Les dessous de la Francafrique : 3 millions de dollars du contribuable Burkinabè Cachés dans des Djembés offerts gracieusement à l’Élysée !

Les dessous de la Francafrique : 3 millions de dollars du contribuable Burkinabè Cachés dans des Djembés offerts gracieusement à l’Élysée !

INDISCRETION. Un soir à Ouagadougou, Robert Bourgi se retrouve avec le président Blaise Compaoré pour une mission insolite : transporter 3 millions de dollars pour Chirac et Villepin. Compaoré, connaissant le goût pour l’art de Villepin, propose de dissimuler l’argent dans quatre djembés. À Paris, Bourgi se gare dans la cour d’honneur de l’Élysée, un privilège rare. En présence des gendarmes, Villepin et sa secrétaire Nadine Izard récupèrent les djembés, remplis de petites coupures. Chirac, amusé, lance : « Blaise déconne, c’est encore des petites coupures! » Une anecdote révélatrice des coulisses de la Francafrique. AES

Burkina Faso. La déchéance totale

Burkina Faso. La déchéance totale

INDISCRETION. S’il y a un domaine dans lequel la LEUCODERMIE est CONSTANTE et INDETRONABLE c’est le CYNISME. Pendant que la NEGRAILLE est au pouvoir, ses DECIDEURS lui passe la pommade, cire les pompes, attribuent des récompenses aux SUCEURS de chez NOUS pour les inciter à concourir à leur PROPRE perte. Tout cela donne l’illusion à ces derniers d’être au dessus de la mêlée jusqu’à ce qu’ils se retrouvent un jour au fond des poubelles comme des KLEENEX imbibés de MORVE. En 2007, pour contrer la CARAVANE THOMAS SANKARA qui nous avait conduit du MEXIQUE jusqu’au BURKINA FASO, Monsieur GUY PENNE, ancien conseiller aux affaires africaines du Président FRANCOIS MITTERRAND, avait proposé la nomination de BLAISE COMPAORE, au sommet de sa gloire, pour le PRIX NOBEL DE LA PAIX. Nous n’étions que deux CONGOLAIS à avoir pris part à cette caravane, mon aîné feu Maître DIEUDONNE NKOUNKOU, ancien avocat de la veuve MARIAM SANKARA, et moi-même. Maître DIEUDONNE NKOUNKOU, paix à son âme, fut le premier avocat à avoir porté plainte contre l’ancien bourreau de SANKARA dans un tribunal burkinabè à une époque où une telle action était inenvisageable. C’est à peu près à cette même période que le général GILBERT DIENDERE fut fait CHEVALIER DE LA LEGION D’HONNEUR par NICOLAS SARKOZY, décoration qu’il perdra en 2015, juste quelques mois après la chute du régime COMPAORE. A 4 jours de la commémoration du 35 anniversaire de l’assassinat du capitaine THOMAS SANKARA et ses compagnons, l’UNIVERSITE JEAN MOULIN a décidé de déchoir BLAISE COMPAORE de son titre de DOCTEUR HONORIS CAUSA qui lui fut attribué durant son règne. J’ADORE la LEUCODERMIE parce qu’elle sait récompenser les TRAITRES. Elle vous encense d’abord pour garantir ses INTERETS et puis après, elle vous balance à la POUBELLE. Que la NEGRAILLE en HERBE en prenne GRAINE. A chacun son tour chez le COIFFEUR. Par Nysymb Lascony

Burkina Faso. Quémandeur de pardon (Tu ne tueras pas)

Burkina Faso. Quémandeur de pardon (Tu ne tueras pas)

OPINION. Hier fidèle allié de la LEUCODERMIE, sol qu’il ne peut fouler depuis sa chute en 2014 (même pour raison de santé), telle une POUTRE rongée par les termites, BLAISE COMPAORE surnommé « L’HOMME FORT DU FASO », le regard évasif, la santé fragile, purge sa peine dans son ESPRIT. Il est prisonnier de sa propre CONSCIENCE. Même le col de sa propre chemise ne lui sied plus, TROP grand pour un COU de GLOUTON qui a ingurgité des litres de SANG. Sentant sa fin PROCHE, Il a demandé lâchement PARDON à son peuple et la famille de son « frère » et « ami » THOMAS SANKARA pour pouvoir bénéficier des OBSEQUES NATIONALES au FASO, sa terre d’origine. Sa nouvelle citoyenneté IVOIRIENNE ne lui garantie pas ce privilège. Sa future et probable « MORT NATURELLE », mention apposée sur le certificat de décès de son « frère » et « ami », se révèle LENTE et plus ATTROCE que celle de ses nombreuses victimes. « PIRE QUE LA MORT C’EST LA TRAHISON »? MALCOLM X Par Nysymb Lascony

Procès Thomas Sankara : Blaise Compaoré a bénéficié du soutien de plusieurs chefs d’État, selon Ousseni Compaoré

