Table ronde des chefs d’entreprises Etats Unis- Gabon : Le Président de la République encourage les entrepreneurs américains à investir au Gabon

Table ronde des chefs d’entreprises Etats Unis- Gabon : Le Président de la République encourage les entrepreneurs américains à investir au Gabon

A l’occasion de la table ronde tenue ce jour (01 octobre, Dnr) au sein de la Chambre de Commerce de Etats Unis et à laquelle il a pris part, le Président de la Transition, Président de la République, Chef de l’Etat, le Général Brice Clotaire Oligui Nguema a invité les entrepreneurs américains à investir au Gabon. Cette rencontre majeure qui a réuni les investisseurs américains, les membres de la Chambre de Commerce des Etats Unis ainsi que les membres du gouvernement gabonais a été l’occasion de tracer et redynamiser les investissements américains dans notre pays. Tout en rappelant les réformes entreprises par le gouvernement et le CTRI visant à assainir le climat des affaires, le Président de la République a exprimé son ambition de transformation et de développement économique et sociale qui repose sur trois axes à savoir : faire du Gabon un hub d’affaires régional, promouvoir l’initiative privée et renforcer l’accès à la technologie afin de favoriser l’inclusion numérique et la transformation digitale. Par ailleurs, le Chef de l’Etat a présenté à l’assistance les opportunités qu’offre le Gabon, notamment dans les secteurs des mines, du pétrole, du gaz, de l’agriculture, de la pèche, du tourisme et des énergies renouvelables entre autres. En outre, le Président de la République a insisté sur le fait pour les investisseurs de créer de la valeur ajoutée en faisant une première transformation des matières premières sur le plan local afin de créer des emplois, former et partager leur expertise aux nationaux. A l’issue de ces échanges de nombreux accords d’investissements privés ont été signés entre les deux parties ainsi qu’il suit : -Dans le secteur agricole : le développement de la culture du soja, du maïs, et l’élevage du poulet de chair, afin de développer ledit secteur, -Dans le secteur des nouvelles technologies : création d’une usine locale de fabrication d’équipements électroniques tels que des ordinateurs, des tablettes et smartphones création, -Secteur du numérique : investir dans les infrastructures numériques et le développement des services tels que e-santé , e-education, et le financement des projets tels que la création de data centers, -Secteur énergétique : Favoriser l’accès à l’eau, l’énergie et les technologies dans l’agriculture afin de booster le développement et améliorer le rendement dudit secteur, -Secteur des hydrocarbures : Fabrication locale des huiles de voitures, d’industrie et autres.

Institut français d’Oujda: Table ronde sur l’art au féminin ce jeudi 9 mars

Institut français d’Oujda: Table ronde sur l’art au féminin ce jeudi 9 mars

Amoureuses des mots, des couleurs, des formes… elles sont autant Uniques qu’Universelles. Loin des carcans sociaux, elles brisent les stéréotypes communs aux sociétés modernes en rêvant et en créant, chaque jour, des œuvres très personnelles, produits d’un perpétuel questionnement et reflets d’un soit toujours en évolution. Des états d’Ames d’autant plus complexes qu’il se font au féminin. À l’occasion de la journée internationale des droits de la femme de cette année 2023, l’Institut Français d’Oujda questionne cette intimité artistique grâce à un panel d’artistes aux casquettes multiples qui représentent chacune à sa façon cette complexité. Elles nous parleront de leur monde, de ce besoin permanent de créer et d’exprimer ce « je ne sais quoi » fruit d’un questionnement permanent de ce qui les entoure mais aussi et surtout de leurs propres personnes. Par cette table ronde, elles souhaitent partager toute la beauté de leurs pensées et de leur art mais aussi et surtout leurs parcours et leurs batailles. Parler de leur statut de femmes artistes, de médecins, d’enseignantes, d’intellectuelles, et j’en passe mais aussi de leurs rôles d’activistes, d influenceuses, de filles, de mères, d’épouses et d’amies… Elles se veulent porteuses d’espoir et de motivation, positives mais toujours réalistes elles vous invitent, le temps d’une soirée, à découvrir leur ART AU FEMININ. INTERVENANTES: Intissar HADDIYA : Intissar est médecin néphrologue et auteure marocaine. Elle est actuellement Professeure de Néphrologie à la faculté de médecine d’Oujda-Maroc et actrice associative très impliquée dans la promotion de la greffe d’organes et le soutien aux insuffisants rénaux. Ses premiers ouvrages littéraires étaient publiés par Cambridge University Press (New York) entre 1999 et 2005. Ses romans « Si Dieu nous prête vie » (2016), « L’inconnue » (2019), « Trahison Pieuse » (2021) axés sur la condition féminine au Maroc, ainsi que son recueil « Au fil des songes » (2017) ont connu un remarquable succès. Imane ELMEZGUELDI : Imane est artiste peintre autodidacte et médecin au laboratoire d’analyses médicales. Pour elle, l’art et la médecine sont deux mondes différents, mais complémentaires qui nous imposent observation, analyse et méthodologie de travail. Nonobstant, elle nie toute relation directe entre ses créations picturales et sa profession. Elle rapporte : « Le dessin et la peinture me sont venus naturellement, instinctivement comme un moyen d’expression, j’y puise infiniment de joies, de rêves et de bonheur et je ne peux pas concevoir de m’en éloigner ». Siham BADR : Siham Artiste plasticienne native de Rabat, diplômée de l’école des beaux-arts de Casablanca, professeure d’art plastique à Oujda, professeure de dessin et d’expression plastiques à l’école nationale d’architecture d’Oujda, membre de l’association « Je participe et j’apprends via l’art ». Jeudi 9 mars à 18h30 à l’IF d’Oujda (Maroc). Lamiaa FASLA : Lamiaa est chef d’entreprise aux multiples casquettes, enseignant chercheur, journaliste et éditeur. Férue d’art et de littérature, elle dirige L’entreprise FL Company spécialisée en formation, en accompagnement des entreprises et en édition. Lamiaa est la modératrice de la soirée.

