La claque raisonnante infligée par le Président américain élu, Joe Biden, aux sous fifres algériens

La claque raisonnante infligée par le Président américain élu, Joe Biden, aux sous fifres algériens

TRIBUNE. Après avoir remué ciel et terre pour enterrer la décision des Etats-Unis d’Amérique de reconnaître définitivement le Sahara comme faisant historiquement partie du territoire marocain et d’ouvrir un Consulat Général à Dakhla, voici que, dans sa livraison du 17 janvier 2021, le quotidien israélien « Maariv » vient d’indiquer que le Président américain élu, Monsieur Joe Biden, a accueilli à son tour la décision du Maroc de renouer ses relations avec l’État d’Israël tout en reconnaissant la pleine souveraineté du Maroc sur son Sahara. Cette position du Président élu des Etats-Unis d’Amérique confirme que l’Administration Biden considère le Maroc comme un allié essentiel sur lequel elle peut compter dans la zone de l’Afrique du Nord. Du coup, il serait exclu tout changement dans la position de Washington sur la question de la reconnaissance de la marocanité de son Sahara après le départ du Président Donald Trump. Suite à cette déclaration du Président américain élu, Monsieur Joe Biden, les caporaux algériens pourront aller se morfondre au Palais de La Mouradia sis à Alger car ils sont totalement submergés et dépassés par les évènements. Aujourd’hui, les dés sont jetés. Les détracteurs et ennemis du Maroc et de son intégrité territoriale en ont reçu plein la figure pour leur haine et leur folie des grandeurs. Une visite du PrésidentJoe Biden au Maroc, avec une réception populaire, serait la cerise sur le gâteau. De quoi faire flipper les voisins de l’Est du Maroc. Farid Mnebhi.

Bouillabaisse polisarienne aux ingrédients algériens

Bouillabaisse polisarienne  aux ingrédients algériens

TRIBUNE. Il est devenu exaspérant d’entendre des eurodéputés de la mouvance radicale obéissant à l’agenda des responsables algériens et ayant pour unique objectif que celui de semer le doute sur la gouvernance des instruments de coopération liant le Maroc à l’Union Européenne. Que ces gougnafiers européens sachent, une fois pour toute, que la population des provinces sahariennes marocaines est fortement impliquée dans le processus de développement et bénéficie totalement des ressources naturelles de la région. Sur ce point, il ne peut y avoir ni contestation ni ambiguïté et ce, grâce aux garanties bien établies dans le cadre des Accords entre le Maroc et l’Union Européenne, notamment celui adopté le 04 mars 2019 et relatif à l’Accord de Pêche durable Union Européenne-Maroc. S’agissant de la position officielle de l’Union Européenne sur le dossier du Sahara marocain, il est utile de préciser que celle-ci s’aligne sur les Résolutions du Conseil de Sécurité des Nations-Unies contrairement à l’obsession maladive des autorités algériennes autour des ressources naturelles des Provinces du Sud marocain et aux allégations mensongères sur les Droits de l’Homme. Une obsession devenue sujet favori de la machine diplomatique et de la désinformation algérienne qui ne trouve preneur qu’auprès d’une certaine presse créée par le régime algérien et ses satellites tel ce fumeux site « Afrique Asie » qui vient de publier un entretien fleuve de l’Ambassadeur algérien à Bruxelles Amar Belani dans lequel il s’en donne à cœur joie pour dénigrer le Maroc au fil des lignes de sa prose aux relents nauséabonds. La sortie bruyante de cet orfèvre linguiste s’explique par la pression exercée sur son pays pour son implication avérée dans un large trafic d’aides humanitaires européennes destinées aux séquestrés sahraouis marocains de Tindouf, dont une partie, d’un montant de 5%, est versée au fisc algérien et l’autre partie tombe entre les mains de brigands polisariens qui écument le désert pour le vol et la rapine. Quant à la sinistre réputation du tortionnaire polisarien, le très connu Brahim Ghali, elle a été fortement signalée par des ONG’s de défense des Droits de l’Homme, notamment sur ses pratiques esclavagistes, sa répression dans le plus grand secret orchestrée par sa milice et le service de renseignement algérien. Il est également à souligner que le polisario et certaines personnalités algériennes, s’adonnent au trafic de drogues et d’armements dans la région du Sahel et à destination de l’Europe pour pouvoir s’enrichir et vivre fastueusement avec leurs familles dans le luxe. Il convient de relever la collusion avérée du polisario avec le terrorisme islamiste en rappelant qu’Adnan Abu Walid Al-Sahrawi, l’un des membres fondateurs du groupe de l’Etat Islamique du Grand Sahara, lié à Daech, est né et a grandi à Tindouf. Au final, la longue litanie du diplomate algérien fait partie de tout une bastringue orchestrée par le régime de son pays en Europe à travers de fausses ONG’s, des sites internet à la pelle, des blogs, du lobbying toxique et autres pratiques peu orthodoxes, pour nourrir l’illusion d’un conflit que l’Algérie a créé de toutes pièces, alors que le Maroc, serein dans ses démarches, confiant en ses institutions et ses choix démocratiques restera dans son Sahara, et le Sahara demeurera dans son Maroc jusqu’à la fin des temps, fort de l’unanimité nationale inébranlable autour de cette cause sacrée et du soutien indéfectible de la communauté internationale. Le polisario et sa marraine algérienne viennent de s’offrir une belle bouillabaisse qui rappellera aux responsables algériens le temps de la colonisation française, encore faudrait-il qu’elle soit aussi délicieuse que celle des colons français. Bientôt les responsables algériens pourront inscrire la bouillabaisse comme plat national et au patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO comme le souhaitent les autorités algériennes pour le couscous et la harira, deux plats typiquement marocains, eux qui ne sont que des descendants illégitimes de l’Empire Ottoman. Farid Mnebhi.

