Stellantis maintient sa dynamique avec une hausse de 7% de son chiffre d’affaires net au troisième trimestre 2023

Stellantis maintient sa dynamique au troisième trimestre 2023. L’entreprise a annoncé une hausse de 7% de son chiffre d’affaires net par rapport à l’exercice précédent et un volume de vente toujours en croissance. L’évolution du chiffre d’affaires est principalement liée à une augmentation des volumes de ventes et à des prix stables, en partie compensés par des effets de change défavorables, a expliqué la société. En hausse de 11% par rapport au troisième trimestre 2022, les ventes consolidées se sont établies à 1 427 mille unités, avec une progression d’une année sur l’autre en Europe élargie, au Moyen-Orient et en Afrique, en Amérique du Nord et en Amérique du Sud. Au 30 septembre 2023, le stock total de véhicules neufs atteint 1 387 mille unités. En propre, Stellantis détient un stock de 388 mille unités, correspondant à une hausse de 158 mille unités par rapport au 31 décembre 2022 et reflétant un retour à des niveaux plus normaux de stocks après plusieurs années d’approvisionnement sensiblement limité. « Au cours du premier semestre de l’année, Stellantis s’est affirmé comme le leader du secteur parmi ses pairs en termes de résultat opérationnel courant, de marge opérationnelle courante et de Free cash-flow industriel », a déclaré Natalie Knight, CFO. « Aujourd’hui, nous mettons tout en œuvre pour conserver notre dynamique en visant la pole position du secteur en termes de rentabilité et de cash-flow, tout en répondant aux enjeux clés du secteur à court terme et en poursuivant notre transformation électrique et technologique », a-t-elle poursuivi affirmant que cette croissance contribue à accélérer la mise en œuvre du plan stratégique Dare Forward 2030. Stellantis fait partie des principaux constructeurs automobiles et fournisseurs de services de mobilité internationaux. Martin Kam
Aéroport de Lomé : 632 000 passagers au 1er semestre, hausse de 25% en glissement annuel

Au Togo, le trafic passager à l’aéroport international Gnassingbé Eyadema (AIGE) a enregistré une nouvelle hausse au premier semestre de l’année 2023. En tout, 632.083 passagers, selon des données compilées par les autorités aéroportuaires. Ces chiffres, publiés dans le dernier rapport d’exécution du budget de l’Etat, révèlent une progression de 25,3% par rapport à la même période en 2022. Rapportés aux six premiers mois de 2021, (279.000 passagers, 960.000 voyageurs sur l’année au total), il s’agit d’une hausse de plus de 125%. Au rang des facteurs pouvant justifier ces performances, l’ouverture de nouvelles lignes au départ de Lomé, par les deux principaux transporteurs Ethiopian et Asky, qui ont été rejoints récemment par Liz Aviation, un nouvel acteur évoluant pour l’instant sur le marché domestique. Du reste, les voyants sont également au vert en ce qui concerne le fret et le mouvement des aéronefs, respectivement établis en hausse de 1,2% et 10,1% sur la période sous revue. Pour rappel, l’ambition du Togo est d’atteindre 1,5 million de passagers à l’horizon 2025, et confirmer un peu plus sa place de hub de premier plan dans la sous-région.
