Centurion Law Group facilite l'entrée de Turkish Airlines en Guinée équatoriale
Le cabinet d’avocats panafricain de Centurion facilite l’entrée de Turkish Airlines à Malabo, en Guinée équatoriale. Les opérations sur la nouvelle route commenceront le 7 février 2020 . L’entrée de Turkish Airlines en Guinée équatoriale soutient les objectifs de l’initiative Année de l’investissement menée par le ministère des Mines et des Hyrocarbures. Dans le cadre de sa mission d’ouvrir de nouvelles destinations et d’étendre sa flotte en 2020, Turkish Airlines a ajouté Malabo, Guinée équatoriale à son réseau de routes. Représentée par le cabinet d’avocats panafricain de Centurion pour son entrée en Afrique centrale, la compagnie aérienne continue d’offrir plus de destinations que toute autre au monde. Les opérations devraient commencer le 7 février 2020, offrant la liaison Malabo trois fois par semaine. « Centurion est fier d’avoir facilité l’entrée de Turkish Airlines en Guinée équatoriale. C’est encore une autre preuve de notre engagement envers le développement de l’Afrique en facilitant des accords stratégiques avec des externalités positives à la fois dans le pays et à l’échelle régionale », a déclaré Zion Adeoye, Directeur général de Centurion. « Cet accord particulier est également d’une grande importance pour nous car il soutient les objectifs du ministère des Mines et des Hydrocarbures tels que représentés dans l’initiative de l’Année de l’investissement, qui vise à orienter les investissements étrangers vers des industries clés en Guinée équatoriale », a-t-il ajouté. « Ce partenariat avec Turkish Airlines ouvrira le pays à de nouvelles opportunités non seulement dans le secteur de l’aviation mais également dans d’autres secteurs. C’est également un autre moyen pour la Guinée équatoriale d’attirer de nouvelles entreprises et de nouveaux investissements tout en offrant à ses habitants une route directe vers le magnifique pays qu’est la Turquie », a dit Santiago Olo Lima, directeur de Centurion en Guinée équatoriale. « Notre partenariat témoigne vraiment de la direction que prend l’Afrique. » Le nouveau service sera relié à la route existante de Port Harcourt au Nigéria et fonctionnera en rotation: Istanbul – Port Harcourt – Malabo – Istanbul, en s’appuyant sur le positionnement logistique déjà attrayant des compagnies aériennes. « Nous sommes ravis d’y avoir participé, c’est une réalisation remarquable pour la Guinée équatoriale et pour nous chez Centurion car cela nous permet d’utiliser à nouveau notre expertise dans le secteur de l’aviation », a déclaré Manuel Oliveira, Avocat principal à Centurion. Au-delà de ses offres de service sur le pétrole et le gaz, Centurion a été actif dans l’industrie aéronautique de la Guinée équatoriale, ayant précédemment représenté Lufthansa Airlines. Par APO
Centurion Law Group annonce la nomination de son nouveau Directeur général, Zion Adeoye
Zion Adeoye a été nommé directeur général de Centurion Law Group. Spécialiste du pétrole et du gaz et expert dans le droit et la finance de l’énergie, il a joué un rôle important au sein du cabinet ces dernières années en tant que conseiller clé sur plus de 25 investissements dans le pétrole et le gaz, dans 12 pays d’Afrique subsaharienne. Il a également joué un rôle clé dans la réforme des cadres juridiques sur le pétrole et le gaz à travers l’Afrique, comprenant notamment les divers efforts visant à modifier la loi sur le pétrole et les législations connexes au Nigéria et l’élaboration de réglementations sur le contenu local au Soudan du Sud. « Centurion a vu une augmentation formidable des transactions énergétiques sur le continent africain – en raison de notre clientèle croissante et de notre équipe incroyablement talentueuse », explique NJ Ayuk, PDG de Centurion Law Group. « Zion a illustré les meilleurs attributs auxquels nous aspirons en tant qu’avocats et en tant que collègues. Je crois que son style réfléchi, discipliné mais terre-à-terre lui serviront à lui et au cabinet pour continuer à croîte, » a ajouté M. Ayuk Zion a été partie prenante de transactions majeures qui ont façonné Centurion Law Group, ce qui a conduit son leadership et son expérience à se forger naturellement. M. Ayuk conserve lui son rôle de PDG et assumera un rôle plus stratégique au sein du cabinet. « C’est un honneur de pouvoir compter sur le renforcement des efforts du cabinet alors que nous continuons à conseiller sur certaines des plus grandes transactions pétrolières et gazières en Afrique, garantissant que les accords sur l’énergie de notre génération se traduisent en politiques qui garantiront de réelles opportunités de croissance pour les années à venir », a dit Zion Adeoye. « Cette nouvelle décennie sera définitive pour le continent et c’est notre passion de faire en sorte que le secteur privé local de l’Afrique prenne la place qui lui revient au premier plan du développement économique du continent » , a ajouté M. Adeoye. Zion sera basé à notre siège de Johannesburg et prendra ses fonctions avec effet immédiat. Zion est titulaire d’un LLB de l’Université d’Ibadan au Nigeria et d’un BL de la Nigerian Law School. Il est membre de la Nigerian Bar Association et de l’Association of Independent Petroleum Negotiators (AIPN) et entreprend actuellement un MBA en gestion internationale du pétrole et du gaz à l’Université de Dundee, en Écosse. Il a récemment reçu le prix ESQ 40 under 40 Lawyer Award au Nigerian Rising Stars Award, pour avoir façonné l’avenir de la profession juridique au Nigéria et sur le continent. Par APO
Arrêtez de nous aider, ça nous tue !