Un 31ème vendredi effervescent pour les algériens

Un 31ème vendredi effervescent pour les algériens

Il est acquis qu’Amnesty International ait exhorté, le 19 septembre 2019, le commandement algérien de ne point interdire l’accès à Alger aux manifestants venus des autres régions algériennes et surtout de mettre un terme aux arrestations arbitraires. Un message clair et net, transmis par cette organisation des Droits de l’Homme, qui arrive à point nommé après que le fanfaron de Général Gaïd Salah ait menacé les transporteurs acheminant des manifestants vers Alger et, surtout, donné ses fermes instructions à la Gendarmerie algérienne à plus de rigueur et de fermeté envers ceux qui viennent à la capitale les vendredis. A ce propos, l’ONG a tenu à appeler les autorités algériennes à mettre fin aux arrestations arbitraires dans un contexte de répression croissante qui a conduit à l’arrestation de dizaines de manifestants ces 10 derniers jours. Ainsi, Amnesty International appelle à la libération sans condition de toutes les personnes détenues uniquement pour avoir exercé leur droit à la liberté d’expression, d’association ou de réunion pacifique. Pour Amnesty International, toutes ces répressions et arrestations indiquent que le droit à la liberté de réunion et d’expression reste toujours une donne entre les mains des décideurs algériens depuis 1962 pour assouvir leur soif de pouvoir et surtout d’argent. Il est à souligner fortement qu’au lieu de piétiner les droits des Algériens, les autorités algériennes devraient respecter le droit de réunion pacifique et apprendre à écouter les manifestants. Cependant, pour ce 31ème vendredi de manifestations, la capitale algérienne s’est réveillée devant un dispositif policier impressionnant déployé au cœur d’Alger. Un épiphénomène sécuritaire Gaïdien observé dans de très nombreuses villes algériennes. Aussi, de nombreuses interpellations de manifestants pacifiques ont eu lieu au niveau de la place Maurice Audin d’Alger mais aussi du côté de la rue Didouche Mourad où plusieurs arrestations ont été opérées. Force est de noter que les menaces de Gaïd Salah n’ont pas eu raison des centaines de milliers de manifestants qui sont sortis depuis les premières heures de ce vendredi 20 septembre 2019 afin d’exprimer de nouveau leur ras-le-bol du système en place et leur rejet du gouvernement de Bidaoui dont ils exigent le départ. Des manifestations qui ont eu lieu dans toute l’Algérie et même à l’étranger et dont les slogans sont plus parlants que tout autre chose. N’est-ce pas monsieur Gaïd Salah ? Les mots d’ordre scandés étaient « pas d’élections avec la bande », « on est venu harragas à la capitale », « le peuple veut la chûte de Gaïd Salah », « Ali la Pointe, l’Algérie ouellat (L’Algérie est de retour) ». Ces manifestations se sont déroulées alors que le gouvernement algérien avait annoncé la date du 12 décembre 2019 pour les élections présidentielles en Algérie. Mais le peuple algérien vient d’exprimer son refus catégorique à l’organisation de l’élection en scandant « pas d’élections tant que les figures de l’ancien système sont en place ». Des élections présidentielles algériennes, prévues le 12 décembre 2019, placées dans le viseur de la communauté internationale, tout particulièrement française, qui craindrait une vague d’immigration causée par une crise politique accentuée en Algérie. Farid Mnebhi.

Algérie: joie et prudence après le renoncement de Bouteflika à un 5e mandat

Algérie: joie et prudence après le renoncement de Bouteflika à un 5e mandat

Abdelaziz Bouteflika a adressé ce 11 mars une lettre aux Algériens, dans laquelle il annonce notamment ne pas vouloir briguer un cinquième mandat ainsi qu’un report des élections présidentielle, rapporte la chaîne d’information russe RT France indiquant que des manifestations de joie ont éclaté dans le pays. A voir ci-dessous: