L’heure de la vérité sonnera-t-elle pour le criminel Brahim Ghali ?

L’heure de la vérité sonnera-t-elle pour le criminel Brahim Ghali ?

TRIBUNE. Que cela soit clair une fois pour toute ! La question du Sahara marocain est une cause Sacrée du peuple marocain et de toutes les forces vives de la Nation. Raison pour laquelle, l’Ambassadrice marocaine à Madrid, actuellement à Rabat pour consultations, a annoncé de nouvelles représailles contre l’Espagne puisque certains milieux espagnols ont révélé leurs véritables intentions d’attenter aux intérêts supérieurs du Royaume du Maroc depuis sa récupération de son Sahara marocain en 1975. Pour l’Ambassadrice marocaine, « le respect mutuel et la confiance entre les deux pays sont malheureusement remis en question aujourd’hui ». De plus, le Chef de la diplomatie marocaine a récemment déclaré que le Royaume du Maroc romprait toutes relations avec l’Espagne si le soi-disant chef du polisario rentrait en Algérie sans que l’Audiencia Nacional ne prenne des mesures à son encontre pour les deux plaintes déposées pour des crimes présumés de génocide, torture et terrorisme, entre autres. Aujourd’hui, Rabat annonce à nouveau des conséquences et le ton monte entre Rabat et Madrid et deux scénarii sont envisageables, à savoir : 1/ L’Espagne exfiltre Brahim Ghali dans les mêmes conditions que ceux emprunté pour enter en catimini en Espagne sous la fausse identité algérienne de Mohamed Benbattouch. Cela veut dire renvoyer Brahim Ghali en Algérie après un simulacre de procès en Justice pour rassurer ceux qui s’inquiètent au sein de la classe politique et médiatique du pays de l’indépendance de de la Justice espagnole, violemment remise en cause après cette affaire. Une décision qui aura très certainement pour effet premier d’installer une rupture durable entre le Maroc et l’Espagne et plus aucun projet politique commun ne sera possible. La tension et la méfiance seront par conséquent les seuls leviers des relations entre Rabat et Madrid puisque l’Espagne se sera comportée en ennemi assumé des intérêts vitaux du Maroc en s’alignant ouvertement sur les thèses polisariennes. Cela suppose ouvertement que Madrid préfère sacrifier son partenariat stratégique avec le Maroc pour plaire à l’Algérie. 2/ L’Etat profond espagnol, au grand dam de l’Algérie, assume son erreur et permet à la Justice espagnole de s’accomplir en toute indépendance. Dans ces conditions Brahim Ghali aura à payer pour tous les crimes qu’il a commis. Le 1er juin 2021 sera un jour de vérité pour la Justice espagnole, les nombreuses familles de pêcheurs et citoyens espagnols assassinés et des Sahraouis marocains sauvagement tués ou torturés par ce décérébré de Brahim Ghali et les polisariens avec le plein accord des Généraux algériens. Farid Mnebhi.

Tel est le sort réservé à tout traître à la Nation marocaine !

Tel est le sort réservé à tout traître à la Nation marocaine !

