Culture/Publication : Nouvelles voix(es), les jeunes architectes des villes secondaires de demain

Tel est le nom de la prochaine publication (livre) qui sera lancée, par la maison, « Je m’engage pour l’Afrique, le 20 septembre 2023, à Paris (France), au Comité des villes africaines du Salon INNOPOLIS, fruit de la Résidence JMA, et un programme d’élaboration de politiques publiques par les jeunes. Selon le communiqué de presse publié par les organisateurs, cette première édition s’est concentrée sur l’attractivité des villes africaines, en mettant l’accent sur les villes secondaires. Les résidents, originaires de neuf pays d’Afrique et d’Europe, ont travaillé sur les questions de mobilité, tourisme, gouvernance et emploi dans trois villes : Aného (Togo), Abomey Calavi (Bénin) et Ben Guérir (Maroc). « Je m’engage pour l’Afrique » a lancé, en mai dernier, la Résidence JMA, un programme visant à encourager la participation citoyenne des jeunes et à renforcer leur influence auprès des décideurs publics et privés. Cette résidence qui a duré 3 mois, a permis aux 20 jeunes, sélectionnés par candidature, de suivre des formations, de participer à des débats et réfléchir à des enjeux cruciaux pour le développement de l’Afrique. Ils ont eu des échanges avec des acteurs tels que Climate Chance, l’Agence française de développement, l’Institut de Recherche en Énergie Solaire et Énergies Nouvelles, et le Fonds mondial pour le développement des villes, entre autres, pour affiner leurs opinions sur les thématiques de la résidence. Une jeunesse engagée Ces jeunes ont également initié un dialogue constructif avec les décideurs publics et privés de ces 3 villes pour identifier les opportunités et les enjeux locaux. À titre d’exemple, ils ont rencontré le maire d’Aného (Togo) pour discuter des aspirations de la ville, des besoins en matière de tourisme, d’environnement et d’emploi des jeunes, alimentant ainsi leurs recommandations et stimulant un dialogue multi-acteurs pour mener à bien cette mission. Au terme de leur résident et des travaux, ils ont présenté leurs propositions citoyennes à un jury de haut niveau composé de Houda Bendib (Architecte), Kolia Benié (Elue Paris 19e), Crystal Cordell Paris (Directrice du campus Afrique SciencesPo), Malick Diawara (Responsable éditoriale Le Point Afrique), Jessy Fula (Directeur développement chez Apos Media), Marie-France Réveillard (Journaliste à La Tribune Afrique et Forbes Afrique), Sophie Renaud (Directrice coopération et dialogue des sociétés à l’institut français). Ainsi, lors du salon Innopolis à Paris, le 20 septembre prochain, la première promotion de la Résidence présentera les résultats de trois mois de travail (environ 6 jours de travail par Résident) dans un ouvrage intitulé « Nouvelles voix ». La présentation de la Résidence sera suivie d’une conférence sur la thématique : comment repenser les mobilités en Afrique en présence notamment de Jules Samain (CEO de Spiro), Alain Bloch, Franck Okpeicha (Président de la Communauté de communes du Plateau au Bénin) et André Diouf (Consultant Senior EY et participant à la Résidence JMA). Outre cette présentation, la Résidence JMA publiera également des podcasts sur l’attractivité des villes africaines, organisera des sessions de coaching pour aider les citoyens à concrétiser leurs idées, et favoriser des rencontres avec des décideurs publics et privés pour continuer à promouvoir le débat d’idées.A noter que ces jeunes sont étudiants, chercheurs, consultants, chefs de projet, responsables associatifs. Ensemble, ils ont choisi de s’engager et de faire entendre leur voix. Quid sur JMA et en chiffres Le concept « Je m’engage pour l’Afrique (JMA) » est un projet citoyen du duo Forbes Under 30 Afrique, Ileana Santos et Amina Zakhnouf, lancé en janvier 2021, Ce projet s’inspire du Policy Cycle pour construire un cercle vertueux des politiques publiques pour une Afrique excellente et donne aux jeunes un rôle clé dans l’élaboration des politiques publiques. A l’origine de sa création, un constat simple : l’avenir du monde se joue en Afrique, et pourtant les premiers concernés semblent peu présents dans le débat public. Chaque jour, des initiatives dans des domaines tels que la santé, la culture, la finance, l’agriculture, l’urbanisme, le numérique et la formation révolutionnent les normes. De Lomé à Alger, de Lyon à Abidjan, de Cotonou à Tanger, ces initiatives témoignent de l’engagement citoyen en quête d’une expression publique. A ce jour, le JMA c’est : +15 000 acteurs engagés pour l’Afrique, + 50 experts, +300 bénéficiaires et un ancrage dans aujourd’hui 7 pays : Bénin, Belgique, Côte d’Ivoire, Cameroun, France, Maroc et Togo. Wilfrid Lawilla D.
