Burkina Faso. Les anciennes gloires du football africain reçues par le Président Ibrahim TRAORÉ

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Burkina Faso. La Banque mondiale réaffirme son soutien à la vision du Capitaine Ibrahim TRAORÉ

Le Président du Faso, Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ a reçu en audience le Représentant résident de la Banque mondiale au Burkina Faso, M. Kamil Hamoud ABDEL WEDOUD. Le Burkina Faso va abriter un forum sur l’eau et la sècheresse en septembre 2025. En prélude à cette activité organisée par la Banque mondiale, son Représentant résident au Burkina Faso, M. Kamil Hamoud ABDEL WEDOUD est venu porter l’information au Président du Faso et lui faire le point des préparatifs. M. Kamil Hamoud ABDEL WEDOUD a également annoncé au Chef de l’État, l’intention de la Banque mondiale de mettre en place un centre de référence pour l’eau et la sécheresse au Burkina Faso. Ce centre, deuxième du genre au monde après celui du Singapour, va servir de référence pour toute l’Afrique. La Banque mondiale, selon son Représentant résident, épouse et soutient la vision de développement endogène du Président du Faso, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ. Ainsi M. ABDEL WEDOUD, dit avoir également échangé avec le Chef de l’État burkinabè sur « nos interventions au Burkina Faso, notre accompagnement de sa vision pour le développement du pays et des initiatives qui sont lancées ». Il affirme que les initiatives du Capitaine Ibrahim TRAORÉ dans les secteurs comme la santé, l’éducation, l’agriculture, l’énergie correspondent à la fois à l’approche et à la politique de la Banque mondiale. « Nous sommes là et nous continuerons à appuyer le Burkina Faso dans sa vision et son approche de développement endogène qu’il met en place », soutient M. Kamil Hamoud ABDEL WEDOUD.
Burkina Faso : Pose de la première pierre d’une usine de transformation de la pomme de cajou à Péni

Le Président du Faso, Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ a procédé, ce jeudi (22 mai, Dnr) dans l’après-midi, à la pose de la première pierre d’une usine de transformation de la pomme de cajou à Péni. Bientôt dans la commune de Péni située sur la route nationale n°7 à une trentaine de kilomètres de Bobo-Dioulasso, une usine de transformation de la pomme de cajou va sortir de terre. D’un coût de 6,65 milliards FCFA, les travaux de cette usine doivent être achevés en décembre 2025. Sa réalisation s’inscrit dans la vision du Président du Faso, Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ, qui fait de la transformation, la promotion et la valorisation des produits locaux, une priorité. L’objectif de la construction de cette unité industrielle est de valoriser la pomme de cajou et d’inciter d’autres acteurs à s’y intéresser, réduisant du coup les pertes après les récoltes. En effet, le Burkina Faso regorge de fortes potentialités dans la production de pomme de cajou. Selon le Directeur général du Conseil burkinabè des filières agropastorales et halieutiques, Ouémihié Clément ATTIOU, ce sont plus de deux millions de tonnes de pommes de cajou qui sont produites annuellement. Cependant, jusqu’à présent, seule la noix de cajou est valorisée. Avec cette usine, la pomme entière sera valorisée et transformée. Des produits divers comme le jus, le vin, les concentrés, l’éthanol et le vinaigre seront fabriqués à partir de la pomme de cajou. Au regard de l’abondance de la production de la pomme de cajou dans l’ouest du Burkina Faso, le Président du Faso, Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ, envisage la duplication de cette usine dans des localités comme Orodara, Banfora et Gaoua. L’usine de transformation de pomme de cajou à Péni va renforcer le tissu industriel de notre pays et participer à la relance économique. Avec une capacité de transformation de 5 000 tonnes de pomme de cajou par an, cette usine va générer 112 emplois directs et 1 050 emplois indirects.
Burkina faso: Conseil des ministres du vendredi 2 mai 2025