Maroc. L’indice des prix à la consommation entame l’année sur une hausse

L’indice des prix à la consommation (IPC) a entamé l’année 2023 sur une hausse. Selon les données rendues publiques par le Haut-commissariat au plan (HCP), en glissement annuel, l’indice des prix à la consommation a enregistré une hausse de 8,9% au cours du mois de janvier 2023. Cette évolution résulte « de la hausse de l’indice des produits alimentaires de 16,8% et de celui des produits non alimentaires de 3,9% », a expliqué le Haut-commissariat dans une note d’information relative à l’indice des prix à la consommation du mois de janvier 2023. Pour ce qui est des produits non alimentaires, l’organisme public indique que les variations vont d’une hausse de 0,4% pour la «Santé» à 9,6% pour le «Transport». Selon le Haut-commissariat, l’indicateur d’inflation sous-jacente aurait connu une hausse de 8,2% au cours du mois de janvier 2023 par rapport au même mois de l’année écoulée. Il est à rappeler que l’IPC annuel moyen avait enregistré, au terme de l’année 2022, une augmentation de 6,6% par rapport à l’année 2021, suite à l’augmentation de l’indice des produits alimentaires de 11% et de celui des produits non alimentaires de 3,9%. Selon le HCP, les variations enregistrées au niveau des produits non alimentaires allaient d’une hausse de 0,1% pour la «Santé» à 12,2% pour les «Transports». Comparé au mois de décembre de l’année 2022, l’indice des prix à la consommation (IPC) a connu une augmentation de 0,5% au cours du mois de janvier dernier, fait remarquer le HCP dans sa récente note d’information. Selon ses explications, « cette variation est le résultat de la hausse de 1,4% de l’indice des produits alimentaires et de la baisse de 0,1% de l’indice des produits non alimentaires », indique l’organisme dirigé par Ahmed Lahlimi Alami ajoutant que l’indicateur d’inflation sous-jacente aurait connu en janvier dernier une hausse de 0,4% par rapport au mois de décembre 2022. A titre de comparaison, l’IPC du mois de décembre 2022 avait connu une hausse de 0,1% par rapport au mois de novembre de la même année, en raison de la hausse de 0,7% de l’indice des produits alimentaires et de la baisse de 0,4% de l’indice des produits non alimentaires. Il est à noter qu’entre décembre 2022 et janvier 2023, les données communiquées par le Haut-commissariat montrent que les hausses des produits alimentaires ont concerné principalement les «Légumes» (3,3%), les «Fruits» (2,6%), le «Lait, fromage et œufs» (1,6%) et les «Viandes» (1,2%). Dans sa note de conjoncture, l’organisme public poursuit en ajoutant que les hausses observées durant cette période ont également concerné d’autres produits alimentaires, tels que les «Eaux minérales, boissons rafraichissantes, jus de fruits et de légumes» (0,6%), les «Huiles et graisses» (0,5%), le «Pain et céréales» (0,3%) et les «Poissons et fruits de mer» (0,2%). Pour ce qui est des produits non alimentaires, le Haut-commissariat annonce que la baisse a concerné principalement les prix des «Carburants» avec 3,2%. A titre de rappel, les hausses des produits alimentaires observées entre novembre et décembre 2022 avaient touché principalement le «Lait, fromage et œufs» (2,3%), les «Huiles et graisses» (1,9%), les «Poissons et fruits de mer» (1,7%), les «Légumes» (1,1%), le «Café, thé et cacao» (0,7%), le «Pain et céréales» (0,4%) et les «Viandes» (0,1%). Dans sa note d’information relative à l’IPC de l’année 2022, le HCP avait, en revanche, observé un recul de 1,8% des prix pour les «Fruits». Pour les produits non alimentaires, la baisse avait concerné principalement les prix des «Carburants» (7,5%), avait poursuivi l’institution. Quant aux hausses les plus importantes de l’IPC, elles ont été enregistrées à Guelmim et Errachidia (1,2%), à Laâyoune et Safi (1,1%), à Tanger (1,0%) et à Oujda, Tétouan et Beni-Mellal (0,9%). Selon les données recueillies, cette tendance a également été observée à Fès, Marrakech et Dakhla (0,8%), à Agadir (0,7%), à Rabat et Settat (0,4%) et à Meknès (0,3%). « En revanche, une stagnation a été enregistrée à Casablanca », a fait savoir le Haut-commissariat dans sa note d’information. Alain Bouithy
