Sénégal/ Remaniement gouvernemental : Déclaration du Premier ministre Ousmane Sonko (RTS)
Championnat d’Afrique des Nations Féminin de Handball 2024 : Résultats et Calendrier
La RD Congo accueille la 26ᵉ édition du Championnat d’Afrique des Nations (CAN) féminin de handball 2024, qui se déroule du 27 novembre au 7 décembre. Douze nations s’affrontent pour décrocher le prestigieux titre continental. Retrouvez ici les résultats détaillés et le programme des matchs. Les Groupes de la Compétition : Groupe A Congo Sénégal Égypte Algérie Cap-Vert Kenya Groupe B RD Congo Tunisie Angola Guinée Cameroun Ouganda Calendrier et Résultats : 1ère Journée : Mercredi 27 novembre Sénégal 39–9 Kenya Algérie 20–16 Cap-Vert Guinée 26–32 Cameroun Angola 36–23 Tunisie Congo 23–27 Égypte RD Congo 38–11 Ouganda 2ᵉ Journée : Jeudi 28 novembre Kenya 20–37 Congo Tunisie 28–28 Guinée Ouganda 11–45 Angola Sénégal 37–22 Cap-Vert Égypte 28–19 Algérie RD Congo 23–25 Cameroun 3ᵉ Journée : Samedi 30 novembre Algérie 17–24 Congo Cameroun 36–16 Ouganda Cap-Vert 34–26 Kenya Égypte 16–21 Sénégal Angola 35–22 Guinée Tunisie 23–25 RD Congo 4ᵉ Journée : Dimanche 1er décembre Ouganda 18–47 Tunisie Égypte – Kenya (à venir) Congo 25–21 Cap-Vert Cameroun 14–31 Angola Sénégal 23–16 Algérie Guinée 24–32 RD Congo 5ᵉ Journée : Mardi 3 décembre Guinée – Ouganda (à venir) Kenya – Algérie (à venir) Cap-Vert – Égypte (à venir) Congo – Sénégal (à venir) Tunisie – Cameroun (à venir) RD Congo – Angola (à venir) Phase à Élimination Directe : Quarts de Finale : Mercredi 4 décembre 1er du Groupe A vs 4ᵉ du Groupe B (Q1) 2ᵉ du Groupe A vs 3ᵉ du Groupe B (Q3) 1er du Groupe B vs 4ᵉ du Groupe A (Q4) 2ᵉ du Groupe B vs 3ᵉ du Groupe A (Q2) Demi-Finales : Vendredi 6 décembre Vainqueur Q1 vs Vainqueur Q2 (D1) Vainqueur Q3 vs Vainqueur Q4 (D2) Petite Finale : Samedi 7 décembre Perdant D1 vs Perdant D2 Finale : Samedi 7 décembre Vainqueur D1 vs Vainqueur D2 Restez connectés pour des mises à jour sur les scores, les classements et les temps forts de cette CAN Féminine de handball 2024 ! Ya Willy.
