Mali : Amnesty International appelle à la protection des civils
Réagissant à l’attaque perpétrée contre les passagers du bateau « Tombouctou » dans la région de Tombouctou au Mali le 7 septembre dernier ayant fait 64 morts selon les autorités, Samira Daoud, Directrice régionale d’Amnesty International pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre, déclare : “Amnesty International condamne l’attaque illégale menée par le Groupe pour le soutien de l’islam et des musulmans (GSIM) contre le bateau « Tombouctou » assurant la desserte entre Gao et Koulikoro, ayant causé la mort d’au moins 49 passagers civils et de 15 soldats, selon les autorités maliennes. En vertu du droit international humanitaire, les parties à un conflit doivent toujours faire la distinction entre les combattants et les civils. Amnesty International exhorte le GSIM et toutes les parties au conflit malien à stopper les attaques dirigées à l’encontre de civils ainsi que les attaques indiscriminées ou disproportionnées, s’agissant de l’impact sur les populations civiles.” Pour rappel, le 7 septembre, le Groupe pour le soutien de l’islam et des musulmans (GSIM) a revendiqué l’attaque contre le bateau « Tombouctou » de la COMANAV (Compagnie malienne de navigation) alors qu’il naviguait sur le fleuve Niger, entre Zarghoy (région de Tombouctou) et Abakoira (région de Gao). Depuis la mi-août, la ville de Tombouctou est soumise à un siège par le GSIM qui entrave l’accès à la ville par la route des personnes et des biens.
Sénégal : les violences policières doivent cesser et les réseaux sociaux rétablis

Réagissant aux violences qui ont éclaté hier à Dakar et d’autres villes à la suite du verdict du procès de l’opposant Ousmane Sonko, Samira Daoud, directrice régionale du bureau d’Amnesty International pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre déclare : « Nous condamnons les restrictions d’accès aux réseaux sociaux et la coupure du signal de la chaine de télévision privée Walf TV par les autorités sénégalaises, dans le contexte des manifestations violentes qui ont eu lieu à Dakar, Ziguinchor et Kaolack, entre autres villes. Ces restrictions au droit à la liberté d’expression et à l’information constituent des mesures arbitraires contraires au droit international, et ne sauraient être justifiées par des impératifs de sécurité. « De même les arrestations arbitraires doivent immédiatement cesser. Nous appelons notamment les autorités sénégalaises à libérer sans conditions Aliou Sané, coordonnateur de Y’en a Marre détenu depuis le 30 mai, ainsi que deux membres de FRAPP, Bentalbe Sow, détenu depuis le 31 mai et Tapha Diop, arrêté alors qu’il allait s’enquérir des nouvelles des personnes placées en détention à la gendarmerie Foire. Seydi Gassama, directeur exécutif d’Amnesty Sénégal a également déclaré : « Nous appelons également les autorités sénégalaises à diligenter des enquêtes crédibles et indépendantes sur les morts enregistrées dans le contexte des manifestations, à Dakar et à Ziguinchor. Nous rappelons aux autorités sénégalaises que la force ne doit être utilisée que lorsqu’elle est nécessaire et de manière proportionnée. La vie et l’intégrité physique de toutes et tous doit être respectée et protégée par les forces de l’ordre.»