Maroc. L’IPPIEM signe son huitième mois consécutif de hausse

L’indice des prix à la production du secteur des «Industries manufacturières hors raffinage de pétrole» a maintenu sa tendance haussière au titre du mois d’août. Après une hausse de 0,3% enregistrée en juillet 2022, le Haut-commissariat au plan (HCP) annonce qu’il a enregistré une hausse de 0,1% au cours du mois d’août 2022 par rapport au mois précédent. L’indice signe ainsi le huitième mois consécutif de progression, après les hausses observées en janvier (2,5%), février (0,8%), mars (0,7%), avril (1,1%), mai (1%), juin (0,6%) et juillet (0,3%). Dans une note d’information relative à l’indice des prix à la production industrielle, énergétique et minière du mois d’août 2022, le Haut-commissariat attribue cette évolution à la hausse de 1,4% des prix de l’«Industrie d’habillement» et l’«Industrie du textile», de l’«Industrie alimentaire», l’«Industrie chimique» et la «Fabrication des produits informatiques et électroniques» (0,2%). Elle est aussi la résultante de la hausse de l’«Industrie du papier et du carton» (0,5%), de l’«Industrie du cuir et de la chaussure» (1,0%), des «Travaux d’imprimerie et de reproduction» (0,3%) et de la «Fabrication des machines et équipements» (0,1%), a ajouté l’organisme public. Les récentes données publiées par le Haut-commissariat montrent que cette variation est en outre liée à la baisse de 2,3% des prix de la «Métallurgie» et de 1% de la «Fabrication des produits en caoutchouc et en plastique». Pour rappel, la hausse observée en juillet dernier avait été attribuée à la progression des prix de l’«Industrie automobile» (1,3%), de l’«Industrie du papier et carton» (4,2%), de la «Fabrication d’équipements électriques» (0,8%), de l’«Industrie alimentaire», l’«Industrie chimique» et la «Fabrication des produits en caoutchouc et en plastique» (0,1%), de l’«Industrie de textile» (0,9%), du «Travail du bois» (0,6%), de la «Fabrication des meubles» (0,5%) ainsi que de la «Fabrication des machines et équipements» (0,4%). Selon une note d’information du Haut-commissariat d’alors, l’évolution observée au cours du mois précédent résultait également de la baisse de 0,8% des prix de la «Métallurgie» et de 0,2% de l’«Industrie d’habillement». A titre de comparaison, la hausse de l’indice des prix à la production du secteur des «Industries manufacturières hors raffinage de pétrole», enregistrée un mois plus tôt (juin, 0,6%), résultait de la hausse de 2,3% des prix des «Industries alimentaires», de 1,5% de l’«Industrie du papier et carton», de 0,8% de l’«Industrie du textile» ainsi que de 0,3% de l’«Industrie d’habillement». Cette progression avait été aussi attribuée à la hausse de 1% des «Travaux d’imprimerie et de reproduction d’enregistrements», de 0,7% du «Travail du bois» et de 0,1% de l’«Industrie chimique», de la «Fabrication d’équipements électriques», de la «Fabrication des produits métalliques» et de la «Fabrication des produits informatiques». D’après la note d’information relative à cette période, la progression de cet indice provenait également de la baisse de 2,3% des prix de la «Métallurgie», tandis que l’indice des prix à la production du secteur des «Industries extractives» avait en revanche connu une augmentation de 0,1% au cours du mois de juin 2022. Comme en juillet 2022, les indices des prix à la production des secteurs des «Industries extractives», de la «Production et distribution d’électricité» et de la «Production et distribution d’eau» ont connu une stagnation au cours du mois d’août 2022, a relevé le Haut-commissariat au plan. Alain Bouithy
Maroc. Légère hausse des prix à la production dans l’industrie manufacturière