– Immersion patriotique obligatoire pour les élèves – Hausse de la mobilisation des ressources internes Le Président du Faso, Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ, a présidé ce vendredi le Conseil des ministres hebdomadaire. Lors du point de presse à l’issue des travaux, le ministre Porte-parole du gouvernement, Pingdwendé Gilbert OUEDRAOGO, a indiqué que plusieurs rapports avaient été adoptés et des décisions importantes prises pour le développement socio-économique de notre pays. Au titre de la Présidence du Faso, le Conseil a adopté un décret portant institution d’une immersion patriotique obligatoire pour les élèves admis aux examens scolaires. Cette mesure, selon le Porte-parole du Gouvernement, s’inscrit en droite ligne de l’Initiative présidentielle pour une éducation de qualité pour tous qui prévoit, dans sa composante 7, l’organisation de la discipline scolaire et la propreté des établissements. Cette immersion permettra d’inculquer aux élèves des valeurs civiques et patriotiques ainsi que des réflexes d’autodéfense à travers une formation théorique, physique et sportive. « Elle concernera les élèves admis au Brevet d’études du premier cycle (BEPC), au Certificat d’aptitude professionnelle (CAP) et au Baccalauréat », a précisé le Porte-parole du Gouvernement. « Cette immersion vise à la construction de modèles de citoyens et de patriotes qui impacteront positivement la vie de la Nation et ce, dans le cadre du processus de refondation de la société burkinabè, du développement et de la consolidation de la fibre patriotique », a indiqué le ministre Pingdwendé Gilbert OUEDRAOGO. La phase pilote, qui commence cette année, concernera les élèves admis au Baccalauréat à l’issue des prochains examens scolaires. La durée de cette immersion ainsi que les différentes modalités seront précisées par un arrêté. Hausse de la mobilisation des ressources internes Au titre du ministère de l’Économie et des Finances, le Conseil a adopté un rapport relatif à un document de programmation budgétaire et économique pluriannuel 2026-2028. Selon le ministre de l’Économie et des Finances, Aboubakar NACANABO, il s’agit d’un document de planification budgétaire qui permet de « prendre en compte les priorités du moment, les tendances au niveau de l’économie mondiale et régionale pour aboutir à la planification au niveau national ». Ce document de programmation budgétaire et économique a été élaboré en tenant compte des priorités, notamment la reconquête du territoire, l’autosuffisance alimentaire, la construction des infrastructures routières, le développement du capital humain, la relance de l’industrie et la bonne gouvernance, a soutenu le ministre de l’Économie et des Finances. Pour lui, l’élaboration de ce document a également tenu compte d’un certain nombre d’hypothèses relatives à la conjoncture internationale, jugée beaucoup plus favorable avec un cours de l’or très élevé, celui du pétrole en baisse (ce qui permet de maîtriser les importations) et un cours du dollar à un niveau acceptable. Le Conseil des ministres du jour a salué les efforts fournis dans la mobilisation des ressources internes, avec une très bonne tendance. « Nous sommes passés de 3 000 milliards FCFA de ressources mobilisées en interne à 3 200 milliards FCFA, de 2024 à 2025, et en 2026, nous projetons 3 500 milliards FCFA. Cela est le résultat des différentes réformes que nous avons engagées, à savoir la digitalisation des procédures de recouvrement et la digitalisation du foncier », a soutenu le ministre NACANABO. Le gouvernement entend mettre l’accent sur la collecte et l’optimisation des impôts fonciers en 2026.
29e FESPACO : Les lauréats burkinabè présentent leurs trophées au Président Ibrahim TRAORÉ

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Burkina Faso : Conseil des ministres du mercredi 09 avril