Espagne. Real Madrid : Scandale au sein de Valdebebas !

Des joueurs de l’académie du Real Madrid ont été arrêtés après que l’un d’eux a enregistré une vidéo sexuelle avec une fille de moins de 16 ans et l’a partagée avec d’autres sur Whatsapp. La Garde Civile des Îles Canaries a arrêté trois joueurs des équipes de jeunes du Real Madrid pour avoir diffusé une vidéo sexuelle d’une mineure. Des sources proches d’eux assurent que les relations étaient consensuelles et l’enregistrement également l’accusation est qu’ils diffusent la vidéo à des tiers sans autorisation. Pour l’instant, aucune procédure judiciaire n’a été ouverte pour ces événements. L’histoire a été publiée pour la première fois par Elconfidencial . Les 3 joueurs arrêtés sont du Real Madrid Castilla et du Real Madrid C. #relevo RUPTURE : Le Real Madrid confirme officiellement que les joueurs arrêtés sont 1 du Real Madrid Castilla et 3 du Real Madrid C. Ya Willi
Bénin: Conseil des Ministres du mercredi 13 septembre 2023

Le Conseil des Ministres s’est réuni mercredi, le 13 septembre 2023, sous la présidence de Monsieur Patrice TALON, Président de la République, Chef de l’État, Chef du Gouvernement. Les décisions ci-après ont été prises : I- MESURES NORMATIVES. I-1. Revalorisation des pensions et des rentes servies aux assurés de la Caisse nationale de Sécurité sociale (CNSS). La revalorisation des salaires des fonctionnaires de l’État, décidée par le Gouvernement pour compter de décembre 2022 a, de facto, induit celle des pensions des retraités relevant du Fonds national des retraites du Bénin. Une telle dynamique appelle nécessairement des mesures en faveur des pensionnés et rentiers du régime général de sécurité sociale géré par la CNSS, surtout que les pensions de ceux-ci, contrairement à ceux régis par le Fonds national des retraites, n’ont pas connu de revalorisation. C’est pourquoi, tenant compte des réalités du coût de vieet pour éviter une baisse significative du pouvoir d’achat de ces retraités et rentiers, le Conseil s’est prononcé en faveur de l’adoption des présents décrets pour un relèvement des pensions dans les proportions comprises entre 30% et 1% suivant les différentes tranches. Aux termes de la loi portant code de la sécurité sociale en République du Bénin, « Le montant mensuel de la pension de vieillesse ou d’invalidité ne peut être inférieur à 60 % du salaire minimum interprofessionnel garanti du territoire national et ne peut être supérieur à 80 % de la rémunération mensuelle moyenne de l’assuré (…) ». Or, la pension minimum est actuellement de 24.000 FCFA. Aussi, de façon spécifique, le Conseil a-t-il acté la revalorisation des pensions comprises entre 24.000 FCFA et 25.900 FCFA, pour les porter à 31.200 FCFA. Quant aux pensions comprises entre 26.000 FCFA et 75.000 FCFA, elles connaîtront un relèvement de 20% tandis que celles allant de 75.100 FCFA à 85.700 FCFA seront portées à 90.000 FCFA. S’agissant des pensions de la tranche de 85.800 FCFA à 150.000 FCFA, elles seront revalorisées à hauteur de 5%, celles allant de 150.100 FCFA à 152.900 FCFA seront portées à 157.500 FCFA. En ce qui concerne les pensions de la tranche de 153.000 FCFA à 250.000 FCFA, elles connaîtront une revalorisation de 3% ; celles allant de 250.100 FCFA à 254.900 FCFA seront portées à 257.500 FCFA. Enfin, celles supérieures ou égales à 255.000 FCFA bénéficieront d’un relèvement de 1%. A propos des rentes, qui sont concédées à titre temporaire, elles font l’objet d’une revalorisation au taux unique de 5,3% plutôt qu’un taux dégradé par tranche comme pour les pensions. Ceci, afin de rester dans le même esprit de revalorisation qu’au niveau des pensions et ne pas créer une injustice sociale. Il est à souligner que ces augmentations prennent effet rétroactivement pour compter