L’indice des prix à la production du secteur des «Industries manufacturières hors raffinage de pétrole» poursuit sa progression pour le deuxième mois consécutif. Selon les chiffres publiés par le Haut-Commissariat au plan (HCP), il a enregistré une légère hausse de 0,8% au cours du mois de février 2022 par rapport au mois de janvier 2022. Bien qu’en hausse, l’indice des prix à la production du secteur des «Industries manufacturières hors raffinage de pétrole» connaît tout de même une évolution à reculons depuis quelques mois. Après une série de hausses observées au cours des trois derniers mois de l’année 2021, octobre (0,2%) novembre (0,5%) et décembre (2,9%), la progression de l’indice des prix semble faiblir au fil des mois qui ont suivi. Il est en effet, passé de 2,5% en janvier 2022 à 0,8% en février, après avoir enregistré 2,9% en décembre de l’année écoulée. Quoi qu’il en soit, la hausse observée au titre du mois de février dernier est la résultante de l’augmentation des prix des «Industries alimentaires» (2,4%), de la «Fabrication de produits à base de tabac» (7,5%), de la «Métallurgie» (1,4%), de la «Fabrication de textiles» (1,6%), explique l’institution publique dans une note d’information relative à l’indice des prix à la production industrielle, énergétique et minière du mois de février dernier. Selon le Haut-Commissariat, l’évolution de l’indice des prix est aussi liée à l’augmentation de 1,9% des prix de la «Fabrication de produits en caoutchouc et en plastique», de 0,6% de l’«Industrie d’habillement» et de 0,4% de la «Fabrication d’équipements électriques». Dans sa note d’information, le HCP indique en outre que la progression de cet indice s’explique aussi par la baisse de 0,8% des prix enregistrée dans l’«Industrie pharmaceutique» et de 0,1% dans la «Fabrication d’autres produits minéraux non métalliques» et dans les «Autres industries manufacturés». A titre de comparaison, la hausse constatée en début d’année était attribuée à la progression de 9,2% des prix de l’«Industrie chimique», de 0,7% des «Industries alimentaires», de 2,2% de l’«Industrie automobile», de 1,2% de l’«Industrie d’habillement», de 0,5% de la «Fabrication d’autres produits minéraux non métalliques», de 0,6% dans la «Métallurgie» et dans la «Fabrication de produits en caoutchouc et en plastique» et de 0,8% dans la «Fabrication d’équipements électriques». Dans sa note d’information relative à cette période (janvier), le Haut-Commissariat avait également expliqué que cette évolution trouvait aussi sa justification dans la baisse de 0,6% des prix enregistrée dans la «Fabrication de meubles» et de 0,1% dans l’«Industrie du papier et du carton». Dans cette note d’information, il était aussi ressorti que les indices des prix à la production des secteurs des «Industries extractives», de la «Production et distribution d’électricité» et de la «Production et distribution d’eau» ont connu une stagnation au cours du mois de janvier 2022, selon le HCP. A titre de rappel, la hausse de l’indice des prix à la production du secteur des «Industries manufacturières hors raffinage de pétrole» enregistrée au cours du dernier mois de l’année 2021 était due à la hausse de 15,3% des prix de l’«Industrie chimique», de 0,5% de la «Fabrication d’autres produits minéraux non métalliques» et de 0,1% dans les «Industries alimentaires», la «Fabrication de textiles», le «Travail du bois et fabrication d’articles en bois et en liège» et dans la «Fabrication d’équipements électrique;». Cette évolution avait également un lien avec la baisse de 0,7% des prix enregistrée dans la «Métallurgie» et de 0,3% de l’«Industrie d’habillement», selon les explications d’alors du Haut-Commissariat au plan.. S’agissant des dernières données (février 2022) rendues publiques par le Haut-Commissariat, il ressort que l’indice des prix à la production du secteur des «Industries extractives» a connu une hausse de 0,1% au cours du mois de février 2022. Par ailleurs, les indices des prix à la production des secteurs de la «Production et distribution d’électricité» et de la «Production et distribution d’eau» ont connu une stagnation au cours du mois de février 2022. Alain Bouithy
Maroc. Le déficit commercial repart à la hausse à fin mai