France vs Sénégal – Tchad : semaine de tous les enjeux…
TRIBUNE. Cette semaine qui vient de s’achever a été riche en actualité politique sur l’ensemble du continent africain. Deux événements sortent du lot parce que provoquant un tournant géopolitique majeur. D’abord au Sénégal où le président Bassirou Diomaye Faye a déclaré dans un entretien à l’AFP jeudi 29 novembre que la France allait devoir fermer ses bases militaires au Sénégal, dont la présence est, selon lui, incompatible avec la souveraineté de son pays. «Le Sénégal est un pays indépendant et souverain. La souveraineté ne s’accommode pas de la présence de bases militaires dans le pays», a-t-il précisé. Ce tournant dans mes relations francafricaines a Dakar va de pair avec l’orientation nouvelle de la politique étrangère au Tchad où a été te annoncée la fin de l’accord de défense entre la France et le Tchad. Deux nouveaux pays emboîtent le pas au Mali, Byurkina Faso et au Niger. Une première et un évènement historique en Afrique Centrale et dans ce qui était considéré, depuis les années 60, comme le pré carré français. L’heure du bilan a manifestement sonné. Dans tous les cas, une nouvelle ère s’ouvre dans un monde en pleine mutation et chaque État doit pouvoir assumer, seul, son propre destin en s’appuyant sur ses propres ressources et sur la liberté souveraine de se choisir ses propres partenaires. Comme je l’écrivais il y a deux mois, la guerre de l’OTAN en Ukraine a affaibli notoirement les anciens maîtres de pays africains et beaucoup de leaders africains sont en train de saisir cette faille pour s’affranchir de ces chaînes néocoloniales. Que cette volonté souverainiste fasse boule de neige en RDC, en Côte-d’Ivoire et au Gabon etc. et toute l’Afrique s’ouvrira à une nouvelle ère… Avec la grande force d’information des réseaux sociaux, l’effet domino sera inévitable sur l’ensemble de l’opinion publique africaine et tout chef de l’Etat qui s’acharnera à diriger avec le vieux schéma françafricain tombera inévitablement comme un fruit mûr. Un avenir meilleur est devant nous, il dépend désormais de la jeunesse africaine d’arracher opiniâtrement ce qui lui a été longtemps refusé, à savoir sa liberté de s’auto-déterminer. Germain Nzinga
Le Sénégal exige les réponses : le pays commémore le 80ᵉ anniversaire du massacre perpétré par l’administration coloniale française
Les historiens estiment que des centaines de soldats ouest-africains ayant combattu pour la France ont été tués en 1944 par l’armée française après avoir réclamé des salaires impayés. Biram Senghor se rend régulièrement au cimetière militaire de Thiaroye, un village de pêcheurs situé près de Dakar, la capitale du Sénégal, pour se recueillir devant une tombe différente à chaque fois. Cet homme de 86 ans n’a aucun moyen de savoir quelle tombe appartient à son père, M’Bap Senghor, l’un des centaines de tirailleurs ouest-africains qui ont combattu pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale, mais qui ont été tués le 1ᵉʳ décembre 1944 par l’armée française après avoir réclamé des salaires impayés. Dans ce cimetière où ils sont censés être enterrés, toutes les tombes sont anonymes et l’emplacement exact des dépouilles est inconnu, tout comme le nombre de victimes… Lire la suite sur Euronews
Festival Visa For Music : Zhu culture honoré pour son engagement culturel à travers le continent africain
Le prix reçu lors de la 11e édition du festival Visa For Music (du 20 au 23 novembre) est une reconnaissance des efforts déployés par ZHU Culture, sous la direction de Luc Mayitoukou, et le chanteur, guitariste, auteur-compositeur, interprète et arrangeur Saintrick, pour promouvoir les métiers des arts de la scène à travers le continent. Entretien. PAGESAFRIK : Vous avez pris part à la 11ème édition du festival Visa For Music, où vous avez reçu un prix. Pouvez-vous nous dire ce que représente ce prix pour vous ? SAINTRICK : Ce prix, que l’on pourrait qualifier de « reconnaissance », nous a été remis par l’intermédiaire de Luc Mayitoukou, Directeur de ZHU Culture, notre structure, en récompense des actions que nous menons à travers le continent pour le développement des métiers des arts de la scène. Évidemment, il représente une grande fierté pour moi, d’abord vis-à-vis de ma famille et de mon pays d’origine, le Congo-Brazzaville, ainsi que de mon pays d’adoption, le Sénégal. Mais au-delà de cette fierté, ce prix incarne également l’honneur d’être enfin récompensé pour de nombreuses années