Soufflet retentissant de l’Administration Biden aux autorités algériennes
OPINION. L’Administration du Président Joe Biden a une nouvelle fois infligé, le 1er juillet 2021, un soufflet retentissant aux hauts responsables algériens en réaffirmant que les Etats Unis d’Amérique ne modifieraient pas leur position sur la reconnaissance de la souveraineté pleine et entière du Maroc sur son Sahara. Il n’y aura donc aucun changement dans la position américaine relatif à la reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur son Sahara et l’Administration du Président Joe Biden, vient de consacrer, de manière on ne peut plus claire, la continuité de la ligne politique des Etats-Unis d’Amérique sur ce dossier clé pour son allié stratégique ; une position constante de l’Administration Biden, a tranché, le 1er juillet 2021, le Porte-Parole de la diplomatie américaine, Ned Price lors de son point de presse. Cette déclaration a suscité moult réactions dont celle de l’Avocate des Droits de l’Homme et de la Sécurité Nationale, Irina Tsukerman, pour laquelle cette continuité consacre « les liens historiques naturels qui cimentent les relations entre le Maroc et les Etats-Unis d’Amérique, tout en rappelant le rôle clé du Maroc dans la paix et la stabilité en Afrique du Nord et dans le processus de paix au Proche Orient tout en indiquant que les Etats-Unis d’Amérique reconnaissaient le rôle de premier plan dans la gestion des questions diplomatiques, économique et sécuritaires du Maroc dans la région De son côté, le vice-Président aux Affaires Mondiales de l’Université américaine de la Nouvelle Angleterre (UNE), a affirmé que l’Administration Biden est « pleinement consciente de l’effort inlassable du Maroc pour parvenir à une solution juste et définitive » au différend régional sur le Sahara, de même qu’elle « apprécie à sa juste valeur » l’apport stratégique du Royaume du Maroc au Sahel et en Afrique ainsi qu’au Proche Orient. Même réaction de la part du Président de l’institut Polisens à Ottawa pour qui la continuité de la position américaine au sujet de la souveraineté pleine et entière du Maroc sur son Sahara montre que cette reconnaissance est « bien le fruit de plusieurs années de consultations et de persévérance » de la diplomatie marocaine, sous la conduite du Roi Mohammed VI. Enfin, autre réaction à souligner, celle du Président de la Communauté Juive Marocaine de Toronto, Simon Keslassy qui s’est dit « ravi de la position de la nouvelle Administration du Président Biden en faveur de la marocanité du Sahara » qui consacre la reconnaissance par une puissance planétaire, un acteur majeur des relations internationales et un membre permanent du Conseil de Sécurité. « Chose à laquelle je m’attendais, vu les excellentes relations que les Etats- d’Amérique ont toujours maintenues avec le Maroc », a-t-il dit. « Cette décision, juste et politiquement forte, devrait servir d’exemple à suivre pour les pays européens », a soutenu Simon Keslassy. A remarquer que contrairement à l’obstination de la junte militaire algérienne à vouloir nier la réalité historique, politique, culturelle, religieuse et économique de la marocanité du Sahara, les slogans brandis par les manifestations populaires du Hirak en Algérie sont clairement révélateurs que la question dite du Sahara n’est pas la cause du peuple algérien mais bien, une affaire du régime militaire algérien. Une manœuvre des responsables algériens stérile et contre-productive visant à détourner l’attention des plaintes sérieuses et légitimes du Haut-Commissariat et des milliers d’ONG’s à travers le monde, au sujet des violations massives des Droits des algériens à la liberté d’expression, de rassemblement, et de manifestation. Il est devenu certain que les dirigeants algériens ne s’intéressent pas au principe d’autodétermination ou au soutien à un supposé peuple sahraoui, qui n’a jamais existé, mais tout simplement pour parvenir à des fins géopolitiques hégémoniques. D’ailleurs, lors de débats au Conseil des Droits