Cameroun : Amnesty International regrette le rejet de la demande de libération de 23 détenus

En réponse à la nouvelle concernant le rejet par le tribunal de grande instance du Wouri d’une demande de libération de 23 manifestants, tous condamnés et détenus pour avoir participé à une manifestation en septembre 2020 à Douala, et parmi lesquels se trouve Dorgelesse Nguessan, une mère célibataire de 37 ans, Samira Daoud, Directrice du bureau régional d’Amnesty International pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre, a dit : « Nous sommes profondément déçus que le caractère arbitraire de la détention de ces manifestants n’ait pas été reconnu. Arrêter des personnes et les incarcérer au seul motif qu’elles ont exercé leurs droits à la liberté d’expression et de réunion pacifique est clairement arbitraire, et ne respecte pas les obligations du Cameroun en vertu du droit international des droits humains. » « Ces 23 manifestants n’ont commis aucun crime et doivent être libérés immédiatement et sans condition. Toutes les autres personnes détenues dans le pays pour avoir exercé leurs droits à la liberté d’expression et d’assemblée doivent aussi être libérées. »
Guinée : Amnesty International demande la libération de Mamadou Billo et des autres détenus du FNDC

En réaction à l’arrestation et la détention de l’un des responsables du Front National pour la Défense de la Constitution (FNDC), Samira Daoud, Directrice du bureau régional d’Amnesty International pour l’Afrique de l’Ouest et Centrale déclare : « Mamadou Billo Bah, responsable de la mobilisation du FNDC, a été placé sous mandat de dépôt le 24 janvier et poursuivi notamment pour « participation délictueuse à un attroupement, complicité de destruction d’édifices publics et privés, coups et blessures volontaires, incendie volontaire, pillage » simplement pour s’être mobilisé pour le retour à l’ordre constitutionnel. Les mêmes accusations ont été portées contre Oumar Sylla alias Foniké Menguè et Ibrahima Diallo, également membres du FNDC, en détention préventive depuis le 1er août 2022. « Selon l’un de ses avocats, les forces de sécurité ont utilisé la force d’une manière excessive pour procéder à l’arrestation de Mamadou Billo Bah nécessitant un suivi dans un centre hospitalier, comme attesté par un certificat médical. Il a cependant été placé sous mandat de dépôt à la maison centrale de Coronthie (Conakry) ce lundi 24 janvier. « L’arrestation et la détention arbitraire de Mamadou Billo Bah constituent une violation des droits à la liberté d’expression et de réunion pacifique. Amnesty International demande sa libération immédiate ainsi que celle des autres membres du FNDC détenus pour les mêmes faits depuis bientôt six mois. « Les autorités guinéennes doivent également mettre un terme aux restrictions disproportionnées aux droits à la liberté d’expression et de réunion pacifique et respecter le droit des Guinéens à exprimer librement leurs opinions, droits consacrés par le droit international et la charte de la transition. »
Amnesty International, Angelina Jolie et Geraldine Van Bueren s’associent pour écrire un livre relatif aux droits de l’enfant

Amnesty International et Angelina Jolie ont annoncé mercredi 14 octobre leur collaboration sur un ouvrage destiné aux adolescent·e·s, auquel ont participé des enfants et des jeunes gens, et qui met l’accent sur les droits énoncés dans la Convention des Nations unies relative aux droits de l’enfant. Ce projet est né d’une inquiétude partagée face au constat que les enfants et les adultes ignorent souvent que les droits fondamentaux des mineur·e·s existent, ce qui signifie que des jeunes se retrouvent en situation de vulnérabilité et sans recours lorsque ces droits ne sont pas respectés. Le livre a été écrit en consultation avec Geraldine Van Bueren, avocate spécialiste des droits des mineur·e·s, qui a participé à la rédaction de la convention emblématique ayant conféré pour la première fois aux enfants un ensemble de droits spécifiques. Know Your Rights (And Claim Them) [traduction non définitive : Connais tes droits (et revendique-les)] sera publié en septembre 2021 par Andersen Press au Royaume-Uni et par d’autres maisons d’édition à l’international. Ce projet survient à un moment où un nombre sans précédent de mineur·e·s mènent des actions de protestationà travers le monde, dans la rue et en ligne, face à l’urgence climatique, au racisme et aux inégalités de genre, entre autres problèmes. L’objectif de ce livre est de permettre à tous les adolescent·e·s de connaître leurs droits et d’être en mesure de les faire valoir, quels que soient leur identité et le lieu où ils se trouvent. Angelina Jolie a déclaré : « Aujourd’hui, nous voyons des jeunes