Mali. Abdoulaye Diop salue l’initiative du Maroc pour désenclaver le Sahel

Mali. Abdoulaye Diop salue l’initiative du Maroc pour désenclaver le Sahel

Le Mali a salué, le 23 décembre 2023 à Marrakech, l’initiative du Maroc visant à désenclaver les pays du Sahel. Le ministre malien des Affaires étrangères, Abdoulaye Diop, a déclaré que cette initiative était une « manifestation de la solidarité et de la fraternité agissante du Royaume du Maroc à l’endroit de pays frères africains ». Dans son discours prononcé à la réunion ministérielle de concertation organisée dans le cadre de cette initiative, Abdoulaye Diop a souligné que l’accès des pays du Sahel à la mer était « une opportunité sur bien des aspects ». Il a notamment évoqué les perspectives de dynamiser les échanges commerciaux, de favoriser l’intégration régionale et de renforcer le brassage des populations. Le ministre malien Abdoulaye Diop a également rappelé que cette initiative était en ligne avec la vision du président de la transition, Assimi Goïta, qui place le bien-être des populations au cœur de ses priorités.

Algérie : le troc pour renforcer les liens économiques avec le Sahel

Algérie : le troc pour renforcer les liens économiques avec le Sahel

L’Algérie renforce ses liens économiques avec ses trois pays voisins, le Niger, le Mali et la Mauritanie. Le président algérien Abdelmadjid Tebboune a donné son feu vert pour dresser une liste de produits éligibles à l’exportation et au troc avec ces pays. L’Algérie souhaite à terme atteindre une intégration économique régionale avec ces pays. L’intensification des relations économiques entre les quatre pays par le biais du troc et de l’exportation va, selon l’Algérie, améliorer les conditions de vie des populations des zones frontalières, juguler le phénomène de la contrebande, lutter contre la pauvreté qui peut être source de radicalisation.

