La pandémie de la COVID-19 fait des ravages dans les camps Sahraouis de la mort à Tindouf, en Algérie
Des organisations humanitaires et des représentants du Haut Commissariat des Nations-Unies pour les Réfugiés viennent de tirer l’alarme sur la situation alarmante dans les camps des séquestrés Sahraouis marocains sis à Tindouf en Algérie où l’on assiste à une propagation exponentielle de la pandémie de la COVID-19. Ce sinistre constat a conduit le Haut Commissariat des Nations-Unies pour les Réfugiés à déclarer les camps des séquestrés Sahraouis marocains de Tndouf zone sinistrée. Selon un dernier bilan, communiqué par les autorités algériennes et leur pantins polisariens, il est fait état de près de 500 cas confirmés de la COVID-19, dont le président du soi-disant croissant-rouge du polisario, Bouhbiny Yahya Bouhbini, et plus d’une trentaine de décès suite à l’abandon de ces camps des séquestrés Sahraouis marocains par l’Algérie, sa tutrice. A ce sujet, l’ONU a été informée de la propagation inquiétante de la pandémie dans les camps des séquestrés Sahraouis de Tindouf contrôlés par le polisario, dans le Sud de l’Algérie, où le personnel de l’ONU aurait été infecté par le virus. Raison pour laquelle, un représentant du Haut-Commissariat des Nations-Unies pour les Réfugiés à Tindouf a informé Monsieur Collin Stewart, Chef de la MINURSO, d’un dangereux pic de cas de la COVID-19 dans les camps de Tindouf, soulignant que quatre membres de son équipe ont été testés positifs au virus contagieux. La question de la pandémie dans les camps de Tindouf avait été évoquée au Parlement Européen dès avril 2020 par la députée belge Frédérique Ries qui signalait que les conditions de santé sont déplorables et que les équipements de base nécessaires pour traiter les personnes contaminées par le virus font défaut. A noter que les conditions de santé dans ces de la honte à Tindouf sont déplorables et le manque d’équipements nécessaires pour traiter les personnes contaminées par la COVID-19 complète ce sombre tableau. Autant dire que la situation est très inquiétante, bien au-delà des statistiques officielles communiquées par les polisariens et l’Algérie. Cette situation pandémique a conduit le terropolisarien Brahim Ghali, contaminé à la COVID-19 et atteint d’un cancer du pancréas en phase terminale, en Espagne où il a été hospitalisé sous une fausse identité et ce, après avoir obtenu des garanties du pouvoir espagnol de ne pas le poursuivre à sa sortie de l’hôpital. Force est donc de constater que les camps de la mort de Tindouf dépendent totalement de l’Algérie et des dizaines de milliers de Marocains sahraouis séquestrés y vivent dans des conditions déplorables en raison du manque d’infrastructures sanitaires, de médicaments et de nourriture, tandis que l’Algérie, elle-même, lutte pour faire face à la pandémie et est dramatiquement en retard dans la campagne de vaccination par rapport aux pays voisins. Le Maroc, qui prend la tête de l’Afrique, a jusqu’à présent vacciné 8,7 millions de personnes, dont 4,1 millions ayant reçu leur deuxième vaccin, tandis que l’Algérie n’a vacciné que 75 000 personnes sur une population de près de 45 millions d’habitants. Farid Mnebhi.
