Les mensonges des autorités algériennes et de leurs affidés polisariens mis à nu

Les mensonges des autorités algériennes et de leurs affidés polisariens mis à nu

TRIBUNE. Dans une lettre adressée, en juillet 2020, à Madame Michelle Bachelet, Haut-Commissaire des Nations-Unies aux Droits de l’Homme, près d’un millier d’ONG’s sahraouies, très actives dans les domaines de la protection des Droits Humains et du développement au Sahara marocain, est monté au créneau pour dénoncer les mensonges et contre-vérités des responsables algériens et leurs affidés polisariens et insister sur le caractère normal de la situation des Droits de l’Homme au Sahara marocain. Ces 925 organisations de la société civile sahraouie ont interpellé Madame Bachelet à Genève et dénoncé le caractère mensonger des allégations d’Alger et du polisario sur les Droits de l’Homme dans les Provinces du Sud marocain, tout en soulignant le caractère normal de la situation dans ces Provinces, ajoutant qu’elles évoluent dans un contexte prometteur et évolutif et dispose d’un espace de liberté régi par un cadre juridique et institutionnel sérieux et crédible. Il est à noter que, dans cette lettre, la société civile sahraouie marocaine a tenu à dénoncer les multiples tentatives algéro-polisariennes de déstabilisation des Provinces Sud marocaines en manipulant certains jeunes sahraouis marocains pour les pousser à une confrontation violente avec les forces de sécurité marocaines, afin qu’elles puissent les utiliser dans de sordides campagnes médiatiques, exploitant la liberté d’expression et de mouvement à l’intérieur et à l’extérieur du pays. Ce qui est loin d’être le cas, en Algérie et dans les camps de la mort de Tindouf, raison pour laquelle ils se refusent à fournir les moindres données sur la situation des Droits Humains dans ces camps de sahraouis marocains embastillés. La honte dans toute sa splendeur ! Rappelons qu’en juillet 2018, le Comité des Droits de l’Homme de l’ONU avait exprimé sa préoccupation face au mépris de l’Algérie de ses obligations et responsabilités, conformément aux exigences des Droits de l’Homme et du droit international humanitaire, en plaçant ses pouvoirs judiciaires entre les mains de son protégé. En revanche, et signe de la grande ouverture dont fait preuve le Maroc, l’attention de la Haut-Commissaire a été attirée quant au fait qu’elle avait, elle-même, rencontré les partisans du polisario qui se rendent avec des passeports marocains à Genève où ils organisent leurs activités hostiles au Royaume du Maroc avant de rejoindre le territoire national sans jamais être inquiétés. « Combien d’opposants de l’intérieur des camps de Tindouf ont-ils eu l’occasion de vous rencontrer et de retourner ensuite dans les camps ? », s’interrogent ces ONG’s. Ces 925 ONG’s sahraouies ont, en outre, dénoncé l’adoption par le polisario, tout comme par son parrain algérien, d’une approche contradictoire sur la question des Droits de l’Homme, qu’ils utilisent à des fins politiques et n’y voient qu’un outil de propagande offensif contre le Maroc et de pression pour promouvoir leur projet séparatiste. La lettre a fait remarquer que les témoignages de survivants sahraouis marocains ont fait état de milliers de victimes à la suite d’exécutions sommaires et extrajudiciaires, d’arrestations arbitraires et de disparitions forcées, de tortures et de viols, qui ont touché des hommes, des femmes et même des enfants par les milices des séparatistes. Ces ONG’s ont qualifié d’anomalie le fait de maintenir des milliers de personnes isolées du monde extérieur pendant plus de 45 ans, regrettant que les séquestrés sahraouis marocains dans les camps de la mort de Tindouf soient laissés à la merci d’un acteur non gouvernemental qui exerce son emprise sur ces personnes en toute impunité, par le biais de milices armées qui commettent toutes les formes des violations des Droits Humains à l’encontre d’une population vulnérable et coincée dans un no man’s land. Elles ont aussi souligné que « la vérité sur le terrain ne se mesure ni par l’ampleur de la propagande, ni par la prolifération des allégations qui sont promues au sein des mécanismes internationaux des Droits de l’Homme afin d’influencer, ou plutôt d’induire en erreur l’opinion publique ». En conclusion, ces ONG’s sahraouies ont réitéré leur plein soutien à la proposition d’autonomie présentée par le Maroc, « en tant que solution à même de mettre fin à ce conflit artificiel entre frères et garantir notre dignité et notre liberté », demandant à la Haut-Commissaire de communiquer leurs observations au Conseil des Droits de l’Homme et au Secrétaire Général de l’ONU. Farid Mnebhi.

Jeune Afrique : un torchon de mensonges au service de la dictature.

Jeune Afrique : un torchon de mensonges au service de la dictature.

