Prends la porte et tais-toi ! Telle est la sanction reçue par Arancha Gonzalez Laya par le Chef du Gouvernement espagnol

Prends la porte et tais-toi ! Telle est la sanction reçue par Arancha Gonzalez Laya par le Chef du Gouvernement espagnol

TRIBUNE. Le Chef du Gouvernement espagnol, Pedro Sanchez a annoncé, le 10 juillet 2021, un vaste remaniement affectant des portefeuilles fondamentaux, dont celui du Ministère des Affaires Etrangères occupé par Arancha Gonzalez Laya, qui a mis de l’huile sur le feu dans les relations entre le Maroc et l’Espagne. Ainsi donc Arancha Gonzalez Laya sort par la petite porte telle une chatte échaudée par son scandale dans la gestion du dossier du terropolisarien Brahim Ghali dans lequel elle s’était embourbée jusqu’au cou entraînant une profonde crise entre le Maroc et l’Espagne. D’ailleurs, la Cheffe de la diplomatie espagnole était sur la sellette depuis plusieurs semaines et de nombreuses formations politiques espagnoles réclamaient sa démission immédiate. Mais, si évincer du Gouvernement Arancha Gonzalez Laya constitue un signe d’apaisement en direction du Maroc, les raisons profondes de cette crise demeureront, tant que Madrid continuera de botter en touche, sans réelle volonté de prendre le taureau par les cornes car pour apaiser la tension entre les deux pays, sont tout autre, le Sahara marocain et nos territoires encore sous colonisation espagnole en sont la clé. S’agissant du nouveau Chef de la diplomatie espagnole, José Manuel Albares, celui-ci est âgé de 49 ans et est diplômé en Droit de l’Université de Deusto. Il est très proche du du Chef du Gouvernement espagnol et est connu pour sa forte expérience internationale. Avant sa nomination José Manuel Albares occupait le poste d’Ambassadeur d’Espagne à Paris. Il a officié en qualité de Consul en Colombie et Conseiller Culturel à l’Ambassade d’Espagne en France. Il a également fait partie de la représentation permanente de l’Espagne auprès de l’OCDE. Au final, il serait bon ton de féliciter Arancha Gonzalez Laya et son copain proche l’algérien Boukadoum pour leur totale incompétence en matière de diplomatie étrangère et qui sont maintenant hors de leur poste. A noter que le porte-parole du Parti Populaire espagnol au Congrès espagnol, Cuca Gamarra, vient de demander au Président de dissoudre les Cortes : « Changer les clins d’œil ne sert à rien si les indépendantistes continuent de tirer les ficelles ». Farid Mnebhi.

Arancha Gonzalez Laya dans de beaux draps suite au scandale Brahim Ghali, alias Benbatouche

Arancha Gonzalez Laya dans de beaux draps suite au scandale Brahim Ghali, alias Benbatouche

TRIBUNE. Il est clair comme l’eau de source que la Ministre espagnole des Affaires Etrangères a violé l’Accord de Schengen en accueillant, le 18 avril 2021, sur le territoire espagnol le terropolisarien Brahim Ghali sans que les passeports des passagers de l’aéronef algérien ne soient contrôlés à la Base Militaire de Saragosse et ce, suite à ses instructions. Cette nouvelle révélation a été éventée par de nombreux quotidiens espagnols le 05 juillet 2021 qui révèlent que le Général José Luis Ortiz-Canavate, Chef de la Base Militaire de Saragosse, a été interdit d’avoir accès sur les détails de ce vol, si ce n’est qu’il transportait un malade portant un passeport algérien. Ces détails ont été notifiés par le Général José Luis Ortiz-Canavaté dans un rapport adressé au Juge du Tribunal qui enquête sur l’entrée du terropolisarien le plus recherché en Espagne suite à une instruction émanant du Cabinet de la Ministre espagnole des Affaires Etrangères. Cette nouvelle affirmation du Général Ortiz-Canavate a mis dans l’embarras la Ministre des Affaires Etrangères, Arancha Gonzalez Laya qui risque d’être poursuivie pour violation de la réglementation de Schengen qui exige des pays de l’UE de contrôler les passeports de tous les voyageurs non européens. Aussi, le Parti Populaire (PP, opposition) a appelé le Congrès des Députés à convoquer la Ministre des Affaires Etrangères et sa collègue de la Défense pour les interroger sur l’enquête judiciaire menée sur cette affaire par le Tribunal de Saragosse. Les députés du PP ont appelé à tenir une séance extraordinaire de la Commission des Affaires Etrangères pour discuter des mensonges qui ont entouré l’entrée légale du terropolisarien en Espagne. D’après les dernières rumeurs insistantes circulant en Espagne, Arancha Gonzalez Laya devrait être remplacée lors d’un remaniement ministériel que le Premier Ministre, Pedro Sanchez, compte opéré prochainement. Parmi les postulants figurent le Ministre de l’Agriculture, Luis Planas, grand connaisseur du Maroc, puisqu’il a été Ambassadeur d’Espagne à Rabat pendant plusieurs années sous le Gouvernement de José Luis Zapatero, et celui de l’Ambassadeur d’Espagne en France, José Manuel Albares. Quoi qu’il en soit, les révélations et aveux se poursuivent autour de l’affaire Brahim Ghali et le Ministère espagnol de la Défense, via l’Armée de l’Air et le Général de la Base Aérienne de Saragosse, José Luis Ortiz-Canavate, vient de jeter un pavé dans la mare. Arancha Gonzalez Laya a bel et bien violé les règles diplomatiques et les procédures établies par l’Armée de l’Air ainsi que le code frontalier Schengen de l’Union Européenne afin que Brahim Ghali puisse entrer en Espagne sans passer par le contrôle des passeports, ajoutant que le Ministère espagnol des Affaires Etrangères a ensuite menti pour se dédouaner de ses responsabilités et de la crise générée après que le Maroc eu découvert que le terropolisarien, objet d’une enquête pour génocide, détention illégale et torture, .était arrivé en Espagne pour y être soigné. Au final, tout porte à croire que Arancha Gonzalez Laya est l’unique coupable, car il semble inconcevable de penser qu’une autre personne sous ses ordres ait pu prendre une décision d’une telle importance politique et diplomatique. Il est donc clair qu’avant d’entamer un quelconque dialogue ou échange avec le Royaume du Maroc au sujet de la reprise des relations bilatérales, le Premier Ministre espagnol, Pedro Sanchez, se doit de calmer les politiques de son pays et réévaluer les compétences diplomatiques de sa coalition. Farid Mnebhi.