de l’Homme, tenus le 1er juillet 2021 à Genève, le Maroc a fustigé les mensonges contenus dans la déclaration du représentant de l’Algérie et attiré l’attention, à cet égard, sur le calvaire des Sahraouis marocains retenus contre leur gré, dans les camps de Tindouf, par les milices du polisario avec le soutien du régime militaire algérien, notant avec préoccupation les exécutions extrajudiciaires, sommaires ou arbitraires commises par les autorités algériennes à leur encontre. Au final, l’Algérie est bien le principal soutien indéfectible du polisario et, malgré, les nombreux effets d’annonce, la nouvelle Administration américaine à sa tête Joe Biden, n’est pas revenue sur la reconnaissance par les Etats-Unis d’Amérique de la souveraineté marocaine sur son Sahara. En effet, non seulement, le Président américain Joe Biden n’est pas encore revenu sur la décision du 10 décembre 2020 prise par son prédécesseur, Donald Trump, de reconnaître la souveraineté du Maroc sur son Sahara, mais, aussi et surtout, il a été noté que Washington continue toujours de s’en tenir à des déclarations prudentes sur le sujet qui reste très sensible. Il est de notoriété publique que les responsables algériens rêvent de coloniser le Sahara marocain pour avoir un accès sur l’Océan Atlantique et c’est pour cette unique raison qu’ils ont tout sacrifié et usent et abusent même des ressources du peuple algérien pour corrompre des pays importants, mais le monde a découvert le pot aux roses de ces escrocs terropolisariens et par sagesse de nombreux pays sont aujourd’hui sont pour l’autonomie. Ce soutien du régime algérien à la pseudo RASD atteindrait la somme pharaonique de plusieurs dizaines de milliards de dollars ; une perte considérable d’argent pour le peuple algérien dans un contexte de grave crise financière. Un rêve de voir la marocanité sur son Sahara remise en cause par les Etats-Unis d’Amérique se dissipe au fil des jours aussi bien en Algérie qu’en Espagne et en Allemagne. Farid Mnebhi.
Le Chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell, inflige une belle déculottée aux autorités algériennes
TRIBUNE. Il n’y a pas photo, la propagande anti-marocaine des responsables algériens vient de prendre une belle rouste de la part du Haut Représentant de l’Union Européenne pour les Affaires Etrangères et la Politique de Sécurité. En effet, découvrant le pot-aux-roses, Monsieur Borrell a mis le holà à l’usage mensonger de son nom dans les activités malhonnêtes des autorités algériennes visant à rameuter le peu de députés européens à leur solde en vue de le noyer de questions sur un unique sujet, à savoir le Sahara marocain. Mais, c’était sans compter sur l’intelligence de Monsieur Josep Borrell qui avait tout compris des tentatives de le piéger dans l’agenda algérien à travers des questions peu à propos et inchangées de certains députés européens. Face au jeu trouble des autorités algériennes, Monsieur Borrell a tenu à mettre les choses au clair et de la plus belle manière en éclairant la lanterne de ces députés leur rappelant que le Maroc et l’Union Européenne sont liés par de nombreux accords, dont le dernier en date n’est autre que l’Accord du 19 juillet 2019. Cet accord, comme le précise Borrel, reconnaît la souveraineté douanière du Maroc sur l’ensemble de son territoire, ce qui signifie que l’Union Européenne ne distingue pas entre les produits marocains qu’ils viennent du Nord du pays ou de ses Provinces sahariennes. Ce qui intéresse l’UE ce sont les effets de ces accords sur le développement durable des pays partenaires. De même, Borrell a rappelé le nouveau protocole signé le 4 mars 2019 entre l’UE et le Maroc et qui porte sur la pêche durable. Ce protocole est évalué à travers des réunions régulières entre les deux parties et fait l’objet de rapports réguliers de la part d’une Commission mixte. Il a égalementmontré que l’Union Européenne et le Maroc entretiennent des relations transparentes, précisant aux députés européens que les deux partenaires ont décidé d’un