Procès Thomas Sankara : Blaise Compaoré a bénéficié du soutien de plusieurs chefs d’État, selon Ousseni Compaoré

Au regard des accointances qu’avait le capitaine Blaise Compaoré avec plusieurs chefs d’État de la sous région et ayant eu vent de ce que quelque chose se tramait, les services de renseignements de l’époque (1987) ont mené des investigations et infiltré plusieurs pays. Ils sont arrivés, selon le commandant de la gendarmerie à l’époque, Ousseni Compaoré, à la certitude que plusieurs chefs d’État soutenaient le coup de force de Blaise Compaoré, parce que voulant mettre fin à la révolution. Le témoin ajoute que des informations faisaient aussi cas, de ce que le président ivoirien au moment des faits, Houphouet Boigny, a dit à Jean Claude Kamboulé (membre de la branche de l’opposition burkinabè en Cote d’ivoire qui voulait mettre fin à la révolution), de ne plus chercher à faire tomber la révolution car il avait trouvé quelqu’un pour le faire, en la personne de Blaise Compaoré… Lire la suite sur Lefaso

Burkina Faso : le procès de l’assassinat de Thomas Sankara débutera le 11 octobre

Burkina Faso : le procès de l’assassinat de Thomas Sankara débutera le 11 octobre

Le procès de l’assassinat de Thomas Sankara, icône panafricaine tuée avec douze autres personnes lors d’un coup d’Etat en 1987, débutera le 11 octobre à Ouagadougou, a annoncé, mardi 17 août, le procureur militaire du Burkina Faso. « Le procureur militaire près le tribunal militaire de Ouagadougou informe l’opinion nationale et internationale que le procès des personnes mises en cause dans l’affaire de l’assassinat du président Thomas Sankara et de ses douze compagnons s’ouvrira le lundi 11 octobre 2021 à partir de 9 heures », indique un communiqué transmis à l’AFP. Le procès sera délocalisé « dans la salle des banquets de Ouaga 2000 » et sera « public », précise le texte. Mi-avril, le dossier avait été renvoyé devant le tribunal militaire de Ouagadougou après la confirmation des charges contre les principaux accusés, dont l’ex-président Blaise Compaoré, trente-quatre ans après la mort du « père de la révolution » burkinabée. Outre M. Compaoré, douze autres accusés seront jugés pour « attentat à la sûreté de l’Etat », « complicité d’assassinats » et « complicité de recel de cadavres »… Lier la suite sur Le Monde Afrique

Assassinat de Thomas Sankara: la justice burkinabè décide de la mise en accusation de l’ex-président Blaise Compaoré

Ce mardi, le tribunal militaire a décidé de la mise en accusation de l’ex-président Blaise Compaoré pour attentat à la sureté de l’État, complicité d’assassinat et recel de cadavres dans le dossier de l’assassinat de l’ancien chef de l’État Thomas Sankara. Gilbert Diendéré, ancien bras droit de Blaise Compaoré, est poursuivi pour complicité d’assassinat, recel de cadavres, attentat à la sureté de l’État. Au total, 14 personnes doivent comparaître devant le tribunal dans ce dossier.

Burkina Faso: Blaise Compaoré annonce sa démission

Burkina Faso: Blaise Compaoré annonce sa démission

Une page de l’histoire du Burkina Faso se tourne. Vingt-quatre heures après les manifestations sans précédent contre les symboles de l’Etat à Ouagadougou et à Bobo Dioulasso, le président Blaise Compaoré s’est enfin décidé à quitter le pouvoir qu’il occupait depuis 27 ans. Après avoir créé, lui-même, les conditions de son départ (en voulant coûte que coûte réviser la Constitution) et perdu ses derniers soutiens dans l’armée, le chef de l’Etat burkinabé a été contraint à renoncer au pouvoir. Le retrait du projet de loi que les députés s’apprêter à voter pour lui permettre de rempiler, la dissolution de l’Assemblée nationale et du gouvernement n’ont finalement pas suffit à contenir la colère de la rue. Tout comme la soudaine disponibilité du président à négocier avec l’opposition. Dans un message lu à la télévision, l’ex-président burkinabé a déclarait qu’il quitte le pouvoir pour « préserver les acquis démocratiques et la paix sociale». Si la raison évoquée a de quoi faire rire les observateurs, son départ de la présidence reste une belle victoire pour le peuple burkinabé qui l’a salué par un concert de klaxons et de cris de joie ainsi que des coups de sifflet. Aux dernières nouvelles, le Président démissionnaire aurait été vu dans un convoi en route vers le sud du pays alors que des sources policières indiquaient la veille que son épouse aurait regagnée son pays d’origine : la Côte d’Ivoire. La France, qui a salué la démission du président Compaoré, a appelé à la « tenue rapide d’élections démocratiques ». Un refrain que bien d’anciens présidents africains connaissent par cœur!