Les mots de François Hollande à Carla Bruni lors des obsèques de Jacques Chirac

Les mots de François Hollande à Carla Bruni lors des obsèques de Jacques Chirac

Lors des funérailles de Jacques Chirac, l’ancien président François Hollande a adressé à Carla Bruni quelques mots après quoi l’ex-Première dame prit un air étonné voire pétrifié qui a suscité diverses interprétations sur internet. La réalité est beaucoup plus triste, rapporte RT France citant l’ancien président français.

Le Roi du Maroc reçu à l’Elysée, nouveau témoignage de la relation d’exception qui lie la France et le Maroc.

Le Roi du Maroc reçu à l’Elysée, nouveau témoignage de la relation d’exception qui lie la France et le Maroc.

A moins d’une semaine du verdict du scrutin du second tour de la présidentielle, le Président de la République française, François Hollande, qui ne s’est pas représenté, a tenu à marquer, avant son départ, la solidité des liens historiques qui unissent le Maroc et la France en recevant, ce mardi 02 mai 2017, au Palais de l’Elysée, le Roi Mohammed VI du Maroc pour un déjeuner informel et convivial au cours duquel il a été souligné la densité des relations de coopération franco-marocaines sur les plans diplomatique, économique, social, culturel, cultuel et sécuritaire. Des personnalités du monde politique, de la société civile, des arts et de la culture, françaises et marocaines, ainsi que des amis de la France et du Maroc, ont pris part, aux côtés des deux Chefs d’Etat, à ce déjeuner convivial, à l’image du Chef de la diplomatie française, Jean Marc Ayrault, et de son homologue marocain, Nasser Bourita, de la Ministre française de l’Environnement, Ségolène Royal, de la Ministre française de la Culture, Audrey Azoulay, du Président de l’Institut du Monde Arabe (I.M.A), Jack Lang, du Président de la Fondation Nationale des Musées, Mehdi Qotbi, de l’islamologue Rachid Benzine, de l’humoriste et producteur, Jamal Debbouze, et des deux Prix Goncourt, Leila Slimani et Tahar Benjelloun. Cette conviviale attention du Président français à l’endroit du Roi du Maroc témoigne, si besoin est, de l’estime et du respect réciproques que se vouent les deux Chefs d’Etat, base du renouveau du partenariat bilatéral d’exception dans les domaines de la sécurité, du développement durable, de la culture et de l’éducation. A cette occasion, le Président Hollande a félicité le Souverain marocain pour le retour du Maroc au sein de l’Union Africaine et salué ses initiatives pour le développement du continent. En retour, le Roi Mohammed VI a remercié le Chef de l’Etat français pour son engagement personnel e faveur de l’amitié maroco-française, tout en l’assurant de sa détermination à consolider encore davantage la relation déjà exceptionnelle qui existe entre les deux pays.

Présidentielle française: François Hollande ne sera pas candidat à sa propre succession

Présidentielle française: François Hollande ne sera pas candidat à sa propre succession

Le président français admet avec lucidité son échec Coup de tonnerre en France. Le président François Hollande a annoncé qu’il ne se représentera pas. C’est une première dans l’histoire de la Ve République. « J’ai décidé de ne pas être candidat à l’élection présidentielle, au renouvellement de mon mandat », a déclaré jeudi soir le chef de l’Etat français dans une allocution télévisée. Une décision digne et courage, a unanimement salué la classe politique française, et longuement réfléchie selon son entourage. Pour ne pas compromettre les chances de la Gauche en mai prochain, Hollande a décidé donc de renoncer à briguer un second mandat, en direct depuis l’Elysée. La décision, qui a surpris tout le monde (y compris de certains de ses plus proches lieutenants), met un terme à une longue réflexion et surtout à des mois de spéculations autour de sa candidature. A noter que cette déclaration intervient à cinq mois de la présidentielle et le jour même du dépôt de candidature pour la Primaire socialiste. Les jeux ainsi sont totalement ouverts à gauche. La succession de mauvais sondages, la faite cinglante de Sarkozy à la primaire de la Droite et du Centre, la multiplication des candidatures à gauche et la pression de son premier ministre et de certains proches ont visiblement encouragé le chef de l’Etat à prendre une décision dont on parlera longtemps.