Tindouf centre névralgique du terrorisme d’État par polisario interposé
Tout d’abord, un camp de réfugiés est constitué de logements précaires et temporaires afin d’y accueillir des personnes déplacées contre leur gré et est érigé par des gouvernements ou des ONG’s telles que la Croix-Rouge ou Croissant Rouge. C’est un espace humanitaire artificiel, fondé sur un système urbain pour une durée limitée à la suite d’une catastrophe naturelle ou d’une crise politique. Or à Tindouf il existe de nombreux camps de torture et d’exécution tel celui dit camp Rachid destinés aux Sahraouis embastillés dans les camps de la honte qui tentent de balbutier le mot démocratie et notamment contre ceux qui s’opposent aux thèses polisariennes et ce, aux bons soins des caporaux algériens. Plusieurs de ces anciens prisonniers du camp Rachid ont pu rejoindre leur Mère-Patrie qu’est le Maroc mais ils sont constamment sous la menace polisarienne d’une liquidation physique en donnant ordre à leurs sbires de l’intérieur des Provinces sahariennes marocaines de les exécuter de manière abominable et ce, au cas où ils dénonceraient les crimes polisariens contre les Sahraouis marocains détenus à Tindouf sur le sol algérien. Aussi, est-il devenu plus qu’urgent pour les organisations de défense des Droits Humains agissant au niveau international d’inscrire dans leurs dossiers les militants Sahraouis marocains à qui le polisario cherche la mort, et à demander à l’Algérie de remettre les terroristes qui menacent de les tuer à la justice internationale. L’implication directe des dirigeants algériensdans ces crimes du camps Rachid et de tant d’autres est prouvée.Le polisario a assassiné, avec le soutien des caporaux algériens, cadres et intellectuels sahraouis dans la prison du camp Rachid. Des polisariens qui ont vendu leurs âmes et qui resteront à genoux comme des marionnettes toute leur vie à l’ordre du régime fasciste du Palais de la Mouradia d’Alger. Farid Mnebhi.
Quel beau geste du Royaume du Maroc
TRIBUNE. Il est acquis que le Maroc était disposé à apporter toute son assistance à ses ressortissants sahraouis séquestrés dans les camps de la honte de Tindouf en Algérie en leur fournissant, via la MINURSO, 20 000 doses de vaccins contre la COVID-19. Une aide que le Roi Mohammed VI, connu pour ses positions humanitaires envers les plus vulnérables, notamment les ressortissants marocains embastillés contre leur gré dans des camps militaires où leur sont imposés un diktat contraire aux principes du Droit International, a présenté aux autorités algériennes afin que ces vaccins soient inoculés aux sahraouis marocains embastillés dans les camps de la mort de Lahmada et ce, après l’envoi d’une aide humanitaire de 800 tonnes de denrées alimentaires de première nécessité. Une initiative louable du Royaume du Maroc envers ses citoyens embastillés dans les camps sis à Tindouf et est la démonstration formelle que le régime algérien use comme il lui plaît afin de quémander aide alimentaire et autres et surtout de les détourner à son unique profit mais aussi à ses sbires polisariens. Cette approche du Maroc prouve, si besoin est, que les séquestrés de Tindouf sont bien des détenus marocains et que le Maroc pense à ses citoyens. Cette initiative commémore la précédente initiative entreprise par le Maroc lorsque les Nations-Unies ont alerté l’état de négligence intentionnelle auquel environ 45 000 résidents de ces camps de la mort sont exposés. Ces initiatives embarrassent le régime militaire algérien et dénoncent l’idée qu’il défend un peuple présumé, lui qui se vante de défendre la cause sur la base des principes internationaux au moment même où il dépense des milliards dans la campagne de propagande contre le Maroc et ce, au moment même ou ce régime de caporaux a été incapable de fournir le vaccin contre le coronavirus même au peuple algérien. Il n’a pu disposer que de cent mille doses d’une manière similaire à de la mendicité auprès de ses amis de la Russie. Force est doncde souligner que le régime algérien ne fait pas le nécessaire, ni envers son peuple ni envers les habitants des camps des séquestrés sahraouis marocains, utilisés par l’Algérie comme carte de chantage devant la communauté internationale. En conclusion on peut dire que si le régime algérien interdit l’accès aux camps des réfugiés sahraouis marocains embastillés à Tindouf est qu’il cache beaucoup de choses, que ce soit le nombre de leurs résidents et leur désir de rentrer dans leur Mère-Patrie, le Maroc, mais aussi, et surtout le contrôle des réfugiés par des bandes armées ainsi que groupes terroristes à leur solde qui pullulent sur son territoire et en zone sahélo-saharienne. Farid Mnebhi.