commun accord d’impliquer les populations des zones agricoles et de pêcheries pour qu’elles puissent profiter elles aussi des retombées directes de ces accords. Ces derniers sont parfaitement conformes, selon lui, aux décisions et résolutions du Conseil de Sécurité de l’ONU. Notons, que ces derniers temps, l’Algérie, et dans le seul but de porter atteinte à l’intégrité territoriale du Maroc, n’a cessé de manipuler des ONG’s, des médias et certains députés européens en vue de maintenir en vie un conflit artificiel qu’elle a créé de toute pièce. Quant aux allégations de la Présidente de l’AARASD, Régine Villemont, et celle de l’eurodéputé, Janina Ochojska, des habitués aux prébendes mensuelles algériennes, elles ont été renvoyées sur les cactus du désert algérien par Monsieur Borrell en personne. Tout comme le gros mensonge de la presse algérienne et étrangère, affidée au régime algérien, selon lequel, le Haut-Représentant de l’Union Européenne pour les Affaires Etrangères et la Politique de Sécurité, Josep Borrell, aurait, une nouvelle fois, balayé d’un revers de main les prétendues provocations de l’eurodéputée italienne Silvia Sardone (Lega), du groupe politique d’extrême-droite Identité et Démocratie (ID), sur des restrictions de déplacement dans les camps des séquestrés sahraouis marocains à Tindouf, ce qui est tout à fait vrai et vérifiable. Quel gros mensonge des responsables algériens ! Enfin, on ne peut conclure ce papier sans parler de la commémoration de cette date anniversaire chère aux Marocains qu’est le 14 août 1979. Un jour historique où Oulémas, Notables et Chefs de tribus de la Province de Oued Eddahab s’étaient rendus au Palais Royal de Rabat pour présenter à Feu Sa Majesté Hassan II leur serment d’allégeance et réaffirmer leurs liens d’attachement indéfectible au Glorieux Trône Alaouite. Par cet acte solennel et hautement patriotique, les habitants de Oued Eddahab ont signifié qu’ils ne braderaient jamais leur identité marocaine, en affirmant au monde entier que le Sahara a toujours été marocain et qu’il le restera pour toujours, en dépit des manœuvres des adversaires que tout le monde connaît. La commémoration de la récupération de la Province de Oued Eddahab est une occasion de renforcer la mobilisation pour préserver l’unité du Maroc, de se remémorer les valeurs nationales et d’aller de l’avant dans le processus d’édification et de développement économique dans nombre de domaines. Nul n’est en droit d’ignorer que 41 ans après sa récupération, la Province de Oued Eddahab, érigée en région économique, vit au rythme d’un processus de développement important et soutenu, marqué par la réalisation d’importantes infrastructures et de grands projets d’envergure, en harmonie avec la vision ambitieuse du Roi Mohammed VI de faire de cette région un pôle économique pionnier à l’échelle nationale et régionale et un pont entre l’Europe et l’Afrique subsaharienne, en consacrant un nouveau modèle de développement qui repose sur nombre de programmes visant la consolidation du moteur de développement, l’accompagnement des secteurs de production et l’intégration des entreprises au sein du tissu économique. De même, l’ouverture de Consulats africains à Dakhla et Laâyoune a constitué un événement diplomatique de grande importance au service de la cause nationale qui illustre un fort mouvement de solidarité et de soutien de la communauté internationale à la position du Maroc, en particulier au sein de la famille africaine. Peut-on en dire autant de l’Algérie, elle qui n’a vécu que de ses produits pétro-gaziers pour enrichir son oligarchie et appauvrir son peuple en détruisant son agriculture et son industrie, tout en rendant les Algériens des fainéants, des désoeuvrés et des ignares devenus des Hitistes (adossés aux murs dans les rues), seule et unique production typiquement algérienne reconnue à l’international avec près de 15 millions d’individus masculins. Bonjour les dégâts pour le futur, si futur il y a pour eux bien entendu ! Farid Mnebhi.