du 1er janvier 2023. Le Gouvernement saisit cette occasion pour exhorter à nouveau les employeurs du secteur privé qui ne l’ont pas encore fait, à procéder à l’augmentation des salaires de leurs travailleurs dans le cadre du dialogue social interne de l’entreprise. I-2. Règlementation de l’affichage publicitaire dans les communes du Grand Nokoué. Les Affiches publicitaires, omniprésentes dans les rues de nos communes, sont apposées de manière anarchique et illégale, de sorte qu’elles envahissent toutes les grandes artères de nos villes, en particulier, celles du Grand Nokoué, occasionnant ainsi des nuisances qui affectent l’environnement. En effet, cette forme de pollution visuelle repose sur des critères non esthétiques, dont les cibles sont notamment les mâts de lampadaires, les poteaux électriques, les panneaux de signalisation routière, les anciens supports médiatiques. Toutes ces installions en papier ou en matière plastique, dégradent l’espace public et privé de nos villes qui ont pour vocation, entre autres, d’offrir aux populations un cadre de vie sain et agréable. Par ailleurs, les nuisances visuelles constituent au Bénin un problème de santé publique d’autant que leurs auteurs, qui les déploient parfois même sans aucune autorisation, ne prennent généralement aucune disposition après les évènements pour assainir l’environnement pollué de leur fait. Le présent décret a donc pour objet de prévenir la dégradation de la qualité paysagère et environnementale des axes urbains des villes du Grand Nokoué. Sa mise en œuvre contribuera à la protection de l’environnement et de la santé. Aussi, prescrit-il que les affiches publicitaires sont formellement interdites sur : En conséquence, tout auteur de pollution visuelle avant l’entrée en vigueur du présent décret, dispose d’un délai de trois mois à compter de la date de sa publication, pour se conformer à ses dispositions. Les ministres concernés prendront les dispositions nécessaires en vue de sa stricte application. Au titre des autres mesures normatives, ont été adoptés les décrets portant : II- COMMUNICATIONS. Mise en place d’un pôle d’excellence en oto-rhino-laryngologie (ORL) ainsi que pour le renforcement de la formation et de la recherche en cardiologie conventionnelle au Bénin. Les cas de pathologie en ORL comptent parmi les principales causes d’évacuations sanitaires de notre pays vers l’étranger. La construction et l’équipement d’un centre de référence destiné à leur prise en charge, dans le souci de réduire les coûts liés à ces évacuations tout en améliorant l’accès des populations aux soins spécifiques, constituent une réponse qu’apporte le Gouvernement à travers la construction du Centre hospitalier international de Calavi. Dans la perspective du fonctionnement efficient de ce centre de référence, il s’avère indispensable de disposer de ressources humaines ayant les compétences requises pour une offre de soins de qualité en ORL dans un environnement adéquat. Aussi, est-il indiqué de développer ce pôle de compétences spécifiques, en relevant le niveau du plateau technique existant à travers des équipements d’imagerie de récente génération qui ont permis des progrès considérables ces dernières années et sont devenus par conséquent indispensables ; le tout en assurant au moyen d’un transfert de compétences, une mise à niveau des professionnels du domaine. En outre, relativement à la cardiologie conventionnelle, l’absence d’enseignants titulaires dans cette discipline handicape la formation et l’encadrement des étudiants en spécialisation à l’unité de formation et de recherche en cardiologie du Centre national hospitalier universitaire Hubert Koutoukou MAGA de Cotonou. Il existe donc un besoin pressant d’enseignants de ce rang en vue de maintenir ce pôle de formation.
