La Chine fait état d’un commerce et d’investissements robustes avec les pays participant à l’initiative « Ceinture et Route »

La Chine fait état d’un commerce et d’investissements robustes avec les pays participant à l’initiative « Ceinture et Route »

La Chine a connu un commerce et des investissements robustes avec les pays participant à l’initiative « Ceinture et Route » (ICR) au cours des dernières années, a déclaré vendredi le vice-ministre du Commerce Li Chenggang lors d’une conférence de presse. Le commerce combiné entre la Chine et les pays concernés est passé de 2.700 milliards de dollars en 2021 à 3.100 milliards de dollars l’année dernière, avec un taux de croissance annuel moyen de 4,7%, a détaillé M. Li. Ce volume représentait 50,7% du total du commerce extérieur de la Chine en 2024, contre 45,3% en 2021. De 2021 au premier semestre de cette année, les investissements bilatéraux entre la Chine et les pays participants à l’ICR ont atteint plus de 240 milliards de dollars, dont plus de 160 milliards de dollars sont allés vers ces derniers et plus de 80 milliards de dollars vers la Chine. Selon M. Li, les projets de coopération dans le cadre de l’ICR ont progressé régulièrement, permettant de renforcer la connectivité des infrastructures, d’améliorer la vie des gens et de former des talents pour le développement local. De 2021 au premier semestre de cette année, les contrats d’ingénierie de la Chine à l’étranger ont atteint un chiffre d’affaires cumulé de près de 600 milliards de dollars. Pour développer les industries émergentes et élargir l’espace de coopération, la Chine a signé des mémorandums de coopération en matière d’investissement avec plus de 50 pays participant à l’ICR dans des secteurs clés tels que l’économie numérique, l’économie verte et l’économie bleue. La coopération en matière de commerce électronique de la Route de la soie s’est étendue à 36 pays partenaires. Xinhua

Nous avons peur. Les grandes puissances déstabilisent le monde des faits récents qui inquiètent

Nous avons peur. Les grandes puissances déstabilisent le monde des faits récents qui inquiètent

TRIBUNE. Les relations internationales sont actuellement marquées par des tensions et des conflits qui menacent la stabilité mondiale. Les grandes puissances, au compte desquelles, les États-Unis d’Amérique, la Russie et la Chine, jouent un rôle crucial dans cette élévation d’actes générateurs de tensions. Quelques faits récents illustrent les dissensions entre ces puissances. Les relations entre les États-Unis d’Amérique et l’Iran sont tendues depuis des années, notamment en raison du programme nucléaire iranien. Les États-Unis d’Amérique ont imposé des sanctions économiques sévères à l’Iran et ont menacé de recourir à la force pour empêcher l’Iran de développer des armes nucléaires. Les frappes américaines sur les sites iraniens, lors de l’opération dénommée « Marteau de minuit », dans la nuit du 21 au 22 juin 2025, au cours de la guerre Israël-Iran, ont relevé le niveau de la tension, au Moyen Orient. Les zones polaires, particulièrement le Groenland sont devenues un enjeu stratégique important en raison du réchauffement climatique et de l’accès aux ressources naturelles. Les États-Unis d’Amérique et le Canada ont des visées expansionnistes dans ces régions, notamment en ce qui concerne l’exploitation des ressources pétrolières et gazières. La Russie et la Chine sont également présentes dans ces zones et cherchent à protéger leurs intérêts. La crise entre la Russie et l’Ukraine dure. La Russie a annexé la Crimée en 2014 et soutient les séparatistes dans l’Est de l’Ukraine. Les tensions entre les deux États sont élevées. Et la guerre s’est invitée depuis près de trois ans, avec ses graves conséquences humaines, culturelles et économiques. Les Occidentaux, au secours des Ukrainiens, ont imposé des sanctions économiques à la Russie? en raison de ses actions militaires en Ukraine. La Chine et Taiwan sont en situation sensible. Depuis des décennies, les relations entre les deux Etats, sont tendues. La Chine considère Formose comme une province rebelle et cherche à la réunifier avec le continent. Les États-Unis d’Amérique, forts de leurs bonnes relations multiformes avec Formose, la soutiennent. Ils lui fournissent des armes pour l’aider à se défendre contre les menaces chinoises. Ici, également, les tiraillements entre la Chine et Formose sont élevées, et les risques d’un conflit militaire sont toujours présents. Tous ces développements récents de faits de tension montrent que les grandes puissances sont prêtes à prendre des mesures agressives pour protéger leurs intérêts et étendre leur influence. Les conséquences de ces actions pourraient être graves . D’abord les risques de guerres. Les tensions entre les grandes puissances peuvent entraîner des conflits militaires qui pourraient avoir des conséquences dévastatrices pour les populations et les économies. Par effet d’entraînement, les actions des grandes puissances peuvent déstabiliser les relations internationales et créer des tensions entre les États. De tout ceci, il ressort que les développements récents montrent que la sécurité mondiale est menacée par les visées expansionnistes et les tensions entre les grandes puissances. Si l’on ajoute à ces zones de tension, le conflit entre Israël et le Hamas, la guerre au Soudan, le conflit à l’Est de la République Démocratique du Congo, toutes ces lignes de fractures qui déchirent le monde font peur. L’ordre mondial issu de la Seconde Guerre Mondiale est menacé d’une remise en question Nous avons peur. Paris 26 juin 2025 Ouabari Mariotti

Cinquante ans de coopération médicale sino-malgache célébrés à Antananarivo

Cinquante ans de coopération médicale sino-malgache célébrés à Antananarivo

Madagascar a célébré lundi le 50e anniversaire de l’envoi de la première mission médicale chinoise sur la Grande Île. A cette occasion, dans un discours officiel, la ministre malgache des Affaires étrangères, Rasata Rafaravavitafika, a salué un partenariat qualifié d’exemplaire, symbole fort de l’amitié et de la solidarité entre les deux pays. En effet, c’est en 1975 que la première équipe médicale chinoise, en provenance de la province de Gansu, est arrivée à Madagascar. Depuis, 24 missions médicales regroupant près de 700 professionnels de santé ont été déployées dans tout le pays, offrant des soins dans des spécialités telles que l’obstétrique, la pédiatrie, l’ophtalmologie, l’orthopédie ou encore l’oto-rhino-laryngologie. La ministre a qualifié d’ »indéfectible » l’engagement de la Chine à soutenir Madagascar dans le domaine de la santé, en soulignant que ses contributions vont bien au-delà des soins médicaux gratuits prodigués à des milliers de patients. Elles comprennent également le transfert de compétences à travers des formations continues, ainsi que la création du Centre de Médecine Traditionnelle Chinoise, témoignant de la richesse des échanges entre les savoirs médicaux des deux pays. Mme Rasata a rappelé que le soutien chinois s’est intensifié ces dernières années, notamment avec la construction du Centre hospitalier universitaire d’Anosiala, don de la Chine, et l’appui logistique et technique apporté pendant la crise de la COVID-19. La Chine a ainsi fourni du matériel médical essentiel et un accompagnement stratégique dans la gestion de la pandémie. La ministre a souligné que cette coopération a eu un impact concret sur l’amélioration de l’accès aux soins dans les régions les plus vulnérables et reculées du pays, s’inscrivant par ailleurs dans la politique générale du gouvernement malgache en matière de développement du capital humain et de promotion de la santé pour tous. Au nom des autorités et du peuple malgache, elle a adressé ses remerciements au gouvernement chinois, à la province de Gansu et à l’ensemble des médecins ayant servi à Madagascar. En clôture de son intervention, Mme Rasata a réaffirmé l’engagement de l’Etat malgache à poursuivre cette coopération, en vue de construire une communauté d’avenir partagée, fondée sur des objectifs communs tels que la promotion de la santé et du bien-être pour tous. Xinhua

La Chine et l’Afrique promeuvent la mise en œuvre des résultats du Sommet de Beijing du FCSA

La Chine et l’Afrique promeuvent la mise en œuvre des résultats du Sommet de Beijing du FCSA