Le déficit commercial s’est aggravé en mai 2021, atteignant 80,95 milliards de dirhams (MMDH) à fin mai 2021, selon les chiffres de l’Office des changes rendus publics récemment. Après quatre mois d’allègement observé en janvier (32,7%), février (15,9%), mars (11,2%) et avril (4,2%), ils’est établi à 80.95MMDH à fin mai 2021 contre 73.33MMDH à fin mai 2020, soit une hausse de 10,4% ou +7.62MMDH. Tandis que le taux de couverture, quant à lui, s’améliore de 2,7 points (61% à fin mai 2021 contre 58,3% durant la même période de l’année précédente). Dans ses indicateurs mensuels des échanges extérieurs du mois de mai 2021, l’Office des changes indique que les exportations se sont situées à 126.68MMDH au terme des cinq premiers mois de l’année. Ce qui correspond à une hausse de+23,5%, équivalant à 24.14MMDH. En parallèle, les importations ont enregistré une augmentation de +31.77MMDH correspondant à une progression de +18,1%, relève la même source. D’après les explications de l’Office des changes, la hausse des importations de marchandises (+18,1%) est liée à l’augmentation des achats de la totalité des groupes de produits, principalement, des produits finis de consommation (+12.64MMDH), des demi produits (+6.83MMDH), des biens d’équipement (+6.28MMDH) et des produits énergétiques (+2.79MMDH). Selon les statistiques relatives à cette période, la hausse des importations des produits finis de consommation (+34,8%) est intervenue suite essentiellement à l’augmentation des achats des parties et pièces pour voitures de tourisme (+57,1%) et à ceux des voitures de tourisme (+54,2%). Comme le relève l’Office dans sa note, après une baisse affichée en 2020 suite aux effets duCovid19, les importations de ces deux produits sont reparties à la hausse pour atteindre des niveaux presque similaires à ceux réalisés en 2019. La même source note que les importations des demi produits qui se sont situées à 45.15MMDH à fin mai 2021 contre 38.32MMDH une année auparavant,soit une hausse de 17,8%, en raison principalement de la hausse des achats des fils, barres et profilés en cuivre (+72,5%). Dans le même sillage, les achats des biens d’équipement ont progressé de 14,4%, passant de 43.50MDH à fin mai 2020 à 49.79MMDH à fin mai 2021,fait savoir l’Office soulignant ainsi que la part de ces deux groupes de produits dans le total des importations à fin mai 2021 s’est située à 45,7%. Côté exportations des marchandises, il ressort des données analysées qu’à fin mai 2021, elles ont enregistré un accroissement de 23,5% (+24.14MMDH) pour s’établir à 126.68MDH contre 102.53MMDH un an auparavant. « Cette hausse concerne les ventes de la majorité des secteurs, principalement le secteur de l’automobile, celui du textile et cuir et celui des phosphates et dérivés », relève l’Office précisant à ce propos que les exportations du secteur automobile ont atteint 35.38MMDH à fin mai 2021 contre 23.66MMDH une année auparavant. Ce qui représente une augmentation de +49,5% équivalant à +11.71MMDH. L’Office des changes attribue cette évolution principalement à la hausse des ventes du segment de la construction (+44%) et celles du segment du câblage (+47,4%), deux compartiments dont les exportations sont restées égales à celles réalisées durant la même période en 2019.33,9% et 53,9% à fin avril 2021. Au niveau minier, il apparait que les exportations des phosphates et dérivés ont bondi de de 17,4% (+3.57MMDH), pour s’élever à 24.15 MMDH à fin mai 2021 contre 20.58 MMDH à fin mai 2020, en raison principalement de la hausse des ventes de l’acide phosphorique (+2.183MDH) et celles des engrais naturels et chimiques (+1.71MMDH). Il est à noter que les exportations du secteur agriculture et agroalimentaire, celles de l’Electronique et l’électricité et celles des autres extractions minières ont affiché des hausses respectives de 6,7%, 40,2% et 55,2% à fin mai 2021, selon l’Office des changes. Alors que les exportations du secteur de l’aéronautique se sont établies à 5.516MMDH à fin mai 2021 contre 5.904MDH à fin mai 2020. Ce qui représente une baisse de 6,6% (-388MDH). Ainsi, «la part de ce secteur dans le total des exportations perd 1,4 point s’établissant à 4,4% contre 5,8% une année auparavant», fait savoir l’OC. Alain Bouithy