– Création d’une société d’État dénommée Faso Yaar – Le monopole de l’approvisionnement de l’engrais à la SOBIMAP – Le nouveau Centre hospitalier universitaire de Pala (Bobo-Dioulasso) bientôt fonctionnel Le Président du Faso, Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ a présidé ce mercredi l’hebdomadaire Conseil des ministres. Lors du point fait à la presse à la fin des travaux, le ministre Porte-parole du gouvernement, Pingdwendé Gilbert OUEDRAOGO a évoqué plusieurs rapports adoptés et des décisions importantes prises pour la bonne marche de la Nation. Au titre du ministère de l’Agriculture, des Ressources animales et halieutiques, le Conseil a adopté un projet de loi relatif au contrôle des engrais. Ce projet de loi entend corriger les insuffisances de la loi de 2007 à travers l’introduction de plusieurs innovations, selon le ministre délégué chargé des Ressources animales, Amadou DICKO. Ce projet de loi prend en compte toutes les formes d’engrais, consacre le monopole de l’approvisionnement de l’engrais à la Société burkinabè d’intrants et de matériels agropastoraux (SOBIMAP) et réhausse les sanctions administratives et pénales afin de lutter efficacement contre la fraude de l’engrais. L’Agence Faso abattoir pour faire du Burkina, un pays exportateur de viande Toujours pour le compte du ministère de l’Agriculture, des Ressources animales et halieutiques, le Conseil des ministres a adopté un décret portant création de l’Agence Faso abattoir. Pour le ministre DICKO, cette agence sera chargée de « centraliser et professionnaliser la gestion des abattoirs nationaux et régionaux, moderniser les infrastructures pour les aligner aux normes sanitaires et environnementales, développer une logistique intégrée pour l’approvisionnement en bétail et la distribution des produits ». La création de l’Agence Faso abattoir vise à faire du Burkina Faso un pays exportateur de viande et non d’animaux sur pieds. Une société d’État, Faso Yaar pour une grande accessibilité des produits de grande consommation Au titre du ministère de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat, le Conseil a adopté quatre rapports. Le premier est relatif à l’adoption d’un décret portant création d’une société d’État d’approvisionnement et de distribution de produits de grande consommation dénommée Faso Yaar. Selon le ministre de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat, Serges Gnaniodem PODA, il s’agit d’une structure qui pourra contribuer à disponibiliser les produits de grande consommation aux populations en respectant la règlementation de distribution en la matière. « Cette société est dotée d’un capital de 2 milliards FCFA entièrement détenu par l’État et ses démembrements et viendra contribuer à assainir les circuits de distribution du marché intérieur en matière de disponibilisation de produits de grande consommation », indique le ministre PODA. Le deuxième rapport au titre de ce ministère est relatif à l’adoption des statuts de la société Faso Yaar lui permettant de disposer d’un instrument juridique pour l’accomplissement de sa mission. Subvention de 5 milliards au profit des producteurs de coton Le troisième rapport pour le compte toujours du ministère en charge du Commerce est relatif au bilan provisoire de la campagne cotonnière 2024-2025 et les prévisions de celle de 2025-2026. L’objectif de production du coton graine au titre de la campagne 2025-2026 a été fixé à 550 mille tonnes au regard des avancées dans la reconquête du territoire et des besoins de relance de la filière coton. Afin d’encourager les acteurs à la production, le Conseil des ministres a consenti une subvention de 5 milliards FCFA pour l’acquisition des intrants agricoles au profit des producteurs de coton. Le quatrième rapport au titre du même ministère est relatif à l’adoption d’un projet de décret portant déclaration d’utilité publique urgente du foncier de la zone de port sec multimodal de Ouagadougou. Selon le ministre chargé du Commerce, ce port sec aura à terme un investissement de plus de 150 milliards FCFA et va s’étendre sur une superficie de 356 hectares dans la commune de Tanghin-Dassouri. Au titre du ministre de la Santé, le Conseil des ministres a adopté un décret portant création du Centre hospitalier universitaire de Pala à Bobo-Dioulasso dans la région des Hauts-Bassins. Cet hôpital de 500 lits est le fruit de l’exemplarité de la coopération entre la République populaire de Chine et le Burkina Faso, indique le ministre de la Santé, Robert Lucien Jean Claude KARGOUGOU. Selon lui, cet hôpital de référence sera fonctionnel dans les mois à venir.
Burkina Faso: Conseil des ministres du jeudi 3 avril 2025

– Près de 14 millions de volailles vaccinées – 10% des places au concours de la magistrature réservées aux agents publics Le Président du Faso, Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ a présidé ce jeudi le Conseil des ministres. Cette instance hebdomadaire des ministres autour du Chef de l’État a examiné plusieurs dossiers et pris d’importantes décisions pour la bonne marche de la Nation, selon le ministre de la Fonction publique, du Travail et de la Protection sociale, Mathias TRAORÉ, assurant l’intérim du Porte-parole du Gouvernement. Au titre du ministère de l’Agriculture, des Ressources animales et halieutiques, le Conseil a adopté un rapport relatif aux résultats de la campagne nationale de vaccination 2024-2025 contre les maladies animales prioritaires. Pour le ministre délégué chargé des Ressources animales et halieutiques, Amadou DICKO, cette campagne annuelle de vaccination contre les maladies animales prioritaires vise à réduire l’impact de ces maladies sur l’économie nationale et sur la sécurité sanitaire des animaux. La campagne 2024-2025, qui s’est déroulée du 11 octobre 2024 au 15 février 2025, a été une occasion pour le ministère d’introduire des innovations majeures pour plus de résultats plus probants, selon le ministre DICKO. Il s’agit de la centralisation des opérations de vaccination, du renforcement de la logistique pour la distribution des vaccins, de l’introduction des plateformes numériques pour le suivi des opérations et le paiement électronique des vaccins directement par les éleveurs. Ces innovations ont permis au ministère d’atteindre des résultats encourageants avec la vaccination de 2 millions 100 mille bovins, 3 millions 500 mille petits ruminants, 70 000 carnivores et 13 700 000 volailles. Le ministre délégué précise que ces résultats s’inscrivent dans le cadre de l’Offensive agropastorale et halieutique. 10% des places au concours de la magistrature réservées aux agents de l’administration publique Pour le compte du ministère de la Justice et des Droits humains chargé des Relations avec les institutions, le Conseil a adopté un décret portant conditions et modalités de détermination des quotas réservés au personnel de l’administration publique pour le concours d’entrée à l’école nationale de la magistrature. Le ministre chargé de la Justice Edasso Rodrigue BAYALA, indique que ce décret s’inscrit dans l’application de la loi du 26 avril 2024, portant modification de la loi d’août 2015 qui porte statut de la magistrature. Selon le ministre, cette loi précise qu’il y a un quota qui est déterminé pour les agents de l’administration publique pour le concours d’entrée à l’école nationale de la magistrature. Le quota fixe 10% des places pour le personnel de l’administration publique et les conditions sont, entre autres, être âgé de moins de 45 ans, être un agent titularisé de l’administration publique d’État ou parlementaire, être titulaire d’une maitrise ou d’un master en droit.
Burkina Faso: Conseil des Ministres du mercredi 19 mars 2025

