RDC. Martin Bakole s’incline par KO au deuxième round face à Joseph Parker

RDC. Martin Bakole s’incline par KO au deuxième round face à Joseph Parker

Martin Bakole a été battu par KO au deuxième round par Joseph Parker samedi 22 février à Riyad en Arabie Saoudite. Un pari perdu pour congolais, qui avait accepté de remplacer Daniel Dubois dans le choc poids lourd contre le Néo-Zélandais Joseph Parker à peine 48 h avant le combat. A la suite d’un bras arrière lourd de Parker, Bakole a été envoyé au tapis. Ce dernier n’a pas pu retrouver ses esprits avant la fin du décompte de l’arbitre, encaissant ainsi la deuxième défaite de sa carrière chez les professionnels. « Je n’ai pas vu son coup venir. Et aujourd’hui, j’ai ressenti ce que les autres ressentent quand je les mets K.O. Mais ce n’est pas grave ! Mon combat du mois de mai est toujours maintenu », a-t-il déclaré sur un Live sur sa page Facebook après combat. « J’ai pris un risque pour sauver la soirée. Je repars dès demain en direction de Kinshasa », a poursuivi Martin Bakole. Radio Okapi

Boxe : Mais qu’est ce qui se passe avec Tony YOKA ?

Boxe : Mais qu’est ce qui se passe avec Tony YOKA ?

Cédric Doumbé expose ce qui, selon lui, manque à Yoka pour devenir un champion, même s’il lui offre des pistes pour renouer avec le succès. Tony Yoka semble avoir atteint ses limites sur le ring, et Cédric Doumbé pointe du doigt ce qui lui fait défaut pour triompher. Pourtant, il lui donne des conseils pour retrouver le chemin de la victoire. La réputation de Tony Yoka est actuellement en baisse. En tant que fils d’un ancien boxeur congolais et champion olympique de boxe, il vient de subir une troisième défaite consécutive. Après avoir été battu par Martin Bakole et Carlos Takam, le boxeur de 31 ans a été dominé ce week-end par Ryad Mehry, un Belge d’origine ivoirienne. Cette série de défaites contraste nettement avec le jeune prodige qui brillait chez les amateurs et se préparait à conquérir le monde professionnel. Pourtant, Tony Yoka avait débuté sa carrière professionnelle avec 11 victoires consécutives. Mais une fois confronté aux 10 meilleurs poids lourds du monde, il a trouvé la barre très haute. Cédric Doumbé, champion à plusieurs reprises en kickboxing et figure montante du MMA, a toujours pensé que Tony Yoka était surestimé.Originaire de Douala, Doumbé révèle ce qu’il estime être le manque fondamental chez Yoka pour viser plus haut. « Tony Yoka, c’est complexe. Ce qui lui manque, c’est cet esprit de compétiteur du boxeur. J’ai vu dans son regard, dans son comportement, et surtout dans sa façon de boxer, qu’il ne deviendrait jamais champion du monde. Il lui manque cette rage, cette mentalité de gladiateur. On monte sur le ring pour vaincre, pour écraser, c’est la bataille. Il est trop doux. Je le perçois un peu comme Ciryl Gane », affirme le combattant de MMA, actuellement avec un bilan de cinq combats et cinq victoires dans l’octogone. Pour se refaire, certains observateurs pensent que Tony Yoka devrait affronter un adversaire plus facile. Cependant, Cédric Doumbé voit les choses autrement. « Ne tombe pas dans le piège en choisissant un adversaire faible pour ton prochain combat. Reviens. Entraîne-toi. Ton futur adversaire risque de te sous-estimer », lui conseille-t-il. Ya Willy.

Afrique du Sud : Dricus du Plessis se livre à cœur ouvert

Afrique du Sud : Dricus du Plessis se livre à cœur ouvert

Dricus du Plessis, après avoir remporté ses six combats à l’UFC, se trouve désormais à la porte de la ceinture des poids moyens. Le Sud-africain affrontera Sean Strickland le 20 janvier prochain, le détenteur actuel. Dans une interview, le combattant de 29 ans évoque ses perspectives futures. Bien qu’on puisse lui reprocher de vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué, cette attitude est courante dans le monde du MMA où les combattants préparent le match bien avant le coup d’envoi. Du Plessis se projette déjà sur son affrontement avec Strickland, celui-là même qui a pris le titre des poids moyens à Israel Adesanya. Selon le Sud-africain, il ne voit qu’une issue possible à ce combat : sa victoire. Il critique ouvertement la défense de Strickland, la qualifiant de médiocre, bien que bizarre mais efficace. Il remet en question la puissance de frappe de son adversaire, mais reconnaît ses qualités, affirmant que ceux qui se battent à son rythme sont destinés à perdre. Se considérant comme le véritable représentant africain de l’UFC, Du Plessis est confiant. Il est convaincu qu’il peut battre Strickland en utilisant sa force physique à son avantage. Il se réfère à la performance d’Alex Pereira contre Strickland pour affirmer qu’il peut faire encore mieux. En ce qui concerne son avenir en tant que champion des poids moyens de l’UFC, Du Plessis exprime son souhait de défendre son titre contre Israel Adesanya en priorité à 100%. Cependant, il envisage également un possible affrontement avec Khamzat Chimaev, qu’il suppose être le prochain challenger que l’UFC cherchera à mettre en avant. Il souligne que sa décision dépendra de qui il battra et comment il le fera, évoquant le fait que vaincre des combattants de haut niveau comme Robert Whittaker et Israel Adesanya pourrait limiter ses options dans la division. Ya Willy.