Les événements commence à se précipiter en Afrique de l’Ouest

Les événements commence à se précipiter en Afrique de l’Ouest

TRIBUNE. Le début de cette semaine semble très mouvementée et il convient de se donner un regard holistique pour voir d’une manière coordonnée les événements qui se déroulent au Sahel et qui ont tous un lien intrinsèque significatif sur la paix de tout le continent noir. Phase numéro 1. Deux jours après le coup d’état à Niamey, la France par la bouche de son président ne s’est pas contentée de condamner fermement le putsch, le président Emmanuel Macron a convoqué un Conseil de défense sur le Niger insinuant en des termes clairs sa volonté d’intervention militaire au Niger sous le fallacieux prétexte de sécuriser les ressortissants français. Après le soulèvement de la population de Niamey, brûlant les drapeaux français et allant jusqu’à mettre le feu à l’ambassade de France à Niamey, l’Elysée a menacé de répliquer de manière “immédiate et intraitable” contre quiconque s’attaquerait à la France et à ses intérêts. Phase numéro 2 La CEDEAO et l’UEMOA se réunissent à Abuja et annoncent une batterie de mesures de sanctions sur l’économie nigérienne et l’embargo sur la liberté de circuler des nouveaux officiels nigériens et de leurs familles. Exigeant en même temps le retour aux fonctions du président déchu Mohamed Bazoum avec un ultimatum d’une semaine faute de quoi l’usage de la force et l’intervention sur le territoire nigérien ne sont plus à exclure. Phase numéro 3 Le nouveau gouvernement nigérien voit la main cachée du pouvoir colonial derrière le sommet d’Abuja et met en garde la France contre toute volonté d’intervention militaire, lançant à l’occasion une mobilisation de l’armée nigérienne jusqu’à l’appel des réservistes. La tension devient palpable. Un autre communiqué à la radio nationale nigérienne suspend le commerce de l’Uranium avec la France. L’embargo, qualifié d’ »inhumain et immoral », a également été rejeté par l’Algérie et la Libye, qui ont manifesté leur désapprobation avec cette décision controversée de la CEDEAO. Dans un geste de solidarité envers le Niger, trois pays voisins, à savoir la Guinée, le Burkina Faso et le Mali, ont décidé de ne pas appliquer les sanctions imposées par la CEDEAO. Phase numéro 4. Au soir de ce lundi 31 juillet, trois événements sont annoncés qui risquent de mettre le feu aux poudres : La Guinée avertit que toute intervention militaire au Niger entraînera la dislocation de la Cedeao, réaffirme sa vision panafricaniste et invite la Cedeao à se focaliser sur les enjeux socio-économiques stratégiques plutôt que de se préoccuper du sort des présidents déchus. Secundo il y a le lancement d’une coalition militaire Mali-Burkina Faso-Niger qui rejette en bloc toutes les sanctions de la CEDEAO contre le Niger et rend claire sa position contre les velléités militaires de la France dans une déclaration conjointe lue par le Ministre d’Etat Abdoulaye Maïna et dont le point 4 stipule : « Toute intervention militaire contre le Niger s’assimilerait à une déclaration de guerre contre le Burkina Faso et le Mali ». En termes clairs le Mali et le Burkina Faso entreront conjointement en guerre si le Niger est attaqué militairement. S’il faut ajouter à cette donne la décision très risquée de Macky Sall d’avoir arrêté et jeté Ousmane Sonko en prison ce même lundi et d’avoir dissous son parti politique le Pastef, nous sommes là en face d’un enchaînement d’événements détonateurs qui risquent d’embraser tout le Sahel et d’entraîner la déstabilisation de toute la sous-région. Au moment même où l’unité africaine semble aller en lambeaux, les africains ignorent jusque là, que derrière ce qui se passe au Mali et au Niger, il se profile un autre conflit armé d’une plus grande envergure entre l’OTAN versus la Russie/Chine, lequel conflit peut se transformer en une guerre mondiale plus sanglante et plus meurtrière que celle qui se déroule en Ukraine. L’Occident faisant de la Cedeao son bras séculier en Afrique et la Russi/Chine derrière la coalition Mali/Burkina Faso. Les deux camps détenant déjà des bases militaires sur place s’y sont sérieusement préparés. Ce qui est en train de se dérouler sous nos yeux marque le début d’un tournant géopolitique décisif en Afrique et dans le monde, capable d’entraîner inévitablement un renversement de rapports de force. La possibilité de perdre l’Afrique est devenue un cauchemar et une question de vie ou de mort pour l’Occident. Ce qui ne se passera pas sans grande casse. Il faudra s’attendre à une guerre meurtrière pour le contrôle de l’hégémonie mondiale et pour l’avènement d’un monde multipolaire dont le théâtre des opérations est en train de se dessiner en Afrique au Sahel. Les événements sont en train de se précipiter et l’euphorie populaire et panafricaniste ne suffira peut-être pas pour résister à l’adversaire. Une réflexion stratégique et la mise en place des dispositions tactiques devraient déjà être au centre de préoccupations des élites africaines. Par Germain Nzinga

Les dirigeants d’Afrique de l’Ouest et du Sahel réaffirment leur engagement à investir dans les engrais pour la transformation agricole

Les dirigeants d’Afrique de l’Ouest et du Sahel réaffirment leur engagement à investir dans les engrais pour la transformation agricole