Lorsqu’un Général grabataire se prend pour le Tarzan de l’Afrique
OPINION. L’armée algérienne, complexée, a procédé, les 17 et 18 janvier 2021, à d’importantes et spectaculaires manœuvres militaires aéroterrestres à Tindouf, ville proche des frontières marocaines et au cours desquelles le Tarzan algérien qu’est le Général Saïd Chengriha a tenu un discours d’une agressivité inouïe à l’encontre du Maroc, exhortant ses troupes à se tenir prêtes au combat pour mettre en échec les prétendus plans ignobles ourdis par le Maroc contre l’Algérie. Cet exercice, baptisé « Al-Hazm 2021 » (Résolution 2021), s’est déroulésous la supervision du Chef d’Etat-Major de l’Armée Nationale Populaire, le Général Saïd Chengriha, au cours duquel toute la gamme de l’armement algérien a été exhibée,et a pour objectif de développer l’expérience de combat en raison de l’instabilité régionale, créée, soit dit en passant, par les dirigeants algériens eux mêmes. Raison pour laquelle, ce Général algérien a indiqué que son pays « mérite que son armée soit constamment à la hauteur des enjeux auxquels elle fait face aujourd’hui, et qu’elle demeure éternellement libre, souveraine et tenace face aux ennemis d’hier et d’aujourd’hui », sans citer ces ennemis, mais que tout le monde devine. D’ailleurs, la revue de l’Armée algérienne, El-Djeïch, dans son numéro de décembre 2020, avait appelé les Algériens à se tenir prêts à faire face à des « menaces imminentes » puisque leur payspartage plus de 6500 kilomètres de frontières avec sept pays, dont certains sont en proie à des conflits. A noter que les pontes d’Algérie avaient récemment dénoncé des manœuvres étrangères visant à la déstabiliser et pointé du doigt Israël suite à la reconnaissance par les États-Unis de la souveraineté du Maroc sur son Sahara. Ce discours de guerre remet à l’esprit les virulents propos tenus en 2016 par ceGénéral résolument marocophobe, du temps où il était Commandant de la troisième région militaire, Béchar. Il avait alors qualifié le Maroc de pays ennemi de l’Algérie et du soi-disant peuple sahraoui. La sortie de ce Général Chengrihaqui, à 75 ans, se prend pour pour Dieu le Tout Puissant dans un pays en pleine déliquescence morale, économique et financière et vient aggraver la tension déjà élevée à la frontière terrestre commune du Maroc. En faite, il seprend pour le Tarzan d’Afrique avec le Président Tebboune, qui malheureusement pour lui se trouve en Allemagne pour des soins contre la COVID-19, imitant Jane, et le terropolisarien Brahim Ghali jouant le singe Tcheeta. Il ne lui reste plus qu’à ce Chengriha à sauter de palmier en palmier dans les oasis algériens tout en humant l’odeur du cannabis et de la cocaïne et en hurlant« oh-iih-oh-iih-ooooh-iih-oh-iih-ooooh ». Au fait les parades à deux sous de l’armée algérienne ne font pas peur au Maroc et ce pour la simple raison que les militaires algériens à un dinar sont dirigés par des mercenaires et n’ont aucune formation ou expérience de guerre. Ils décamperont au premier coup de feu face à une armée aussi expérimentée que celle du Maroc et on verra alors ce Général Chengriha s’enfuir sans chemise, sans pantalon et sans godasses se faire courser par les Fennecs le long du Sahara Marocain. Farid Mnebhi.
Le détournement de l’aide humanitaire destinée aux séquestrés sahraouis marocains de Tindouf mis à nu par Eurotoday
TRIBUNE. Du jamais vu, entendu ou lu dans les arcanes de l’Union Européenne, le régime algérien et sa progéniture polisarienne se retrouvent, une nouvelle fois, au cœur d’une affaire de détournement de l’aide humanitaire, destinée aux camps de Tindouf, par l’Algérie et le polisario. En effet, suite à une interview, réalisée avec Walter Grupp, Directeur du bureau de Bruxelles de l’Association de Défense du Contribuable Européen (Taxepayer’s Association of Europe) et publiée par le site d’information européen « Eutoday.net », il est révèlé que rien n’a été fait depuis le rapport de l’OLAF en 2015 sur cette question. Nul n’est en droit de douter, un instant, que le chiffre exact des réfugiés sans les camps de la mort de Tindouf, soi-disant sous contrôle polisarien, dans l’Ouest algérien, soit, jusqu’à ce jour, 17 juillet 2020, inconnu et que les autorités algériennes interdisent à l’Union Européenne de dépêcher une mission pour évaluer la situation et ce, alors même que l’Algérie perçoit une taxe de 5 % sur les aides envoyées via le port d’Oran. Cependant, cette question de détournement de l’aide humanitaire européenne à destination des sahraouis marocains embastillés dans les camps de la honte de Tindouf ne semble pas intéresser une certaine personne au sein des institutions européennes et c’est pourquoi, il est devenu plus qu’urgent de protéger l’argent du contribuable européen en diligentant une enquête sur cette affaire. Pour Eutoday, il est important de défendre les intérêts des séquestrés sahraouis marocains de Tindouf, car elles sont très vulnérables, privées d’eau potable et d’électricité, vivent dans des tentes dans des conditions déplorables et doivent subir en permanence la cupidité des dirigeants du polisario qui s’enrichissent davantage de leur misère. Eutoday s’est également entretenu avec l’eurodéputé bulgare Ilhan Kyuchyuk, qui a récemment soulevé la question du détournement de l’aide humanitaire auprès de la Commission Européenne, lequel a déclaré que « Le Parlement Européen suit de près la situation sur le terrain et prend des mesures lorsque cela est nécessaire. L’argent du contribuable européen doit être dépensé correctement et nous ne devons pas fermer les yeux lorsqu’il y a un tel détournement de fonds », Quant à L’Association de Défense du Contribuable Européen (Taxpayer’s Association of Europe), elle a appelé l’Union Européenne à mener une enquête approfondie sur la poursuite du détournement de l’aide humanitaire, destinée aux camps des embastillés sahraouis marocains de Tindouf, par l’Algérie et le polisario. Aussi, des députés européens viennent de déclencher le mécanisme de saisine officielle du Parlement Européen au sujet du détournement de l’aide humanitaire destinée aux populations séquestrées à Tindouf. Un projet de résolution a été déposé, le09 juillet 2020, dénonçant la poursuite de cette fraude et appelant à un audit de l’aide européenne. A ce sujet, les Commissions de Contrôle Budgétaire et de Développement du Parlement Européen sont toutes deux activement impliquées dans l’enquête sur le cas de détournement des aides humanitaires dans les camps de réfugiés sahraouis marocains de Tindouf, dans le Sud de l’Algérie, comme l’a rapporté EUtoday début juillet 2020. Après avoir été largement à l’origine du tollé suscité au Parlement autour du thème du détournement de l’aide humanitaire européenne, nous revenons aujourd’hui, à travers cet article, pour partager avec nos lecteurs les derniers développements à ce sujet. L’Eurodéputé français Nicolas Bay, Vice-Président du groupe «Identité et Démocratie » du Parlement, a publié très récemment une déclaration accablante dans laquelle il évoque la question de l’enquête 2003-07 sur l’affaire OLAF, le bureau anti-fraude de l’UE. Sa collègue, Dominique Bilde, prenant la parole lors d’une audition de la Commission du Développement du Parlement afin de confronter le Commissaire européen Janez Lenarčič, en charge de l’aide humanitaire, a appelé à une enquête rapide et déclaré qu’une partie de l’aide humanitaire serait vendue pour aider à acheter du matériel militaire, des chars et des missiles, et le nombre de réfugiés serait considérablement surestimé afin de capter plus de subventions. Ce à quoi, le Commissaire Lenarčič a confirmé « qu’il existe souvent des doutes sur les chiffres réels dans les zones auxquelles nous ne pouvons pas accéder ». L’Algérie et le polisario refusent systématiquement tout recensement de la population, malgré les appels multiples d’organisations internationales telles que l’ONU et le HCR. Aussi, Madame Dominique Bilde, avec l’Eurodéputé allemand Bernhard Zimniok et Gianna Gancia d’Italie, les deux membres de la Commission du Développement du Parlement, a déposé, le 09 juillet 2020 une proposition de résolution sur la question qui : Demande à l’Union européenne de coopérer avec les Nations-Unies pour superviser un recensement des réfugiés des camps de Tindouf en collaboration avec les autorités compétentes en Algérie, Demande à l’Union européenne de contrôler l’utilisation de l’aide humanitaire européenne par le Polisario depuis 2015. Il s’agit aussi de défendre les intérêts des séquestrés de Tindouf, « ces personnes très vulnérables, en plus d’être privées d’eau potable et d’électricité et de vivre dans des tentes dans des conditions déplorables, doivent subir la cupidité des dirigeants du polisario qui s’enrichissent davantage de leur misère », a t’elle affirmé. Il convient de répéter que le polisario a été fondé par les autorités algériennes comme une organisation marxiste-léniniste, même si elle prétend avoir maintenant adopté l’économie de marché libre, et qui, comme en témoigne un rapport de la CIA de 1983, a reçu du matériel militaire de Cuba et de l’Union Soviétique. Farid Mnebhi.