d’engagement, de partage, de formation, d’éducation et de dévouement à travers toutes nos initiatives avec ZHU Culture. PAGESAFRIK : Que pensez-vous de la promotion de la Rumba congolaise après son admission au patrimoine immatériel de l’UNESCO ? Je préfère adopter une approche mesurée quant à la promotion de la Rumba congolaise depuis son inscription à l’UNESCO, car cette reconnaissance aurait, selon moi, dû lui offrir une visibilité mondiale encore plus marquée. À mon sens, il est essentiel de valoriser l’évolution de la rumba au fil du temps pour permettre à la génération actuelle de comprendre qu’elle constitue la base et le fondement de nombreuses musiques qu’elle écoute aujourd’hui. Si nous nous limitons à mettre en avant les vieilles gloires de la rumba, nous risquons de ne pas capter l’intérêt des jeunes qui doivent encore la découvrir. Il faut donc créer un pont entre les styles qu’elle a inspirés, comme l’afrobeat, l’afro-trap, le zouglou ou le coupé-décalé, ainsi que des genres transitoires tels que le highlife, la salsa ou la bossa nova. Je pense également aux musiques plus expérimentales, comme le « Yeketi », que j’ai personnellement créé en mêlant la rumba à des sonorités sénégalaises. Tous ces styles ont pour base commune la rumba congolaise, et il est impératif de s’appuyer sur eux pour raconter son histoire et son évolution. Je suis convaincu que cela mettra encore davantage en lumière ses origines et son rayonnement. PAGESAFRIK : frCertains estiment que les Bantous de la Capitale ne devraient pas être candidats au festival Mawazine, mais qu’ils devraient y être invités en tant que monument africain. Quelle est votre opinion ? Je partage pleinement le fait que les Bantou de la Capitale soit un groupe emblématique du continent et que l’on devrait en faire profiter un large public. Cependant, il ne faut pas ignorer que, malgré leur statut légendaire, ils doivent être gérés de manière professionnelle. Cela implique que leur staff managérial prenne l’initiative d’établir des contacts et de rechercher des opportunités de programmation, afin que ce groupe mythique puisse continuer à s’exprimer et à raconter l’histoire de la rumba congolaise à travers ses prestations. Rien ne se fera automatiquement. Il est impératif de se conformer aux normes actuelles en matière de gestion professionnelle pour rester compétitif sur la scène des festivals d’aujourd’hui. Avec Zhu Culture, nous les avions fait programmer au dernier Festival Mondial des Arts Nègre à Dakar, ils ont émerveillé la scène du Visa for Music en 2024, je serais donc content qu’il puisse un jour se produire sur ce grand évènement qu’est le Mawazine Propos recueillis par Fredrich Gunther Mbemba
Afrobasket 2025 (Qualifications) : Le Cameroun, la RDC et le Sénégal frappent fort dès l’entame
Le Cameroun, la RD Congo et le Sénégal ont brillé pour leur entrée en lice dans la fenêtre qualificative de l’Afrobasket 2025, disputée à Dakar. Les trois équipes ont décroché une victoire convaincante lors de leurs premiers matchs de groupes. Dans le groupe A, ce sont les Congolais qui ont ouvert les hostilités. Après la victoire du Soudan du Sud sur le Maroc, les Léopards ont dominé le Mali (72-64), rejoignant ainsi les Sud-Soudanais en tête de la poule. Christian Lutete IV s’est particulièrement illustré avec une performance remarquable de 20 points, véritable moteur de cette belle victoire. Dans le groupe C, le Sénégal a assuré le spectacle devant son public. Portés par des prestations solides de Youssou Ndoye et Amar Sylla, les Lions ont surclassé le Rwanda (81-58), livrant une performance aboutie et enthousiasmante. De leur côté, les Camerounais ont remporté le derby d’Afrique centrale face au Gabon (76-58). Malgré l’adresse des Gabonais, avec trois joueurs à 13 points ou plus, le collectif camerounais a fait la différence pour s’imposer. Le Cameroun rejoint ainsi le Sénégal en tête du groupe C. Une 2ᵉ journée décisive en perspective Les rencontres de ce samedi promettent de dessiner les premières tendances pour la qualification. Le Mali cherchera à rebondir face au Soudan du Sud (12h GMT), une tâche qui s’annonce ardue. De son côté, le Maroc tentera également de se relancer face à la RD Congo (15h GMT). Dans le groupe C, le Sénégal sera opposé au Gabon (18h GMT), tandis que le Rwanda devra se surpasser pour espérer rebondir face au Cameroun (21h GMT). Les enjeux montent d’un cran, promettant des affrontements intenses dans cette campagne qualificative. Ya Willy.