Des représentants de la Chine, de 53 pays africains et de la Commission de l’Union africaine se sont réunis mercredi à Changsha pour faire avancer la mise en œuvre intégrale des résultats obtenus lors du Sommet de Beijing du Forum sur la coopération sino-africaine (FCSA). Lors de la cérémonie d’ouverture de la réunion ministérielle des coordinateurs sur la mise en œuvre des mesures de suivi du FCSA, le ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi et son homologue de la République du Congo Jean-Claude Gakosso ont donné lecture des lettres de félicitations de leurs chefs d’Etat. La République du Congo est le coprésident africain du FCSA. Dans sa lettre, le président chinois Xi Jinping a mis l’accent sur l’importance de la solidarité et de la coopération sino-africaines et a annoncé des mesures importantes pour une plus grande ouverture et coopération avec l’Afrique, qui, selon M. Wang, fournit des orientations importantes pour les deux parties alors qu’elles cherchent à promouvoir conjointement la modernisation et à construire une communauté d’avenir partagé Chine-Afrique de tout temps dans la nouvelle ère. Le FCSA a connu une croissance rapide au cours des 25 années écoulées depuis sa création, conduisant les relations sino-africaines à se développer rapidement et à entrer dans la meilleure période de leur histoire. Les deux parties ont fait de solides progrès dans la mise en œuvre des dix actions de partenariat pour la modernisation annoncées lors du Sommet de Beijing du FCSA, tenu en septembre dernier, selon M. Wang. La Chine et l’Afrique, le plus grand pays en développement et le continent avec la plus forte concentration de pays en développement, émergent en tant que piliers du Sud global, a affirmé M. Wang. « Face à une situation internationale marquée par des changements et des bouleversements, la Chine et l’Afrique doivent plus que jamais faire preuve de solidarité et d’autonomie », a-t-il déclaré, appelant les deux parties à répondre aux incertitudes mondiales par une relation sino-africaine stable et résiliente. Les deux parties doivent préserver la solidarité du Sud global, défendre le libre-échange international, soutenir la coopération mondiale au développement, maintenir un ordre international juste et promouvoir la diversité des civilisations, a-t-il ajouté. M. Wang a déclaré que le XXIe siècle était autant le siècle de l’Asie que celui de l’Afrique, ajoutant que tant que les plus de 2,8 milliards d’habitants de la Chine et de l’Afrique travailleraient ensemble, ils réaliseraient à coup sûr des progrès brillants sur la voie de la modernisation. Au nom des pays africains, M. Gakosso a déclaré que les pays africains remerciaient la Chine de soutenir leur développement, saluaient les 10 actions de partenariat pour la modernisation et soutenaient la Vision 2035 de la coopération sino-africaine. Il a ajouté que les pays africains étaient prêts à mettre en œuvre les résultats du sommet de Beijing afin d’aider les Africains à réaliser leur aspiration à une vie meilleure. La partie africaine s’oppose à l’abus des droits de douane et des sanctions unilatérales et se tiendra aux côtés de la Chine pour relever ensemble les défis, a affirmé M. Gakosso. La Déclaration sino-africaine de Changsha sur la préservation de la solidarité et de la coopération du Sud global a été publiée à l’issue de la réunion. Xinhua

Pourquoi faire confiance à l’économie chinoise ?

Pourquoi faire confiance à l’économie chinoise ?

