Cameroun : Rencontre entre Samuel Eto’o et Mouelle Kombi le ministre de sports
Samuel Eto’o, président de la Fédération camerounaise de football (Fecafoot), est attendu au ministère des Sports (Minsep) dans les prochains jours, marquant ainsi sa première visite après une longue période d’absence. Ces dernières semaines, la relation entre Eto’o et Narcisse Mouelle Kombi, le ministre des Sports, s’est nettement améliorée. Après une rivalité marquée par des tensions autour du contrôle de l’encadrement technique de l’équipe nationale, les deux hommes ont officiellement scellé leur réconciliation le 29 septembre. Deux jours plus tard, cette paix a été concrétisée par la nomination d’un staff unique, en grande partie composé de membres soutenus par Eto’o. Samedi dernier, Marc Brys, le nouveau sélectionneur, a tenu sa première conférence de presse au siège de la Fecafoot, où il a dévoilé la liste des joueurs retenus pour affronter le Kenya les 11 et 14 octobre dans le cadre des éliminatoires de la CAN 2025. Pour couronner cette dynamique de rapprochement, Eto’o se rendra mardi au Minsep pour présenter officiellement le nouveau staff au ministre. « Le ministre des Sports recevra le président de la Fecafoot mardi pour la présentation de l’encadrement technique », a confirmé Cyrille Tollo, conseiller technique du ministre, lors de l’émission Club d’Élites dimanche. Pour rappel, Tollo avait été impliqué dans une altercation avec Eto’o en mai dernier, qui avait frôlé l’affrontement. Ya Willy.
Congo. Que se passe t’il entre la FECOFOOT et le Ministre des sports ?
Des émissaires de la FIFA devraient se rendre au Congo « dans les meilleurs délais » afin de rencontrer les différentes parties impliquées dans la crise qui secoue le football congolais depuis plusieurs mois. Selon certaines sources, la FIFA pourrait envisager des sanctions sévères en cas de non coopération ou d’atteinte à l’autonomie de la fédération. Le conflit oppose le président de la Fédération congolaise de football (FECOFOOT), Jean-Guy Blaise Mayolas, à un collectif de clubs ayant demandé la convocation d’une « assemblée générale extraordinaire de la FECOFOOT », avec le soutien apparent du ministère des Sports, qui semble privilégier les dissidents. Cette situation a pris une tournure inattendue, forçant la FIFA à intervenir. Dans une correspondance adressée à la FECOFOOT, l’organisation, en accord avec la CAF, a demandé la suspension de l’organisation de cette assemblée extraordinaire, initialement prévue pour le 25 septembre 2024. Fidèle à ses principes, la FIFA reste intransigeante face à toute ingérence politique dans les affaires sportives, ce qui pourrait conduire à des sanctions si les parties concernées persistent dans cette voie. La FIFA a également exprimé son inquiétude concernant une intervention policière au Centre technique de la FECOFOOT à Ignié, ayant conduit à la suspension des matchs de la 6e journée du championnat national de football féminin. Cette intervention, orchestrée sur demande du ministre des Sports, a provoqué la fermeture temporaire des installations. De nombreux observateurs estiment que le ministre expose le pays à des sanctions de la FIFA, qui perçoit ce type d’action comme une ingérence politique inacceptable. Dans ce climat tendu, trouver des solutions constructives devient urgent. Toutefois, le dialogue, rendu difficile par la présence de signataires dont la légitimité est contestée, permettra-t-il de désamorcer cette crise ? L’avenir du football congolais demeure incertain, alors que la communauté sportive internationale observe attentivement. La question reste ouverte : comment le Congo pourra-t-il préserver l’intégrité de son sport tout en résolvant ses différends internes ? Les réponses viendront des décisions à prendre dans les jours à venir. Crise à la FECOFOOT : Assemblée générale extraordinaire prévue le 5 octobre 2024 Le Comité exécutif de la Fédération congolaise de football, dirigé par Jean-Guy Blaise Mayolas, a convoqué une assemblée générale extraordinaire le 5 octobre 2024, à Brazzaville, suite à une réunion tenue le 27 septembre. Cette assemblée se déroulera en présence de représentants de la FIFA et de la CAF, soulignant l’importance de l’événement. Lors de la réunion du Comité exécutif, un communiqué lu par le vice-président a précisé que cette convocation répond à la crise provoquée par le « Collectif des membres de l’Assemblée générale de la FECOFOOT », qui avait tenté d’organiser une autre assemblée le 25 septembre 2024, s’appuyant sur l’article 33 des statuts de la fédération. Malgré l’invitation de la FIFA, avec l’accord de la CAF, à suspendre cette assemblée, le collectif a maintenu sa position, donnant à cet événement une allure d’assemblée ordinaire selon le Comité exécutif. La FECOFOOT a également consulté son conseil juridique pour avis sur la situation. Afin de se conformer aux recommandations de la FIFA et de la CAF, la FECOFOOT tiendra donc son assemblée générale extraordinaire le 5 octobre 2024. Cette assemblée se déroulera avec la participation des nouveaux délégués, désignés en fonction des résultats de la saison sportive 2024-2025, a précisé le porte-parole de la FECOFOOT. Ya Willy.