Selon un nouveau rapport, l’action climatique est essentielle à l’ambition du Sénégal de devenir un pays à revenu intermédiaire de la tranche supérieure
Un nouveau rapport du Groupe de la Banque mondiale met en lumière les retombées économiques et sociales considérables de l’action climatique au Sénégal dans le cadre de la mise en œuvre de son plan de développement Vision 2050. Le nouveau Rapport national sur le climat et le développement (CCDR) pour le Sénégal souligne le coût de l’inaction climatique et avertit que sans adaptation, les effets du changement climatique pourraient réduire le PIB du Sénégal de 9,4 % d’ici 2050. À l’inverse, l’action climatique peut inverser ces impacts, en particulier pour les plus vulnérables, et stimuler la croissance. Les investissements nécessaires à l’action climatique sont estimés à 1,36 milliard de dollars par an jusqu’en 2030 et à 530 millions de dollars par an entre 2031 et 2050. À elle seule, l’adaptation pourrait accroître le PIB du Sénégal d’au moins 2 % d’ici 2030 et réduire la pauvreté induite par le climat de 40 %. « L’action climatique est plus qu’une réponse aux défis environnementaux ; c’est investir dans la prospérité et la résilience du Sénégal », explique Keiko Miwa, directrice des opérations de la Banque mondiale pour le Sénégal. « Grâce à ces initiatives transformatrices, le Sénégal peut renforcer son capital humain, protéger ses écosystèmes et bâtir une économie robuste et durable pour tous, soutenant une croissance à long terme et conforme à la vision du pays. » Le rapport recense les principales priorités pour lutter contre le changement climatique tout en maximisant les gains en matière de développement : Développer les énergies renouvelables et les transports durables pour atténuer le changement climatique, réduire les coûts de l’électricité, améliorer la santé publique et créer des emplois. En s’appuyant sur le nouveau système de transport rapide par bus (BRT) électrique de Dakar, le Sénégal peut réduire davantage la pollution atmosphérique, améliorer la mobilité et stimuler la productivité urbaine. Améliorer la gestion des ressources naturelles pour favoriser une activité économique résiliente et protéger les moyens de subsistance, en donnant la priorité à la résilience côtière. Plus de la moitié de la population du Sénégal et les deux tiers du PIB sont concentrés dans des zones très vulnérables aux risques climatiques. Promouvoir une agriculture climato-intelligente pour aider les agriculteurs à s’adapter au changement climatique, protéger la biodiversité et assurer la sécurité alimentaire tout en diversifiant le secteur et en augmentant la production. Ceci peut permettre d’augmenter les rendements agricoles de 20 % et les revenus des agriculteurs de 26 %. Renforcer la gestion des risques de catastrophe afin de réduire les coûts socioéconomiques des phénomènes météorologiques extrêmes grâce à des systèmes d’alerte précoce, à une planification coordonnée et au financement des risques de catastrophe afin d’aider les communautés à mieux se préparer et répondre aux catastrophes. Investir pour doter les jeunes et les femmes de compétences et de filets de santé et de protection sociale adaptatifs afin d’atténuer la menace à long terme du changement climatique et de réduire les inégalités de revenus. Créer un environnement propice au développement et au financement de solutions climatiques par le secteur privé. Au moins 40 % des financements nécessaires à l’action climatique devront provenir d’investissements privés. L’alignement des prix du carbone, le renforcement du secteur financier national et l’expérimentation d’instruments financiers innovants tels que les obligations et les prêts