chanson de Koffi Olomide dans lequel il parlement négativement de sa fille. Admirateurs lequel il ne louange pas sa fille, comme tous ses enfants. Même après toutes ces histoires de recherches de sympathies provenant de sa fille et en son encontre. Il continue de ne pas se prononcer et c’est ça la maturité. Pourtant ce que sa fille appelle “bêtise” comme publications c’est ce qui a payé ses études et débuté une carrière de mannequin. Tu ne peux pas donner une leçon de morale à quelqu’un qui s’est prostitué pour te faire manger et t’éduquer. C’est contre nature. Par Kashiba Tshabu

RDC: Koffi Olomidé dans la tourmente après une nouvelle vidéo polémique

RDC: Koffi Olomidé dans la tourmente après une nouvelle vidéo polémique

Koffi Olomidé se retrouve au cœur d’un nouveau « bad buzz ». Dans une courte vidéo, tournée à Paris, on le voit avoir un geste déplacé vis-à-vis d’une de ses collaboratrices. Un acte qui ne passe pas très bien, surtout que l’artiste est, depuis le début de l’année 2022, ambassadeur de la culture congolaise. La séquence ne dure que quelques secondes. On y voit Koffi Olomidé, dans un studio de répétition, passer à côté d’une de ses danseuses et lui poser la main sur une fesse, alors qu’elle lui tourne le dos. La jeune femme sursaute et se retourne. Cet extrait provoque nombre de discussions sur la Toile. Beaucoup d’internautes condamnent un geste « déplacé » qui ne devrait « plus exister en 2022 ». Ils questionnent aussi sa position d’ambassadeur de la culture congolaise vu, comme le dit un commentateur, « le peu de respect qu’il a pour les femmes ». Ce n’est pas la première fois que Koffi Olomidé est au cœur d’une polémique sur le traitement qu’il réserve à ses danseuses. La star a même été condamnée en France en 2021 à 18 mois de prison avec sursis pour avoir séquestré des collaboratrices. Et en 2016, une autre vidéo avait provoqué un véritable tollé. Filmé à l’aéroport de Nairobi au Kenya, on le voyait donner un coup de pied à l’une de ses danseuses. Une affaire pour laquelle il avait été brièvement incarcéré à la prison de Makala, à Kinshasa. Retrouvez cet article sur RFI

France: 8 ans de prison requis contre Koffi Olomidé

France: 8 ans de prison requis contre Koffi Olomidé

Huit ans de prison ferme ont été requis lundi contre la star de la rumba congolaise Koffi Olomidé, jugé devant la cour d’appel de Versailles, en région parisienne, pour agressions sexuelles et séquestration de quatre de ses anciennes danseuses lors de tournées en France, des accusations dont il s’est vivement défendu. A 65 ans, le chanteur franco-congolais à la renommée internationale s’est pour la première fois expliqué en public sur les charges qui pèsent sur lui, alors qu’il n’avait pas assisté à son premier procès en 2019.  Il avait été condamné en première instance à deux ans de prison avec sursis pour « atteinte sexuelle » sur l’une des jeunes femmes, déclarée mineure au moment des faits, et relaxé pour l’essentiel des autres charges. Le ministère public, qui avait requis sept ans d’emprisonnement ferme, avait fait appel.  Lundi, l’accusation a demandé de revenir sur le « naufrage » du premier jugement et de reconnaître coupable cet « homme puissant », star internationale qui vit désormais en France.  Les quatre plaignantes, assises au premier rang, ont déposé plainte entre 2007 et 2013, accusant Koffi Olomidé de les avoir enfermées dans un pavillon gardé près de Paris, lors de ses tournées françaises entre 2002 et 2006, et de les avoir forcées à avoir des relations sexuelles avec lui, de façon régulière pour certaines.  Depuis, aucune n’est retournée au Congo par « peur » des conséquences face à une star qu’elles surnommaient avant l’affaire le « président ».  A la barre, Koffi Olomidé – pull clair sous une grande veste marron – balaie l’accusation de séquestration, assurant qu’elles « allaient sur les Champs-Elysées » et que parfois « elles demandaient qu’on les accompagne », alors qu’elles ont affirmé à l’instruction qu’elles étaient escortées contre leur gré.  – « Droit de regard » –  Le chanteur a cependant reconnu qu’il avait un « droit de regard » sur leurs sorties, plaidant qu’il devait vérifier qu’elles ne cherchaient pas à rester en France à l’issue de la tournée.  Les plaignantes avaient raconté pendant l’enquête s’être finalement échappées du logement en juin 2006 avec une corde de drap après avoir endormi les gardes à l’aide de somnifères.  « C’est du cinéma, ça, Madame », a assuré à la barre le chanteur, de son nom d’origine Antoine Agbepa Mumba. « Le retour au Congo était imminent, elles savaient qu’on allait repartir au Congo », elles voulaient donc rester en France à tout prix, a-t-il affirmé.  Dans leur récit au juge d’instruction, les quatre jeunes femmes avaient accusé le chanteur de les faire venir parfois à l’hôtel, parfois en studio d’enregistrement, pour les forcer à avoir des rapports sexuels avec lui.   « C’est faux, c’est tout faux », « à aucun moment je n’étais seul avec ces filles », s’est écrié à la barre M. Olomidé. « Comment vous pouvez faire l’amour dans un studio ? J’hallucine! Il y a des ingénieurs du son, il y a des assistants… », a-t-il lancé.  Il a aussi rejeté les accusations de mauvais traitements, soulignant avoir « des danseuses qui gagnent 600 euros » par tournée.  A la barre, les parties civiles ont déclaré avoir été forcées à subir des relations sexuelles « plusieurs fois » puis « trois fois par semaine » pour l’une ou « trois ou quatre fois dans le mois » pour une autre.  « Je me suis laissé faire, mais je n’avais pas envie », a expliqué l’une d’elles, son avocat Me David Desgranges parlant d’ »emprise » du chanteur sur ses troupes.  « Il n’y a absoluement aucun élément matériel accréditant les dires des plaignantes », a estimé dans sa plaidoirie Me Antoine Vey, avocat du chanteur, plaidant la relaxe.  Le jugement a été mis en délibéré au 13 décembre.  Koffi Olomidé a déjà été condamné, en RDC en 2012, pour violence, et avait été expulsé du Kenya en 2016 pour avoir donné un coup de pied à l’une de ses danseuses.  Avec AFP