Les dessous de la Francafrique : 3 millions de dollars du contribuable Burkinabè Cachés dans des Djembés offerts gracieusement à l’Élysée !
INDISCRETION. Un soir à Ouagadougou, Robert Bourgi se retrouve avec le président Blaise Compaoré pour une mission insolite : transporter 3 millions de dollars pour Chirac et Villepin. Compaoré, connaissant le goût pour l’art de Villepin, propose de dissimuler l’argent dans quatre djembés. À Paris, Bourgi se gare dans la cour d’honneur de l’Élysée, un privilège rare. En présence des gendarmes, Villepin et sa secrétaire Nadine Izard récupèrent les djembés, remplis de petites coupures. Chirac, amusé, lance : « Blaise déconne, c’est encore des petites coupures! » Une anecdote révélatrice des coulisses de la Francafrique. AES
Arrestations, disparitions et militarisation : quel est l’état du football au Burkina Faso ?
INDISCRETION. Les élections de la Fédération burkinabè de football (FBF), prévues pour le 31 août, ont pris une tournure inattendue, marquée par l’arrestation et la disparition de plusieurs personnes soutenant l’un des candidats. Dans un climat extrêmement tendu, où toutes les autres candidatures ont été rejetées, le pouvoir en place a réussi à imposer son candidat, l’ancien colonel-major Oumarou Sawadogo. « Je ne peux pas parler publiquement, c’est trop risqué. » Depuis les récents événements qui ont secoué le football burkinabè, nombreux sont ceux qui, impliqués dans ce sport, préfèrent garder le silence, ou à tout le moins, dissimuler le fond de leur pensée. « Le pouvoir a récupéré notre sport, c’est tout », confie l’un d’entre eux. « Que pouvons nous faire ? C’est ainsi… » Le Burkina Faso, force montante du football africain depuis une quinzaine d’années, avec une participation régulière à la Coupe d’Afrique des Nations – excepté en 2019 – fait cependant face à une crise profonde de gouvernance. Cette crise s’est particulièrement intensifiée depuis l’élection de Lazare Banssé en août 2020, dans un contexte de conflit larvé avec son prédécesseur, le colonel Sita Sangaré. Malgré les dissensions et les pressions, Banssé a tenu bon jusqu’à la fin de son mandat de quatre ans. Cependant, le 29 juin dernier, il a annoncé dans une lettre qu’il ne se représenterait pas, une décision qui a surpris ceux qui louaient sa « force de caractère », tandis que d’autres évoquaient sa « lassitude » dans ce contexte oppressant. En réalité, Banssé s’est retiré de lui-même après une entrevue avec les autorités, notamment le président de la Transition, le capitaine Ibrahim Traoré. Les deux hommes ont convenu qu’il était dans l’intérêt du football national – et du gouvernement – de laisser la place à un nouveau dirigeant capable d’unifier les différentes composantes du sport burkinabè. Une emprise militaire croissante Initialement prévues pour le 17 août, les élections ont été reportées de deux semaines, laissant aux différents protagonistes le temps d’établir des listes répondant aux critères d’éligibilité. C’est dans ce contexte que l’Union Sportive des Forces Armées (USFA), un club omnisports de première division, a présenté Oumarou