RD Congo. Instant détente avec Koffi Olomide dans « Mwinda » (Audio Officiel)
RD Congo. Instant détente avec Fabregas le Métis Noir dans « Menace » (Clip Officiel)
RDC/Prof. Lohata Tambwe: que faire pour que la population endosse les candidatures des hommes intègres et patriotes?

TRIBUNE. « Peut-on accepter que les prédateurs et les incompétents reviennent encore en 2024 ? », s’interroge le Professeur Lohata Tambwe Okitokosa Paul-René dans une tribune à Pagesafrik.com. Les candidatures de la plupart de présidentiables n’intéressent pas les congolais. Pour susciter l’attention, on doit n’avoir pas géré ou n’avoir pas mal géré au sommet de l’Etat. Aujourd’hui, quelle est la personne qui peut prétendre avoir bien géré ? Le népotisme, la jouissance, l’impunité, le détournement, l’incompétence et même la trahison les collent à la peau. Dommage que les jeunes flatteurs affamés et fanatiques soient emportés par autre chose bien qu’ils en soient encore les premières victimes !!! Que faire pour que la population endosse les candidatures des hommes intègres et patriotes comme Mukwege ou Diongo à supposer que les élections soient propres ? Peut-on accepter que les prédateurs et les incompétents reviennent encore en 2024 ? Le processus électoral ne nous garantit rien dans le sens de crédibilité des élections prochaines. Faut-il croiser les bras ou recourir à l’article 64 ? Cette disposition étant constitutionnelle, c’est une solution résiduelle. Par ailleurs, les jeunes comme Mutamba ou Kazadi, doivent être patients, pour prouver en gérant leurs partis politiques ou entreprises ou encore ong de manière performante comme Mukwege l’a fait à Panzi ou Diongo au MLP. On ne gère pas l’Etat sans une expérience concluante dans un secteur social. De plus, ces deux (Mukwege et Diongo) derniers ont prouvé aussi leur patriotisme : ils n’ont jamais appartenu à un parti politique né de guerre ou ayant fait la guerre; ils se font encore remarquer par leurs positions contre kagame. S’agissant des candidats jeunes, malgré la pesanteur du passé qui les ( Mutamba et Kazadi) a rapprochés de J Kabila ou de Fatshi , ils ont intérêt à soutenir les candidats propres, lesquels n’ont rien à voir avec les richesses d’origine étatique. Par Professeur Lohata Tambwe Okitokosa Paul-René.
Tanger/Théâtre : report de la présentation la pièce “Yemoley et Yemoh sous l’arbre à palabres”

ARTS. The Minority Globe annonce le report de la présentation de la pièce de théâtre “Yemoley et Yemoh sous l’arbre à palabres”, initialement prévue le 14 septembre à Tanger, en soutien aux familles des victimes du séisme de la région d’Al Haouz. « Yemoley et Yemoh sous l’arbre à Palabres » sensibilise par le théâtre à la migration liée au changement climatique, mais également à la tolérance et au rôle positif de la migration pour le développement durable. Des ateliers animés par les comédien.ne.s de la pièce, des amateurs et professionnel.le.s de cinq nationalités différentes, sont proposés à des jeunes en marge de la pièce de théâtre afin de leur donner des outils concrets pour mieux comprendre le monde. Dans cette pièce, différentes langues sont parlées, la danse et le chant jouent une place centrale en tant que langage universel. Par ailleurs, une comédienne présente en darija chaque scène aux publics afin de favoriser la compréhension par tous et toutes. Cette pièce parle des jumeaux Yemoley et Yemoh, qui après une crise écologique, sont forcés de quitter leur village et ainsi s’adapter à un nouveau mode de vie. Les deux enfants se battent pour trouver leur place dans un monde brutal et reconstruire leur quotidien respectueux de l’environnement. La pièce questionne le potentiel de l’individu à s’adapter au changement climatique et à l’incertitude comme potentiels facteurs de résilience. Elle est prévue d’être jouée à Tanger et à Marrakech cette automne 2023 en partenariat avec la Fondation Heinrich Böell et l’Ambassade de France au Maroc.