Les chefs d’État et ministres d’Afrique de l’Ouest ont affirmé leur engagement en faveur d’une accélération des investissements et des réformes pour rendre les engrais plus accessibles et plus abordables durant la table ronde de haut niveau organisée conjointement par le gouvernement togolais, la Banque mondiale, et la Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO). L’adoption d’une feuille de route sur la santé des sols a été approuvé par les délégations pays en présence du président Faure Essozimna Gnassingbé de la République Togolaise, du président Mohamed Bazoum de la République du Niger, et du président Umaro Sissoco Embalo de Guinée Bissau. « Sans vision, sans stratégie, les engrais passent bien vite d’une promesse de restauration des sols à la cause de leur détérioration, » a ainsi déclaré le président de la République Togolaise, Faure Essozimna Gnassingbé. « Face à ce besoin de trouver un juste équilibre, la planification et l’implication de l’État s’imposent. C’est pourquoi je suis favorable à une planification régionale. Comme l’illustre la Feuille de Route présentée ce jour, notre vision doit être sous- régionale avant tout ». A l’issue de la rencontre, les chefs d’industrie et les partenaires de développement de l’Agence Régionale pour l’Agriculture et l’Alimentation en Afrique de l’Ouest (ECOWAP en anglais) ont réaffirmé leurs appuis pour une approche innovante et intégrée de la gestion durable de la fertilité des sols. « En faveur des pays membres de la CEDEAO et avec les partenaires au développement, la Banque mondiale s’engage à accroitre leur soutien financier et technique pour une agriculture résiliente porteuse de développement durable et créatrice d’emplois. Nous travaillons avec les institutions africaines pour promouvoir la santé des sols et lutter contre l’insécurité alimentaire, » a déclaré Ousmane Diagana, vice-président de la Banque mondiale pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre. La Banque mondiale a annoncé 1,5 milliard de dollars supplémentaires dans le secteur de l’agriculture d’ici 2024 – passant de 4 milliards déjà engagés et en cours de mise en œuvre à 5,5 milliards de dollars. Il s’agir d’un soutien continu aux réformes nécessaires pour l’amélioration de la santé des sols et le renforcement du secteur des engrais en matière de gestion des subventions, de contrôle de qualité et traçabilité à travers des opérations de politique de développement et des projets de production d’engrais verts. Les Pays-Bas ont également annoncé 100 millions d’euros pour soutenir le secteur en Afrique de l’Ouest au cours de la prochaine décennie. « A travers l’adoption d’une feuille de route commune, les pays de la CEDEAO s’engagent à améliorer l’accès aux engrais minéraux et organiques des petits producteurs et productrices agricoles, en mettant l’accent sur les cultures assurant la sécurité et la souveraineté alimentaires des populations et la mise en œuvre des actions prioritaires, » a souligné Omar Alieu Touray, Président de la Commission de la CEDEAO. La table ronde de Lomé a réuni les dirigeants venus du Bénin, du Burkina Faso, du Cabo Verde, de Côte d’Ivoire, de Gambie, du Ghana, de Guinée, de Guinée-Bissau, du Liberia, du Mali, de la Mauritanie, du Niger, du Nigéria, du Sénégal, de Sierra Leone, du Tchad et du Togo. Le président de la CEDEAO, le vice-président de la Banque mondiale pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre, les représentants de partenaires régionaux du développement, notamment l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA), le Comité permanent inter-États de lutte contre la sécheresse au Sahel (CILSS), le Centre international pour le développement des engrais (IFDC), entre autres, ainsi que des dirigeants de l’industrie des engrais y participaient également. Dans un appel à renforcer la résilience des systèmes agricoles et alimentaires, les dirigeants régionaux ont approuvé une déclaration portant sur une série d’objectifs et de mesures concrètes, à savoir : Au cours de la réunion, les gouvernements, les partenaires régionaux et de développement, notamment la CEDEAO, le Groupe de la Banque mondiale, et les dirigeants du secteur privé se sont également engagés à faire état des progrès réalisés concernant ces objectifs, dans les mois à venir.