Le polisario envoyé aux orties par le Royaume d’Espagne

Le polisario envoyé aux orties par le Royaume d’Espagne

TRIBUNE. A l’occasion de la « Journée de l’Afrique », célébrée tous les 25 mai, la Ministre espagnole des Affaires Etrangères, Madame Arancha Gonzalez Laya, a adressé un message au Président de la Commission de l’Union Africaine (U.A), Monsieur Moussa Fikri. Dans son envoi, où elle a écrit « A tous, Africaines et Africains, nous souhaitons une heureuse Journée de l’Afrique », la Ministre espagnole a pris soin de choisir une illustration, celle de la carte officielle de l’U.A où elle a carrément biffer la drapeau de la fantomatique RASD Ce nouveau coup dur pour les polisariens intervient au moment même où ils avaient mis en ligne, par l’entremise de l’Agence de Presse algérienne (APS) une dépêche fleuve dans laquelle ils se déclaraient faussement comme membre fondateur de l’U.A, oubliant sciemment que la « Journée de l’Afrique » célèbre la fondation de l’Organisation de l’Unité Africaine (O.U.A). Quant à la République Islamique d’Iran, elle s’est permise, via son Ministre des Affaires Etrangères, d’attribuer, dans un tweet, le Sahara marocain à la pseudo RASD en plaçant le torchon polisarien sur une carte géographique a l’occasion du 57ème anniversaire de l’O.U.A, « Africa Day ». Une manière bien infantile de provoquer le Maroc. Autre fait risible, dont s’est rendu maître en la matière la direction terro-polisarienne, n’est autre que le soi-disant message, en date du 15 mai 2020, du Président mauritanienne, Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, félicitant le criminel sanguinaire Brahim Ghali à l’occasion de l’Aïd Al Fitr. Or, en analysant la rubrique « Activités présidentielles » de l’Agence Mauritanienne de presse (AMI-officielle), où sont consignés tous les gestes et faits du Président mauritanien à travers textes, images et vidéos, il est apparu que cette infox pondue par le polisario ne résiste pas au recoupement le plus élémentaire. Depuis le début de cette année 2020, et jusqu’au moment où ces lignes ont été écrites, à savoir le 28 mai 2020, pas la moindre trace d’un seul message de Ould El Ghazouani à tueur en puissance Brahim Ghali. De quoi s’agit-il au juste ? Rien de moins qu’un tissu de mensonges confectionné par le média du Polisario à des fins de propagande. Il n’y rien d’étonnant à ce que les médias polisariens fassent du mensonge et de la propagande leur pain favori. Ils ont été formés à une grande école de désinformation : l’agence d’Etat officielle de l’Algérie APS. Jusqu’à présent, le régime algérien et les dirigeants polisariens sont restés sans voix face au message on ne peut plus clair de la Ministre espagnole. Un coup massue qui rappelle que le propre des entités chimériques est d’être biffées et envoyées aux orties tout comme les dictatures. Ils danseront dans pas longtemps le Charleston comme ce coq posé sur un tam-tam chauffé ! A bon entendeur salut ! Farid Mnebhi.