OPINION. Le polisario a annoncé officiellement la mort de son ancien directeur de la soi-disant sécurité militaire, Sid’Ahmed Ould Hadda, alias Al Batal, le 26 mai 2021 de la COVID-19. Connu pour être un tortionnaire, il a été enterré à la va-vite au cimetière dit de Smara dans les camps des séquestrés Sahraouis marocains de Tindouf, sans le moindre hommage. Ce sinistre polisarien a été ouvertement accusé de crimes contre l’Humanité, dès le milieu des années 80, par la « Fondation Danielle-Mitterrand – France Libertés », du nom de l’épouse de l’ancien Président français, François Mitterrand, pourtant connue comme étant très proche des thèses polisariennes. Elle avait bien accusé, et c’est prouvé, Sid’Ahmed Ould Hadda, d’avoir torturé et assassiné de nombreux prisonniers, parmi lesquels des militaires marocains et ce, en compagnie de nombreux tortionnaires polisariens au sein du complexe dit « École 12 octobre » situé près du camp de Rabouni, en Algérie. Ce criminel qu’était SidAhmed Ould Hadda avait fait également l’objet de nombreuses plaintes, déposées par ses victimes sahraouies marocaines et espagnoles, devant les Tribunaux de Madrid pour séquestrations, viols, tortures et assassinats. Ce qui ne l’empêchait pas de voyager en toute quiétude vers l’Europe. Par ailleurs, bien avant de devenir membre de la soi-disant direction du polisario en 1976 Ould Hadda était surtout connu pour avoir initié un important trafic d’armes entre la Libye et les camps de Tindouf au milieu des années 70. D’ailleurs, ces dernières années, il a mis cette expérience de trafiquant d’armes au profit d’une filière polisarienne qui fournissait certains mouvements terroristes s’activant dans le Nord du Mali et au Sahel. Né à Tan-Tan, ville du Sud marocain, il était âgé de 70 ans et était considéré comme un des meneurs d’une doctrine de la terreur dans les camps de Tindouf, raison pour laquelle il avait été la cible, dès 2003, de la plainte d’un groupe d’anciens membres du polisario déposée devant la Cour Pénale Internationale de La Haye pour avoir commis des crimes contre l’Humanité. Parmi elles, L’Association des Victimes du Polisario (ASVIPO), basée à Barcelone dont Mohamed Abdelaziz, Bachir Mustafa Sayed; Brahim Ghali, Mohamed Lamin Bouhali; Sidi Ahmed El Batal, Mohamed Lamin Ould Lili; Mahfoud Ali Beiba et Lahbib Ayoub, entre autres. La plupart de ces noms ont quitté la vie avait d’être jugés. C’est ce passé trouble de trafiquant et de tortionnaire notoire qui explique que ce dirigeant séparatiste a été enterré le 26 mai 2021 à la hâte. Il n’a pas eu droit à des funérailles officielles à l’instar de ses anciens collègues polisariens, comme Mohamed Khaddad ou Ahmed Boukhari, pour ne citer que ceux récemment décédés à l’ère de la COVID-19. Cet enterrement précipité s’explique par la peur de voir ses victimes et leurs ayants-droit, qui se comptent par centaines dans les camps de la honte de Lahmada, venir manifester au cimetière. Une action de la sorte serait d’autant plus malvenue que l’affaire Brahim Ghali, le pseudo chef polisarien lui-même, continue de faire scandale en Espagne, où il est hospitalisé en attendant d’être entendu par la Justice espagnole. A noter que ce tristement sinistre individu qu’était SidAhmed Ould Hadda aurait été assassiné par des hommes de mains du Général Saïd Chengriha, le maître de l’Algérie, en raison de ses tentatives de convaincre les membres influents polisariens de s’écarter de la mainmise des services algériens et de son opposition aux manigances de la junte algérienne concernant l’hospitalisation du terropolisarien Brahim Ghali en Espagne. Quoiqu’il en soit, il a eu droit à un enterrement de chien pour avoir trahi son pays qu’est le Royaume du Maroc. Farid Mnebhi.

Sultana Khaya ou l’art de la désinformation au service commandé du polisario et de son mentor algérien

Sultana Khaya ou l’art de la désinformation au service commandé du polisario et de son mentor algérien