Au Sahel, Paris échoue à contrer la propagande russe

Face à Moscou qui déploie ses mercenaires sur le terrain et qui mène une campagne de propagande efficace sur les réseaux sociaux, la France semble pour le moment enregistrer des revers dans la bataille de l’opinion. Des drapeaux russes brandis pendant que ceux de la France flambent dans les manifestations de l’opposition au Tchad. Une junte au pouvoir au Mali qui, avec un certain appui populaire, rompt tous les ponts avec Paris pour se rapprocher de Moscou. Des réseaux sociaux qui ne semblent bourdonner que d’une seule musique. La France a-t-elle déjà perdu la bataille de l’opinion au Sahel face à la Russie ? Les objectifs et la pérennité du réinvestissement de la Russie en Afrique sont encore incertains mais sa stratégie est désormais mieux connue… Lire la suite sur Le Monde Afrique

Mort d’Idriss Deby: une multitude de réflexions

Mort d’Idriss Deby: une multitude de réflexions

Le defunt Idriss Deby était entre autres, Un militaire d’exception Un dictateur radical et meurtrier Un allié de la cancérigène FRANÇAFRIQUE Mais un ultime rempart face aux terroristes au Sahel Il est Mort sur la ligne de front (si les infos rapportées par les militaires sont avérées) Il sera, aux Hommes et aux Femmes, dotés de raison et d’expérience, impossible de résumer Idriss Deby en une seule facette lorsque l’on connaissait la complexité de l’Homme. Allié de la criminelle Françafrique, mais Co-financier de la chaîne de Tv anti française Afrique Media, ami intime du NÉOCOLON Jean-Yves Le Drian, mais parfois très critique du Franc CFA, Idriss Deby représente cette génération de nos pères, au potentiel extraordinaire, qui auront à de trop nombreuses reprises, malgré leurs nombreux dons de Dieu, fait preuve de schizophrénie politique. Bien qu’opposé à de trop nombreuses reprises à ses choix, il m’est difficile de me réjouir de la mort d’un Homme qui faisait office d’ultime rempart militaire face aux terroristes au Sahel. En ce qui concerne le neocolonialisme français, il était un ennemi fondamental à mes yeux (même s’il lui arrivait de hausser le ton face à la France de temps à autres) .Mais face aux groupes terroristes, j’aurais souhaité avoir plus de dirigeants africains ayant sa stature militaire afin de faire face bien plus énergiquement aux velléités déstabilisatrices du Sahel. Une pensée pour toutes les familles tchadiennes, qui furent d’une manière où d’une autre, frappées par son régime sanguinaire. Et de l’autre, une pensée pour toutes celles et ceux, qui ayant un sens de l’analyse politique, lucide et froid, savent qu’à travers sa mort, le sahel risque d’être encore plus déstabilisé. L’Afrique du monde réel est complexe. Deby en fut un exemple matérialisé. Par Kemi Seba

