La diaspora marocaine de France envoie dans les orties les délateurs du Maroc

La diaspora marocaine de France envoie dans les orties les délateurs du Maroc

TRIBUNE. Tout a commencé le 14 août 2020, lorsque, dans une tribune mise en ligne par le site « Orient XXI », dirigé par Alain Gresh, sous le titre de « halte à l’acharnement contre Omar Radi et la répression de la parole publique au Maroc », des voix sorties d’outre-tombe ont osé induire en erreur l’opinion publique en tentant de crédibiliser des informations trompeuses sur le Maroc. L’article trompeur et médisant déclarait vouloir dénoncer la répression policière violente à l’encontre des journalistes et des militants de Droits de l’Homme que le Maroc tenterait avec ténacité d’anéantir à coups d’accusations fallacieuses, de harcèlement et d’intimidation. Cette tribune, écrite à la va vite, nourrissait l’objectif de laisser faussement penser qu’elle émanait de Marocaines et Marocains résidant en France, ce qui provoqua une forte réaction des Associations de la diaspora marocaine de ce pays. Suite à quoi, cette même diaspora, représentant plus de 130 Associations marocaines de France, a, dans un communiqué publié ce 25 août 2020, mis en garde contre toute tentative visant son instrumentalisation par les signataires de cette tribune fallacieuse visant à diffuser des informations erronées sur le Maroc et à induire en erreur l’opinion publique sur le cas de l’apprenti journaliste Omar Radi, poursuivi pour des faits de viol dans son pays. Ces mêmes associations ont également condamné les duperies utilisées par les initiateurs de cette tribune, en vue de tromper l’opinion publique sur la représentativité de la liste des signataires de ce texte dans laquelle les personnes, qui peuvent se réclamer du Maroc, sont très minoritaires. C’est la raison pour laquelle ces Associations, établies en France ont condamné avec force la fourberie des initiateurs de cette démarche inconvenante qui affirment s’exprimer au nom des Marocaines et Marocains ou Franco-Marocaines et Franco-Marocains établis en France, car ils ne disposent ni de la légitimité, ni de l’autorité morale pour le faire. Ces mêmes Associations marocaines ont constaté, par ailleurs, et à leur grande surprise, la forte présence d’organisations tunisiennes ou dirigées par des Tunisiens dans la liste des signataires de cette tribune ; une ingérence grandiloquente dans les affaires intérieures du Maroc qui intéressent uniquement les Marocains et eux seuls et qui questionnent sur les objectifs que se sont assignées ainsi ces organisations tunisiennes. L’autre étonnement, et pas le moindre, est que de nombreuses associations créées par le polisario ou qui les soutiennent ont également signé cette tribune, et ce, alors que les dirigeants polisariens font l’objet d’une enquête parlementaire européenne pour détournement de l’aide humanitaire, destinée aux populations des camps de Tindouf, sur la base d’un rapport cinglant de l’OLAF, l’Office Européen de Lutte contre la Fraude, et que leur chef, Brahim Ghali, est, par ailleurs, accusé de crimes contre l’Humanité et d’atteintes aux Droits de l’Homme, des faits pour lesquels il est appelé à répondre devant la plus haute juridiction espagnole. Au final, la communauté marocaine établie en France,et partout à travers le monde, s’élève contre cette démarche agressive à l’encontre du Maroc et refuse que la défense des Droits de l’Homme et du libre exercice de la presse soient instrumentalisée et que les Marocains du monde servent de paravent pour tenter, de manière perfide, de crédibiliser la diffusion d’informations trompeuses sur le Maroc. Farid Mnebhi.