TRIBUNE. Regarder l’Afrique et ne faire que demander de l’aide n’est pas dans l’intérêt des Africains. Il s’agit de l’ego des élites et des intellectuels qui croient avoir les solutions pour expliquer la pauvreté du continent. Alors que la population et les économies de l’Afrique augmentent, les possibilités de développement se multiplient, les sociétés changent et les aspirations des Africains exigent de plus en plus une attention urgente. D’autre part, la transition énergétique en Allemagne prévoit à l’avenir un système énergétique beaucoup plus efficace et interconnecté, un système qui, je le crois, permettra aux jeunes entrepreneurs africains en nouvelles technologies de tirer des enseignements et d’accélérer la croissance du secteur de l’énergie en Afrique. Alors que de nombreuses start-up concevant des solutions durables émergent sur tout le continent, en particulier dans le secteur de l’énergie, l’Allemagne a une opportunité de se familiariser davantage avec l’Afrique pour mieux comprendre comment y investir. Elle devrait notamment proposer à l’Afrique ses solutions énergétiques et technologiques, et permettre aux entrepreneurs africains d’adopter des produits allemands qui peuvent remodeler et restructurer les économies énergétiques africaines. Bien que les économies de certains pays de notre continent se soient considérablement développées ces dernières années, en raison notamment des développements du secteur de l’énergie, de la diversification de l’économie et des investissements étrangers soutenus, force est de constater que l’Afrique a encore beaucoup de chemin à parcourir. Cela pose la question de savoir comment l’Afrique parviendra à la prospérité. La réponse – surement pas avec de l’aide monétaire. Dans mon livre, « Des milliards en jeu : L’avenir de l’énergie et des affaires en Afrique », j’examine de manière très détaillée le thème de l’aide étrangère en tant que solution aux problèmes de l’Afrique car trop longtemps, des entités étrangères bien intentionnées sont intervenues pour nous fournir de l’aide et, ce faisant, nous ont piétiné par inadvertance. Et cela est principalement du au fait que les pays donateurs et les institutions étrangères ne comprennent pas suffisamment ce dont nous avons besoin et comment nous fonctionnons. L’aide n’est pas une solution pour l’Afrique. L’Afrique a besoin d’un soutien établi et durable. Nous avons besoin de développement des compétences, d’infrastructures clés, d’environnements viables et propices qui conduisent à des résultats et nous devons construire des économies énergétiques dynamiques qui apporteront des changements durables bénéfiques aux femmes et aux hommes africains. Déterminé à promouvoir la coopération avec l’Afrique, à augmenter les investissements sur le continent et à améliorer le niveau de vie, le Sommet du Pacte du G20 avec l’Afrique de 2019 a débuté à Berlin cette semaine. Je pense que cette initiative de la chancelière Angela Merkel peut être efficace et profiter à la fois à l’Afrique et à l’Allemagne. Cependant, l’Allemagne (et d’autres pays étrangers regardant le continent) doit comprendre que l’Afrique est un véritable partenaire de développement et qu’en plus d’établir des relations avec les gouvernements, les entreprises africaines doivent également être impliquées. Elles sont également essentielles au développement. Nous devons aller au-delà de l’aide. Au fur et à mesure de l’émergence de l’Afrique sur la scène mondiale, elle profitera non seulement de ses relations avec l’Allemagne, mais pourra également contribuer aux objectifs de l’Europe occidentale, présentés par le Sommet Compact with Africa. Alors que le continent compte près de 600 millions d’habitants sans accès à l’électricité, les défis de l’Afrique semblent insurmontables, alors même que le développement de l’accès à l’électricité peut libérer de nombreuses opportunités. Mais il y a de l’espoir. Alors qu’un certain nombre de pays africains développent et lancent des projets