Séisme politico-médiatique en Algérie

Séisme politico-médiatique en Algérie

TRIBUNE. Initialement prévue, le 26 février 2020, la visite de la Ministre espagnole des Affaires Etrangères, Madame Arancha Gonzalez Laya, à Alger a été reportée sine die par les responsables algériens. Cette bérézina politico-médiatique algérien a été suscité par l’insolence du Secrétaire d’Etat espagnol aux Affaires Sociales, Nacho Alvarez, affilié au parti du Podemos, suite à son entrevue désinvolte, en date du 21 février 2020 à Madrid, avec la dénommée Souilla Birouk, une prétendue ministre de la pseudo RASD. Cet acte hérétique et irresponsable d’un membre du gouvernement espagnol, issu de la formation politique d’extrême-gauche Podemos, acquis à la thèse séparatiste du polisario a été aggravé suite à son message lancé sur compte Twitter dans lequel ce membre du gouvernement espagnol a exprimé ouvertement sa « solidarité avec le peuple sahraoui » avant de rétropédaler et de le supprimer. La réaction de la Ministre espagnole Etrangères des Affaires Etrangères n’a point tardé et a vu sieur Nacho Alvarez se faire rencarder par son homologue des Affaires Etrangères tout en lui rappelant que son comportement était en totale contradiction avec la position de l’Etat espagnol qui ne reconnaît pas cette entité factice créée, abritée et soutenue financièrement, diplomatique et militairement par l’oligarchie algérienne en uniforme vert-kaki. La Ministre espagnole des Affaires Etrangères a tenu à assurer son homologue marocain sur cette entrevue indécente du Secrétaire d’Etat aux Affaires Sociale et a pu clarifier que celle-ci et la communication autour d’elle ne reflète pas la position du Gouvernement espagnol sur le dossier du Sahara marocain. Madame Arancha Gonzalez Laya a rajouté que « la position de l’Espagne n’a pas changé sur le Sahara. Il s’agit d’une politique d’Etat. L’Espagne ne reconnaît pas la RASD et appuie les efforts du Secrétaire Général de l’ONU en vue d’une solution pacifique dans le cadre des résolutions du Conseil de Sécurité des Nations-Unies ». Une même réaction du leader de Podemos et vice-Président du Gouvernement espagnol, Pablo Iglesias qui a reconnu, le 24 février 2020, que les relations avec le Maroc, notamment sur le dossier du Sahara marocain, relevaient uniquement du Ministère des Affaires Etrangères. Il ressort de ce report de la visite officielle à Alger de la Ministre espagnole des Affaires Etrangères par les autorités algériennes que le régime vert-kaki la question relève désormais de la psychanalyse, développe un tropisme maladif vers le Maroc, particulièrement le dossier de son intégrité territoriale. La « Issaba (mafia) » terrée au Club des Pins, à Alger, n’a visiblement pas apprécié que le numéro 2 du parti Podemos, sieur Nacho Alvarez, soit rencardé par son homologue des Affaires Etrangères, Arancha Gonzalez, La marocophobie semble le principal orienteur de la politique extérieure algérienne, prête à sacrifier les intérêts de son propre peuple pour continuer de contrer les intérêts suprêmes du Maroc, à leur tête son intégrité territoriale, qui fait l’unanimité du peuple marocain, de Tanger à Lagouira, sans compter le large consensus international autour des droits légitimes et inaliénables du Maroc sur ses provinces sahariennes. Quoi qu’il en soit, la déclaration dont s’est fendu le Ministre Podemos n’engage que lui-même, ou tout au plus son parti qui devra désormais réfléchir à deux fois avant de dire ou d’entreprendre quoi que ce soit qui n’aille pas dans le sens du respect de l’intégrité territoriale du Maroc. Des réactions similaires en faveur de l’intégrité et de la souveraineté du Royaume du Maroc de Tanger à Lagouira ont été notées au Royaume-Uni et en Suisse. En effet, le Département suisse des Affaires Etrangères a indiqué qu’aucune représentation officielle du polisario n’existe auprès de l’ONU à Genève, ni auprès du Conseil Fédéral Suisse et indiqué que les envoyés polisariens étaient porteurs de passeports algériens. Même son de cloche au Royaume-Uni par la voix de son Ministre d’Etat britannique au Moyen-Orient et à l’Afrique du Nord, Monsieur James Cleverly, qui a déclaré, le 24 février 2020, que l’Accord d’Association conclu en octobre 2019 s’appliquait à tous les produits en provenance du Maroc, y compris le Sahara marocain, ajoutant que le Royaume-Uni ne reconnaît pas la pseudo RASD, n’a jamais considéré que le Sahara était occupé par le Maroc et que le statut de cette région du Royaume du Maroc est de la seule et unique compétence de l’ONU, sur la base de l’offre marocaine d’autonomie, pour trouver une issue réaliste et pragmatique au différend créé autour du Sahara marocain. Au fait les autorités algériennes feraient mieux de s’occuper sérieusement du coronavirus qui vient de frapper l’Algérie et ce, au moment où rien n’est prévu dans les hôpitaux algériens. Ou est-ce une intox méprisable inventée de toute pièce par les autorités algériennes pour mettre un terme aux manifestations. Seul l’avenir nous le dira ! Farid Mnebhi.