Jean Baptiste Tati Loutard, Alain Mabanckou, Tchicaya U Tam’si, Henri Lopes, Emmanuel Dongala, Antoine Letembet Ambily, Théophile Obenga, Pierre Ntsemou, Sylvain Bemba, Jerôme Ollandet, Jean Pierre Makouta-Mboukou, Martial Sinda, Aimée Gnali Mambou, Guy Menga, Tchitchellé Tchivéla, Maxime Ndébéka, Noel Kodia-Ramata, Henri Djombo, Caya Makhélé, Daniel Biyaoula, Eugénie Mouyani Opou, Aleth Felix-Tchicaya, Marie-Léontine Tsibinda, Gilbert Goma, Flore Hazoumé, Grégoire Lefouoba, Christianie Colombe, Léopold Congo Mbemba, Boniface Mongo Mboussa, Patrice Joseph Lhoni, Dominique Ngoie-Ngalla, Emilie Flore Faignond, Antoine Ndinga Oba, Philippe Moukoko, Cedric Mpindy, Fortune Bemba, Dalins Mwana Ndzambe.
Tous, à des degrés divers, sont des Ecrivains congolais. Nos compatriotes. J’en oublie. Ecrivains confirmés ou encore en herbe. Comment pourrais-je ne pas en oublier. La première faculté de l’homme est l’oubli. Il oublie même ce qu’il a fait de bien. Paroles d’Albert Camus.
Ces Hommes et Femmes de Lettres, certains encore sur terre, d’autres, là-bas, à l’éternel infini, font à jamais notre fierté. La fierté de la Nation Congolaise qu’ils ont toujours voulue, dans leurs écrits, unie, indivisible, portée vers le progrès et l’exaltation des valeurs.
Que ceux qui s’en sont allés, dont Henri Lopes, qui nous a quittés le 2 novembre 2023, reposent en paix. Sans être parmi nous, leur présence demeure vivante dans chaque coin de nos coeurs, dans chaque souffle que nous prenons.
Paris 6 novembre 2023
Par Ouabari Mariotti