TRIBUNE. Depuis la ville du Sud marocain de Boujdour, la dénommée Sultana Sidi Brahim Khaya a lancé un message fallacieux à de nombreux organismes et instances onusiennes des Droits de l’Homme sur les soi-disant graves violations auxquelles sont exposées sa famille et elle de la part des autorités marocaines. Ces accusations mensongères, orchestrées depuis le Palais de la Mouradia à Alger par les Généraux algériens et le directoire du polisario, illustrées par des photos montages, une spécialité algérienne, ont pour unique objectif celui de ternir l’image internationale du Royaume du Maroc quant au respect des Droits de l’Homme sur l’ensemble de son territoire. Ces fausses allégations de la manipulatrice patentée Sultana Khaya ont été lues, le 22 mai 2021, par des polisariens en Espagne, au Royaume-Uni, en France, en Italie, au Canada et, bien entendu, depuis les camps de la mort des réfugiés Sahraouis marocains à Tindouf, en Algérie. Khayya est bien connue à Boujdour, au Sahara marocain, pour vivre de la générosité algérienne qui l’entretient à charge pour la polisarienne de fabriquer régulièrement de faux témoignages. Khayya, tout en s’attaquant au Maroc, ne rechigne pas à bénéficier des aides sociales de ce même pays. Belle leçon d’éthique chez cette soi-disant militante de quartier. Les chiens aboient, mais finalement, la caravane passe ! Farid Mnebhi.

Graves révélations du polisarien Salem Lebsir, dauphin de Brahim Ghali

Graves révélations du polisarien Salem Lebsir, dauphin de Brahim Ghali

TRIBUNE. C’est clair et net ! Le numéro 2 du polisario, à savoir Salem Lebsir, vient de confirmer, ce 24 mai 2021, les inquiétudes du Maroc de voir le pseudo secrétaire général du polisario, hospitalisé à Logroño, quitter le territoire espagnol sans répondre à la convocation de la justice. En effet, dans une déclaration à « OK Diario », Salem Lebsir a affirmé que Ghali envisage de quitter l’Espagne dans les prochains jours sans se présenter devant l’Audience Nationale, où il est accusé de crimes de terrorisme, de génocide, de torture, et de viols. Pour ce sinistre Salem Lebsir, Brahim Ghali quittera l’Espagne dans les 10 jours tout en démentant qu’il soit détenteur de faux documents bien que son admission à l’hôpital de Logrono se soit faite sous une fausse identité. De qui se moque t-on ? Salem Lebsir a également accusé le Maroc de vouloir « salir l’image » du secrétaire général et du polisario à travers les accusations de viol, de torture et de crimes contre l’humanité, adressées pourtant par des Sahraouis séquestrés dans les camps de la honte à Tindouf et des ONG de défenses des Droits Humains. Quoi qu’il en soir, le choix de la Capitale de La Rioja a été motivée par le fait que la Communauté Autonome est gouvernée depuis 2019 par la socialiste Concha Andreu, du même Parti