L’État algérien unique responsable des violations des Droits de l’Homme dans les camps des séquestrés sahraouis marocains de Tindouf
TRIBUNE. Suite à une plainte d’El Fadel Breica contre l’État Algérien, le Groupe de Travail des Nations-Unies sur le Détention Arbitraire (GTDA/ONU) a rendu publique sa décision, début juillet 2020 lors de sa 87ème session, en affirmant que « la responsabilité de l’État algérien était engagée du fait qu’El Fadel Breica était à Tindouf, sur le territoire algérien et donc sous la compétence territoriale de l’Algérie ». Une conclusion des plus accablantes pour les autorités algériennes et ses morpions polisariens. Cette décision de l’organisme onusien concerne la plainte de l’opposant au polisario, El Fadel Breica, contre l’État algérien pour enlèvement, torture, séquestration et détention illégale pendant plus de quatre mois, sur le territoire algérien, par les terroristes polisariens et les services de sécurité algériens. La détention d’El Fadel Breica sans qu’aucun mandat d’arrêt ne lui soit présenté, qu’il n’a pas été informé des raisons de son arrestation, qu’il n’a pas non plus été informé des raisons de son arrestation, qu’il n’a pas été présenté devant un juge pendant les quatre mois de sa détention et que son droit à un recours effectif a été violé ce qui fait que l’arrestation et la détention de El Fadel Breica n’ont pas de base légale et sont arbitraires. Aussi, préoccupés par la prolifération des pratiques de détention arbitraire dans les camps des sahraouis marocains internés dans les camps de la mort de Tindouf, les experts du GTDA/ONU ont demandé à l’État algérien de leur faciliter une visite en Algérie afin d’engager des discussions avec le gouvernement algérien à ce sujet. Ils ont également sommé les autorités algériennes, sur le cas précis d’El Fadel Breica, de prendre les mesures adéquates pour l’ouverture d’une enquête approfondie et indépendante sur les circonstances de la privation arbitraire de liberté de Breica, de prendre les mesures nécessaires contres les responsables de la violation de ses droits et pour la réparation des préjudices subis conformément au Droit International, tout en invitant le Gouvernement algérien à rendre compte au CTDA/ONU à propos de la mise en œuvre de ces recommandations et ce, dans un délai de six mois. A travers la clarté de sa décision, qui a balayé d’un revers de main les manœuvres de l’Algérie visant à semer l’ambiguïté à propos de sa responsabilité dans les crimes abjects perpétrés impunément sur son territoire, par son armée et ses suppôts du polisario, cet organe onusien vient d’ouvrir la voie aux centaines de victimes et de leurs ayants droit pour réclamer des comptes à leurs bourreaux et une réparation matérielle et morale à leurs protecteurs. Un autre mérite de la décision du GTDA/ONU, et non des moindres, est le dévoilement au grand jour du vrai visage des prétendus défenseurs des Droits de l’Homme, qui font preuve de cécité totale par rapport aux atrocités commises à l’encontre des populations sahraouies marocaines des camps de Tindouf par leurs donneurs d’ordre, dont la générosité a aiguisé outre mesure la sensibilité de ces entrepreneurs des Droits Humains pour les rendre outrancièrement réceptifs à la propagande fallacieuse des polisariens contre le Maroc. Il est a noter que la nature des discours véhiculés et les parties d’où ils émanent, en plus des moyens adoptés, montrent bel et bien qu’il s’agit d’une propagande visant à décrédibiliser les acquis réalisés par le Maroc dans les Provinces de Sud marocain. Le bilan désastreux des Droits de l’Homme de l’Algérie, qui a déclenché cette campagne de propagande dépourvue de crédibilité, ne peut être comparé à celui du Maroc qui a réalisé des avancées indéniables en matière de promotion et de protection des Droits Humains au cours des dernières années. l’Algérie se