qui sont investis et prêts à lutter. Mais un grand nombre d’entre eux sont en difficulté face à la désinformation véhiculée par les adultes, un manque de connaissance sur la manière d’utiliser les aspects spécifiques de leurs droits, selon leur pays et les circonstances dans lesquelles ils vivent. Nous devons leur donner les outils dont ils ont besoin afin de renforcer leur combat et leurs moyens d’agir. Amnesty, Geraldine et moi-même espérons mettre ce livre entre les mains des jeunes, et le voir devenir un guide que ses lecteurs pourront emporter avec eux et utiliser. Le but est non seulement de les informer, mais également de leur donner l’envie d’agir et de leur fournir une source de référence en cas de besoin. » Cet ouvrage est destiné aux adolescent·e·s à partir de 13 ans, et présente les principaux groupes de droits et leur application dans le monde réel en relation avec un certain nombre de sujets, comme par exemple la liberté d’expression, l’égalité des genres et l’égalité raciale, la santé, un climat sain et un environnement durable. Chaque groupe de droits est accompagné de récits présentant des jeunes militant·e·s qui se battent pour faire bouger les choses aux quatre coins du monde, ainsi que de paroles prononcées par ces jeunes. Est également inclus un guide expliquant aux mineur·e·s comment faire valoir leurs droits – en se mobilisant et en manifestant, en acquérant des connaissances et en les partageant avec les autres, en se familiarisant avec le fonctionnement du droit, et en s’élevant contre les injustices à la maison, à l’école ou dans la société, au niveau national et international. « À Amnesty International, nous sommes ravis de travailler avec Angelina Jolie, Geraldine Van Bueren et des jeunes gens du monde entier pour créer cet ouvrage marquant. La nécessité de proposer un tel livre se fait sentir depuis que la Convention des Nations unies relative aux droits de l’enfant a donné aux mineur·e·s un ensemble de droits qui leur est propre », a déclaré Nicky Parker, éditrice et responsable des partenariats littéraires à Amnesty International. « De nombreux enfants sont confrontés à des violations quotidiennes, comme la famine, la privation de logement et la traite des êtres humains. Peu importe qui ils sont et où ils vivent, ils ont le droit de connaître leurs droits. Ce livre renforce les moyens d’action des jeunes gens en leur donnant les informations factuelles et les outils dont ils ont besoin afin de s’affirmer et de prendre la défense d’autrui. » Dujuan, un garçon aborigène de 14 ans issu des peuples Arrernte et Garrwa, en Australie, qui figure dans ce livre, a déclaré : « Pour nous les jeunes en Australie, il y a eu les générations volées, et aujourd’hui encore des enfants aborigènes continuent à être retirés à leur famille par le gouvernement. L’histoire de la lutte, de la résistance, vit en nous. Elle coule dans nos veines. Nous devons apprendre quels sont nos droits, à la maison et à l’école, et dire partout ce qui est arrivé et ce qui continue à arriver à des jeunes comme nous. Nous devons connaître nos droits pour être capables de nous battre pour un avenir meilleur. » L’édition britannique de Know Your Rights (And Claim Them) sera publiée par Andersen Press en septembre 2021, et les autres versions paraîtront chez d’autres maisons d’édition internationales. Les droits seront proposés à la Foire du livre de Francfort.
Une nouvelle fois Amnesty International épinglé pour diffusion de fausses informations

TRIBUNE. Après le Maroc, Israël, c’est au tour de l’Ethiopie de renvoyer Amnesty International à ses chères études en raison de son manque d’objectivité et de ses conclusions boiteuses n’ayant aucune crédibilité. Ce coup retentissant est venu directement du Procureur fédéral éthiopien lequel a rejeté sèchement, le 18 juillet 2020, le rapport de cette ONG à deux sous, qu’est Amnesty International, publié le 20 mai 2020 sous le fumeux titre « Au-delà de l’application de la loi : violations des Droits Humains par les forces de sécurité éthiopiennes à Amhara et Oromia ». Mieux, dans une déclaration faite le 18 juillet 2020, le Procureur fédéral éthiopien a indiqué qu’il avait constitué un comité composé des bureaux des Procureurs des régions d’Amhara et d’Oromia, de la police, des universités et des organisations de la société civile pour enquêter sur la crédibilité des violations présumées des Droits de l’Homme, évoquées dans le rapport qui n’ont abouti en raison du mensonge d’Amnesty International. De plus, les rapports sulfureux d’Amnesty International sont de plus en plus contestés par plusieurs pays en voie de développement, dont le Maroc. Avec une stratégie démoniaque, Amnesty International a tenté d’entraîner