Les mensonges des autorités algériennes et de leurs affidés polisariens mis à nu
TRIBUNE. Dans une lettre adressée, en juillet 2020, à Madame Michelle Bachelet, Haut-Commissaire des Nations-Unies aux Droits de l’Homme, près d’un millier d’ONG’s sahraouies, très actives dans les domaines de la protection des Droits Humains et du développement au Sahara marocain, est monté au créneau pour dénoncer les mensonges et contre-vérités des responsables algériens et leurs affidés polisariens et insister sur le caractère normal de la situation des Droits de l’Homme au Sahara marocain. Ces 925 organisations de la société civile sahraouie ont interpellé Madame Bachelet à Genève et dénoncé le caractère mensonger des allégations d’Alger et du polisario sur les Droits de l’Homme dans les Provinces du Sud marocain, tout en soulignant le caractère normal de la situation dans ces Provinces, ajoutant qu’elles évoluent dans un contexte prometteur et évolutif et dispose d’un espace de liberté régi par un cadre juridique et institutionnel sérieux et crédible. Il est à noter que, dans cette lettre, la société civile sahraouie marocaine a tenu à dénoncer les multiples tentatives algéro-polisariennes de déstabilisation des Provinces Sud marocaines en manipulant certains jeunes sahraouis marocains pour les pousser à une confrontation violente avec les forces de sécurité marocaines, afin qu’elles puissent les utiliser dans de sordides campagnes médiatiques, exploitant la liberté d’expression et de mouvement à l’intérieur et à l’extérieur du pays. Ce qui est loin d’être le cas, en Algérie et dans les camps de la mort de Tindouf, raison pour laquelle ils se refusent à fournir les moindres données sur la situation des Droits Humains dans ces camps de sahraouis marocains embastillés. La honte dans toute sa splendeur ! Rappelons qu’en juillet 2018, le Comité des Droits de l’Homme de l’ONU avait exprimé sa préoccupation face au mépris de l’Algérie de ses obligations et responsabilités, conformément aux exigences des Droits de l’Homme et du droit international humanitaire, en plaçant ses pouvoirs judiciaires entre les mains de son protégé. En revanche, et signe de la grande ouverture dont fait preuve le Maroc, l’attention de la Haut-Commissaire a été attirée quant au fait qu’elle avait, elle-même, rencontré les partisans du polisario qui se rendent avec des passeports marocains à Genève où ils organisent leurs activités hostiles au Royaume du Maroc avant de rejoindre le territoire national sans jamais être inquiétés. « Combien d’opposants de l’intérieur des camps de Tindouf ont-ils eu l’occasion de vous rencontrer et de retourner ensuite dans les camps ? », s’interrogent ces ONG’s. Ces 925 ONG’s sahraouies ont, en outre, dénoncé l’adoption par le polisario, tout comme par son parrain algérien, d’une approche contradictoire sur la question des Droits de l’Homme, qu’ils utilisent à des fins politiques et n’y voient qu’un outil de propagande offensif contre le Maroc et de pression pour promouvoir leur projet séparatiste. La lettre a fait remarquer que les témoignages de survivants sahraouis marocains ont fait état de milliers de victimes à la suite d’exécutions sommaires et extrajudiciaires, d’arrestations arbitraires et de disparitions forcées, de tortures et de viols, qui ont touché des hommes, des femmes et même des enfants par les milices des séparatistes. Ces ONG’s ont qualifié d’anomalie le fait de maintenir des milliers de personnes isolées du monde extérieur pendant plus de 45 ans, regrettant que les séquestrés sahraouis marocains dans les camps de la mort de Tindouf soient laissés à la merci d’un acteur non gouvernemental qui exerce son emprise sur ces personnes en toute impunité, par le biais de milices armées qui commettent toutes les formes des violations des Droits Humains à l’encontre d’une population vulnérable et coincée dans un no man’s land. Elles ont aussi souligné que « la vérité sur le terrain ne se mesure ni par l’ampleur de la propagande, ni par la prolifération des allégations qui sont promues au sein des mécanismes internationaux des Droits de l’Homme afin d’influencer, ou plutôt d’induire en erreur l’opinion publique ». En conclusion, ces ONG’s sahraouies ont réitéré leur plein soutien à la proposition d’autonomie présentée par le Maroc, « en tant que solution à même de mettre fin à ce conflit artificiel entre frères et garantir notre dignité et notre liberté », demandant à la Haut-Commissaire de communiquer leurs observations au Conseil des Droits de l’Homme et au Secrétaire Général de l’ONU. Farid Mnebhi.
Une nouveauté ! Les autorités algériennes caquettent face à la France
Du jamais vu ! Deux reportages sur le Hirak algérien, diffusés le 26 mai 2020 par les chaînes publiques françaises France 5 et LCP, relayées par France 24, s’en sont pris contre les institutions algériennes et l’Armée Nationale Populaire (ANP). Les deux documentaires en question titrés « Algérie mon amour » et « Algérie, la révolution jusqu’au bout ? » ont été attaqués par l’agence de presse étatique, Algérie Presse Service (APS) quia pour habitude de faire les choses en grand. Aussi, dans un papier d’ouverture titré « Le documentaire sur le Hirak » diffusé par des chaînes françaises, largement décrié par les autorités algériennes, explique le 27 mai 2020 que les institutions et le peuple algérien ont été attaqués. Sur ce, le Ministère algérien des Affaires Etrangères s’est empressé de publier un communiqué courroucé dans lequel il dénonce le caractère récurrent des programmes diffusés par des chaînes de télévision publiques françaises, dont les derniers en date sur France 5 et La Chaîne parlementaire, le 26 mai 2020. Mieux, les autorités algériennes ont pris la décision de rappeler immédiatement leur Ambassadeur à Paris pour consultations après la diffusion de ces reportages par des chaînes TV publiques françaises sur le Hirak. Pure gestuelle du régime algérien sans conséquence, puisqu’il est certain que l’Ambassadeur algérien sera de retour à son poste, sans avoir quitté la France, aussi vite qu’une souris et l’affaire sera empaquetée. Au fait, il n’y a pas de vol Paris-Alger en cette période de pandémie du Coronavirus (COVID-19) ! Et, au cas où un avion spécial est mis à sa disposition, qu’il embarque avec lui des algériens bloqués en France. Un beau coup de Pub ! Aussi, ce rappel de l’Ambassadeur d’Algérie en France n’est que gestuelle, une colère feinte et une simple algarade diplomatique orchestrée par les responsables algériens. Un travail d’orfèvre, de la porcelaine politique, un vase de Soissons qu’on casse avec un vrai sens de la mise scène.Un usage fort tactique de l’actualité par un régime algérien en grande difficulté politique et économique. Le pouvoir algérien tente de faire un excellent usage de certaines séquences des deux documentaires sans pour autant que cela puisse créer une crise diplomatique entre Paris et Alger. Quant à la réaction vipérine du Ministère des Affaires Etrangères, elle ne peut faire oublier les arrestations qui se multiplient depuis plusieurs mois en Algérie. Des journalistes, correspondants de médias étrangers, ont été arrêtés ou convoqués par les autorités. Il y a peu, El Manchar, l’équivalent du Gorafi, fermait son site, inquiet de la restriction croissante de la liberté d’opinion. Il suffit d’un statut Facebook pour finir au poste de police. Plus contesté que jamais, le pouvoir se braque. Il sait qu’après la fin du confinement lié au COVID-19 les manifestations reprendront de plus belle et que la crise économique, accentuée par des semaines d’inactivité, aggravera la colère à son égard. D’où cette diversion diplomatique. Le régime algérien a toujours dépeint le Hirak comme étant noyauté par des entités inconnues ayant des objectifs malveillants qui consacrent de l’argent sale afin d’amplifier le nombre de ces manifestations, en ramenant les citoyens des autres Wilayas en dehors de la capitale. Les autorités algériennes y ont même détecté, selon leurs dires, à de nombreuses reprises « la main de l’étranger » derrière les manifestants qui le contestaient. On devinait l’ombre de Paris dans le regard du militaire algérien. L’incident d’aujourd’hui n’est qu’une continuité de cet état d’esprit. Si les autorités algériennes ont réagi, ce n’est pas pour la politique extérieure, mais bien pour l’opinion intérieure. C’est du populisme et c’est pourquoi nul ne doit être surpris par cette réaction puérile des responsables algériens qui marque l’extrême fragilité du pouvoir algérien. Farid Mnebhi.