Le Maroc a été et sera de tous les combats pour le Sahel et avec le Sahel

Le Maroc a été et sera de tous les combats pour le Sahel et avec le Sahel

La communauté internationale se doit de savoir que le Maroc a été, et sera, de tous les combats pour le Sahel et avec le Sahel ; une approche dictée par une vison humaine tracée par le Roi du Maroc depuis son accession au Trône marocain. C’est le minimum à retenir de la déclaration du Ministre marocain des Affaires Etrangères, tenue le 12 juin 2020, à l’occasion de la première réunion ministérielle en vision conférence de la Coalition Internationale pour le Sahel, réunissant une quarantaine de pays et organisations régionales dont l’objectif est de coordonner l’effort militaire et le développement, ainsi que l’aide pour le retour de l’État sur le terrain. Il est certain que la dimension sécuritaire, bien qu’insuffisante à elle seule, reste nécessaire et c’est pourquoi l’expérience du Maroc en matière du renseignement et de contre-terrorisme a toujours été mise à disposition des partenaires du Maroc à l’échelle régionale et internationale. Une expérience reconnue et appréciée par l’ensemble des pays alliés et amis du Maroc, notamment par son soutien à la mise en place du Collège de Défense du G5 Sahel à Nouakchott tout en dédiant 203 places de formation annuellement dans les établissements militaires marocains. A ne pas oublier, que les Forces Armées Royales marocaines apportent tout leur soutien par-delà de leur région et sont notamment mis à la disposition de l’École de Maintien de la Paix de Alioune Blondin Beye de Bamako pour dispenser des modules de courte durée. Il est clair que le Sahel constitue pour le Maroc une région de voisinage géographique marquée par une appartenance historique, culturelle, politique et géostratégique et c’est la raison pour laquelle l’action marocaine est indubitablement centrée sur le développement humain, élément essentiel de la continuité de son combat contre le terrorisme dont le terreau n’est autre que la précarité, le chômage et le déficit éducatif, sagesse pour laquelle il est plus qu’important de créer la richesse pour appauvrir le terrorisme et le priver de ses arguments les plus accrocheurs. Le Maroc, en optant pour ce choix de l’investissement dans le développement socio-économique et humain, perçoit une solution durable au terrorisme. Cette approche marocaine a permis la mise à disposition de la Clinique périnatale Mohammed VI à Bamako mais aussi, à travers l’Institut Mohammed VI, contribuer àla formation des Imams, Mourchidines et Mourchidates afin d’immuniser les esprits et les coeurs par la promotion d’un Islam tolérant et du juste milieu, dont plus de 93% des étudiants étrangers (937 sur 1.002), inscrits aux cycles de formation de l’Institut au titre de l’année 2018-2019, sont issus des pays de la CEDEAO et du Tchad. Il est entendu que pendant plus de deux décennies, la sécurité au Sahel reste toujours préoccupante en raison d’une déliquescence des conditions sécuritaires régionales, un rayon de violences s’élargissant à vue d’oeil et un tissu social en total décomposition et ce, au moment même où la pauvreté et l’insécurité alimentaire s’aggravent alors que la pression démographique freine tout effort de développement. Une approche globale est nécessaire et doit inclure le rôle primordial de la CEDEAO car la victoire contre le terrorisme sera multidimensionnelle (militaire, sécuritaire, politique, socio-économique et cultuelle), ou ne sera pas. A souligner que si l’action militaire et sécuritaire est une partie essentielle de la réponse au terrorisme, elle devrait veiller à ce point d’équilibre subtil, qui l’empêche d’alimenter involontairement la spirale de la violence ; raison pour laquelle l’association des Nations-Unies, comme co-leader de cette initiative, aux côtés de la France, du G5 et de l’Union Européenne serait un gage d’inclusion et un appoint de légitimité, y compris aux yeux des populations locales. Une approche marocaine qui repose sur une vision tracée par le Roi Mohammed VI du Maroc, dès l’entame de Son Règne. Humaine avant tout, elle est articulée autour du triptyque indissociable: sécurité, développement humain et formation. A noter que le Souverain marocain a ordonné le 11 juin 2020 l’envoi d’un avion transportant des aides médicales à la Mauritanie pour l’appuyer dans ses efforts de lutte contre la pandémie COVID-19. Une aide marocaine qui traduit la solidité des relations exemplaires entre les deux pays et les deux peuples. Cette assistance marocaine fait suite aux Instructions du Roi du Maroc à la mise en place d’initiatives de solidarité avec de nombreux autres pays africains depuis le début de la crise épidémiologique du Coronavirus afin de les aider à faire face à la pandémie du COVID-19. D’autant plus, que le Souverain marocain vient de donner, le 14 juin 2020, ses Instructions pour l’acheminement d’aides médicales à 15 pays africains, à savoir le Burkina Faso, le Cameroun, les Comores, le Congo, Eswatini, la Guinée, la Guinée-Bissau, le Malawi, la Mauritanie, le Niger, la République Démocratique du Congo, le Sénégal, la Tanzanie, le Tchad et la Zambie. Ces aides médicales visent à fournir du matériel médical préventif, afin d’accompagner les pays africains dans leurs efforts de lutte contre la pandémie du COVID-19. Qui dit mieux ! Certainement pas l’Algérie ou les anciennes puissances coloniales devenues risibles pour leur propre population ! Du jamais vu ! Farid Mnebhi.