Francis Ngannou, vainqueur d’un combat perdu

Francis Ngannou, vainqueur d’un combat perdu

TRIBUNE. Je plaide coupable les mains en l’air : je suis de ceux qui pensaient que Francis Ngannou, alias The Predator, n’avait aucune chance face au boxeur Tyson Fury alias le Gypsy King, l’invincible champion WBC des lourds. Je suis de ceux qui ont cru jusqu’au tout début du combat que Ngannou allait vivre l’enfer face à Fury. Oui, qui pouvait penser une seule seconde que Francis Ngannou, combattant de MMA fraîchement converti à la boxe anglaise, pouvait tenir face à celui que plusieurs observateurs et spécialistes considèrent comme l’un des plus grands boxeurs de tous les temps ? Qui ? Je n’ai jamais douté de la puissance de Francis Ngannou, mais quand on pense à la manière dont Tyson Fury était parvenu à éteindre le « tout puissant » Deontay Wilder lors de l’acte 3 de leur face-à-face à la T-Mobil Arena de Las Vegas, quittant ainsi les lieux avec le titre dans la valise, il y avait des raisons de ne pas donner cher de la peau de Ngannou. La surprise est donc totale au sortir du face-à-face qui a opposé les deux hommes hier à Ryad, en Arabie Saoudite, devant près de 20 000 spectateurs venus des quatre coins du globe. Comme l’ont relevé la quasi-totalité des médias et des observateurs, Ngannou a réussi ce que presque personne n’aurait pu imaginer avant ce combat. Résistant physiquement [et même moralement], et de manière surprenante, sur l’ensemble des dix rounds, il a réussi l’exploit, à la grande surprise de tous, d’envoyer Fury au tapis au troisième round. L’image du Gypsy King s’effondrant sur le dos fera date. Certes, Tyson Fury a été déclaré vainqueur par décision partagée des juges, mais il n’en demeure pas moins que pour nombre d’observateurs, le vrai gagnant est Francis Ngannou, qui, faut-il le reconnaître, a d’ores et déjà réussi sa reconversion dans la boxe. Certains observateurs affirment que la décision finale des juges visait à sauver l’honneur d’un champion et l’image d’une boxe en perte de vitesse au niveau mondiale. Quoi qu’il en soit, le monde de la boxe doit maintenant composer avec Francis Ngannou. Ce digne fils du continent est très fort. Il est puissant. Sûrement les effets du Abui-Kpem, qui signifie le bon manioc en Ewondo, une langue du Cameroun… Je bois mon lait nsambarisé… Par Patrick Mbeko

BOXE. ROBBERY, ROBBERY, ROBBERY, ROBBERY !

BOXE. ROBBERY, ROBBERY, ROBBERY, ROBBERY !

TRIBUNE. Le combat TYSON FURY contre FRANCIS NGANNOU ne m’a pas plus enthousiasmé que celui qui a opposé FLOYD MAYWEATHER contre CONOR MCGREGOR en 2017 parce que l’enjeu était plus FINANCIER que SPORTIF. Un ami m’avait demandé mon pronostic la veille du combat, le verdict du COEUR m’indiquait NGANNOU, mais la Loi du SPORT pointait FURY parce que le BOXE ANGLAISE et le MMA sont deux disciplines complètement différentes. Je me suis trompé. FRANCIS NGANNOU a donné une leçon de BOXE (anglaise) à FURY qui est devenu champion des poids lourds à une époque où la catégorie REINE est vide de vrais GLADIATEURS comme MIKE TYSON, LENNOX LEWIS, EVANDER HOLYFIELD, IKE IBEABUCHI, etc. Nous n’avons pas vu le même combat avec les JUGES (corrompus). Le VRAI vainqueur de ce combat est FRANCIS NGANNOU même si la ceinture W.B.C des poids lourds n’était pas en jeu. Tenir dix rounds contre FURY, pour un combattant du MMA, relevait du MIRACLE, l’envoyer au TAPIS est un EXPLOIT qui restera gravé dans les annales. Je répète, TYSON FURY est un vrai GENTLEMAN, mais un boxeur de classe MOYENNE. C’est la presse sportive et la PUBLICITE qui en ont fait une « légende ». Par contre FRANCIS NGANNOU est une VRAIE légende dans sa discipline le MMA. Il vient de TRES loin et a tout obtenu au MERITE. Mon conseil à FRANCIS NGANNOU est : mon cher petit-frère et voisin, dès lundi va encaisser ton chèque à la banque, puis prends le premier vol pour YAOUNDE ou DOUALA pour mettre ton POGNON à l’abri. Si tu traînes un peu trop à LAS VEGAS, la ville des loisirs, tu vas encore te faire racketter par les JUGES à cause des PENSIONS ALIMENTAIRES. Avec TOUS mes RESPECTS. Par Nysymb Lascony