Recherche éperdue par les autorités algériennes de masques de protection pour sa population
TRIBUNE. Une nouveauté typiquement algérienne a été rendue publique, le 18 mai 2020, par les responsables d’Alger, à savoir le port obligatoire du masque sanitaire afin de freiner la pandémie de COVID-19 et ce, à l’approche de la Fête de l’Aïd El Fitr qui devrait avoir lieu le 23 ou 24 mai 2020. Mais voilà, l’Algérie n’en produit pas, contrairement à son voisin marocain qui en produit plus de 07 millions de pièces chaque jour et d’excellentes qualités au point de penser à en exporter. Cette denrée extrêmement rare, pour ne pas dire inexistante, en Algérie fait que le Ministre algérien du Commerce court dans tous les sens pour acquérir des masques afin de freiner la rapide propagation de la pandémie du COVID-19 dans son pays qui aurait fait, selon les chiffres officiels plus de 500 morts. Un chiffre qu’il faudrait multiplier par trois voir quatre pour ce faire une idée réelle du désastre dans ce pays, un des plus infectés d’Afrique. Face à cette misère sanitaire, le Ministre algérien de la Santé n’avait rien trouvé de mieux que d’inviter, le 12 mai 2020, les citoyens algériens à confectionner leurs propres masques chez eux tout en affirmant que lui-même portait des masques confectionnés par sa propre épouse. Il aurait dû demander également aux citoyens algériens de fabriquer leurs propres respirateurs artificiels pendant qu’il y était ! Même son de cloche chez son collègue, le Ministre du Commerce qui a annoncé, le 18 mai 2020, que l’État autorisait, à titre provisoire, la production des masques sans qu’il soit nécessaire pour cela d’être immatriculé au registre du commerce et que le Gouvernement algérien tolérerait l’ouverture de commerces de gros et de détail, de mercerie et de bonneterie et d’atelier de confection afin d’encourager la production des masques de protection. C’est dire que les responsables et les galonnés algériens vont, une nouvelle fois, se sucrer allègrement sur le dos du peuple algérien en leur vendant des masques de qualité zéro au prix fort de 40 Dinars algériens l’unité. Autant s’attendre à une recrudescence du nombre de morts en Algérie face à la pandémie du COVID-19. Une Fête d’Aïd Al Fitr des plus sinistres se déroulera en Algérie, les 23 ou 24 mai 2020, par la faute des dirigeants algériens ne pensant qu’à leurs comptes bancaires déjà bien garnis à l’étranger.Quant à l’Aïd Al Adha, le peuple algérien ne sacrifiera point de moutons, chèvres ou poulets, selon leur bourse. Il n’y a pas photo. Honte aux dirigeants algériens ! Farid Mnebhi.
Exploitation outrageuse par les autorités algériennes de la pandémie du COVID-19 pour matraquer les militants du Hirak et des journalistes
Nombre d’eurodéputés appartenant à différents groupes politiques ont paraphé une lettre adressée au Haut Représentant de l’Union Européenne pour la Politique Etrangère et la Sécurité, Monsieur Joseph Borrel, dans laquelle ils attirent l’attention de l’Union Européenne sur la situation catastrophique de la liberté de presse et les brimades dont sont l’objet les journalistes, rappelant le cas de Khaled Drareni, correspondant de Reporter Sans Frontières, détenu depuis le 29 mars 2020. Il est fait état dans cette lettre, que les responsables algériens manipulent à l’envie la crise sanitaire liée au COVID-19 pour maltraiter de manière éhontée les activistes du Hirak et des journalistes indépendants qui sont jetés en prison en violation flagrante de leurs droits les plus élémentaires. Par ailleurs, les eurodéputés insistent sur le fait que les responsables algériens sont seuls responsables dans la protection de la presse et se doivent de permettre aux journalistes de faire leur travail en toute indépendance et leur garantir le libre accès à l’information. A rappeler que nombre d’ONG’s internationales avaient appelé le 02 avril 2020 à la libération de Khaled Drareni et d’autres journalistes ainsi que celle de militants détenus en Algérie, mais cet appel est resté lettre morte jusqu’à ce jour. « Aujourd’hui et sur la base de la résolution du Parlement Européen de novembre 2019 sur la situation des libertés en Algérie, nous vous appelons à agir auprès du Gouvernement algérien en vertu de ses engagements internationaux pour mettre un terme à la détention arbitraire des journalistes et des militants des Droits de l’Homme», ont lancé ces eurodéputés à l’adresse du Haut Représentant de l’Union Européenne pour les Affaires Etrangères et la Sécurité. Le Parlement Européen a donc réclamé une intervention urgente de l’Union Européenne pour mettre un terme à la répression exercée par les autorités algériennes à l’encontre des militants des Droits de l’Homme. A noter que le 15 mai 2020, le quotidien américain « The Washington Post » avait consacré une page entière au journaliste Khaled Drareni tout en appelant les autorités algériennes à le libérer et à cesser la censure imposée aux journalistes. Pour ce qui est de la machine algérienne de propagande anti-marocaine, celle-ci continue de fonctionner à plein régime, faisant le bonheur malsain d’une certaine presse aux ordres. La honte des autorités algériennes dans toute son horreur ! Mais que voulez-vous, en Algérie ou on suit les Caporaux de Généraux ou alors c’est la taule dans toute sa noirceur assurée ! Une situation qui perdure depuis l’indépendance de l’Algérie en juillet 1962 et que les Algériens refusent aujourd’hui. Farid Mnebhi.