contredit elle-même dans ce dossier, étant donné qu’elle a toujours refusé le recensement de la population Sahraouie marocaine des camps de Tindouf ou de recevoir les émissaires de l’ONU pour les Droits de l’Homme. Enlèvement, torture, séquestration et détention illégale tels sont le credo des responsables de l’État algérien dans les violation des Droits de l’Homme aux camps de la mort de Tindoufet cet organisme de l’ONU établit formellement la responsabilité de l’Etat algérien dans les violations des Droits de l’Homme dans ces camps placé sous la responsabilité unique de l’Algérie puisque situés en territoire algérien. Au fait, il est plus qu’urgent que les responsables onusiens et européens dépêchent une délégation pour enquêter sur les graves violations des Droits de l’Homme en Kabylie et dans le Sud algérien. Farid Mnebhi.
Les dirigeants algériens et polisariens n’ont aucun respect humain pour les embastillés des camps de la honte de Tindouf
TRIBUNE. Alors que le mois sacré du mois de Ramadan s’est annoncé, les habitants sahraouis marocains des camps de la mort sis à Tindouf en territoire algérien sont privés des aides internationales par les polisariens et les responsables algériens afin d’en profiter grassement. Nul ne peut, aujourd’hui, nier que ces malfrats de militaires algériens et du polisario profitent de la pandémie du Coronavirus (COVID-19) pour exercer leur diktat sur une population embastillée au risque de créer une catastrophe humanitaire sans précédent. En effet, seule une infime minorité de sahraouis marocains séquestrés dispose de quelques moyens financiers pour pouvoir acheter des produits alimentaires, du carburant, de l’eau et bien d’autres choses essentielles tant les prix affichés par ces voleurs de grands chemins sont hors de portée pour la grande majorité de ces sahraouis marocains sans aucun revenu. Mieux, l’Italie avait réalisé, en 2015, un complexe de production de viande de volailles afin que les produits soient distribués gratuitement aux sahraouis marocains des camps de la mort de Tindouf afin de contribuer, un tant soit peu, à sauvegarder un semblant autosuffisance alimentaire, ou, du moins, à leur survie. Mais, l’appât du gain malhonnête du terropolisarien Brahim Ghali, a fait que ce complexe avicole soit devenu sa propriété dont les produits sont directement vendus à des prix défiant l’entendement humain. Pis,il s’est même permis de conclure un contrat avec une base militaire algérienne de Tindouf pour la fourniture régulière en oeufs frais Autre exemple de privation dont sont l’objet les séquestrés sahraouis marocains des camps de la mort de Tindouf est l’eau, denrée essentielle à la vie, qui leur est vendue aux grand jour par ces larbins polisariens. Avec ce confinement mondial, pas un seul témoin ne peut poser, aujourd’hui, le pied à Tindouf et les polisariens en profitent allègrement pour se remplir les poches sur le dos des séquestrés sahraouis marocains des camps de la honte de Tindouf avec le soutien des responsables algériens Privés de tout et vivant en cloisonnement plutôt qu’en confinement, les Sahraouis des camps de la honte de Tindouf se sentent comme des paria, surtout depuis que l’Algérie a fermé ses frontières. Une situation explosive qui provoque un bouillonnement dans les camps et une colère sourde contre Brahim Ghali et toute la direction du polisario. Il est sûr que cette effervescence a déclenché une réaction colérique du polisarien Bachir Mustapha Sayed qui vient d’enjoindre au criminel et traître Brahim Ghali et ses acolytes « d’imposer l’ordre général » ou de « présenter leurs démissions ». Face à cette situation explosive, près de 160 cadres polisariens ainsi que des petits fils de la Jamaa Sahraouie ont lancé, le 22 avril 2020, depuis l’Espagne une nouvelle organisation hostile à la direction polisarienne. Cette nouvelle structure, dénommée « Sahraouis pour la Paix (SpP) » est favorable à une solution pacifique au conflit sur la question du Sahara marocain et est disposée à participer à une solution consensuelle et durable sur ce dossier sans mentionner « le droit à l’autodétermination du peuple sahraoui » ou « le referendum ». Aussi, a t’elle l’intention de mener une action diplomatique en direction des Nations Unies, de l’Union Africaine, de l’Union Européenne mais également auprès des gouvernements d’Espagne, du Maroc, d’Algérie, la Mauritanie, de France et des Etats-Unis d’Amérique. Une situation catastrophique, vécue d’autant plus péniblement par Brahim Ghali qu’il est, lui-même, le principal bénéficiaire des largesses algériennes, mais à présent, le vent a tourné, les pétro-dollars algériens se font rares et le chef du polisario doit faire face à l’exaspération qui secoue les camps des séquestrés sahraouis marocains de Tindouf. Pour conclure ce papier, il est plus que temps que le peuple algérien sache que Mohamed Boudiaf et Houcine Ait Ahmed, tout comme tant de Chefs historique de la guerre de libération algérienne, ont affirmé publiquement tout leur soutien au Maroc sur la marocanité du Sahara et leur opposition au soutien de Boumediene à l’organisation terroriste du polisario créée par lui même avec l’aide de Kaddafi qui de leur vivant n’ont eu de cessent de porter atteinte à la souveraineté nationale marocaine. Farid Mnebhi.
Etat de Siège à Tindouf (Algérie) en raison d’une épidémie de coronavirus
TRIBUNE. Les camps de Tindouf, où sont séquestrés des milliers de sahraouis marocains, ont été touchés de plein fouet par le Coronavirus (COVID-19), entraînant, officiellement, à la date du 08 mars 2020, 02 morts. Ces camps de la mort sis à Tindouf, en plein Sud algérien, où sont parqués des dizaines de milliers de Sahraouis marocains, ne disposent pas des conditions minima à même de protéger la population sahraouie embastillée contre cette épidémie du COVID-19. Des camps de la honte qui ne disposent pas de moyens médicaux de détection de maladies virales et de réanimation et où persiste un manque total d’hygiène suite à une absence chronique de raccordement à l’eau potable, aux systèmes d’évacuation et/ou d’assainissement ainsi que l’inexistence de masque à usage unique de protection. Cette épidémie frappe de plein fouet les camps des séquestrés sahraouis marocains en raison de multiples voyages des dirigeants polisariens dans les pays à haut risque et de la venue de soi-disant délégations étrangères dans les camps de Sahraouis marocains de Tindouf, sans parler des fréquents séjours de militaires algériens postés à Tindouf dans les zones algériennes infestées par le COVID-19. Aussi, face à la propagation de ce virus, les responsables algériens viennent de mettre en place un dispositif sanitaire strict de prévention contre le coronavirus au niveau des point de transit de voyageurs dans la Wilaya de Tindouf, notamment au niveau de l’aéroport. Quant aux responsables du polisario, ils sont à la recherche des personnes qui étaient en contact avec les 02 personnes mortes du coronavirus dans les camps de Tindouf où sont séquestrés des milliers de sahraouis marocains dans des conditions insalubres. Même l’Algérie, avec un budget spécial débloqué pour prendre en charge ce coronavirus, se révèle incapable de venir en aide aux populations dans les camps contrôlés par le polisario à Tindouf qui se retrouvent totalement démunies face à la propagation galopante du COVID-19. Quoi qu’il en soit, il est fortement conseillé aux populations des pays européens, américains, arabes, africains, asiatiques et océaniens d’éviter tout déplacement en Algérie et dans les camps des séquestrés sahraouis marocains de Tindouf où de recevoir une délégation algérienne ou du polisario sous peine de participer activement à la propagation de coronavirus (COVID-19). Farid Mnebhi.