« L’histoire commence en Mésopotamie certes ! Mais aussi en Afrique ! »

« L’histoire commence en  Mésopotamie certes ! Mais aussi en Afrique ! »

Contrairement à son prédécesseur qui affirmait que, l’Afrique «berceau de l’humanité », n’est pas assez ancrée dans l’histoire, François Hollande, a inauguré mardi 1er novembre dernier au Musée du Louvres – Lens (Pas de calais) une exposition sur la Mésopotamie. Une occasion pour le chef de l’Etat français de lancer un plaidoyer sur la protection des arts partout où ils sont menacés par les barbares qui veulent nous imposer une autre civilisation. Ce fut aussi, aussi une occasion pour François Hollande de rencontrer les écrivains et hommes de lettres venus d’ailleurs et qui contribuent par leurs écrits français de faire rayonner cette culture française qui se veut universelle et ouverte sur le monde. Parmi les écrivains rencontrés, figurent en bonne place Brice Arsène Mankou qui récemment a plaidé pour une reconnaissance dans les manuels scolaires français de l’histoire de Brazzaville qui fut la capitale de la France libre de 1940 à 1942. Sensible à cette erreur historique, le chef de l’Etat a reconnu que c’est une « injustice » qu’il faudrait forcément corriger, en l’exhortant à fédérer bien au-delà du bassin du Congo, historiens, écrivains et autres artistes. Le plaidoyer de Brice Mankou est un combat que François Hollande soutient d’où l’appel qu’il lance à tous les hommes de lettres, à tous les historiens et Sociologues de se joindre à ce mouvement intitulé : « Brazzaville, capitale de la France libre, ne l’oublions pas ! » Ce vaste mouvement, compte mener des plaidoyers auprès du Ministère Français de la culture, de l’éducation nationale, des affaires étrangères, de l’OIF et de l’UNESCO pour que soit inscrite dans les manuels scolaires cette portion de l’histoire qui ne figure dans aucun manuel de l’histoire. Ce mouvement a déjà le soutien du Président François Hollande. Soulignons que l’exposition : « L’histoire commence en Mésopotamie » inaugurée au musée du Louvre-Lens rassemble près de 400 objets qui racontent l’invention de l’écriture, l’émergence des premières villes et de premiers empires. Notons enfin que La Mésopotamie, est ce pays entre les deux fleuves situé pour l’essentiel en Irak actuel. Il est le berceau de l’économie moderne et de l’écriture avec laquelle commence l’histoire. C’est aussi le pays des premières villes et des systèmes politiques et administratifs les plus anciennement connus à ce jour. Si nos villes, notre cadre de vie, nos croyances et notre imaginaire modernes sont bien différents de ceux de la Mésopotamie antique, ils n’en sont pas moins les héritiers des « premières fois » fondamentales de la civilisation mésopotamienne. C’est ce monde à la fois proche et lointain que l’exposition présentera, à travers des œuvres majeures et des témoins inédits de la Mésopotamie du IIIe au Ier millénaire avant J.-C. Le musée du Louvre – Lens entend ainsi montrer l’importance fondamentale de ce patrimoine mondial, connu partiellement grâce à la Bible et redécouvert à partir du 19e siècle lors des fouilles archéologiques, alors qu’il est aujourd’hui menacé par la situation tragique en Irak et au Moyen-Orient. Cette exposition sur la Mésopotamie est au musée du Louvre- Lens du 2 novembre 2016 – 23 janvier 2017.

France: Hollande a rencontré Alain Mabanckou

France: Hollande a rencontré Alain Mabanckou

Le Président François Hollande s’est entretenu mardi avec Alain Mabanckou, romancier franco-congolais et professeur au Collège de France. « Ils ont évoqué la situation en République du Congo. Le Président de la République a marqué son attachement à la paix, à la démocratie et aux libertés politiques, qu’il s’agisse de liberté d’expression des citoyens, de liberté de la presse ou de liberté d’action des partis politiques », rapporte l’Elysée. Dans un communiqué, la Présidence française a précisé que François Hollande « a indiqué que la France restait attachée à un dialogue entre l’ensemble des sensibilités congolaises, dans l’objectif de permettre un large rassemblement et d’apaiser les tensions ».