Sawadogo, un ancien colonel-major et ex directeur central du service des sports des armées, immédiatement perçu comme le candidat des militaires et du gouvernement. Depuis le coup d’État du 30 septembre 2022, mené par le capitaine Ibrahim Traoré, devenu président de la Transition, le Burkina Faso vit sous une emprise militaire renforcée. Dans ce contexte sécuritaire délicat, marqué par une lutte contre des milices armées, la société s’est militarisée, avec l’enrôlement des Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP), parfois de manière coercitive. Cette militarisation s’accompagne de répressions contre les voix dissidentes, y compris des activistes, journalistes, et même des magistrats. La semaine dernière encore, cinq magistrats ont été illégalement détenus et menacés d’être envoyés auprès d’unités militaires, selon Le Monde. Ces cinq hommes avaient lancé des procédures contre des proches du pouvoir pour diverses allégations, et avaient demandé des enquêtes sur des cas de disparitions. L’implication du président dans le football Ibrahim Traoré ne cache pas son intention de réprimer toute opposition, justifiant ses actions par la nécessité de sécuriser le pays. Son régime, qui s’est rapproché de la Russie au détriment de la France, a fait face à plusieurs tentatives de déstabilisation. Traoré, dont la période de transition a été prolongée de cinq ans par une charte spéciale, ne cache pas non plus son intérêt pour le football. Outre ses messages d’apaisement à l’égard de l’équipe nationale, il participe même à des matchs de gala, incarnant un pouvoir très personnel et omniprésent. Un processus électoral controversé Outre Oumarou Sawadogo, trois autres candidats se sont initialement présentés aux élections de la FBF : Ali Guissou, lieutenant-colonel et président de l’AS Douanes ; Jonathan Pitroipa, ancien international burkinabè ; et Moctar Diallo, homme d’affaires. Cependant, la campagne a rapidement été entachée de controverses. La candidature de Guissou a été invalidée pour des raisons jugées contestables, tandis que celle de Pitroipa a été rejetée en raison de l’absence d’autorisation pour certains membres de sa liste. Ces disqualifications ont laissé Sawadogo comme le seul candidat en lice, renforçant les soupçons de manipulation. Disparitions inquiétantes Dans ce contexte tendu, des disparitions inquiétantes sont venues assombrir davantage le processus électoral. Bourama Sawadogo, responsable de l’organisation de l’AS Douanes, et Jean-Paul Mone, membre du bureau exécutif des Léopards de St Camille, ont disparu. Ali Guissou, cible d’une tentative d’enlèvement, a dénoncé des pressions exercées par les autorités sur ses partisans, mettant en lumière les méthodes coercitives employées pour consolider le pouvoir autour de Sawadogo. Les élections, toujours prévues pour le 31 août, semblent désormais n’être qu’une formalité pour l’ancien colonel-major, devenu le candidat unique. Note : Depuis ces événements, David Yaméogo et Jean-Paul Mone ont été libérés provisoirement en attendant leur jugement. Ya Willy.
JO 2024 : Les athlètes congolais ont-ils déserté à Paris ?