Les autorités algériennes restent fixées sur leur nombril
TRIBUNE. Il est une réalité incontestable que les hommes au pouvoir en Algérie soient dans l’incapacité de mener une diplomatie cohérente et c’est la raison pour laquelle ils ne ratent aucune occasion pour réagir face aux acquis diplomatiques que le Maroc ne cesse d’engranger sur le soutien international à son intégrité territoriale, marquant ainsi leur désarroi et leur isolement sur le plan international. Il est devenu plus qu’évident que la haine incompréhensible des responsables algériens, fidèles héritiers de Boumediene envers le Maroc, reste toujours la pierre angulaire d’un pouvoir militaro-affairiste mené à la baguette par des généraux faiseurs de Présidents et ce, alors qu’ils devraient s’affairer à revoir leur attitude révoltante envers le Maroc. Force est d’admettre que la reconnaissance de la marocanité du Sahara n’est plus une affaire des seuls Etats, mais aussi des organisations internationales, au moment où les retraits des rares soutiens au polisario se multiplient, notamment avec l’ouverture de plusieurs Consulats Généraux à Laâyoune et Dakhla, villes du Sahara marocain. De même que la Confédération Africaine a choisi la ville de Laâyoune pour abriter la Coupe d’Afrique des Nations de Futsal du 27 janvier au 07 février 2020, une compétition de très haute qualité et qualificative pour la Coupe du Monde prévue du 12 septembre au 4 octobre 2020 en Lituanie. Un rendez-vous boycotté par la Fédération sud-africaine et son acolyte de toujours qu’est la Fédération Algérienne de Football qui, bien que non qualifiée, a décidé de ne pas participer au 63ème anniversaire de la Confédération Africaine de Football censé s’y dérouler ainsi qu’une réunion de son organe directeur, le Comité Exécutif (ComEx), prévue le 06 février 2020 au cours de laquelle les dates de la CAN 2021 au Cameroun doivent être validées et le pays hôte de la CAN féminine 2020 doit être désigné à cette occasion. A noter que ni la FIFA, ni la CAF ni la Fédération Royale Marocaine de Football (FRMF) n’ont daigné réagir aux critiques sud-africaines et algériennes. Pour rappel, ce n’est pas la première fois que Laâyoune abrite un événement sportif marquant puisqu’en En 2017, un match de gala fut organisé avec des stars du football comme le Brésilien Rivaldo, le Camerounais Samuel Eto’o et l’Égyptien Mohamed Aboutrika. Il s’agissait d’une commémoration de la « Marche Verte ». Ce n’est peut-être pas la dernière polémique concernant la ville de Laâyoune. Le président de la Fédération Marocaine de Handball a annoncé que le Championnat d’Afrique 2022 allait se dérouler dans cette cité du Sahara marocain. Quoi qu’il en soit, la mobilisation est générale à Laâyoune pour que le Maroc soit à la hauteur de ce rendez-vous de l’événement, avec des infrastructures, un accueil et une compétition de très haute qualité. Une compétition qui aura de quoi faire rougir de honte la République sud-africaine et l’Algérie tout en portant un sacré coup au polisario pour tentatives de travestir l’Histoire. Ils ont été désavoués par les instances sportives internationales car la vérité finit toujours par émerger en laissant des traces indélébiles et cela leur fait très mal car le Sahara marocain fait partie intégrante du territoire national du Maroc. Il est devenu urgent pour les pays épris de liberté, de justice, de démocratie, de bien-être et de savoir-vivre de rompre toutes relations avec les quelques pays soutenant encore la fantomatique RASD. Suite à cette victoire sportive, consécutives aux multiples victoires diplomatiques du Maroc, les ennemis de son intégrité territoriale et de sa Souveraineté, Algérie en tête, peuvent ruminer leur colère d’autant plus qu’une dizaine d’autres pays africains ont manifesté leur volonté d’ouvrir des représentations diplomatiques à Laâyoune et Dakhla d’ici la fin de l’année 2020. Farid Mnebhi.