que le Chef du Gouvernement espagnol Pedro Sanchez, et est une communauté autonome amie des polisariens. Cette même Présidente du Gouvernement local, Concha Andreu, avait publiquement manifesté dans le passé son soutien à ces terropolisariens en recevant, par exemple, au début de 2020, le délégué polisarien dans cette région, Abdelahi Hamad Ahmed. On rappellera que c’est Fernando Moran Calvo-Sotelo, Ambassadeur d’Espagne à Alger, qui a tout coordonné avec Pedro Sanchez et Arancha Gonzalez Laya, la cheffe de la diplomatie espagnole, mais sans tenir au courant Margarita Robles, Ministre de la Défense sans oublier que le Ministre de l’Intérieur, Fernando Grande-Marlaska, était opposé à l’accueil en Espagne du chef des terropolisariens car, de par la nature de son poste, il savait qu’un tel acte allait être une source de problèmes avec le Maroc. Quant à la question de l’entrée en Espagne du terropolisarien Salem Lebsir, bras droit de Brahim Ghali, elle suscite bien des questions. Son ton péremptoire, quand il affirme que le chef des polisariens, quittera l’Espagne sans être inquiété par la justice, ouvre la voie à bien des interrogations sur les garanties qu’il a pu recevoir pour être aussi sûr de lui. L’Espagne a-t-elle encore jeté de l’huile sur le feu en permettant à Salem Lebsir, bras droit de Brahim Ghali, de rejoindre ce dernier dans la ville où il est hospitalisé depuis plus d’un mois ? La présence du soi-disant ministre du polisario est d’autant plus suspecte, révèle le journal en ligne espagnol « Ok Diaro » du 24 mai 2021, que les frontières entre l’Algérie et l’Espagne sont fermées. Comment Salem Lebsir est-il entré en Espagne ? Est-il, lui aussi, arrivé en Espagne sous une fausse identité et avec un faux passeport algérien ? A-t-il bénéficié de la complicité de l’équipe de la cheffe de la diplomatie espagnole qui a géré le transfert de Ghali ? Enfin, on rappellera que le dénommé Salem Lebsir, étant un faucon notoire des terropolisariens qui faisait fi des Accords de cessez-le-feu signés avec l’ONU, en prônant régulièrement le retour aux armes, est également connu pour être responsable de l’entraînement au maniement des armes de centaines d’enfants sahraouis et leur enrôlement dans les milices du polisario. A signaler que le polisarien Salem Lebsir est arrivé en Espagne après l’hospitalisation de son chef sans être détecté par les autorités espagnoles et a eu un entretien exclusif avec le site espagnol d’actualité « OK Diaro » qui l’a découvert après sa rencontre avec son patron à l’hôpital San Pedro de Logrono. Avec ces nouvelles révélations du polisarien Salem Lebsir, nul ne pourra nier l’implication directe du Gouvernement socialiste espagnol dans l’hospitalisation de l’homme le plus recherché par la justice espagnole, à savoir Brahim Ghali. Farid Mnebhi.