le Maroc dans un labyrinthe d’intérêts en l’utilisant pour attaque Israël et les intérêts du groupe NSO comme à son habitude pour prendre en otage des pays dans de lâches opérations d’extorsions. Il est incontestable qu’Amnesty International défend une conception des Droits de l’Homme à géométrie variable et qu’elle fait la belle devant les intérêts britanniques et américains. A ce sujet, de nombreuses voix commencent à s’élever au Maroc pour traduire Amnesty International devant la justice pour diffamation et la loi britannique Defamation Act de 2013 le permettait aisément. Le droit anglais tient compte également de« l’impression que la diffamation est susceptible de faire sur les personnes qui la lisent ». Or, les accusations d’espionnage publiés par Amnesty International et reprises par un consortium de journaux ont porté préjudice à l’image du Maroc. Quoiqu’il en soit, au-delà de la compensation financière, gagner ce procès permettra à la fois de discréditer Amnesty International et ses rapports et revaloriser l’image du Maroc vis-à-vis de l’opinion internationale. Farid Mnebhi
Les assertions d’Amnesty International balayées d’un revers de la main par le Ministre des Affaires Etrangères marocain

Suite à une question posée, le 14 juillet 2020, par un journaliste du quotidien suisse « La Tribune de Genève » sur le rapport calomnieux d’Amnesty International, le Ministre marocain des Affaires Etrangères, Monsieur Nasser Bourita, a affirmé que les accusations d’espionnage portées contre le Maroc étaient infondées, tout en soulignant que cette organisation avait failli à son devoir de neutralité et d’objectivité. Le Ministre marocain a souligné qu’Amnesty International a orchestré une campagne médiatique sur la base d’accusations irréelles, induisant de nombreux médias et journalistes dans le faux ; accusations rejetées par le Ministre marocain sans équivoque. Au cours de son entretien avec le journaliste du quotidien helvétique, il a fait observer que la réponse de la Secrétaire Générale par intérim de l’organisation « ne répondait pas à nos questions. Ce que nous attendions, c’est un rapport détaillé étayant les allégations d’espionnage. Nous avons requis un accès à la chaîne de traçabilité du téléphone en question, incluant le software et le hardware, afin que les autorités marocaines compétentes puissent faire leur contre-enquête en bonne et due forme. Car tout un travail s’impose afin de comprendre comment le piratage a pu se faire ». Mais, dans l’impossibilité d’apporter la moindre preuve, il est acquis que des doutes sérieux existent quant à la méthodologie adoptée par Amnesty International, et c’est pourquoi le Maroc ne pourrait céder à ce chantage ignoble. Concernant les ragots contenues dans le dernier rapport d’Amnesty International, le Ministre marocain a souligné que cette organisation a balayé d’un revers de la main plus de deux décennies d’acquis en matière de Droits de l’Homme, reconnus par tous, et d’édification d’institutions et de consolidation de bonnes pratiques pour classer le Maroc dans la même catégorie que des pays qui ont commis de véritables atrocités envers leurs propres populations. Par ailleurs, le Ministre marocain, a souligné, au cours de cette interview, que la déclaration d’Amnesty International fait fi des autorités marocaines, de sa société civile et de ses citoyens alors que quiconque connaît, un tant soit peu, la réalité marocaine de près sait que le Maroc n’a pas de problèmes avec la liberté d’expression, et c’est la raison pour laquelle les marocains s’enorgueillissent du dynamisme de leur société civile et leur pays fait de son développement une politique d’État. Le Ministre marocain a tenu à rappeler que de telles accusations touchent à la fois à la sécurité nationale d’un Etat et aux libertés individuelles de ses citoyens. Cette double dimension impose moult précautions et de la nuance dans le propos. Il a reproché avec force à Amnesty International d’avoir failli au devoir de neutralité et d’objectivité et d’avoir péché par manque de professionnalisme, tout en souhaitant que les médias prennent un peu de recul au regard des rapports de cette organisation. Au fond, Amnesty International n’a jamais porté dans son coeur les intérêts du Maroc, ni ceux de ses citoyens ou de ses institutions, mais, aujourd’hui, pour de très nombreux experts internationaux, le Maroc est dans son droit d’exiger une réponse dans les règles de l’art. Il ne reste donc plus à Amnesty International d’autre choix que de fournir des preuves au Gouvernement marocain ou de retirer ses accusations infondées contre le Maroc, ce qui serait plus sage pour elle puisque son réquisitoire contre la Maroc est truffé de mensonges. Farid Mnebhi.