Amnesty International, une risée mondiale

Amnesty International, une risée mondiale

TRIBUNE. Il est acquis qu’Amnesty International est une organisation au service des ennemis du Maroc afin de le provoquer, par des rapports foireux sur la base des déclarations des commerçants des Droits de l’Homme pour se remplir les poches, en fournissant de fausses informations à des officines telles HRW, Reporters Sans Frontières et bien d’autres organisations. Des renseignements et témoignages qui relèvent plus de l’espionnage et de la traîtrise que du militantisme des Droits de l’Homme. Cette organisation contre les Droits de l’Homme, qu’est Amnesty International, s’est faite déboutée, le 13 juillet 2020, et ce, de manière formidable, par la justice de l’État d’Israël pour manque de preuves flagrantes dans l’affaire Omar Radi visant à interdire la société israélienne de cybersécurité « NSO Group » d’exporter sa technologie à l’étranger. La magistrate israélienne du Tribunal du district de Tel Aviv a expliqué, dans sa décision rendue publique, que les avocats d’Amnesty International n’ont pas fourni suffisamment d’éléments pour prouver qu’une tentative a été faite pour surveiller un pseudo militant des Droits Humains en tentant de pénétrer son appareil téléphonique. Une décision rapportée par les agences de presse AP et AFP ainsi que le prestigieux journal américain New York Times. Du jamais vu ! Il est donc acquis qu’Amnesty International est devenue une organisation è la solde des ennemis du Maroc et dont son obsession serait de le provoquer, par de pleutres rapports, pour se remplir les poches en fournissant aux officines AI, HRW, Reporters sans frontières et bien d’autres organisations des renseignements et témoignages qui relèvent plus de l’espionnage et de la traîtrise que du militantisme des Droits de l’Homme. Force est donc de constater qu’Amnesty International a révélé que l’élaboration de ses fameux rapports ne se basait que sur des « croyances ». Le mythe s’est effondré. « We believe (Nous croyons) » est l’ultime subterfuge sémantique auquel a recouru Amnesty International pour répondre à la demande des autorités compétentes marocaines qui lui ont demandé des preuves concrètes pour appuyer les allégations dont l’organisation avait accusé à tort le Maroc. Il s’avère donc que les fameux rapports ne sont plus élaborés sur des bases scientifiques et méthodologiques, sur des arguments et des preuves concrètes, mais simplement sur des croyances et que donc AI est une organisation au service des ennemis du Maroc et tout leur capital soi-disant militant n’est basé que sur des apparences d’éthos d’opposants et des vocables politiques ayant des connotations historiques. En fait, il s’agit des mêmes refrains échangés autour du même verre et aux mêmes endroits, qui sont généralement des comptoirs de bars. Et pour donner une certaine légitimité à leurs propos, ils n’ont pas froid aux yeux et évoquent les anciens opposants et militants, comme s’ils leur avaient légué un héritage à préserver. Cependant, contrairement aux anciens opposants authentiques qui étaient emprisonnés pour leurs positions politiques, la spécificité de ces opposants sur la base de croyances est qu’ils n’ont jamais été interpellés ou écroués pour raisons politiques, mais pour des motifs d’ivresse publique, de scandale sur la voie publique ou encore pour irruption dans une mosquée dans le but de prêcher à la place de l’imam, sans parler des viols et tentatives de viol. Cette ONG, sous couvert de défense des Droits de l’Homme, a toujours observé une attitude hostile à l’égard du Maroc. Pour s’en rendre compte, il suffit de comparer ses rapports des années soixante-dix et quatre-vingt du siècle dernier sur le Maroc, d’une part, et sur l’Algérie et bien d’autres pays de par le monde, d’autre part, tout en notant un acharnement contre le Maroc. Par ailleurs, tous les adhérents d’Amnesty International sont fondés à s’interroger sur la manière dont celle-ci a acquis l’expertise et les labos qu’il faut pour dire qu’un cellulaire a été trituré. Donc, il serait fortement souhaitable que ce business des Droits de l’Homme soit puni sévèrement par la justice et qu’elle prononce la dissolution de toute ONG qui fournit des mensonges sur des prétendues violations des Droits de l’Homme. Au fait Omar Radi et son compère, Imad Stitou, sont cordialement invités à se présenter devant le Tribunal pour ivresse publique et violences à la sortie d’un bar à Casablanca. Farid Mnebhi.

Amnesty International instrumentalise des journalistes pour servir ses agendas masqués

Amnesty International instrumentalise des journalistes pour servir ses agendas masqués

TRIBUNE. L’ONG Amnesty International a publié, le 22 juin 2020, un rapport fallacieux et tendancieux sur la question des Droits de l’Homme au Maroc, en affirmant, sans preuve aucune, que le téléphone portable du journaliste marocain Omar Radi aurait subit des attaques grâce au logiciel espion Pegasus suite au supposé programme secret baptisé « Atlas »et développé par la société israélienne NSO Group. Face à de telles accusations, les autorités marocaines ont vivement réagi, comme il se devait, en rejetant fermement, le 26 juin 2020, avoir été contactées par Amnesty International sur ce sujet,tout en soulignant que la publication de ce rapport et la mobilisation de 17 organes de presse de par le monde et Le Desk au Maroc, s’inscrivent dans un agenda visant le Maroc. Une partie de ces organes médiatiques s’est, en effet, bien éloigné des règles déontologiques qui régissent l’honorable profession journalistique pour servir les agendas masqués de l’ONG en question. Il est bon de rappeler que ce rapport d’Amnesty International sur les pseudo activités de NSO Group en lien avec le Maroc n’est en fait qu’un complément d’une série d’actions entreprises menées depuis près de cinq années par cette ONG dans un bras de fer avec l’entreprise israélienne spécialisée dans les logiciels de surveillance. Pour ce qui est du parcours professionnel du sieur Omar Radi, l’affidé de service d’Amnesty, celui-ci n’a rien d’exceptionnel. Ce pseudo journaliste s’est fait connaître suite à tweet virulent à l‘égard de l’autorité judiciaire marocaine, ce qui provoqua sa convocation devant la justice en décembre 2019 et sa condamnation, le 17 mars 2020, à 04 mois de prison avec sursis et 45 Euros d’amende pour publication diffamatoire à l’endroit d’un magistrat. Force est donc de constater que toute cette mascarade initiée par Amnesty International n’est qu’un jeu d’influence auquel s’est invitée cette ONG moyennant d’énormes financements pour maquiller l’action des concurrents de NSO en lui donnant la légalité d’une action des Droits de l’Hommiste, en prétendant que les personnes visées sont des défenseurs des Droits de l’Homme et non pas des terrorises comme l’affirme NSO ; ce qui laisse entrevoir une action orchestrée par une entité contre le Royaume du Maroc, raison pour laquelle la justice marocaine a ouvert une enquête sur Omar Radi suspecté d’avoir bénéficier de financements de l’étranger en lien avec des services de renseignementet qu’il a été interrogé le 25 juin 2020 par la police judiciaire marocaine. Mais, Omar Radi, si prompt à défendre de fausses causes, a simplement refusé de s’exprimer sur cet interrogatoire ce qui est tout simplement un aveu, au regard du droit. Enfin, pour ce qui est du respect des Droits de l’Homme, Amnesty International ferait mieux de regarder vers d’autres pays, en Europe, en Amérique du Nord et du Sud, en Asie, en Afrique autre que le Maroc qui fait de ce dossier une priorité de sa politique judiciaire Farid Mnebhi.