Le régime algérien pris la main dans le sac dans l’affaire Brahim Ghali dans son deal avec le Gouvernement espagnol

Le régime algérien pris la main dans le sac dans l’affaire Brahim Ghali dans son deal avec le Gouvernement espagnol

TRIBUNE. Il n’y a plus de doute, la justice espagnole n’est pas si indépendante qu’elle le prétend et subit des pressions inacceptables pour un pays dit démocratique de la part du pouvoir politique en tentant de trouver une sortie juridique qui satisferait les responsables et généraux algériens dans l’affaire Brahim Ghali. Ce nouveau rebondissement dans l’affaire Brahim Ghali, atteint de la COVID-19 et d’un cancer en phase terminale, est que quatre Généraux algériens sont cités par des plaignants qui veulent engager des poursuites judiciaires en Espagne. Pour rappel, des associations sahraouies et des militants ayant vécu dans les camps de réfugiés de Tindouf, en Algérie accusent Brahim Ghali et des responsables du polisario de viol, violation de Droits Humains et tortures et avaient appelé les autorités espagnoles à le traduire en justice, pour qu’il soit jugé. Les alertes que ce dossier soit entaché par des relations État-justice ou de la raison d’État face au raisonnement juridique se multiplient. Une association des Iles Canaries réclame aussi la tête du soi-disant chef polisarien auprès de la justice espagnole pour son rôle dans l’assassinat de plusieurs pêcheurs espagnols. Le Parti Popular, parti d’opposition en Espagne, en a fait une cause politique au Parlement. A signaler que le terropolisarien Brahim Ghali fait montre d’une arrogance sans limite et méprise la justice espagnole en refusant de comparaître sans l’accord préalable des autorités algériennes. Ce criminel est soigné à grand frais par l’argent du peuple algérien en Espagne, transporté dans un avion médicalisé et introduit en Espagne comme un voleur et mafieux sous un passeport algérien et accompagné par un médecin algérien qui a usurpé l’identité du médecin de la Présidence algérienne décédé en 2010. Quoiqu’il en soit, le juge du Tribunal National, Santiago Pedraz, a refusé l’emprisonnement immédiat du terropolisarien, indiquant que cette mesure peut être demandée lorsqu’il comparaîtra le 1er juin 2021 Aussi, au mois de juin 2021, le soi-disant chef polisarien devra être présent à son audience, dans le cadre d’un procès pour enlèvement, torture, séquestration et crimes de guerre. C’est pourquoi, deux ordonnances des juges rejettent les mesures demandées par l’Association Sahraouie des Droits Humains (ASADEH) et Fadel Breika à l’égard de Brahim Ghali, contre qui les plaignants ont demandé des mesures de détention afin d’empêcher sa sortie du territoire espagnol. La première est relative à l’ASADEH qui a demandé au juge d’ordonner une détention immédiate, une requête souvent approuvée lorsque le juge estime qu’il existe un risque de fuite de la personne incriminée ou une disparition des preuves. Quant à la seconde, elle concerne la demande du ressortissant espagnol d’origine sahraouie Fadil Breika qui fut rejetée par le juge Pedraz, estimant qu’il n’existe pas de préjudice dans ce rejet. L’indépendance de la justice espagnole est bien face à une dure épreuve, alors que la bonne conduite des investigations lancées en pleine tension entre le Maroc et l’Espagne est capitale. Tentant d’éteindre l’incendie sur sa présence en Espagne, la diplomatie espagnole a affirmé récemment que l’accueil de Ghali obéit à un ordre purement procédural et humanitaire ; un argument qui peine à convaincre au regard des tractations passées qui ont pu avoir lieu entre Alger et Madrid. Le recours au même procédé pour l’exfiltration de Brahim Ghali, le soi-disant chef polisarien, de la même manière avec laquelle il est entré en Espagne, est un choix pour le statu quo et l’aggravation de la crise. Cette crise représente un test pour l’indépendance de la justice espagnole, en laquelle le Royaume du Maroc a confiance, ainsi que pour l’état d’esprit des autorités espagnoles quant à leur volonté d’opter pour le renforcement des relations avec le Maroc ou de coopérer avec ses ennemis. L’Espagne a disgracieusement opté pour l’opacité, en manoeuvrant derrière le dos du Maroc, et ce en accueillant et en protégeant ce criminel et bourreau, en invoquant des considérations humanitaires, ce qui constitue une offense à la dignité du peuple marocain. Face à la crise actuelle avec l’Espagne, le Maroc ne cherche aucune faveur ou complaisance, il ne demande seulement que le respect de l’esprit du partenariat stratégique le liant à l’Espagne et l’application du droit espagnol. En effet, la personne à qui l’Espagne a permis l’entrée sur son territoire est poursuivie par la justice espagnole pour crimes contre l’Humanité et graves violations des Droits Humain tout en notant que ses victimes sont de nationalité espagnole et que certains des actes qui lui sont reprochés ont été commis sur le sol espagnol. Le pire est, que l’on parle là, de la cause principale sinon unique de la diplomatie algérienne depuis 45 ans. Elle est aux petits soins des polisariens parasites quand le peuple algérien manque même d’eau en plein Alger. Sans compter les soins anti COVID-19 réservés à Brahim Ghali le polisarien violeur en chef Les responsables et Généraux algériens seront contraints dans les jours à venir à sortir de leur silence pour dire la vérité sur ce dossier qui prend, désormais, des désagréables relents d’Affaire d’Etat. Au mois de juin 2021, le soi-disant chef polisarien devra être présent à son audience, dans le cadre d’un procès pour enlèvement, torture, séquestration et crimes de guerre. La pseudo cause polisarienne est tellement sulfureuse qu’il faut se camoufler comme les criminels de guerre pour voyager incognito. Farid Mnebhi.

La propagande algéro-polisarienne en voie d’extinction en Europe

La propagande algéro-polisarienne en voie d’extinction en Europe

OPINION. Suite à une grossière manœuvre dirigée conjointement par le polisario et l’Algérie en vue d’utiliser le logo de l’institution parlementaire européenne à des fins illicites de propagande, l’eurodéputé belge Frédérique Ries a saisi le Président du Parlement, Monsieur David Sassoli, sur cette tentative puérile. La député européenne dénonce, sur son compte Twitter, l’usurpation du logo du Parlement Européen, insinuation par l’Union Européenne d’une reconnaissance de la pseudo RASD, et la publication par les propagandistes algéro-polisariens de l’annonce sur les réseaux sociaux faisant état d’un webinaire qui serait organisé, le 12 mai 2021, par un groupe informel de lobbying constitué d’une poignée de députés européens séduits par la thèse séparatiste et par ailleurs bien soignés par le régime d’Alger. Or Madame Ries vient d’affirmer, haut et fort, que « l’intergroupe sahara occidental » entretient la confusion et défie les règles car cette entité n’a aucune assise juridique ou institutionnelle, ni de légitimité politique et n’est autre que de la pure propagande, car un intergroupe n’est pas un organe du Parlement Européen et ne peut s’exprimer en son nom. Se référant à l’article 35 du règlement intérieur du Parlement Européen, elle relève que cet intergroupe est une initiative individuelle d’un eurodéputé et ne revêt aucun caractère officiel. La même réglementation stipule que les intergroupes ne peuvent mener des actions pouvant prêter à confusion avec les activités officielles du Parlement Européen et de ses organes ou susceptibles d’affecter les relations avec les autres institutions de l’Union ou les relations avec les pays tiers et que donc il leur est strictement interdit d’utiliser le nom ou le logo du Parlement Européen, ou ceux des groupes politiques qui les composent, selon le même règlement. Ce groupe d’usurpateurs avait d’ailleurs essuyé un sacré revers dès sa naissance après la démission de son Président Joachim Schuster, protestant contre la violation du cessez-le-feu par le polisario. Il s’avère donc que toutes les activités de cet intergroupe ne sont qu’usurpation d’identité, utilisée aux fins de nuire aux intérêts du Maroc. D’ailleurs, ce n’est pas la première fois que le polisario et l’Algérie, passés maîtres dans l’usurpation des identités, comme c’est le cas dans « l’opération Benbatouche » en Espagne, instrumentalisent le Parlement de Bruxelles pour faire croire à un soutien européen à leur cause perdue. Autre réaction à souligner, celle du Sénateur italien, Monsieur Andrea Causin, qui a souligné, le 11 mail 2021, la pertinence et la grande portée de l’initiative d’autonomie présentée par le Maroc et saluée par l’ensemble de la communauté internationale en tant que solution sérieuse et crédible pour le règlement définitif du différend régional autour du Sahara marocain. Il a également affirmé que le modèle de développement des Provinces du Sud, lancé par le Roi Mohammed VI, et l’essor que connaît la région sur le plan des infrastructures et des prestations sociales de base, confortent la prééminence du plan d’autonomie, sous souveraineté marocaine. Monsieur Causin, vice-Président du groupe politique « Européistes-Centre Démocratique » et membre de la Commission Permanente de Défense au Sénat italien, a indiqué que la décision des États-Unis d’Amérique de reconnaître la souveraineté du Maroc sur son Sahara est un choix clair et réaliste. Après avoir rappelé la décision de nombreux pays, dont les Etats-Unis d’Amérique, de procéder à l’ouverture de Consulats Généraux à Laâyoune et à Dakhla, Monsieur Causin a formé le vœu de voir l’Italie emboîter le pas à ces pays et ouvrir un Consulat Général dans les Provinces du Sahara marocain. Le Maroc attend patiemment la Déclaration officielle du Parlement Européen confirmant une fois pour toute la marocanité de ses Provinces sahariennes, Une Déclaration qui ne saurait tarder au vu des derniers développements de la situation sur ce dossier. Farid Mnebhi.