Amnesty International, une risée mondiale

TRIBUNE. Il est acquis qu’Amnesty International est une organisation au service des ennemis du Maroc afin de le provoquer, par des rapports foireux sur la base des déclarations des commerçants des Droits de l’Homme pour se remplir les poches, en fournissant de fausses informations à des officines telles HRW, Reporters Sans Frontières et bien d’autres organisations. Des renseignements et témoignages qui relèvent plus de l’espionnage et de la traîtrise que du militantisme des Droits de l’Homme. Cette organisation contre les Droits de l’Homme, qu’est Amnesty International, s’est faite déboutée, le 13 juillet 2020, et ce, de manière formidable, par la justice de l’État d’Israël pour manque de preuves flagrantes dans l’affaire Omar Radi visant à interdire la société israélienne de cybersécurité « NSO Group » d’exporter sa technologie à l’étranger. La magistrate israélienne du Tribunal du district de Tel Aviv a expliqué, dans sa décision rendue publique, que les avocats d’Amnesty International n’ont pas fourni suffisamment d’éléments pour prouver qu’une tentative a été faite pour surveiller un pseudo militant des Droits Humains en tentant de pénétrer son appareil téléphonique. Une décision rapportée par les agences de presse AP et AFP ainsi que le prestigieux journal américain New York Times. Du jamais vu ! Il est donc acquis qu’Amnesty International est devenue une organisation è la solde des ennemis du Maroc et dont son obsession serait de le provoquer, par de pleutres rapports, pour se remplir les poches en fournissant aux officines AI, HRW, Reporters sans frontières et bien d’autres organisations des renseignements et témoignages qui relèvent plus de l’espionnage et de la traîtrise que du militantisme des Droits de l’Homme. Force est donc de constater qu’Amnesty International a révélé que l’élaboration de ses fameux rapports ne se basait que sur des « croyances ». Le mythe s’est effondré. « We believe (Nous croyons) » est l’ultime subterfuge sémantique auquel a recouru Amnesty International pour répondre à la demande des autorités compétentes marocaines qui lui ont demandé des preuves concrètes pour appuyer les allégations dont l’organisation avait accusé à tort le Maroc. Il s’avère donc que les fameux rapports ne sont plus élaborés sur des bases scientifiques et méthodologiques, sur des arguments et des preuves concrètes, mais simplement sur des croyances et que donc AI est une organisation au service des ennemis du Maroc et tout leur capital soi-disant militant n’est basé que sur des apparences d’éthos d’opposants et des vocables politiques ayant des connotations historiques. En fait, il s’agit des mêmes refrains échangés autour du même verre et aux mêmes endroits, qui sont généralement des comptoirs de bars. Et pour donner une certaine légitimité à leurs propos, ils n’ont pas froid aux yeux et évoquent les anciens opposants et militants, comme s’ils leur avaient légué un héritage à préserver. Cependant, contrairement aux anciens opposants authentiques qui étaient emprisonnés pour leurs positions politiques, la spécificité de ces opposants sur la base de croyances est qu’ils n’ont jamais été interpellés ou écroués pour raisons politiques, mais pour des motifs d’ivresse publique, de scandale sur la voie publique ou encore pour irruption dans une mosquée dans le but de prêcher à la place de l’imam, sans parler des viols et tentatives de viol. Cette ONG, sous couvert de défense des Droits de l’Homme, a toujours observé une attitude hostile à l’égard du Maroc. Pour s’en rendre compte, il suffit de comparer ses rapports des années soixante-dix et quatre-vingt du siècle dernier sur le Maroc, d’une part, et sur l’Algérie et bien d’autres pays de par le monde, d’autre part, tout en notant un acharnement contre le Maroc. Par ailleurs, tous les adhérents d’Amnesty International sont fondés à s’interroger sur la manière dont celle-ci a acquis l’expertise et les labos qu’il faut pour dire qu’un cellulaire a été trituré. Donc, il serait fortement souhaitable que ce business des Droits de l’Homme soit puni sévèrement par la justice et qu’elle prononce la dissolution de toute ONG qui fournit des mensonges sur des prétendues violations des Droits de l’Homme. Au fait Omar Radi et son compère, Imad Stitou, sont cordialement invités à se présenter devant le Tribunal pour ivresse publique et violences à la sortie d’un bar à Casablanca. Farid Mnebhi.