Les autorités algériennes et son avatar polisarien abritent bien des groupes terroristes en plein Tindouf !
TRIBUNE. Il ne fait plus de doute que les autorités algériennes abritent des groupes terroristes sur leur territoire et ce, avec la complicité des polisariens et que des attentats à la voiture piégée mais aussi des opérations d’enlèvements de ressortissants espagnols se trouvant à Tindouf dans le cadre de missions humanitaires et du personnel de la MINURSO ainsi que celui du HCR basé Rabouni seraient programmés. Cette menace d’attaques terroristes contre des travailleurs humanitaires dans les camps des sahraouis marocains séquestrés de Tindouf en plus des graves troubles sociaux qui secouent l’Algérie ont été corroborés par une note d’alerte émise, le 03 décembre 2019, par le Gouvernement Fédéral du Canada et dans laquelle il est très fortement déconseillé aux Canadiens de se rendre en Algérie. Il est plus que certain que les Services de Renseignement algériens sont les complices attitrés des polisariens, dont bon nombre ont rejoint les rangs de l’hydre terroriste, AQMI et DAECH compris, transformant la région sahélo-saharienne en base de repli et de départ pour leurs actions jihadistes. A noter également que la situation en Algérie est telle, qu’elle pourrait échapper à tout contrôle et à tout moment. Une forte éventualité rendu quasi certaine par l’entêtement suicidaire du Général Ahmed Gaïd Salah à vouloir organiser la présidentielle le 12 décembre 2019 ; une élection que les Algériennes et Algériens rejettent en raison des dérapages liberticides et des détournements de fonds organisés par l’oligarchie vert-kaki peu scrupuleuse. Des dérapages qui, sans nul doute, provoqueront des mouvements d’exode vers les pays voisins, à savoir la Tunisie et le Maroc, qui pourraient être mis à profit par les groupes terroristes présents sur le sol algérien et qui s’adonnent allègrement aux trafics de cocaïne, d’Etres Humains, d’armes et de voitures volées. Le Maroc n’a évidemment pas attendu les mises en garde occidentales contre les risques de déstabilisation de la région et, aujourd’hui, l’Espagne, le Canada, l’Algérie donnent raison au Maroc et à l’ONU en reconnaissant que les camps des séquestrés sahraouis de Tindouf sont devenus un terreau du terrorisme. Les menaces des organisations terroristes, essaimant la région sahélo-saharienne, se nourrissent de la situation critique dans les camps de la honte de Tindouf. C’est la raison pour laquelle, les responsables d’Alger, dans le but de dégager toute responsabilité sur ce qui pourrait advenir sur le territoire algérien, ont transmis un missive à la MINURSO lui demandant de prendre des mesures préventives pour parer à tout attentat. Il est clair comme de l’eau de roche que le régime militaire ne peut se départir de ses manigances et du chantage contre la communauté internationale, arguant du fait que c’est la MINURSO qui est particulièrement visée et que ce danger risque de s’étendre à l’extérieur du territoire algérien. Cet aveu, tel un jappement du fennec algérien, vient confirmer ce que clamaient depuis longtemps le Maroc et l’ONU sur les risques que représente ce foyer terro-polisarien dans la région. Mais le voisin oriental du Maroc, désemparé par une situation incontrôlable, oublie que la sécurité des camps de la honte de Tindouf lui incombe ; des camps des séquestrés sahraouis marocains de Tindouf devenus une immense prison à ciel ouvert, selon de très nombreux observateurs internationaux. Au final, la complicité des autorités sécuritaires algériennes combinée à celle du polisario, dont les accointances avec les milieux terroristes et mafieux locaux ne sont plus à démontrer, et cette alerte du Général Ahmed Gaïd Salah au terrorisme, sont une occasion rêvée pour les polisariens de mater et museler l’opposition sahraouie dans les camps de la mort de Tindouf à quelques jours du scrutin présidentiel en Algérie et de la tenue du soi-disant 15ème congrès de la pseudo RASD. Farid Mnebhi