RD Congo/Boxe : Patrick Mukala l’emporte par KO face au Malawite Siméon Tcheta

RD Congo/Boxe : Patrick Mukala l’emporte par KO face au Malawite Siméon Tcheta

SPORT. Le boxeur congolais Patrick Mukala a battu le Malawite Siméon Tcheta par KO au troisième round la nuit de jeudi 22 septembre 2022 à Johannesburg (Afrique du Sud) dans la salle de Galleria center à Sandton.  Le Congolais a réussi à utiliser sa rapidité pour battre son adversaire. « Le combat s’est passé très bien. J’étais très déterminé à le battre. Je ne pouvais plus accepté que le Malawi nous batte. Il était géant mais lorsque nous nous sommes croisés sur le ring, il a réalisé que j’avais la vitesse, mes mouvements étaient trop rapides. Il ne m’a touché qu’une seule fois dans le 3 rounds. Et au troisième round, je l’ai envoyé sur le tapis », a dit Patrick Mukala après le combat. Ce combat est important pour le classement mondial de boxe dans la catégorie de lourd léger. Le pugiliste congolais classé dans le top 100 au niveau mondial, verra son classement évolué et pourra se retrouver dans le top 50. Patrick Mukala évolue au Randburg Boxing Club de Johannesburg où il a déjà livré 15 combats dont 13 gagnés par KO, un perdu et un autre nul. En mars 2017, il avait réussi à gagner le titre de champion panafricain de World Boxing Association (WBA), en battant par abandon, au huitième round, le ghanéen Daniel Lartey en Afrique du Sud.

RD Congo/France. Erreur d’appréciation et de jugement

RD Congo/France. Erreur d’appréciation et de jugement

BOXE. Il s’est retrouvé sur le plus HAUT podium du plus GRAND événement sportif de la planète (les J.O). Une fois l’OR autour du cou, au lieu de lui opposer les MEILLEURS pour qu’il se fasse la MAIN, on lui a offert des BRAS CASSES. Conclusion, il a chuté face au premier adversaire VALABLE. LAURENT BOUDOUANI, ancien vice-champion olympique à Séoul, avait connu la même mésaventure face à GILBERT BAPTIST, un pugiliste américain de classe moyenne. Toutes mes félicitations à mon jeune frère MARTIN BAKOLE qui a eu l’élégance d’envoyer un message FRATERNEL à son adversaire tout en lui souhaitant bonne chance en LINGALA quelques jours avant leur affrontement. Il a eu l’avantage de se préparer avec un colosse en servant de sparring partner à ANTONY JOSHUA, ancien champion du monde des poids lourds. Son combat contre TONY YOKA a été une promenade de SANTE. La loi du sport est : QUE LE MEILLEUR GAGNE. En revanche, le troisième juge qui a pointé les deux pugilistes à égalité (94-94) sur son bulletin a dû fumer de la MOQUETTE. C’était une victoire UNANIME. Parfois il vaut mieux reculer pour mieux sauter. Bon vent à TONY YOKA. Par Nysymb Lascony

Boxe : le Congolais Junior Ilunga Makabu conserve sa ceinture des lourds- légers WBC

Boxe : le Congolais Junior Ilunga Makabu conserve sa ceinture des lourds- légers WBC

SPORT. Le boxeur congolais Junior Ilunga Makabu a conservé sa ceinture de champion du monde des lourds-légers de WBC, (World Boxing Council). C’est sur décision des arbitres qu’il a battu son challenger le Sud-Africain Thabiso Mchunu, dans la nuit de samedi 29 à dimanche 30 janvier 2022 aux États-Unis d’Amérique. « This is our time for Congo » (C’est notre moment pour le Congo) a déclaré Junior Ilunga après sa victoire. C’est pour la deuxième fois que le boxeur Ilunga défend et conserve sa ceinture. La première fois, c’était en décembre 2020 face au Nigérian Olanrewaju Durodola à Kinshasa en République démocratique du Congo. Et la ceinture elle-même il la détient depuis le 31 janvier 2020, il avait battu le Polonais Michal Cieslak. Après cette victoire, Ilunga Makabu va rencontrer le Mexicain Saúl Canelo Alvarez, au mois de mai 2022, pour l’unification des titres chez les super-moyens et les lourds-légers.