– retour aux ‘’Faso yaar’’ – le Burkina Faso remonte la pente avec un bond qualitatif de 1,5 du taux de croissance économique Le Président du Faso, Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ a présidé ce mercredi, le Conseil des ministres. Au cours de cette instance hebdomadaire de l’exécutif, plusieurs dossiers ont été examinés et d’importantes décisions prises dans le sens de l’amélioration des conditions de vie des populations, a signifié le ministre Porte-parole du Gouvernement, Pingdwendé Gilbert OUEDRAOGO, lors du traditionnel point de presse après le Conseil. Au titre du ministère de l’Économie et des Finances, le Conseil a examiné et adopté des rapports sur les tendances de l’économie de notre pays pour l’exercice 2024. Selon le ministre Aboubakar NACANABO, il y a des améliorations d’un certain nombre d’indicateurs liées à la croissance économique entre 2023 et 2024. Le Burkina Faso remonte la pente avec un bond qualitatif de 1,5. En effet, le taux de croissance de notre pays est passé de 3,6% en 2023 à 5,1% en 2024. « En termes de perspectives, en 2025, nous tablons sur un taux minimum de 5,6% et dans un scénario optimiste, nous pouvons aller à 6% », soutient-il. Selon le ministre de l’Économie, cette performance s’explique par la bonne tenue du secteur primaire notamment le secteur agricole qui a connu des actions fortes grâce aux actions de l’Offensive agro-pastorale et halieutique et de l’Initiative présidentielle pour la production agricole et l’autosuffisance alimentaire. Le ministre NACANABO a noté également une amélioration du recouvrement des recettes fiscales entre 2023 et 2024 avec une amélioration de 205 milliards FCFA, fruits des réformes importantes engagées dans ce sens. Toujours dans la restitution des travaux du Conseil des Ministres en ce qui concerne son département, le ministre de l’Économie et des Finances Aboubakar NACANABO a également noté une augmentation du taux d’inflation qui est passé de 1,4% en 2023 à 4,2% en fin 2024. Au regard de ces indicateurs, le ministre de l’Économie et des Finances a annoncé que le Président du Faso, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ a donné des instructions fermes pour des actions fortes dans tous les départements ministériels, en vue d’une meilleure répartition des fruits de la croissance. Du reste, les actions en cours, notamment avec les différentes initiatives présidentielles et d’autres projets au niveau des différents départements ministériels, devraient contribuer à la réduction des inégalités et à l’amélioration des conditions de vie des populations. Bientôt le retour des ‘’Faso yaar’’ pour le bonheur des populations Pour atténuer l’impact de l’inflation sur le pouvoir d’achat des Burkinabè, le ministre a évoqué la mise en œuvre des actions par la régulation des prix des produits alimentaires à travers la Société national de gestion de stocks de sécurité alimentaire (SONAGESS). Par ailleurs, selon le ministre en charge de l’économie, le Président du Faso a ordonné la mise en place d’unités de distribution des produits inspirées du modèle de ‘’Faso Yaar’’ pour que les prix puissent être maîtrisés sur l’ensemble du territoire. Pour mémoire, les ‘’Faso Yaar’’ sont un concept expérimenté sous le leadership du Président Thomas SANKARA et qui consistait à la vente des produits de grande consommation à des prix sociaux dans des boutiques dédiées.