TRIBUNE. Comme chaque année, le regard de tous ceux qui s’intéressent au développement de la Chine s’est tourné vers Beijing, où se sont tenues du 4 au 11 mars la session plénière de l’Assemblée populaire nationale (APN) et celle du Comité national de la Conférence consultative politique du peuple chinois (CCPPC). Rendez-vous politique le plus important de l’année du pays, les « Deux Sessions » offrent une vitrine pour savoir où en est le développement de la Chine et dans quelle direction il se dirige. 2024 : OBJECTIFS ATTEINTS COMME PREVU On se souvient encore des spéculations sur la « fin de la croissance chinoise » qui auraient fait croire qu’une croissance d’environ 5% pour l’année 2024 était une mission impossible. Ce scepticisme n’a plus lieu d’être avec le bilan dressé par le Premier ministre chinois Li Qiang à l’ouverture de la session de l’APN le 5 mars : l’économie chinoise a réalisé comme prévu une croissance de 5% qui équivalait à peu près au PIB de la 20e économie mondiale. Sur fond de tensions géopolitiques persistantes, de répressions arbitraires sans cesse imposées de l’extérieur et de défis posés par la transition énergétique sur le plan intérieur, pourquoi la Chine a-t-elle encore su réaliser l’ »impossible » ? Cette croissance s’explique surtout par un gain qualitatif dans plusieurs secteurs économiques. Les véhicules électriques chinois, dont la production annuelle dépasse désormais les 13 millions, séduisent le marché international par leurs habitacles intelligents et autonomie satisfaisante. Les exportations chinoises de circuits intégrés ont franchi le cap de 1.100 milliards de yuans, un nouveau record historique. Soixante-dix-neuf des 189 « usines phares » et plus de la moitié des robots industriels dans le monde se trouvent en Chine. A cela s’ajoute les succès retentissants du jeu Black Myth : Wukong et du film Nezha 2. Un inventaire riche qui démontre la résilience, la vitalité et la qualité du développement chinois. Lorsque la Chine se donne un objectif, elle ira jusqu’au bout quoi qu’il advienne. 2025 : LES RAISONS D’ÊTRE CONFIANT DANS L’ECONOMIE CHINOISE Que vise la Chine pour l’année 2025 ? Tout est clarifié dans le rapport d’activités du gouvernement. Se fixer un objectif de croissance numériquement identique à celui de 2024 est jugé d’autant plus ambitieux qu’une guerre commerciale avec les Etats-Unis sous l’administration de Trump se profile. D’où vient alors cette confiance ? « Développer les forces productives de nouvelle qualité » demeure au sommet de la liste des priorités du gouvernement chinois. Fort de son tissu industriel le plus complet au monde, la Chine œuvre à la transformation des industries anciennes et au développement des nouvelles, comme l’intelligence incorporée, la 6G, la biotechnologie et l’informatique quantique. L’opération « IA+ », lancée en 2024, fait encore plus rêver cette année avec l’effet « séisme » de DeepSeek. Et le soutien de l’Etat ne s’est pas fait attendre. Un fonds national sera mis en place pour mobiliser 1.000 milliards de yuans en faveur de l’entrepreneuriat et de l’investissement, et un plus grand appui sera fourni aux entreprises licornes et gazelles. « Stimuler énergiquement la consommation » est un autre mot d’ordre pour 2025. Personne ne saurait nier le potentiel d’un marché de 1,4 milliard de consommateurs, dont plus de 400 millions ont un revenu intermédiaire. L’enjeu est de savoir comment le libérer. L’année dernière, la campagne de reprise d’articles usés contre des neufs a porté ses fruits en générant un chiffre d’affaires total de 1.300 milliards de yuans. Cette année, la politique couvrira un éventail de marchandises encore plus large avec de nouvelles subventions à l’appui : 300 milliards de yuans, le double des dépenses faites en 2024. Une nouvelle impulsion sera ainsi donnée à la demande intérieure, qui viendra accroître davantage les forces endogènes du développement chinois. OUVERTURE DE HAUT NIVEAU, UN ENGAGEMENT INEBRANLABLE Se tourner vers la consommation est-il synonyme de fermeture au monde ? Les mots du Premier ministre chinois sont sans ambages : quelle que soit l’évolution de l’environnement extérieur, les portes de la Chine resteront grand ouvertes. Et cet engagement est suivi d’actions concrètes. Le secteur manufacturier est totalement ouvert aux capitaux étrangers. De nouveaux projets d’ouverture pilotes seront mis en place dans le secteur des services, notamment celui des télécommunications, de la santé et de la finance. L’ouverture institutionnelle sera consolidée, et le climat d’affaires, optimisé. Les mesures d’ouverture en faveur des pays les moins avancés se poursuivront. La liste négative pour les investissements étrangers sera toujours plus courte, et l’accès au marché chinois, de plus en plus facile. La politique d’exemption de visa sera étendue à un plus grand nombre de pays. Alors que les Etats-Unis brandissent la menace tarifaire et déclenchent une guerre commerciale même contre leurs propres alliés, la Chine accueille à bras ouverts les amis du monde entier pour qu’ils partagent les dividendes de son développement. Une certitude précieuse appréciée à sa juste valeur par les investisseurs étrangers. En 2024, 59.080 nouvelles entreprises à capitaux étrangers se sont installées en Chine, soit une hausse de 9,9% en glissement annuel. Selon un récent rapport de la Chambre de commerce américaine en Chine, près de 70% des entreprises américaines du secteur de la consommation sondées envisagent d’accroître leurs investissements en Chine en 2025. Le grand philosophe chinois Mencius disait : « Qui aime autrui sera aimé à son tour ». La politique de la Chine est depuis toujours une politique au service du peuple et de la prospérité du monde. L’histoire prouvera que ceux qui se soucient du bien de tous seront les véritables gagnants. Par Yi Da

Le Ministre des Transports visite le siège du fournisseur chinois des nouveaux bus de la Société des Transports de Tunis.

Le Ministre des Transports visite le siège du fournisseur chinois des nouveaux bus de la Société des Transports de Tunis.