liés à la durabilité peuvent soutenir cet effort. « Le secteur privé peut jouer un rôle central dans le renforcement de la résilience climatique et du développement durable au Sénégal », souligne Olivier Buyoya, directeur régional d’IFC pour l’Afrique de l’Ouest. « L’apport d’un soutien réglementaire et financier à l’adaptation au changement climatique peut permettre aux entreprises d’intégrer des mesures d’adaptation au changement climatique, d’établir des normes de résilience et de promouvoir des pratiques durables. En outre, des produits financiers adaptés tels que des prêts à faible taux d’intérêt, des garanties de crédit et des allégements fiscaux et subventions ciblés peuvent aider les entreprises à investir dans des infrastructures essentielles résilientes au climat. Le rapport appelle à des investissements stratégiques et à des réformes des politiques pour mobiliser des ressources et créer un environnement propice à l’action climatique. La participation du secteur privé et la mobilisation de diverses sources de financement sont des étapes essentielles pour atteindre les objectifs climatiques et de développement du Sénégal. BM
Calendrier des qualifications pour la CAN 2025 : 5e et 6e journées
Mercredi 13 novembre 13h : Namibie vs Cameroun, Orlando Stadium, Johannesburg (Afrique du Sud) 16h : Liberia vs Togo, Paynesville 19h : Tchad vs Sierra Leone, Stade d’Ebimpé, Abidjan (Côte d’Ivoire) Jeudi 14 novembre 13h : Guinée-Équatoriale vs Algérie, Malabo 13h : Lesotho vs Centrafrique, Toyota Stadium, Bloemfontein (Afrique du Sud) 13h : Soudan du Sud vs Congo, Juba 15h : Burundi vs Malawi, Stade Félix Houphouët-Boigny, Abidjan (Côte d’Ivoire) 16h : Rwanda vs Libye, Kigali 16h : Niger vs Soudan, Lomé (Togo) 16h : Madagascar vs Tunisie, FNB Stadium, Johannesburg (Afrique du Sud) 19h : Bénin vs Nigeria, Stade Félix Houphouët-Boigny, Abidjan (Côte d’Ivoire) 19h : Burkina Faso vs Sénégal, Stade du 26 Mars, Bamako (Mali) Vendredi 15 novembre 13h : Botswana vs Mauritanie, Francistown 13h : Ouganda vs Afrique du Sud, Kampala 16h : Mozambique vs Mali, Maputo 16h : Cap-Vert vs Égypte, Praia 16h : Zambie vs Côte d’Ivoire, Ndola 16h : Zimbabwe vs Kenya, Orlando Stadium, Johannesburg (Afrique du Sud) 16h : Eswatini vs Guinée-Bissau, Nelspruit 19h : Gambie vs Comores, Berkane (Maroc) 19h : Angola vs Ghana, Luanda 19h : Gabon vs Maroc, Franceville Samedi 16 novembre 16h : Éthiopie vs Tanzanie, Stade des Martyrs, Kinshasa (RDC) 19h : Guinée vs RDC, Stade d’Ebimpé, Abidjan (Côte d’Ivoire) 6e journée des éliminatoires (heure UTC) Dimanche 17 novembre 16h : Algérie vs Liberia, Tizi-Ouzou 16h : Togo vs Guinée-Équatoriale, Lomé Lundi 18 novembre 13h : Malawi vs Burkina Faso, Lilongwe 16h : Nigeria vs Rwanda, Uyo 16h : Soudan vs Angola, lieu à confirmer 16h : Libye vs Bénin, Tripoli 16h : Ghana vs Niger, Accra 19h : Tunisie vs Gambie, Tunis 19h : Comores vs Madagascar, El Hoceima (Maroc) 19h : Centrafrique vs Gabon, Orlando Stadium, Johannesburg (Afrique du Sud) 19h : Maroc vs Lesotho, Oujda Mardi 19 novembre 13h : Afrique du Sud vs Soudan du Sud, Cape Town 13h : Kenya vs Namibie, Polokwane (Afrique du Sud) 13h : Congo vs Ouganda, Brazzaville 13h : Cameroun vs Zimbabwe, Yaoundé 16h : Égypte vs Botswana, Le Caire 16h : Mauritanie vs Cap-Vert, Nouakchott 16h : Guinée-Bissau vs Mozambique, Bissau 16h : RDC vs Éthiopie, Kinshasa 16h : Tanzanie vs Guinée, Dar Es Salam 16h : Sierra Leone vs Zambie, Monrovia (Liberia) 16h : Mali vs Eswatini, Bamako 16h : Côte d’Ivoire vs Tchad, Stade Félix Houphouët-Boigny, Abidjan 19h : Sénégal vs Burundi, Diamniadio. Ce programme offre une vue d’ensemble claire et précise des rencontres de la phase qualificative pour la CAN 2025. Ya Willy.