L’encombrant colis remis par les responsables algériens à l’Espagne

L’encombrant colis remis par les responsables algériens à l’Espagne

TRIBUNE. Au moment même où la justice espagnole a décidé le report de l’audition du criminel et terroriste Brahim Ghali , les responsables polisariens poursuivent inlassablement, sous la houlette de leurs sponsors algériens, leur route sur la voie du déni. Pour les polisariens, l’audition du criminel et terroriste Brahim Ghali, enregistré en Espagne sous le nom de Mohamed Benbatouche, par Santiago Pedraz Gomez, Juge d’Instruction auprès de l’Audiencia Nacional, ne serait qu’une intox. C’est ce qu’a déclaré, le 04 mai 2021, à l’agence de presse algérienne APS le soi-disant représentant polisarien à Alger, Abdelkader Omar, tout en affirmant que le sieur Brahim Ghali n’a été destinataire d’aucune convocation pour une quelconque instruction en cours. Même son de cloche auprès de la direction du mouvement terroriste sis à Tindouf où des polisariens ont démenti auprès de l’agence de presse algérienne APS la réception de toute convocation de la part de la justice espagnole, précisant qu’il s’agit d’une rumeur colportée par le Maroc. D’ailleurs tous les responsables algériens et leurs sbires polisariens ont l’art de mentir et de créer des fake news L’Algérie est donc bien le pays aux 1,5 millions de Pinocchio. A noter que ces dénis interviennent au moment même où la justice espagnole vient de confirmer le report de l’audition du terropolisarien Brahim Ghali courant la semaine du 10 mai 2021. Cette fuite en avant de la justice espagnole n’est pas sans rappeler les déclarations mensongères des responsables polisariens sur l’hospitalisation de leur mentor dans un hôpital de Logrono, le 22 avril 2021. La procédure d’identification, et les interrogatoires attendus, font suite à une plainte déposée par El Fadel Breika, un membre dissident de la bande polisarienne, grande figure de la contestation contre Brahim Ghali. Cette plainte l’est au même titre que celle d’autres dirigeants du polisario et pour des faits similaires d’enlèvement, séquestration et torture. Sur la seule affaire concernant El Fadel Breika, Brahim Ghali fait l’objet de cinq motifs de poursuites. De plus, la grogne et l’indignation commencent à tonner en Espagne à l’encontre du Gouvernement socialiste espagnol pour avoir autorisé l’accès sur son sol, pour des raisons prétendument humanitaires, du terropolisarien Brahim Ghali, recherché par la justice pour de graves crimes, dont ceux de viol, de génocide et d’actes terroristes. De nombreux manifestants ont ainsi organisé un sit-in, le 05 mai 2021 à Madrid, pour réclamer justice et réparation aux victimes du polisario et du criminel Brahim Ghali.La vidéo de cette manifestation est visible dans un article publié le 05 mai 2021 sur le site « lareleve.ma » sous le titre « Madrid : Manifestation pour réclamer justice aux victimes du Polisario et du criminel Brahim Ghali (vidéo) ». Au fait, Brahim Ghali a été identifié formellement par la police sur ordre du Juge d’Instruction Santiago Pedraz Gomez et lui a fait son rapport. Dans ce rapport, il est fait mention de la soi-disant incapacité de comparaître du terropolisarien Brahim Ghali devant la justice ibérique pour interrogatoire du fait qu’il se trouverait sous respiration artificielle. Le temps pour le gouvernement espagnol de lui trouver une porte de sortie, à savoir le retour à l’envoyeur de ce colis pourri. On rappellera aux responsables socialistes espagnols et au Premier Ministre, Pedro Sanchez, le score époustouflant enregistré par le Parti Populaire (droite espagnole), sous la conduite de Madame Isabel Diaz Ayuso, lors des élections régionales du 04 mai 2021 à Madrid, infligeant un revers cinglant au Parti Socialiste Ouvrier Espagnol (PSOE). De quoi faire taire les généraux algériens et leurs rejetons du polisario, et, surtout, de quoi faire réfléchir la justice espagnole sur le cas de Brahim Ghali ! Quoi qu’il en soit, Brahim « Benbatouche » Ghali serait en train de frapper avec insistance à la porte de la prison espagnole ! A moins qu’il ne se retrouve par un tour de magie maléfique au Palais de la Mouradia d’Alger aux côtés de ses acolytes, le Président Abdemadjid Tebboune, et des généraux algériens mais aussi, et surtout, de membres du gouvernement socialiste espagnol autour d’une bonne bouteille. Farid Mnebhi.