Dans le cadre de la visite de travail qu’il effectue sur instruction de Son Excellence le Président de la République, Monsieur Kais Saied, en République Populaire de Chine, le ministre des Transports, Monsieur Rachid Amri, s’est rendu au siège de la société chinoise King Long, spécialisée dans la fabrication de bus, située dans la ville de Xiamen, au sud de la Chine. À cette occasion, il a rencontré le PDG de l’entreprise ainsi que plusieurs responsables et techniciens, afin d’examiner les moyens de développer la coopération avec cette société dans le domaine du transport terrestre, tout en l’encourageant à investir et à tirer parti des avantages compétitifs offerts par la Tunisie. Le ministre du Transport a également effectué une visite de terrain à l’usine de fabrication des bus pour suivre l’état d’avancement de l’exécution du marché portant sur la fourniture de 300 bus destinés à la Société des Transports de Tunis, dont la livraison est prévue d’ici la fin du mois d’avril prochain. Il a, en outre, pris connaissance des techniques de fabrication, des délais de réalisation ainsi que des niveaux de consommation énergétique des véhicules.

« Ne Zha 2 » entre dans le top 10 du box-office mondial de tous les temps

« Ne Zha 2 » entre dans le top 10 du box-office mondial de tous les temps

Le film d’animation chinois « Ne Zha 2 » est une nouvelle fois entré dans l’histoire, dépassant « Le Roi Lion » de Disney en 2019 pour se classer parmi les dix films les plus rentables de tous les temps au niveau mondial. Selon la plateforme de billetterie Maoyan, lundi en début d’après-midi, les recettes globales du film – y compris les préventes – avaient atteint 12,05 milliards de yuans (environ 1,68 milliard de dollars), dépassant les 1,66 milliard de dollars américains du « Roi Lion ». Cette étape a été franchie le 20e jour après la sortie du film, le 29 janvier, à l’occasion du Nouvel An chinois, et vient s’ajouter à une liste impressionnante de réalisations. « Ne Zha 2 » était déjà devenu le premier film à générer plus d’un milliard de dollars sur un seul marché, et le premier film non hollywoodien à entrer dans le club très convoité du milliard de dollars. Selon les projections actuelles de Maoyan et des organismes de suivi du box-office, le film est en passe de dépasser les 15 milliards de yuans de recettes nationales totales. Les analystes de l’industrie ont souligné le succès du film comme un témoignage de la vitalité, de l’attrait mondial et de la force créative de la culture chinoise. Réalisé par Yang Yu, connu sous le nom de Jiaozi, le film marque une avancée significative par rapport à son prédécesseur, le succès animé « Ne Zha », qui a rapporté cinq milliards de yuans et s’est classé en tête du box-office chinois en 2019. Cette suite reprend l’histoire de Nezha, l’emblématique garçon-dieu de la mythologie chinoise. Après que leurs âmes sont sauvées, Nezha et son allié Aobing luttent pour conserver leur forme physique. Avec l’aide de l’immortel Taiyi Zhenren, ils doivent relever une série de défis pour reconstruire leur corps et assurer leur destin. Xinhua

La Chine conserve sa première place mondiale en termes de commerce de marchandises pour la huitième année consécutive

La Chine conserve sa première place mondiale en termes de commerce de marchandises pour la huitième année consécutive

La Chine a maintenu sa position de première nation dans le monde en matière de commerce de marchandises pour la huitième année consécutive, a annoncé vendredi le régulateur des douanes du pays. Les importations et exportations de marchandises du pays ont dépassé les 43.000 milliards de yuans (environ 6.000 milliards de dollars) pour la première fois en 2024, en hausse de 5% en base annuelle, d’après Sun Meijun, secrétaire du comité du Parti communiste chinois pour l’Administration générale des douanes (AGD). En 2024, l’AGD a lancé et appliqué 16 mesures visant à améliorer davantage l’environnement des affaires aux terminaux et à faciliter le commerce pour les entreprises sur l’ensemble de l’année, a expliqué Mme Sun lors d’une conférence nationale pour le travail des douanes. Des réductions des droits de douane et différents types de mesures préférentielles ont été mises en œuvre, amenant à 282,9 milliards de yuans de réductions ou remboursements fiscaux, d’après Mme Sun. L’année dernière, l’importation en Chine de 111 types de produits agricoles en provenance de 62 pays ou régions a été autorisée, 14 terminaux ont été inaugurés ou ont adopté des mesures en vue d’une plus grande ouverture, et sept centres logistiques sous douane ont été établis, a relevé Mme Sun. Tout en poursuivant les politiques et mesures existantes, l’AGD lancera des mesures spéciales pour promouvoir le commerce extérieur, a-t-elle ajouté. Xinhua