Dans un article publié le 22 juin 2016 intitulé « Congo-Brazzaville : dialogue de sourds » le journal Jeune Afrique affirme sans une analyse pertinente, avec arrogance et mépris du peuple congolais que : « Réaliste, Paris considère désormais que la réélection de Denis Sassou Nguesso est un état de fait dont il convient de prendre acte, mais insiste pour qu’un dialogue s’instaure entre le pouvoir et l’opposition. Auquel cas, a confié Jean-Marc Ayrault, « la France est prête à appuyer et à accompagner les démarches que le Congo pourrait être amené à entreprendre auprès des institutions de Bretton Woods ». En déformant les propos de Jean-Marc Ayrault selon lesquels : « la France appelait au dialogue et au respect de l’État de droit1 (au Congo-Brazzaville )», le torchon journal, Jeune Afrique, joue le rôle que jadis joua la Radio mille-collines2 au Rwanda : semer la division, la confusion , la haine et le sentiment anti-français. En effet ce torchon de journal est passé maître dans l’art de la fabrication des mensonges, la déformation des évidences et de l’apologie de la bêtise et de la barbarie En appelant les congolais au dialogue et au respect de l’État de droit, le Quai d’Orsay a remis en cause la réélection de monsieur Denis Sassou Nguesso en demandant au congolais de s’entendre soit pour reprendre l’élection présidentielle, soit pour recompter les vois de celle du 20 mars 2016. Appeler au dialogue et au respect de l’État de droit après une élection présidentielle mal organisée et contestée signifie remettre celle-ci en cause ou complètement à plat en demandant aux acteurs politiques concernés de s’entendre et de respecter le droit selon la formule suivante « Nul n’est au-dessus de la loi » en privilégiant l’intérêt général. Ce qu’on demande au Congo-Brazzaville à propos de la crise post-électorale, c’est de dialoguer et de respecter l’État de droit c’est-à-dire remettre en cause ce qui est mal fait en corrigeant les erreurs commises ( rétablir la vérité ) ou en reprenant le tout à zéro dans le strict respect des normes juridiques (les standards internationaux en matière d’élections libres, transparentes et démocratiques ). Appeler au dialogue et au respect de l’État de droit sous entend que l’élection présidentielle du 20 mars 2016 n’était pas crédible, la réélection de Denis Sassou Nguesso est frauduleuse et non conforme à la réalité, et l’État de droit n’existe que de nom (il n’existe pas dans la mesure c’est le plus fort qui impose sa loi ). Dans ces conditions, l’appel de la France signifie de façon claire et sans ambiguïté qu’elle ne reconnait pas la victoire voire la réélection de monsieur 8%, Denis Sassou Nguesso et par conséquent elle demande à la classe politique congolaise et la société civile de s’entendre afin de reprendre l’élection présidentielle ou de reconsidérer la vérité des urnes dans le respect du droit et de l’État de droit. Comme l’État de droit n’existe pas au Congo-Brazzaville, l’appel de la France est donc une invitation claire à refaire ce qui a été mal fait dans le respect du droit et dans le cadre d’un État de droit. En effet, Il n’est pas question ici de considérer ce qui a été mal fait comme un état de fait qu’il convient pour la France de prendre acte comme le prétend le torchon journal Jeune Afrique. La France n’a pas pris acte de la réélection de monsieur 8%; elle demande au contraire un dialogue (inclusif, franc et véritable) et le respect du droit ( national et international ) par conséquent de l’État de droit, des droits de l’homme, des libertés publiques et des principes démocratiques ( le principe de l’alternance au pouvoir ). Par son manque objectivité dans le traitement de l’information, d’analyse pointue des faits politiques et socio-économiques et du sérieux, le torchon journal, Jeune Afrique est un journal mille-collines au service de la dictature et des anti-valeurs. Ce journal est un mal pour l’Afrique. En effet, il est le principal journal qui tire ce continent vers le bas, d’ailleurs le nom Jeune Afrique est un leurre qui a des effets hypnotiques sur le psychisme des africains et des hommes faibles d’esprit de par le monde. Ce n’est pas surprenant que ce journal fasse l’apologie des zones de non-droit, de la dictature, l’obscurantisme, de la barbarie, de l’animisme, du culte de la personnalité… On ne peut reconnaitre la victoire d’un perdant même s’il utilise la violence pour se maintenir coûte que coûte au pouvoir. Le dialogue, voulu et souhaité par le peuple congolais est celui de la vérité, de la prise en compte de son choix et de la réhabilitation de son pouvoir. Pour dialoguer il faut des préalables : -Libération du Général Jean-Marie Michel MOKOKO, de Paulin Makaya et tous les autres prisonniers politiques; -L’abandon de toutes les charges fallacieuses contre le Général Jean-Marie Michel MOKOKO, Révérend Pasteur Ntumi, son entourage et tous les opposants politiques ; -L’arrêt immédiat et sans condition de l’embastillemment de tous les opposants; -La fin des écoutes téléphoniques illégales -Un terrain neutre; -La supervision de la communauté internationale ( l’ONU, l’UE, l’UA et l’OIF ); -Le respect sans condition des droits de l’homme et des libertés publiques… Le peuple n’acceptera pas un pseudo-dialogue. Denis Sassou Nguesso est un perdant, il ne peut plus imposer un dialogue à sa sauce , il doit laisser les congolais décider de son sort car sa vraie place se trouve en prison. Sa réélection ne peut être considérée comme un état de fait dont il convient de prendre acte, mais un vole, un non-événement qu’il convient d’effacer et de restituer ce qui a été volé pour que le dialogue inter-congolais rétablisse l’Etat de droit, la démocratie et le respect des droits hommes et des libertés publiques. Denis Sassou Nguesso n’est plus le président du Congo-Brazzaville, ce qu’on lui demande c’est d’arrêter son banditisme et d’accepter sa défaite. Le Congo n’a plus besoin d’un président voleur, tricheur, paresseux, tribaliste, incompétent, mythomane, véreux… Si Denis Sassou Nguesso refuse de dialoguer