Maroc: Approcher les enjeux environnementaux locaux, sujet d’une rencontre à Boudenib

Maroc: Approcher les enjeux environnementaux locaux, sujet d’une rencontre à Boudenib

L’Association Chouaala à Boudenib annonce qu’elle a organisé, en collaboration avec la commune de Boudenib, une table ronde sur le rôle des acteurs locaux dans l’établissement d’une culture environnementale solide, dimanche 2 décembre à la Maison de des jeunes de Boudenib. Le président de la commune de Boudenib et ses députés, un certain nombre de représentants des services extérieurs et associations locales ainsi que certain nombre de jeunes intéressés ont assisté à cette assise placée sous le thème « promouvoir une conscience environnementale commune base de toute vision du développement durable ». Dans un communiqué, l’association indique « cette activité s’inscrit dans le contexte de la problématique universel des changements climatiques croissants, qui se répercutent négativement sur les niveaux locaux, en particulier les oasis fragiles, et s’inscrit dans un contexte local caractérisé par de profonds changements socio-économiques et culturels, notamment la croissance démographique et l’émergence des investissements agricoles croissants dans la région de Boudenib ». La même source précise que la table ronde a pour objectif d’encourager la communication entre les différents acteurs sur l’importance de promouvoir une prise de conscience environnementale commune, d’activer et de consacrer cette consultation en tant que clé du succès de toute approche de développement durable, de développer, valoriser et partager des méthodes, pratiques et interventions ayant démontrés leurs efficacités en matière de conservation de l’environnement, partage d’expériences, d’expertise, de connaissances et d’informations sur les risques environnementaux et les menaces associées. « Cette assise a permis d’analyser les problèmes environnementaux locaux et de proposer un diagnostic des menaces environnementales locales et proposer des mécanismes et moyens les plus pertinents pour surmonter certains d’entre elles afin de les éviter à l’avenir, et de formuler des recommandations sur les problèmes nécessitant des interventions de haut niveau », a souligné l’association. Et d’ajouter : ces recommandations seront sujet d’un guide conçu comme feuille de route pour diriger toutes interventions futures qui s’intéressent aux problématiques environnementales à Boudnib. Adrien Thyg