Brahim Ghali a deux pas de faire face à ses juges !

Brahim Ghali a deux pas de faire face à ses juges !

La grogne et l’indignation commencent à tonner en Espagne à l’encontre du Gouvernement socialiste espagnol pour avoir autorisé l’accès sur son sol, pour des raisons prétendument humanitaires, du chef du polisario, Brahim Ghali, recherché par la justice pour de graves crimes, dont ceux de viol, de génocide et d’actes terroristes. Brahim « Benbatouche » Ghali devrait être à deux pas de la case prison ! Le Magistrat madrilène Santiago Pedra Gomez a émis, en effet, un ordre d’audition de Brahim Ghali ainsi que d’autres membres importants du polisario pour être interrogés dès ce 05 mai 2021 et ce, suite à une plainte déposée par le Sahraoui El Fadel Breika pour enlèvement, détention arbitraire et tortures. Le juge espagnol a également demandé l’audition de Sid Ahmed El Batal, un haut sécuritaire polisarien des camps sahraouis de la mort sis à Tindouf, en Algérie. Quant à Bachir Mutsapha Sayed, pressenti par les militaires algériens pour remplacer Brahim Ghali à la tête de la pseudo-RASD et du polisario, également concerné par cette enquête, il sera, pour sa part, entendu, le 07 mai 2021 Rappelons que le chef des terropolisariens, Brahim Ghali est poursuivi, entre autres, par l’Association Sahraouie de Défense des Droits de l’Homme (ASADEH) et par l’Association Canarienne des Victimes du Terrorisme (ACAVITE) et fait aussi l’objet de poursuites à titre individuel. C’est ainsi le cas de Khadijatou Mahmoud, une jeune Sahraouie qui l’accuse de l’avoir violée en 2010, au siège de l’ambassade de la pseudo-RASD, à Alger. Brahim Ghali a été hospitalisé, le 21 avril 2021, dans un hôpital de Logrono, non loin de Saragosse, en Espagne, sous le nom d’emprunt de Mohamed Benbatouche, de nationalité algérienne et détenteur d’un passeport diplomatique tout aussi algérien, afin d’échapper àux poursuites de la justice espagnole. Il avait été transporté d’Algérie en Espagne à bord d’un avion mis à sa disposition par la présidence de la République algérienne qui lui avait également fourni une équipe médicale pour l’accompagner. Le travail de la justice espagnole risque d’en ajouter davantage à l’embarras de Brahim Ghali et de l’Exécutif espagnol, qui lui avait permis, par sa complicité, de fouler son sol sous une fausse identité et de bénéficier, de surcroît, de soins médicaux aux frais du contribuable ibérique. Le Gouvernement socialiste espagnol et leurs compères algériens sont bel et bien aujourd’hui dans de sales draps ! Il leur est fortement conseillé de reprendre en cœur la chanson de nino Ferer titrée « Mirza » afin de se réconforter mutuellement ! L’ordonnance du magistrat est là ! Le fugitif est parfaitement localisé ! Son état de santé lui permet d’être entendu au bureau du juge, puisque le polisario ne cesse de clamer que son chef se porte comme un charme. A défaut, une audition à l’hôpital est tout à fait concevable. A espérer que l’Espagne évalue les risques de sa passivité judiciaire en termes de préservation de sa relation stratégique avec le Maroc. Qu’en sera-t-il de la coopération bilatérale essentielle en matière de lutte contre le terrorisme, d’émigration clandestine ? L’avenir le dira ! Farid Mnebhi.