Sur les six athlètes représentant la RDC aux Jeux Olympiques de Paris 2024, seuls trois sont retournés à Kinshasa ce mardi 13 août. Les trois autres sont restés en France, suscitant de nombreuses spéculations. Fuite ou non ? La question alimente les débats à Kinshasa. Sports News Africa a mené une enquête pour faire la lumière sur ce sujet. Il n’est pas rare de voir des athlètes congolais disparaître lors de compétitions internationales. Pour les Jeux Olympiques de Paris 2024, une alerte concernant une possible fuite a été émise par le site actualité.cd, signalant la disparition de trois athlètes masculins le dimanche 11 août, avant la cérémonie de clôture. Les athlètes concernés étaient le judoka Arnold Kisoka, le sprinteur Dominique Lasconi et le nageur Aristote Ipelenga. Effectivement, seules trois athlètes féminines ont participé à la cérémonie de clôture au Stade de France le 11 août : les boxeuses Marcela Sakobi et Brigitte Mbabi ainsi que la nageuse Divine Miansadi. Fausse alerte pour Arnold Kisoka La délégation congolaise présente à Paris est rentrée à Kinshasa ce mardi 13 août, mais seulement trois athlètes sur six ont pris le vol de retour : la boxeuse Brigitte Mbabi, la nageuse Divine Miansadi, et surtout le judoka Arnold Kisoka, dont l’alerte de disparition s’est avérée infondée. Contacté par Sports News Africa, Arnold Kisoka a expliqué, preuves à l’appui, que son absence à la cérémonie de clôture était due à un match de football amical organisé par des ressortissants de sa commune à Kinshasa vivant en France. Retardé après le match, il n’a pas pu rejoindre le Stade de France à temps. Arnold Kisoka a également affirmé qu’il prend sa carrière très au sérieux. Classé 67ᵉ au classement mondial dans sa catégorie (-60 kg), il espère améliorer ses performances lors des prochaines grandes compétitions en vue de se qualifier pour les Jeux Olympiques de Los Angeles en 2028. Il a donc démenti toute idée de fuite, se disant confiant en un avenir meilleur. Qu’en est-il des trois autres athlètes ? Les trois autres athlètes restés en France sont le sprinteur Dominique Lasconi, le nageur Aristote Ipelenga et la boxeuse Marcela Sakobi. Peut-on alors parler de fuite ? Une analyse cas par cas s’impose. Marcela Sakobi, porte-drapeau de la RDC lors de la cérémonie de clôture, est restée en France pour poursuivre un programme bien établi. Son entourage a indiqué à Sports News Africa que la championne d’Afrique en titre (-57 kg) souhaite se lancer dans la boxe professionnelle. Elle est accompagnée de son manager et de son entraîneur pour se préparer aux futures compétitions, ayant déjà quelques combats professionnels à son actif. En France, elle a l’intention de rejoindre un camp d’entraînement pour poursuivre sa carrière professionnelle. Pour Dominique Lasconi, la situation est plus délicate. Suspendu provisoirement après un test positif au dopage, il risque d’être exclu du centre d’athlétisme de Dakar où il était basé grâce à une bourse de la CONFEJES. Après son séjour à Paris, il devra probablement quitter le centre, étant dans l’incapacité de participer à des compétitions pendant sa suspension. En ce qui concerne Aristote Ipelenga, le nageur reste un mystère, aucune information précise n’ayant été communiquée sur son cas. Il semble également être toujours en France. Il est à noter que les visas de ces athlètes expirent en octobre prochain. Ya Willy.
France/OM. Les dessous de l’affaire MBEMBA
La situation entre Chancel Mbemba et l’Olympique de Marseille est devenue explosive, marquant un point de non-retour potentiel dans la relation entre le défenseur central congolais et le club phocéen. Ce conflit trouve son origine dans un incident lors d’un match amical contre le RC Grasse, où Mbemba a eu un accrochage avec Ali Zarrak, le directeur de la formation de l’équipe réserve. Ce dernier a été la cible de gestes et de propos irrespectueux de la part de Mbemba, qui a également dirigé son mécontentement envers le président de l’OM, Pablo Longoria. La réaction de la direction de l’OM a été rapide, mettant Mbemba à pied et exacerbant une situation déjà tendue par sa mise à l’écart de l’équipe première par le nouvel entraîneur, Roberto De Zerbi. Cette mise à l’écart touche également d’autres joueurs comme Jordan Veretout et Pau Lopez, mais Mbemba, lauréat du Prix Marc-Vivien Foé, est particulièrement affecté, ce qui soulève des préoccupations au sein du club et parmi les supporters. La direction de l’OM souhaite vendre Mbemba pour récupérer des fonds, mais le joueur semble vouloir provoquer son licenciement afin de partir librement, une tactique qui pourrait lui permettre de signer dans un autre club, potentiellement dans le Golfe, où il pourrait obtenir un salaire plus élevé. Ce bras de fer entre le joueur et le club divise les supporters, certains soutenant Mbemba, d’autres critiquant son comportement. Le soutien de l’ancien international congolais Herita Ilunga souligne la dimension internationale de cette affaire, avec des fans et des figures du football congolais dénonçant le traitement réservé à Mbemba par l’OM. Cette situation complexe reste en suspens, avec des développements futurs qui pourraient changer la donne dans ce feuilleton marseillais. Ya Willy.
Cameroun/Eto’o : « Je vais l’abattre » !
Samuel Eto’o, le président de la Fédération camerounaise de football (Fecafoot), fait à nouveau parler de lui dans son pays. Bien que combattu, Samuel Eto’o n’a jamais été vaincu au Cameroun. Cependant, il a une fois de plus donné matière à ses détracteurs de le critiquer. La star a été épinglée pour dérapage et menace de mort présumée lors d’un discours prononcé le weekend dernier, à l’occasion d’une messe d’action de grâce demandée par sa mère en son honneur. « Je suis numéro un », « Je vais l’abattre » « Je n’ai pas fait de grandes études, mais je suis numéro un, et ils le savent […] Je dis ce que je pense. Je leur ai donné du travail : parler de moi… Ils vont commenter », aurait déclaré le dirigeant de 43 ans, selon des propos relayés par Camfoot. « Quiconque vous touche, je vais l’abattre », aurait-il ajouté, cherchant à rassurer ses proches face à ses ennemis, visiblement sans se rendre compte que ce message pouvait être interprété comme une menace de mort. « Quand vous n’avez pas triché… ne vous cachez pas. Notre jeunesse a besoin de bons repères. » Ce n’est pas la première fois que l’ex numéro 9 des Lions Indomptables fait polémique en raison de propos perçus comme arrogants. Son dernier coup d’éclat remonte à fin mai, à l’orée du dernier rassemblement de l’équipe nationale, marqué par des tensions avec le ministère des Sports concernant le choix du staff. Lors de sa première rencontre avec le sélectionneur Marc Brys, le double vainqueur de la CAN avait lancé au technicien belge : « En tant que joueur, vous ne pouvez jamais me parler ! » Puis, il avait ajouté : « J’ai été un très grand joueur. » Suite à quoi, le technicien l’avait ironiquement congratulé avant de quitter le siège de la Fecafoot. Une chose est sûre : alors que la Confédération africaine de football (CAF) vient à peine de le blanchir des accusations de matchs truqués dans le championnat camerounais, Eto’o aurait bien voulu éviter cette nouvelle polémique. Ya Willy.
Lamine Yamal : une rupture amoureuse qui fait jaser
INDISCRETION. Lamine Yamal ne suit plus sa petite amie, Alex Padilla, sur Instagram après qu’une vidéo en direct où elle apparaît avec un autre homme soit devenue virale. Il semblerait que la relation entre Lamine Yamal et Alex Padilla soit terminée. La décision aurait été prise après qu’elle ait été vue assise sur les genoux d’un autre homme lors d’une vidéo en direct, devenue virale. Face à cette situation, les fans du Barça ont rapidement accusé Padilla d’avoir trompé le jeune prodige de leur club. Padilla était présente lors de la finale de l’Euro 2024 pour célébrer avec Yamal, rejoignant le jeune joueur de 17 ans sur le terrain après la victoire de l’Espagne contre l’Angleterre. Ils ont ensuite été vus ensemble à Milan, puis en Grèce, où ils ont posté une photo d’un luxueux petit-déjeuner flottant sur Instagram. Malgré l’apparente harmonie affichée en public, des tensions semblent être apparues. Padilla, qui a gagné en popularité sur TikTok avec plus de 750 000 followers, a doublé son nombre de fans pendant l’Euro 2024. Étudiante à Barcelone, elle fait face aux spéculations de tromperie. Deux semaines après la finale de l’Euro, Lamine Yamal profite de ses vacances d’été à Barcelone et n’a pas été inclus dans l’équipe que Hansi Flick a emmenée aux États-Unis pour la pré-saison. Les Catalans joueront leur dernier match de la tournée le 6 août, suivi par le Trophée Joan Gamper le 12 août. Reste à voir si Yamal sera présent pour ces rencontres. Ya Willy.