Table ronde à Genève sur la question du Sahara marocain

Table ronde à Genève sur la question du Sahara marocain

TRIBUNE. L’Envoyé Personnel du Secrétaire Général de l’ONU, Horst Köhler, a transmis, le 21 novembre 2018, un message aux quatre parties, en l’occurrence le Maroc, l’Algérie, la Mauritanie et le polisario, qui participeront aux pourparlers de Genève, spécifiant l’ordre du jour, l’architecture des délégations et les objectifs de la table ronde.​ Cette première manche de dialogue a pour objectif de relancer le processus de négociations pour trouver une issue politique au conflit du Sahara marocain, basée sur l’esprit du compromis et du réalisme.​ Il faut noter que c’est la première fois que les parties vont pouvoir se retrouver, depuis fin mars 2012, année à laquelle le processus de Manhasset a été bloqué, en raison de la position contreproductive d’Alger et du polisario, restés cramponnés à la thèse irréaliste et irréalisable de l’indépendance, balayée d’un revers de la main par l’ancien émissaire onusien, le diplomate néerlandais Peter van Walsum, et par le Conseil de Sécurité qui a a appelé via ses résolutions à des négociations sur la base du réalisme et du compromis pour trouver une solution politique pratique et pragmatique au conflit plus que quarantenaire autour du Sahara marocain.​ Fait inédit, l’ONU a opté pour le format « 4+4 », ce qui revient à attribuer au conflit une dimension régionale, contre la volonté d’Alger qui s’est échinée en vain à conférer au différend une dimension bilatérale entre le Maroc et le polisario, dont elle continue de tirer les ficelles à des fins que tout le monde sait: nuire aux intérêts du Maroc, à leur tête l’intégrité territoriale du Royaume Maroc.​ Autre précision, et pas des moindres, il ne s’agit pas d’un nouveau round de négociations, comme la partie adverse tentait de le faire croire via ses ouailles médiatiques algériennes et françaises, mais d’une table ronde destinée à tester la volonté des quatre parties de s’engager dans un nouveau processus.​ Il en ressort que les dirigeants du polisario ne représentent qu’eux-mêmes et, du coup, ne possèdent aucune légitimité pour parler encore moins agir au nom des Sahraouis.​ C’est pourquoi, à l’approche de l’échéance des 05 et 06 décembre 2018, le polisario sort le disque usé, de surcroît ridicule, du retour à la lutte armée ! C’est en tout cas ce qui ressort de la tournée menée à grands roulements de tambours médiatiques par le chef des milices armées, Lahbib Abdallahi, dans les soi-disant territoires libérés.​ Une semaine après sa virée à Mijek, le « vizir » de la prétendue « armée de libération sahraouie » s’en va sonder le moral des troupes à Mhirez, autre localité située dans la zone tampon instaurée à l’Est du dispositif de défense marocain, en vertu de l’accord de cessez-le-feu conclu le 06 novembre 1991. Il en est de même à Tifariti ainsi qu’à Bir Lahlou.​ La manœuvre du polisario est un classique du genre. A la veille de chaque nouvelle échéance onusienne, les polisariens font miroiter la menace du retour à la lutte armée. A ce détail près qu’il est aujourd’hui plus que jamais acculé, le polisario n’ayant aucune carte à jouer en dehors de celle éculée, de surcroît ridicule, du retour à la guerre, lors de la table ronde qui sera organisée les 05 et 06 décembre 2018 à Genève, sous l’égide de l’ancien Président allemand Horst Köhler.​ Pas plus d’ailleurs que son mentor, Alger, qui se voit désormais dans la contrainte d’ôter le masque pour participer pleinement aux discussions de Genève, en tant que partie au conflit. L’offre marocaine de dialogue direct et franc avec Alger pour une remise à plat des différends bilatéraux en a rajouté au cafouillage de cette dernière, d’autant plus que l’offre faite par le Roi Mohammed VI, dans son discours commémorant le 43ème anniversaire de la Marche Verte, le 06 novembre 2018, a été saluée par les principales capitales mondiales, à leur tête Washington.​ La pression se trouve donc du côté d’Alger, parrain du polisario, qui aurait pu trouver mieux à proposer pour les pourparlers de Genève, en dehors de ces vieilles-nouvelles menaces phonétiques qui n’amusent que la galerie déjantée algérienne ainsi que quelques ONG’s, journalistes, femmes et hommes politiques français totalement déphasés sur cette question.​ Le régime algérien se doit d’assumer ses responsabilités envers l’appel du Maroc à un dialogue serein, responsable et franc, d’autant plus que les Nations-Unies ont réitéré, 29 novembre 2018, par la voix de Stéphane Dujarric, Porte-Parole du Secrétaire Général de l’ONU, lors de son point de presse quotidien à New York, leur soutien à un dialogue renforcé entre le Maroc et l’Algérie, au grand bénéfice de toute la région. ​ Il faut que le régime algérien n’oublie pas que c’est lui qui a créé le conflit, c’est lui qui abrite, finance et soutient diplomatiquement les séparatistes. Ce régime a été surpris par l’initiative et l’anticipation du Royaume du Maroc et les tergiversations et la sourde oreille que fait actuellement le régime algérien à la proposition marocaine constituent un acte que l’Histoire et la mémoire des peuples n’oublieront jamais.​ Aujourd’hui, force est de constater que l’approche du face-à-face maroco-algérien à Genève donne la frousse à Alger, notamment après la dernière déclaration du sous-Secrétaire d’Etat américain, David Hale, en visite au Maroc, à travers laquelle il a confirmé que les Etats-Unis d’Amérique saluaient l’initiative du Roi Mohammed VI de tendre la main à l’Algérie, en l’appelant à un dialogue dans l’intérêt des peuples de la région.​ Une position américaine, intervenant à une semaine de la relance des négociations autour du dossier du Sahara marocain, qui confirme une nouvelle fois la pertinence de l’initiative marocaine d’autonomie de ses provinces du Sud sous souveraineté du Maroc.​ En fait, Washington a toujours réitéré son soutien à la proposition marocaine, réaffirmant son engagement à appuyer les efforts onusiens pour trouver une solution pacifique, durable et mutuellement acceptable au conflit artificiel autour du Sahara marocain.​ Une position américaine concomitante avec celle de l’Allemagne faite par la voix de son Ministre allemand des Affaires Etrangères, Heiko Mass, qui a déclaré, le 29 novembre 2018 à Rabat, que le maintien du statut quo au Sahara marocain