Le ministre du logement, M. Dangiwa, succède à M. Fashola en tant que président du bureau de l’assemblée générale extraordinaire de Shelter Afrique

Le nouveau ministre du Logement et du Développement urbain du Nigeria, l’architecte Ahmed Musa Dangiwa, a succédé à son prédécesseur Babatunde Raji Fashola, SAN, CON, à la présidence du Bureau de l’Assemblée générale annuelle (AGA) de Shelter Afrique. M. Fashola a succédé au ministre zimbabwéen du logement et des équipements sociaux, M. Daniel Garwe, lors de la 42e assemblée générale annuelle de la société, qui s’est tenue en mai dernier à Abuja, au Nigeria. L’Arc. Dangiwa a succédé à M. Fashola après sa nomination à la tête du ministère du logement et du développement urbain par la nouvelle administration. En tant que nouveau président du bureau de l’AGA. Arc. Dangiwa aura pour première tâche de présider l’Assemblée générale extraordinaire (AGE) de Shelter Afrique prévue du 3 au 6 octobre 2023 au Centre international de conférences (CIC) à Alger, en Algérie, où les actionnaires devraient approuver les statuts révisés de l’institution. Il sera également chargé d’assurer le succès de la 43e AGA de la société prévue l’année prochaine à Kigali, au Rwanda. L’Arc. M. Ernest Nsabimana, ministre rwandais des infrastructures, et M. Mohamed Tarek Belaribi, ministre algérien de l’habitat, de l’urbanisme et de la ville, sont les adjoints de M. Dangiwa. L’Algérie devrait également accueillir la 44e assemblée générale de Shelter Afrique en 2025. Principaux engagements Accueil de l’Arc. Chii Akporji, a assuré le ministre du soutien du conseil d’administration, de la direction et du personnel de Shelter Afrique, ajoutant que l’équipe était impatiente de travailler en étroite collaboration avec son bureau pour assurer le succès de son mandat. « Nous avons informé Arc. Dangiwa sur les opérations de Shelter Afrique au Nigeria, y compris l’obligation historique libellée en naira qui a été lancée au début de l’année dernière. Nous avons également informé le ministre sur d’autres initiatives clés au sein de l’Organisation, notamment le processus de révision des statuts, pour lequel nous aimerions solliciter son soutien sans faille en vue de l’approbation du document d’accord. Cela est nécessaire pour consolider les progrès réalisés jusqu’à présent en plaçant Shelter Afrique sur la voie de la croissance », a ajouté M. Akporji. Akporji a également indiqué que la société sollicitait l’intervention du ministre pour que le gouvernement nigérian honore sa souscription au capital de 21 millions de dollars US, approuvée par l’administration précédente mais qui n’avait pas été débloquée à la fin de son mandat. Le Nigeria est actuellement le deuxième actionnaire de Shelter Afrique après le Kenya. Shelter-Afrique est une institution panafricaine de financement et de développement du logement créée par les gouvernements africains pour répondre au besoin d’un système durable de fourniture de logements et de projets d’infrastructure connexes en Afrique. L’institution fournit des solutions financières et des services connexes pour soutenir l’offre et la demande de la chaîne de valeur du logement abordable. Elle fournit également des services de conseil et de gestion de projets pour des projets de logements abordables à grande échelle. Elle est actuellement détenue par 44 pays africains, la Banque africaine de développement (BAD) et la Société africaine de réassurance (Africa-Re).