d’énergie renouvelable à grande échelle, d’autres tels que la Guinée équatoriale, le Sénégal et le Mozambique développent du gaz et lancent des projets de GNL classe mondiale. Le continent est déterminé à transformer et à diversifier son bouquet énergétique, prouvant qu’il est un partenaire digne, en particulier pour l’Allemagne. Plus tôt cette année, le Forum des entreprises Allemagne-Afrique (GABF) a annoncé son engagement dans un fond de plusieurs millions d’euros en faveur d’investissements dans des start-up énergétiques allemandes axées sur l’Afrique. Cet engagement permet de financer des start-ups allemandes exposées à des projets énergétiques africains. Le rôle que ces entreprises allemandes du secteur privé peuvent jouer pour l’Afrique est de plus en plus mis en évidence. Les sociétés allemandes ESC Engineers et Noordtec, par exemple, ont collaboré avec Elite Construcciones en Guinée équatoriale sur le projet Akonikien – la première usine de stockage et de regazéification de gaz naturel liquéfié (GNL) de la région, en cours d’installation. Faisant partie de l’initiative « GNL Pour l’Afrique » (LNG2Africa) lancée par le gouvernement équatoguinéen, ce projet a renforcé les efforts du pays pour monétiser les ressources en gaz par la création d’une infrastructure nationale de conversion du gaz, un secteur qui présente des opportunités majeures pour le secteur privé en Afrique, que ce soit pour la production d’électricité, de produits pétrochimiques ou d’engrais. C’est un véritable exemple de l’expertise allemande qui sert les meilleurs intérêts de l’Afrique. La chancelière Angela Merkel a déclaré mardi qu’elle considérait l’investissement dans la croissance et le développement de l’Afrique comme une solution gagnante pour toutes les parties et a encouragé le gouvernement à ne pas parler de l’Afrique mais à « faire tout ce qui est en son pouvoir pour coopérer avec l’Afrique ». Je suis d’accord avec ce point de vue, le continent a beaucoup à offrir et la collaboration est essentielle pour l’avenir de l’Afrique. Nous n’avons pas besoin de solutions rapides, nous avons besoin de capitaux et de technologies reposant sur un travail acharné, une diligence pointue et une exécution solide pour avoir un impact. Nous ne pourrons y parvenir que par la reconnaissance et la collaboration, et non par les mêmes stratégies éprouvées d’aide qui n’ont pas été très utiles. Par NJ Ayuk PDG de Centurion Law Group et le président de la Chambre africaine de l’énergie
Centurion Law Group annonce son intention d’être coté en bourse
Le groupe juridique et de conseil Centurion devrait devenir le premier cabinet de conseil en droit et en énergie africain à être coté en bourse cette année, alors qu’il se prépare à rejoindre l’une des principales bourses de valeurs d’Europe. C’est une étape naturelle pour Centurion, compte tenu de la forte part de marché du groupe dans le secteur du pétrole et du gaz en Afrique subsaharienne et de son activité accrue ces dernières années. L’année dernière, Centurion a acquis IMANI-African Lawyers on Demand pour lancer Centurion Plus, le modèle de services juridiques flexibles de premier plan en Afrique, qui offre des coûts compétitifs et des services juridiques flexibles efficaces à travers le continent. Grâce à Centurion Plus, les entreprises clientes à travers l’Afrique peuvent choisir parmi un groupe d’environ 190 avocats à la demande soigneusement sélectionnés pour des services juridiques temporaires et basés sur des projets particuliers. « Centurion s’est toujours distingué par sa capacité à s’adapter au changement, à conclure des accords et projets, et à être panafricain et pro-africain », a déclaré le PDG NJ Ayuk. « Le marché juridique africain a beaucoup changé et nous sommes fiers d’être un chef de file des transformations juridiques en Afrique. Nous envisageons notre cotation dans quelques mois et nous sommes vraiment ravis de cette nouvelle phase de croissance pour la société et pour nos clients. ” APO